- Milan CrayA l'université ; 4è année■ Age : 32■ Messages : 2461■ Inscrit le : 16/07/2019■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 1, Appartement
❖ Arrivé(e) en : Avril 2015
- "Mais bien sûr que si elle est carrément trop canon la nouvelle psychologue !"
Tout est parti de ce simple débat lors d'une soirée tout à fait tranquille avec des potes. Ils n'arrivaient pas à s'entendre sur la note à lui attribuer, chacun y allant de son argument. Et comme je ne l'ai jamais croisée, je ne pouvais que me contenter d'assister à cet échange sans pouvoir vraiment y prendre part. Alors en bon scientifique que je suis, j'ai dès le lendemain décidé de remédier à ce problème. En prenant un rendez-vous évidemment, avec la psychologue de l'école. Je ne peux pas me contenter de ce que des sources peu fiables rapportaient. Il me fallait me faire mon propre avis !
Voilà comment quelques jours plus tard, je me retrouve à toquer quelques coups à la porte du bureau de la psy. Si on m'avait dit que je mettrai un jour les pieds dans un tel endroit, je n'y aurais jamais cru. Mais qu'est-ce que je ne ferai pas pour rétablir la vérité ! J'attends qu'on m'invite à entrer pour pousser la porte et entrer dans le bureau que je vois pour la première fois. Mais évidemment, ce n'est pas la déco qui m'intéresse. Malgré tout, je sais être discret hein, alors c'est en m’inclinant poliment que je me présente.
- "Bonjour madame, Milan Cray, je vous remercie de bien vouloir me rencontrer."
Qu'est-ce qu'on est censé dire quand on voit un psy ? Je n'en ai aucune idée. Mais en ce moment, avec la saint valentin qui approche à grands pas, mon tout nouveau statut de non célibataire, les nombreux chocolats qui risquent de m'échapper cette année, je trouverais bien de quoi alimenter la discussion. Je ne m'inquiète sûrement pas pour ça.
Tout est parti de ce simple débat lors d'une soirée tout à fait tranquille avec des potes. Ils n'arrivaient pas à s'entendre sur la note à lui attribuer, chacun y allant de son argument. Et comme je ne l'ai jamais croisée, je ne pouvais que me contenter d'assister à cet échange sans pouvoir vraiment y prendre part. Alors en bon scientifique que je suis, j'ai dès le lendemain décidé de remédier à ce problème. En prenant un rendez-vous évidemment, avec la psychologue de l'école. Je ne peux pas me contenter de ce que des sources peu fiables rapportaient. Il me fallait me faire mon propre avis !
Voilà comment quelques jours plus tard, je me retrouve à toquer quelques coups à la porte du bureau de la psy. Si on m'avait dit que je mettrai un jour les pieds dans un tel endroit, je n'y aurais jamais cru. Mais qu'est-ce que je ne ferai pas pour rétablir la vérité ! J'attends qu'on m'invite à entrer pour pousser la porte et entrer dans le bureau que je vois pour la première fois. Mais évidemment, ce n'est pas la déco qui m'intéresse. Malgré tout, je sais être discret hein, alors c'est en m’inclinant poliment que je me présente.
- "Bonjour madame, Milan Cray, je vous remercie de bien vouloir me rencontrer."
Qu'est-ce qu'on est censé dire quand on voit un psy ? Je n'en ai aucune idée. Mais en ce moment, avec la saint valentin qui approche à grands pas, mon tout nouveau statut de non célibataire, les nombreux chocolats qui risquent de m'échapper cette année, je trouverais bien de quoi alimenter la discussion. Je ne m'inquiète sûrement pas pour ça.
"Tired of being what you want me to be I don't know what you're expecting of me
Put under the pressure of walking in your shoes Every step that I take is another mistake to you"
Linkin Park - Numb
Milan parle en japonais :#cc3333
Milan baragouine comme il peut en anglais avec un très fort accent : #cc6600
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- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 28■ Messages : 699■ Inscrit le : 13/02/2023
Mon personnage
❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2017
Un élève... Dur d'être un scientifique.
Beck était bientôt rendu à la dernière classification de l'année avec tous les dossiers de ces élèves qui animaient cet établissement. La jeune femme était déterminée à clore toute cette paperasse envahissante et de temps en temps, elle était en consultation avec eux. Des personnes qui avaient des problèmes familiaux, qui pouvait détourner sur des problèmes mentaux et psychologique. Entraînant parfois, un lourd parcours scolaire voué à l'échec. Mais Kobe school était un établissement lié à l'élite et le fait de devoir échouer était inconcevable. La brune buvait un petit thé aux fruits rouge pour se détendre ou à la bergamote parfois en regardant par la fenêtre, de l'étage.
Beck regardait également l'emploi du temps qui lui était donné par rapport aux rendez vous quotidien qu'elle pouvait avoir. La jeune femme passait son temps à noter sur un calepin des faits que pouvait évoquer les élèves perdus et incertains de ce qu'allait advenir leur avenir. La psychologie humaine est bien complexe et parfois, beck se demandait pourquoi elle était devenue psy. Comme on pouvait dire, les gens faisant de la psychologie ne sont pas les plus grand tranquille dans leur tête, mais préfère aider les autres. Et cela, pas pour se donner bonne conscience.
La psychologue feuilletant ses notes en écrivant avec son stylo dans son autre main. Elle était occupée dans ses pensées en attendant son prochain patient. Il s'agissait d'un certain Milan Cray, étonnant comme nom. Elle souriait quelques instants et soupirait longuement pour se préparer à la séance, comme un grand sportif s'apprêtant à rentrer sur le terrain. Soudain, la porte vinrent à se faire toquer. « Entrez donc. »
Elle regardait l'homme de haut en bas, se demandant qu'est-ce qu'il faisait ici. Il avait l'air stable psychologiquement ou est-ce vraiment d'apparence ou une mauvaise blague ? Beck maintenait son stylo dans sa main droite et appuyait sur l'embout qui lui faisait sortir la mine de ce qui lui servirait pour écrire et le posant ensuite sur son bloc note. Elle croisait les jambes et les décroisant, puis regardant toujours Milan avec ce visage impassible.
« Bon, comme vous devez le savoir je suis la psychologue de cette école. Je suis là pour vous écouter et essayer de vous aiguiller si vous avez le moindre doute. Du coup, je suis Beck Oribe et tu es donc Milan Cray ? » Elle vint à décrocher un léger sourire et ses mirettes donnait comme un marron/rouge noisette à la lumière du soleil, ce qui mettait encore plus en valeur son visage. La jeune femme attendait les présentations et les raisons de sa venue. Même si c'était pas évident de parler du sujet véritable. Elle attendait patiemment qu'il se décide à parler en lui faisant signe de s'asseoir et prendre ces aises sur le divan.
Beck regardait également l'emploi du temps qui lui était donné par rapport aux rendez vous quotidien qu'elle pouvait avoir. La jeune femme passait son temps à noter sur un calepin des faits que pouvait évoquer les élèves perdus et incertains de ce qu'allait advenir leur avenir. La psychologie humaine est bien complexe et parfois, beck se demandait pourquoi elle était devenue psy. Comme on pouvait dire, les gens faisant de la psychologie ne sont pas les plus grand tranquille dans leur tête, mais préfère aider les autres. Et cela, pas pour se donner bonne conscience.
La psychologue feuilletant ses notes en écrivant avec son stylo dans son autre main. Elle était occupée dans ses pensées en attendant son prochain patient. Il s'agissait d'un certain Milan Cray, étonnant comme nom. Elle souriait quelques instants et soupirait longuement pour se préparer à la séance, comme un grand sportif s'apprêtant à rentrer sur le terrain. Soudain, la porte vinrent à se faire toquer. « Entrez donc. »
Elle regardait l'homme de haut en bas, se demandant qu'est-ce qu'il faisait ici. Il avait l'air stable psychologiquement ou est-ce vraiment d'apparence ou une mauvaise blague ? Beck maintenait son stylo dans sa main droite et appuyait sur l'embout qui lui faisait sortir la mine de ce qui lui servirait pour écrire et le posant ensuite sur son bloc note. Elle croisait les jambes et les décroisant, puis regardant toujours Milan avec ce visage impassible.
« Bon, comme vous devez le savoir je suis la psychologue de cette école. Je suis là pour vous écouter et essayer de vous aiguiller si vous avez le moindre doute. Du coup, je suis Beck Oribe et tu es donc Milan Cray ? » Elle vint à décrocher un léger sourire et ses mirettes donnait comme un marron/rouge noisette à la lumière du soleil, ce qui mettait encore plus en valeur son visage. La jeune femme attendait les présentations et les raisons de sa venue. Même si c'était pas évident de parler du sujet véritable. Elle attendait patiemment qu'il se décide à parler en lui faisant signe de s'asseoir et prendre ces aises sur le divan.
- Milan CrayA l'université ; 4è année■ Age : 32■ Messages : 2461■ Inscrit le : 16/07/2019■ Mes clubs :
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❖ Âge : 22 ans
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❖ Arrivé(e) en : Avril 2015
Ce n'est qu'après m'être correctement présenté que je me risque à un premier coup d’œil en direction de la nouvelle psychologue de l'établissement. Juste de quoi me donner une première idée de sa silhouette. J'aurais tout le temps pour une étude plus approfondie ensuite. Et le moins qu'on puisse dire, c'est qu'elle retient mon attention d'entrée de jeu grâce à ces formes que je peux aisément deviner sous une tenue malgré tout professionnelle. Et là, je crois que je sais déjà à quel camp je risque de me rallier. Mais évidemment, je ne voudrais pas me faire virer si vite de ce bureau, alors je garde une attitude parfaitement respectable avant de répondre.
- "En effet."
Et là, je ne peux que me rendre compte que c'est bien la première fois que je mets les pieds dans un cabinet de psy et... Que je n'ai aucune idée de comment se déroule une séance classique. Je reste donc bien droit, ne sachant pas exactement ce qu'il convient de faire. Et comme souvent dans ce genre de situation, je prends mon air un peu gêné, presque timide, passant une main derrière ma nuque tout en esquissant un début de sourire qui marque plus l'embarras que la joie.
- "Et, hum, c'est la première fois que je me décide à venir alors, je suis désolé si, enfin, je ne sais pas très bien comment doit se dérouler une séance de ce genre..."
Oui, c'est encore l'option la plus simple.
- "En effet."
Et là, je ne peux que me rendre compte que c'est bien la première fois que je mets les pieds dans un cabinet de psy et... Que je n'ai aucune idée de comment se déroule une séance classique. Je reste donc bien droit, ne sachant pas exactement ce qu'il convient de faire. Et comme souvent dans ce genre de situation, je prends mon air un peu gêné, presque timide, passant une main derrière ma nuque tout en esquissant un début de sourire qui marque plus l'embarras que la joie.
- "Et, hum, c'est la première fois que je me décide à venir alors, je suis désolé si, enfin, je ne sais pas très bien comment doit se dérouler une séance de ce genre..."
Oui, c'est encore l'option la plus simple.
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- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 28■ Messages : 699■ Inscrit le : 13/02/2023
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❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2017
Un élève... Dur d'être un scientifique.
Beck ne savait pas comment réagir face à cet homme qui venait de débarquer dans le bureau. Comme ci, il ne savait même pas pourquoi lui-même il avait débarqué là. Ce qui était une raison plutôt étrange ! Elle sortit son ordinateur portable, pour consulter un dossier qui aurait pu être commencé sur ce dernier. Mais rien n'en résultait. La jeune femme relevait alors la tête de son écran pour regarder de nouveau son interlocuteur. "00Bon, alors. Vu que vous n'avez aucun dossier entamé en matière de psychologie scolaire.. Je vais vous demander ce qui vous amène ici. Faites moi une brève présentation de vous, afin que je sache qui vous êtes. "
Toujours son crayon en mai, prête à noter ou gribouiller quelque chose sur son bloc note. Comme un pistolet que l'on était prêt à dégainer, la psychologue attendait patiemment que le blondinet daigne à se présenter et à parler de lui. Même si en une séance, on ne pouvait pas s'attendre à un miracle. Beck se souvenait de ses quelques séances avec d'autres élèves passés auparavant et qui semblaient bavards et d'autres plus réservés.
La psychologie est une science inexacte, on étudie les comportements humains et on essaye de trouver les failles afin de résoudre les problèmes. Parfois, certains viennent juste parce qu'ils ont besoin de parler. Un long silence se faisait entendre dans le bureau, on aurait pu entendre une mouche voler. Elle se doutait bien que le jeune homme n'allait pas se livrer aussi facilement et ne sachant pas que ce dernier était juste venu faire une vérification. Mais, elle restait là devant lui les jambes croisés et sereine.
Toujours son crayon en mai, prête à noter ou gribouiller quelque chose sur son bloc note. Comme un pistolet que l'on était prêt à dégainer, la psychologue attendait patiemment que le blondinet daigne à se présenter et à parler de lui. Même si en une séance, on ne pouvait pas s'attendre à un miracle. Beck se souvenait de ses quelques séances avec d'autres élèves passés auparavant et qui semblaient bavards et d'autres plus réservés.
La psychologie est une science inexacte, on étudie les comportements humains et on essaye de trouver les failles afin de résoudre les problèmes. Parfois, certains viennent juste parce qu'ils ont besoin de parler. Un long silence se faisait entendre dans le bureau, on aurait pu entendre une mouche voler. Elle se doutait bien que le jeune homme n'allait pas se livrer aussi facilement et ne sachant pas que ce dernier était juste venu faire une vérification. Mais, elle restait là devant lui les jambes croisés et sereine.
- Milan CrayA l'université ; 4è année■ Age : 32■ Messages : 2461■ Inscrit le : 16/07/2019■ Mes clubs :
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❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 1, Appartement
❖ Arrivé(e) en : Avril 2015
Que je me présente... Ok, ça c'est un exercice que je suis habitué à faire, que ce soit en début d'année scolaire ou pour chaque nouvelle activité (et j'aime le changement...) je devrais pouvoir m'en sortir ! Même si, je ne sais pas pourquoi, mais je ne me sens pas hyper à l'aise non plus. Peut-être parce que cette fois je suis face à une psychologue. Ce genre de personnes qui sont quasiment capables de lire les pensées et les sentiments. Alors pour quelqu'un comme moi qui a bien trop l'habitude d'user de mensonges et d'approximations dès que la vérité m'embête, c'est un peu stressant.
Mais ce n'est pas pour autant que je perds de mon sourire ni même mon attitude chaleureuse qui me colle si souvent à la peau. Les bras croisés dans le dos, je me lance, ne sachant pas exactement ce qu'elle peut vouloir entendre. Mais je suis sûr qu'elle saura de toute façon poser les questions alors, je ne réfléchis pas trop.
- "Eh bien, je m'appelle Milan Cray, je suis en troisième année de médecine, et je suis arrivée à Kobe pour ma première année à l'université. J'aimerais exercer en tant que kinésithérapeute à l'issue de mes études, toujours en restant dans cette ville si possible. Je suis bien ici. Je suis aussi hyper fan de basket !! Je joue depuis... Petit et je n'ai jamais arrêté ! Mais j'ai aussi rejoints les clubs de natation et de journalisme, j'aime bien changer de temps en temps. Même si je suis plus souvent au basket quand même. Hmm... Mes résultats scolaires sont assez passables, mais j'essaie de m'améliorer ! Surtout que maintenant, je n'ai plus besoin de bosser en parallèle de mes études pour avoir suffisamment d'argent pour payer tous les frais alors, j'ai bon espoir que cette année soit meilleure que les autres !! Ah ! Et depuis la fin de l'année j'ai aussi une petite amie ! Enfin, ça ne fait pas si longtemps du coup, mais, voilà. C'est cool. Je crois..."
Est-ce que je ne m'emballe pas un peu ? Peut-être, mais si on me demande de parler de moi eh bien, je sais trouver tout un tas de choses acceptables à raconter sur ma vie. Surtout que ça me permet en parallèle de terminer mon observation (parce que c'est important de regarder son interlocuteur quand on lui parle). Et ouais, définitivement.... Note max sur l'échelle des adultes bonnes de l'établissement.
Mais ce n'est pas pour autant que je perds de mon sourire ni même mon attitude chaleureuse qui me colle si souvent à la peau. Les bras croisés dans le dos, je me lance, ne sachant pas exactement ce qu'elle peut vouloir entendre. Mais je suis sûr qu'elle saura de toute façon poser les questions alors, je ne réfléchis pas trop.
- "Eh bien, je m'appelle Milan Cray, je suis en troisième année de médecine, et je suis arrivée à Kobe pour ma première année à l'université. J'aimerais exercer en tant que kinésithérapeute à l'issue de mes études, toujours en restant dans cette ville si possible. Je suis bien ici. Je suis aussi hyper fan de basket !! Je joue depuis... Petit et je n'ai jamais arrêté ! Mais j'ai aussi rejoints les clubs de natation et de journalisme, j'aime bien changer de temps en temps. Même si je suis plus souvent au basket quand même. Hmm... Mes résultats scolaires sont assez passables, mais j'essaie de m'améliorer ! Surtout que maintenant, je n'ai plus besoin de bosser en parallèle de mes études pour avoir suffisamment d'argent pour payer tous les frais alors, j'ai bon espoir que cette année soit meilleure que les autres !! Ah ! Et depuis la fin de l'année j'ai aussi une petite amie ! Enfin, ça ne fait pas si longtemps du coup, mais, voilà. C'est cool. Je crois..."
Est-ce que je ne m'emballe pas un peu ? Peut-être, mais si on me demande de parler de moi eh bien, je sais trouver tout un tas de choses acceptables à raconter sur ma vie. Surtout que ça me permet en parallèle de terminer mon observation (parce que c'est important de regarder son interlocuteur quand on lui parle). Et ouais, définitivement.... Note max sur l'échelle des adultes bonnes de l'établissement.
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- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 28■ Messages : 699■ Inscrit le : 13/02/2023
Mon personnage
❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2017
Un élève... Dur d'être un scientifique.
Beck écoutait le jeune homme avec beaucoup d'attention. Aux premiers abords, ce dernier n'avait pas l'air très loquace, mais finalement c'était le contraire. La jeune femme aurait pu se voir plus jeune. Il dégageait de beaucoup de positivité, c'était encourageant. C'était quelque de très intéressant pour la psychologue. Tous les élèves ou clients n'étaient pas obligés d'être impassible ou avoir un passif trop sombre. Juste quelqu'un de simple tout bêtement. Pas besoin de faire trop compliqué et la vie était belle. Pas besoin d'être dépressif pour faire appel à un professionnel. Mais il est évident que les personnes ne sont pas apte à reconnaître qu'ils sont pas bien et donc ne sont pas en mesure de se faire aider. Il faut parfois s'attendre au pire.
La psychologie est une science inexacte mais la jeune femme aimait explorer les situations les plus improbables. Elle écrivait quelques notes sur son carnet et puis redressa la tête vers son interlocuteur. « Vous êtes quelqu'un de très expressif, cela fait plaisir à entendre. Je dis par là, que c'est parfois difficile d'avoir un résultat ou avoir des informations les plus classiques sur une personne. » Elle ne voulait pas s'avancer, mais Beck avait l'impression que Milan n'avait pas besoin de psychologue ou de se faire aider. Peut-être que ce n'était qu'une façade. « Et, est-ce que vous vous sentez bien avec votre petite amie ? Vous me semblez hésitant. » Une faille ? Quelque chose qui pourrait le trahir ou la jeune femme se faisait des idées.
Beck n'était pas quelqu'un de médisant, bien au contraire. Mais l'attitude de Milan semblait être instable ou nerveux. Mais la brune se faisait peut-être des films. Elle aimait beaucoup analyser les mots et la situation qui pouvait se présenter à elle.
« Êtes vous quelqu'un de stressé ? Aimez vous sérieusement le basket ou c'est quelque chose qui vous plaît tout simplement ? » Le stylo de la psychologue était toujours prêt à dégainer sur le papier et observant Milan avec beaucoup d'insistance. Mais la jeune femme ne voulait pas du tout paraître insistante.
La psychologie est une science inexacte mais la jeune femme aimait explorer les situations les plus improbables. Elle écrivait quelques notes sur son carnet et puis redressa la tête vers son interlocuteur. « Vous êtes quelqu'un de très expressif, cela fait plaisir à entendre. Je dis par là, que c'est parfois difficile d'avoir un résultat ou avoir des informations les plus classiques sur une personne. » Elle ne voulait pas s'avancer, mais Beck avait l'impression que Milan n'avait pas besoin de psychologue ou de se faire aider. Peut-être que ce n'était qu'une façade. « Et, est-ce que vous vous sentez bien avec votre petite amie ? Vous me semblez hésitant. » Une faille ? Quelque chose qui pourrait le trahir ou la jeune femme se faisait des idées.
Beck n'était pas quelqu'un de médisant, bien au contraire. Mais l'attitude de Milan semblait être instable ou nerveux. Mais la brune se faisait peut-être des films. Elle aimait beaucoup analyser les mots et la situation qui pouvait se présenter à elle.
« Êtes vous quelqu'un de stressé ? Aimez vous sérieusement le basket ou c'est quelque chose qui vous plaît tout simplement ? » Le stylo de la psychologue était toujours prêt à dégainer sur le papier et observant Milan avec beaucoup d'insistance. Mais la jeune femme ne voulait pas du tout paraître insistante.
- Milan CrayA l'université ; 4è année■ Age : 32■ Messages : 2461■ Inscrit le : 16/07/2019■ Mes clubs :
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❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 1, Appartement
❖ Arrivé(e) en : Avril 2015
Je laisse apparaitre un large sourire lorsque la psy me dit être contente de ma description. Enfin, quelque chose comme ça en tout cas. Bah, si je peux lui faire passer un bon moment au passage, c'est pas plus mal hein. Je ne suis pas là pour l'embêter. Juste pour... Vérifier certaines informations. Tout en essayant de faire ça un minimum discrètement quand même. Alors il faut bien que je me prête à l'exercice.
Par contre, je ne m'attendais pas à recevoir une question aussi directe sur l'état de ma relation avec Chandini. Ou, avec ce que j'en pense. Ouah, quand on est psychologue on a donc toute légitimité aux questions intrusives pour lesquelles il faut habituellement prendre des chemins biscornus avant d'y avoir accès ? Peut-être bien que je me suis trompé de voie finalement... Mais une fois la surprise passée, il me faut malgré tout quelques secondes pour réfléchir. Quitte à jouer le jeu, autant essayer de le faire bien.
- "Je suis bien avec elle, oui, ça c'est sûr. C'est juste que, ça faisait un moment, et quand je dis un moment, c'est genre... Quelques années... Que j'étais célibataire. Alors, ça me fait un peu bizarre. Et puis, on se connait depuis hyper longtemps tous les deux, et... Des fois je crois que j'ai un peu peur des conséquences si ça devait mal se terminer. Même si, j'imagine que je ne devrais pas trop penser à ce genre de choses !"
J'esquisse un léger rire un peu mal à l'aise, une main qui vient se perdre dans mes cheveux au passage. Je sais très bien comment je suis. Et je sais aussi très bien pourquoi j'avais choisi le célibat. Oui, c'était réellement un choix, pas une simple conséquence de certaines maladresses. Non, je ne suis clairement pas le mec le plus fiable qui soit, et c'est bien plus de mes propres erreurs que j'ai peur, plutôt que de quoi que ce soit venant de Chandi. Il n'y a qu'à voir ce qui se passe en ce moment même. J'arrive encore à me demander si avec un physique comme le sien la psy peut tout de même se montrer un peu timide au lit, ou si elle est plutôt du genre dominante. Ouais, je me dépite tout seul, mais j'arrive pas à contrôler ce qui se passe dans ma tête.
- "Mais sinon, je ne crois pas être particulièrement stressé. Et, ouais, je surkiffe carrément le basket !! C'est un peu ce qui m'a permis de, eh bien... Je ne sais pas trop comment dire ça, mais quand je joue avec les gars de l'équipe, j'ai l'impression que ma vie est parfaite, que tout est génial, plus aucun problème à l'horizon !! Mais, malheureusement les entrainements ne durent pas éternellement."
Ce n'est sûrement pas bien difficile de se rendre compte que toute la passion que je peux déployer lorsque je parle de basket. Mais je ne peux pas m'empêcher d'appuyer avec toujours plus de mots.
Par contre, je ne m'attendais pas à recevoir une question aussi directe sur l'état de ma relation avec Chandini. Ou, avec ce que j'en pense. Ouah, quand on est psychologue on a donc toute légitimité aux questions intrusives pour lesquelles il faut habituellement prendre des chemins biscornus avant d'y avoir accès ? Peut-être bien que je me suis trompé de voie finalement... Mais une fois la surprise passée, il me faut malgré tout quelques secondes pour réfléchir. Quitte à jouer le jeu, autant essayer de le faire bien.
- "Je suis bien avec elle, oui, ça c'est sûr. C'est juste que, ça faisait un moment, et quand je dis un moment, c'est genre... Quelques années... Que j'étais célibataire. Alors, ça me fait un peu bizarre. Et puis, on se connait depuis hyper longtemps tous les deux, et... Des fois je crois que j'ai un peu peur des conséquences si ça devait mal se terminer. Même si, j'imagine que je ne devrais pas trop penser à ce genre de choses !"
J'esquisse un léger rire un peu mal à l'aise, une main qui vient se perdre dans mes cheveux au passage. Je sais très bien comment je suis. Et je sais aussi très bien pourquoi j'avais choisi le célibat. Oui, c'était réellement un choix, pas une simple conséquence de certaines maladresses. Non, je ne suis clairement pas le mec le plus fiable qui soit, et c'est bien plus de mes propres erreurs que j'ai peur, plutôt que de quoi que ce soit venant de Chandi. Il n'y a qu'à voir ce qui se passe en ce moment même. J'arrive encore à me demander si avec un physique comme le sien la psy peut tout de même se montrer un peu timide au lit, ou si elle est plutôt du genre dominante. Ouais, je me dépite tout seul, mais j'arrive pas à contrôler ce qui se passe dans ma tête.
- "Mais sinon, je ne crois pas être particulièrement stressé. Et, ouais, je surkiffe carrément le basket !! C'est un peu ce qui m'a permis de, eh bien... Je ne sais pas trop comment dire ça, mais quand je joue avec les gars de l'équipe, j'ai l'impression que ma vie est parfaite, que tout est génial, plus aucun problème à l'horizon !! Mais, malheureusement les entrainements ne durent pas éternellement."
Ce n'est sûrement pas bien difficile de se rendre compte que toute la passion que je peux déployer lorsque je parle de basket. Mais je ne peux pas m'empêcher d'appuyer avec toujours plus de mots.
"Tired of being what you want me to be I don't know what you're expecting of me
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❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
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Un élève... Dur d'être un scientifique.
Beck savait que les questions intrusives étaient parfois gênante pour la personne qui se trouve en face d'elle. Elle affichait toujours ce petit sourire, sur son joli minois. La jeune femme était détendue et décontractée, elle ressentait que ce dernier pouvait la rendre d'autant plus à l'aise. Elle acquiesça face à ses mots et restaut là à écouter. C'est quelque chose d'habituel chez elle, c'était quelqu'un qui avait tendance à vouloir en savoir plus sur les gens afin de pouvoir les aider. La jeune femme notait tout sur son cahier, elle ne lâchait pas du tout du regard ce dernier qui était à fond dans son discours. Toute sa vie durant elle n'avait pas eu pour habitude de mener une longue conversation avec quelqu'un d'aussi bavard et sympathique. Beck appréciait ce moment, c'était un temps à la fois calme et qui lui permettait d'en connaître davantage sur la personnalité de Milan.
« Alors je suis contente d'en apprendre davantage sur toi, Milan. Tu as l'air de quelqu'un de très investi, peu importe le domaine. C'est sympa de voir quelqu'un qui a cette facilité à s'exprimer. » toujours ce fin sourire sur son visage. La psychologue ignorait vraiment la venue de ce Milan car il avait tendance à ne montrer aucun soucis à résoudre. Mais en fin de compte, tout le monde a son passé et ses soucis. Elle ne savait pas qu'est-ce qu'elle pouvait poser comme question. Un grand passionné de basket, c'était plaisant à entendre. Alors là jeune femme venait à se lever de nouveau et à effectuer les cents pas. Regardant par la fenêtre, l'air pensive et cherchant une question à lui poser. « sinon, dans ta famille ça se passe bien ? » Il est vrai que quand on s'épanoui dans quelque chose, c'est qu'il y a aussi quelque chose à extérioriser.
Enfin c'était une probabilité que Beck se faisait des gens, que parfois les personnes ont un certain besoin de trouver un exutoire qui leur permet d'oublier leur présent. Mais ce dernier n'en donnait aucunement l'impression. Elle restait calme, regardant toujours celui ci du coin de l'œil et se retourner face à lui, les mains dans le dos. Son carnet toujours dans la main, et son stylo de l'autre. « J'espère que je ne t'embête pas avec toutes mes questions... Les psychologues pour vous les jeunes, vous trouvez ça plutôt barbant. Ce sont tes parents qui t'ont poussé à venir ici ? Un professeur peut vous être ? »
Il existe bien entendu des professeurs bienveillants, elle en était certaines. Des élèves au bord du suicide suite au harcèlement ou problèmes familiaux, sont parfois aidé par chance par des humains qui feront en sorte qu'ils soient bien dans leur peau. Beck aurait aimé avoir cette chance.
« Alors je suis contente d'en apprendre davantage sur toi, Milan. Tu as l'air de quelqu'un de très investi, peu importe le domaine. C'est sympa de voir quelqu'un qui a cette facilité à s'exprimer. » toujours ce fin sourire sur son visage. La psychologue ignorait vraiment la venue de ce Milan car il avait tendance à ne montrer aucun soucis à résoudre. Mais en fin de compte, tout le monde a son passé et ses soucis. Elle ne savait pas qu'est-ce qu'elle pouvait poser comme question. Un grand passionné de basket, c'était plaisant à entendre. Alors là jeune femme venait à se lever de nouveau et à effectuer les cents pas. Regardant par la fenêtre, l'air pensive et cherchant une question à lui poser. « sinon, dans ta famille ça se passe bien ? » Il est vrai que quand on s'épanoui dans quelque chose, c'est qu'il y a aussi quelque chose à extérioriser.
Enfin c'était une probabilité que Beck se faisait des gens, que parfois les personnes ont un certain besoin de trouver un exutoire qui leur permet d'oublier leur présent. Mais ce dernier n'en donnait aucunement l'impression. Elle restait calme, regardant toujours celui ci du coin de l'œil et se retourner face à lui, les mains dans le dos. Son carnet toujours dans la main, et son stylo de l'autre. « J'espère que je ne t'embête pas avec toutes mes questions... Les psychologues pour vous les jeunes, vous trouvez ça plutôt barbant. Ce sont tes parents qui t'ont poussé à venir ici ? Un professeur peut vous être ? »
Il existe bien entendu des professeurs bienveillants, elle en était certaines. Des élèves au bord du suicide suite au harcèlement ou problèmes familiaux, sont parfois aidé par chance par des humains qui feront en sorte qu'ils soient bien dans leur peau. Beck aurait aimé avoir cette chance.
- Milan CrayA l'université ; 4è année■ Age : 32■ Messages : 2461■ Inscrit le : 16/07/2019■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 1, Appartement
❖ Arrivé(e) en : Avril 2015
A défaut de bien savoir ce que je fais ici (enfin, si, moi je sais, mais bon, tout le monde aura compris que ce n'est sûrement pas quelque chose que je peux aborder actuellement) la psy peut au moins passer un bon moment, ce qui me fait assez plaisir à entendre, c'est vrai. Quitte à lui prendre de son temps, autant que ce soit agréable pour elle ! Mais mon sourire joyeux, laisse bien vite place à une mine plus étonnée lorsqu'elle mentionne ma famille. Personne n'ignore que c'est compliqué (raison pour laquelle il m'a fallu autant travailler depuis que je suis à Kobe pour assurer tous les frais qu'engendre un tel établissement).
- "Hum, on ne peut pas dire que ma relation avec mes parents soit des plus classiques, mais, depuis cet été, on a réussi à se reparler. Ça faisait depuis que j'avais raté ma première année de médecine qu'on ne se parlait plus alors, je crois que ça va dans le bon sens. Enfin, c'est toujours compliqué de vraiment savoir avec mon père, mais, on ne se voit pas souvent non plus alors, je peux largement faire avec."
Non, évidemment que je ne vais pas balancer toute la vérité non plus. Personne ici ne la connait, ce n'est pas pour me confier stupidement de la sorte. Mais les quelques bribes que je peux accorder de temps en temps ne sont pas totalement fausses pour autant. Et puis, c'est vrai. Ça ne m'enchante clairement pas d'avoir à renouer contact avec ma famille, mais cela me permet au moins de ne plus avoir toutes ces dettes et mon banquier qui m'appelle tous les quatre matins.
Et je ne m'attendais pas non plus à ce qu'elle cherche subitement mon approbation face à ces questions. Est-ce que c'est vraiment barbant ? Aucune idée. Je sais bien que certains voient ça comme une tare d'aller voir un psychologue, mais il me semble que d'autres apprécient aussi ce petit moment un peu privilégié avec quelqu'un qui accepte de les écouter. En tout cas, si je n'allais réellement pas bien, je crois que la simple vue offerte me permettrait de retrouver facilement le sourire ! Mais ce n'est pas le sujet !!
- "Oh non, vous ne m'embêtez pas ! Personne ne m'a forcé à venir. A vrai dire, je crois que beaucoup seraient même étonnés de savoir que j'ai pu venir ici !"
Je laissé échapper un petit rire gêné avant de reprendre.
- "C'est vrai que, on me trouve souvent très sociable, et je n'ai pas trop de mal à m'intégrer dans n'importe quel groupe. Mais, ce n'est pas si simple non plus. J'ai beaucoup de potes un peu partout mais de vrais amis... C'est plus compliqué. Et je crois que je ne suis pas très doué pour les garder non plus. Alors, des fois, pouvoir juste parler librement, c'est agréable aussi."
Non, ce n'est sûrement pas la raison qui m'a poussé à venir dans ce bureau. Mais ce n'est pas si faux non plus. Oh, bien sûr que je suis encore parfaitement dans mon rôle d'étudiant cool qui attire facilement l'attention et la sympathie. Pourtant, je me sens étrangement à l'aise pour révéler ces petits tracas. Rien de gravissime en comparaison des cas qu'elle doit avoir l'habitude de voir, évidemment, mais je n'ai rien trouvé de mieux.
- "Hum, on ne peut pas dire que ma relation avec mes parents soit des plus classiques, mais, depuis cet été, on a réussi à se reparler. Ça faisait depuis que j'avais raté ma première année de médecine qu'on ne se parlait plus alors, je crois que ça va dans le bon sens. Enfin, c'est toujours compliqué de vraiment savoir avec mon père, mais, on ne se voit pas souvent non plus alors, je peux largement faire avec."
Non, évidemment que je ne vais pas balancer toute la vérité non plus. Personne ici ne la connait, ce n'est pas pour me confier stupidement de la sorte. Mais les quelques bribes que je peux accorder de temps en temps ne sont pas totalement fausses pour autant. Et puis, c'est vrai. Ça ne m'enchante clairement pas d'avoir à renouer contact avec ma famille, mais cela me permet au moins de ne plus avoir toutes ces dettes et mon banquier qui m'appelle tous les quatre matins.
Et je ne m'attendais pas non plus à ce qu'elle cherche subitement mon approbation face à ces questions. Est-ce que c'est vraiment barbant ? Aucune idée. Je sais bien que certains voient ça comme une tare d'aller voir un psychologue, mais il me semble que d'autres apprécient aussi ce petit moment un peu privilégié avec quelqu'un qui accepte de les écouter. En tout cas, si je n'allais réellement pas bien, je crois que la simple vue offerte me permettrait de retrouver facilement le sourire ! Mais ce n'est pas le sujet !!
- "Oh non, vous ne m'embêtez pas ! Personne ne m'a forcé à venir. A vrai dire, je crois que beaucoup seraient même étonnés de savoir que j'ai pu venir ici !"
Je laissé échapper un petit rire gêné avant de reprendre.
- "C'est vrai que, on me trouve souvent très sociable, et je n'ai pas trop de mal à m'intégrer dans n'importe quel groupe. Mais, ce n'est pas si simple non plus. J'ai beaucoup de potes un peu partout mais de vrais amis... C'est plus compliqué. Et je crois que je ne suis pas très doué pour les garder non plus. Alors, des fois, pouvoir juste parler librement, c'est agréable aussi."
Non, ce n'est sûrement pas la raison qui m'a poussé à venir dans ce bureau. Mais ce n'est pas si faux non plus. Oh, bien sûr que je suis encore parfaitement dans mon rôle d'étudiant cool qui attire facilement l'attention et la sympathie. Pourtant, je me sens étrangement à l'aise pour révéler ces petits tracas. Rien de gravissime en comparaison des cas qu'elle doit avoir l'habitude de voir, évidemment, mais je n'ai rien trouvé de mieux.
"Tired of being what you want me to be I don't know what you're expecting of me
Put under the pressure of walking in your shoes Every step that I take is another mistake to you"
Linkin Park - Numb
Milan parle en japonais :#cc3333
Milan baragouine comme il peut en anglais avec un très fort accent : #cc6600
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- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 28■ Messages : 699■ Inscrit le : 13/02/2023
Mon personnage
❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2017
Un élève... Dur d'être un scientifique.
Beck écoutait attentivement son client, du moins son élève. La jeune femme se remit à gribouiller sur son carnet, des notes qui avaient plus ou moins le rapport entre eux. Elle imaginait bien que de venir dans un bureau et parler de ces problèmes n'était pas chose facile. Elle était compréhensive, voir même admirative des personnes qui passaient la porte de son bureau. Beck avait subi du harcèlement concernant son physique, parfois les harceleurs ne s'acharnent pas forcément sur une personne pour son aspect extérieur, mais juste parce que c'est fun d'avoir le dessus. Ces yeux bruns fixait Milan qui avait l'air sûr de lui, mais c'était peut-être une façade et rien de plus. La psychologie est très difficile à cerner, surtout quand les personnes jouent avec les apparences.
« Je vois. Ce n'est pas vraiment facile d'entretenir une bonne relation avec ces paternels. Mais le principal, c'est que vous avez repris le contact. Tant qu'ils ne sont pas toxiques à votre égard. » Être en famille est quelque chose de compliqué, dès fois il est plus important de couper les ponts et de d'exclure de soit-même. Mais la jeune femme n'allait pas conseiller cela a l'adolescent. Elle allait attendre d'approfondir un peu plus la chose avec ce dernier et en connaître davantage sur son passé.
La psychologue n'allait pas tirer des conclusions trop hâtives. Elle tenait son carnet tout en fixant son interlocuteur et écoutait toujours le récit de celui-ci. Elle ne voulait pas barber Milan avec toutes ces questions, mais c'était le travail d'un psychologue au final. En connaître mieux, afin de pourvoir régler le problème de ce dernier. « Pourquoi serait t'ils étonnés de vous voir ici ? Être chez le psychologue est un exploit ? Une honte ? » Elle eut un petit rire étouffé en parlant à l'adolescent. Certains ne veulent pas reconnaître qu'ils sont dans le mal, mais après ils finissent par commettre l'irréparable car ils pensaient s'en sortir seuls. S'engouffrer dans les abysses du mensonge, en faisant croire que tout va bien à ces proches. C'est triste, mais c'est malheureux.
Tenter de mettre en confiance Milan était une mission pour la psychologue, voir un défis. « J'ai l'impression que le sujet de vos parents, est un de vos tracas et de vos tourments... Je me trompe ? » Beck marquera une pause, tout en jetant un œil par la fenêtre et revenir à son interlocuteur. Elle trouvait le blondinet intéressant.
« Je vois. Ce n'est pas vraiment facile d'entretenir une bonne relation avec ces paternels. Mais le principal, c'est que vous avez repris le contact. Tant qu'ils ne sont pas toxiques à votre égard. » Être en famille est quelque chose de compliqué, dès fois il est plus important de couper les ponts et de d'exclure de soit-même. Mais la jeune femme n'allait pas conseiller cela a l'adolescent. Elle allait attendre d'approfondir un peu plus la chose avec ce dernier et en connaître davantage sur son passé.
La psychologue n'allait pas tirer des conclusions trop hâtives. Elle tenait son carnet tout en fixant son interlocuteur et écoutait toujours le récit de celui-ci. Elle ne voulait pas barber Milan avec toutes ces questions, mais c'était le travail d'un psychologue au final. En connaître mieux, afin de pourvoir régler le problème de ce dernier. « Pourquoi serait t'ils étonnés de vous voir ici ? Être chez le psychologue est un exploit ? Une honte ? » Elle eut un petit rire étouffé en parlant à l'adolescent. Certains ne veulent pas reconnaître qu'ils sont dans le mal, mais après ils finissent par commettre l'irréparable car ils pensaient s'en sortir seuls. S'engouffrer dans les abysses du mensonge, en faisant croire que tout va bien à ces proches. C'est triste, mais c'est malheureux.
Tenter de mettre en confiance Milan était une mission pour la psychologue, voir un défis. « J'ai l'impression que le sujet de vos parents, est un de vos tracas et de vos tourments... Je me trompe ? » Beck marquera une pause, tout en jetant un œil par la fenêtre et revenir à son interlocuteur. Elle trouvait le blondinet intéressant.
- Milan CrayA l'université ; 4è année■ Age : 32■ Messages : 2461■ Inscrit le : 16/07/2019■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 1, Appartement
❖ Arrivé(e) en : Avril 2015
Je hoche légèrement la tête à la remarque de la psychologue sur mes parents. Toxiques, je pense que le mot est faible pour qualifier l'influence qu'ils ont pu avoir sur mon état général tout le temps où j'ai vécu chez eux, mais je n'ai aucune envie de m'étendre sur le sujet. C'est derrière moi. Et nos échanges qui sont désormais séparés par des centaines de kilomètres sont très largement suffisants. Je peux faire avec.
En revanche, je suis bien plus étonné sur sa question suivante. Pourquoi est-ce qu'ils seraient étonnés de ma présence dans ce bureau ?
- "Oh, non, je ne pensais pas à ce genre de chose ! Seulement, je crois que je n'ai pas vraiment le profil du genre de personne que l'on retrouve dans un cabinet de psychologie. Ce n'est pas comme si j'étais dépressif, ou, que j'avais des difficultés particulières."
Et bon, il faut bien admettre que si on ne m'avait jamais parlé du physique de celle qui exerce désormais ce rôle au sein de l'établissement, il est fort probable que jamais je n'aurais poussé cette porte.
Alors forcément, lorsque le sujet de ma famille revient, je ne suis pas bien sûr de la façon dont je dois l'aborder. Après tout, ce n'est un secret pour personne que ma relation avec mes parents est particulièrement houleuse. Je prends quelques secondes pour répondre, commençant par chercher l'inspiration dans la contemplation de mes chaussures.
- "C'est un peu compliqué comme question."
Pourtant, un simple non résumerait parfaitement la situation.
- "J'ai passé plusieurs années sans leur adresser le moindre mot à jouer les morts pour m'assurer qu'ils ne cherchent pas à me joindre. Et, ça m'a fait du bien. Vraiment. Mais, il faut aussi admettre que la vie d'étudiant sans le moindre support, ça devient vite compliqué. Alors cet été, quand ils ont essayé de reprendre contact, j'ai accepté. Depuis, ils me donnent un peu d'argent et c'est tout de suite bien plus simple. Sauf que... Je redoute toujours chacun de leurs appels, et j'ai l'impression que je n'ai plus vraiment le droit de refaire le même coup à disparaitre très loin."
Bien sûr, l'une des variables que j'omets volontairement est que je n'ai seulement pas le choix. Tout comme on ne m'a pas demandé mon avis cet été avant de ramener à Sendai pour leur faire face. Ouais, je crois que j'en veux toujours un peu à Akira pour ce coup là, même si je sais très bien qu'elle n'y est pour rien.
En revanche, je suis bien plus étonné sur sa question suivante. Pourquoi est-ce qu'ils seraient étonnés de ma présence dans ce bureau ?
- "Oh, non, je ne pensais pas à ce genre de chose ! Seulement, je crois que je n'ai pas vraiment le profil du genre de personne que l'on retrouve dans un cabinet de psychologie. Ce n'est pas comme si j'étais dépressif, ou, que j'avais des difficultés particulières."
Et bon, il faut bien admettre que si on ne m'avait jamais parlé du physique de celle qui exerce désormais ce rôle au sein de l'établissement, il est fort probable que jamais je n'aurais poussé cette porte.
Alors forcément, lorsque le sujet de ma famille revient, je ne suis pas bien sûr de la façon dont je dois l'aborder. Après tout, ce n'est un secret pour personne que ma relation avec mes parents est particulièrement houleuse. Je prends quelques secondes pour répondre, commençant par chercher l'inspiration dans la contemplation de mes chaussures.
- "C'est un peu compliqué comme question."
Pourtant, un simple non résumerait parfaitement la situation.
- "J'ai passé plusieurs années sans leur adresser le moindre mot à jouer les morts pour m'assurer qu'ils ne cherchent pas à me joindre. Et, ça m'a fait du bien. Vraiment. Mais, il faut aussi admettre que la vie d'étudiant sans le moindre support, ça devient vite compliqué. Alors cet été, quand ils ont essayé de reprendre contact, j'ai accepté. Depuis, ils me donnent un peu d'argent et c'est tout de suite bien plus simple. Sauf que... Je redoute toujours chacun de leurs appels, et j'ai l'impression que je n'ai plus vraiment le droit de refaire le même coup à disparaitre très loin."
Bien sûr, l'une des variables que j'omets volontairement est que je n'ai seulement pas le choix. Tout comme on ne m'a pas demandé mon avis cet été avant de ramener à Sendai pour leur faire face. Ouais, je crois que j'en veux toujours un peu à Akira pour ce coup là, même si je sais très bien qu'elle n'y est pour rien.
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Milan parle en japonais :#cc3333
Milan baragouine comme il peut en anglais avec un très fort accent : #cc6600
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- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 28■ Messages : 699■ Inscrit le : 13/02/2023
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❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2017
Un élève... Dur d'être un scientifique.
Ah, la relation entre parents et enfants. Il est parfois compliqué de devoir s'entendre même avec sa propre famille ! On a beau essayer de faire des efforts, il est bien compliqué voir complexe. La jeune femme vint a grimacer légèrement quand elle entendit cette reprise de contact, mais qui n'était pas vraiment désiré. Comme ci Milan avait été forcé ou contraint. C'est triste. Elle ne voulait pas paraître intrusive dans la vie du blondinet, mais la psychologue était contente de voir qu'il donnait un peu plus de détails sur lui. « En tout cas, je n'ai pas l'impression que renouer des liens avec vos paternels est désiré ? Comme ci vous êtes menotté car ces derniers vous donne de l'argent afin de poursuivre vos études... » Beck posait cette question de façon légère sans vouloir offenser le garçon. C'est une situation délicate tout de même.
Beck gribouillait sur son cahier de note en regardant de temps à autre l'homme. La jeune femme se remémore les souvenirs de ses parents, ils n'ont pas joué un rôle majeur dans sa vie mais la vie est étrange parfois. Comme on dit, on choisit ces amis et pas ses parents. Elle se souvenait de ses tartines chaudes qui sortaient du grille pain et des œufs brouillés préparé avec soin. Même si cela a l' air beau, quand elle était adolescente, elle a vécu du harcèlement de la part de ses camarades de l'époque.
« Après, ne vous sentez pas redevable de vos parents. Peut-être qu'après, d'ici quelques mois ou années vous exploserez car vous êtes touiors sur cette défensive lorsque le téléphone sonnera... C'est un peu difficile d'être main et pied liés sans savoir quoi faire. Enfin... Vous seul savez ce qui est bon pour vous... » La psychologue ne voulait pas paraître comme un gourou ou une manipulatrice aux yeux de Milan. Mais elle tentait d'avoir un discours juste auprès de l'adolescent qui semble perdre l'assurance qu'il avait en rentrant dans le bureau.
L'attitude de Milan n'était pas étonnante. Elle ne faisait que constater son comportement et beaucoup de patient adopte la première attitude que le blond a prit en passant la porte et peu à peu, le masque tombe. Comme ci, la population d'aujourd'hui porte un masque car les temps sont difficile. Il ne fait pas laisser paraître ses émotions car sinon les gens en profitent et nous sommes malheureusement une brebis parmi les loups.
C'est triste, mais aujourd'hui il faut vivre avec ce genre de sensation. Toujours cette impression d'être jugé, de tout le temps devoir se justifier auprès des autres ou ce que nous faisons n'est pas suffisant. « J'espère que pour vous, vous trouverez un équilibre avec vos parents. Et que vous tenterez d'avoir confiance et de dire ce que vous avez sur le cœur. Il faut. Être honnête est la clé ! » Elle affichera un petite sourire à Milan comme pour le rassurer. Ce jeune homme était attendrissant, intéressant et il avait l'air d'avoir de la volonté. Elle tenait son crayon de note dans sa main et son carnet qu'elle gardait fermé, sur ses genoux. L'heure passait à une vitesse folle, mais ce n'était pas encore l'aboutissement de la séance pour le moment. La jeune femme s'en fichait des minutes. Elle voulait aider l'adolescent, même si il était loin d'être dépressif. Mais il avait l'air de s'être fait à la situation.
Beck gribouillait sur son cahier de note en regardant de temps à autre l'homme. La jeune femme se remémore les souvenirs de ses parents, ils n'ont pas joué un rôle majeur dans sa vie mais la vie est étrange parfois. Comme on dit, on choisit ces amis et pas ses parents. Elle se souvenait de ses tartines chaudes qui sortaient du grille pain et des œufs brouillés préparé avec soin. Même si cela a l' air beau, quand elle était adolescente, elle a vécu du harcèlement de la part de ses camarades de l'époque.
« Après, ne vous sentez pas redevable de vos parents. Peut-être qu'après, d'ici quelques mois ou années vous exploserez car vous êtes touiors sur cette défensive lorsque le téléphone sonnera... C'est un peu difficile d'être main et pied liés sans savoir quoi faire. Enfin... Vous seul savez ce qui est bon pour vous... » La psychologue ne voulait pas paraître comme un gourou ou une manipulatrice aux yeux de Milan. Mais elle tentait d'avoir un discours juste auprès de l'adolescent qui semble perdre l'assurance qu'il avait en rentrant dans le bureau.
L'attitude de Milan n'était pas étonnante. Elle ne faisait que constater son comportement et beaucoup de patient adopte la première attitude que le blond a prit en passant la porte et peu à peu, le masque tombe. Comme ci, la population d'aujourd'hui porte un masque car les temps sont difficile. Il ne fait pas laisser paraître ses émotions car sinon les gens en profitent et nous sommes malheureusement une brebis parmi les loups.
C'est triste, mais aujourd'hui il faut vivre avec ce genre de sensation. Toujours cette impression d'être jugé, de tout le temps devoir se justifier auprès des autres ou ce que nous faisons n'est pas suffisant. « J'espère que pour vous, vous trouverez un équilibre avec vos parents. Et que vous tenterez d'avoir confiance et de dire ce que vous avez sur le cœur. Il faut. Être honnête est la clé ! » Elle affichera un petite sourire à Milan comme pour le rassurer. Ce jeune homme était attendrissant, intéressant et il avait l'air d'avoir de la volonté. Elle tenait son crayon de note dans sa main et son carnet qu'elle gardait fermé, sur ses genoux. L'heure passait à une vitesse folle, mais ce n'était pas encore l'aboutissement de la séance pour le moment. La jeune femme s'en fichait des minutes. Elle voulait aider l'adolescent, même si il était loin d'être dépressif. Mais il avait l'air de s'être fait à la situation.
- Milan CrayA l'université ; 4è année■ Age : 32■ Messages : 2461■ Inscrit le : 16/07/2019■ Mes clubs :
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❖ Âge : 22 ans
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❖ Arrivé(e) en : Avril 2015
Je laisse à nouveau apparaitre un sourire un peu crispé à la mention de ma relation avec mes parents. C'est vrai. Plus ou moins. Enfin, mon frère a mis tellement de temps pour me retrouver que je ne pourrais de toute façon pas disparaitre à nouveau si facilement. Alors, pouvoir négocier un peu de fric en échange était encore la solution la moins pénible. Oui bon, du coup le vrai problème ce n'est pas (plus) tant mon père mais, eh bien, personne n'est au courant que je puisse avoir un frère alors...
- "Ca ne me fait pas spécialement plaisir, c'est vrai. Mais, il faut parfois faire des choix qui ne sont pas agréables pour avancer. Du moins, c'est ce que j'ai appris. Et de toute façon, je suis sur la fin de mes études maintenant."
A condition d'avoir réellement le choix. Mais même si c'est étrangement plus facile de parler à une parfaite inconnue (qui est tenue au secret de par son métier) qu'à n'importe qui d'autre, je ne suis clairement pas prêt pour ce qui est d'évoquer le vrai fond du problème. Alors c'est un petit rire qui m'échappe par la suite.
- "Je ne suis pas vraiment sûr de savoir. Nos échanges se content actuellement du minimum et c'est déjà bien largement suffisant. J'essaie de garder de petits objectifs à côté et de profiter de ce dont je peux. Même si ça ne règle sûrement pas le problème, eh bien, ça le rend déjà plus supportable."
De toute façon, il est évident que je suis bien plus doué pour créer et m'embourber dans les problèmes que pour les démêler. Me voiler la face et avancer tranquillement au milieu des champs de mine que j'ai créé est sûrement mon principal atout dans tout ça.
- "Je vous remercie. Je ne sais pas si j'y arriverai mais, ça vaut toujours le coup d'essayer."
On ne peut pas dire que les quelques fois où je me suis essayé à l'honnêteté ça ait été un franc succès. Au contraire. Et avec ma famille... Il n'y a qu'à voir dans quel état je suis revenu à Sendai en septembre... Ils ne connaissent que la violence comme réponse à tout soucis alors, ça ne donne pas franchement envie.
- "Et... Vous ? Ca ne vous embête pas trop d'entendre tout le monde vous raconter leurs problèmes à longueur de journée ?"
Parce que si elle s'inquiète de savoir si elle ne m'ennuie pas, je peux tout à fait me poser la même question.
- "Ca ne me fait pas spécialement plaisir, c'est vrai. Mais, il faut parfois faire des choix qui ne sont pas agréables pour avancer. Du moins, c'est ce que j'ai appris. Et de toute façon, je suis sur la fin de mes études maintenant."
A condition d'avoir réellement le choix. Mais même si c'est étrangement plus facile de parler à une parfaite inconnue (qui est tenue au secret de par son métier) qu'à n'importe qui d'autre, je ne suis clairement pas prêt pour ce qui est d'évoquer le vrai fond du problème. Alors c'est un petit rire qui m'échappe par la suite.
- "Je ne suis pas vraiment sûr de savoir. Nos échanges se content actuellement du minimum et c'est déjà bien largement suffisant. J'essaie de garder de petits objectifs à côté et de profiter de ce dont je peux. Même si ça ne règle sûrement pas le problème, eh bien, ça le rend déjà plus supportable."
De toute façon, il est évident que je suis bien plus doué pour créer et m'embourber dans les problèmes que pour les démêler. Me voiler la face et avancer tranquillement au milieu des champs de mine que j'ai créé est sûrement mon principal atout dans tout ça.
- "Je vous remercie. Je ne sais pas si j'y arriverai mais, ça vaut toujours le coup d'essayer."
On ne peut pas dire que les quelques fois où je me suis essayé à l'honnêteté ça ait été un franc succès. Au contraire. Et avec ma famille... Il n'y a qu'à voir dans quel état je suis revenu à Sendai en septembre... Ils ne connaissent que la violence comme réponse à tout soucis alors, ça ne donne pas franchement envie.
- "Et... Vous ? Ca ne vous embête pas trop d'entendre tout le monde vous raconter leurs problèmes à longueur de journée ?"
Parce que si elle s'inquiète de savoir si elle ne m'ennuie pas, je peux tout à fait me poser la même question.
"Tired of being what you want me to be I don't know what you're expecting of me
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❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2017
Un élève... Dur d'être un scientifique.
Milan avait l'air tout de même dépassé de la situation. Cela en était presque inquiétant, mais la jeune femme restait toujours attentive à ce que celui-ci dirait. Des parents qui ont l'air tout de même d'avoir de l'emprise sur lui et que ce dernier attend de finir ses études. Il est vrai que cela peut être une tactique pour pouvoir échapper à ses bourreaux, mais au final est-ce que l'on ment pas tout simplement à nos proches ? Parce qu'en soit, on peut dire que tout va bien et puis jusqu'au jour où nous n'avons plus besoin d'eux, nous les laissons tomber. Comme de vulgaires objets que l'on s'est servi ou un mouchoir en papier que l'on jette à la poubelle. Parfois la vie est difficile et il faut être bien plus malin que les autres. La vie est remplie malheureusement de requins. Elle tenait toujours entre ses mains le bloc note qui lui servait à noter quelques détails, quelques mots que pouvait évoquer le jeune homme pour se remémorer la chose lors d'une prochaine séance. Enfin, s'il y en a une.
" Je vois... Il est bien évident que vous terminerez vos études et après cela en est terminé de vous sentir attaché par vos parents à cause de cet aspect financier. Beaucoup d'étudiants font des petits boulots afin de pouvoir subvenir à leur besoin et payer leurs études. Mais, dans cet établissement il me semble que les élèves on quand même quelques moyens..." La psychologue analysait tous les mots que Milan pouvait exprimer dans sa détresse, mais bon son calvaire est bientôt terminé. Peut être que de parler à Beck était plus facile qu'à un pote de sa classe ou sa propre famille. La brune voulait aider son interlocuteur, rien qu'à se libérer et pouvoir parler. De pouvoir s'enlever tout ce poids qu'il a sur ces épaules. Le basket, le sport est une évasion pour lui et qui lui sert d'échappatoire. Beaucoup de personnes font le nécessaire pour essayer d'oublier leur problèmes sans passer forcément par un traitement médicamenteux.
Comme dit auparavant, il fallait être honnête avec ses parents et encore plus avec des personnes qui nous sont chers. Nous ne choisissons pas notre famille, mais nos amis c'est certain. Les jambes croisés et décroiser quelques secondes après prouvait une instabilité de la part de la psychologue. Elle n'était pas instable psychologiquement, mais elle était quand même assez mal à l'aise pour le jeune Milan qui voulait apparemment s'en sortir. C'était plutôt bien ! " Vous ne me dérangez pas du tout, et puis c'est mon travail de pouvoir être une écoute pour mes patients. Ils ont ce besoin de se confier afin de pouvoir libérer toute cette souffrance qu'ils ont enfouis au fond d'eux. C'est vrai que c'est quelque chose de difficile à croire, mais parler cela fait un bien fou ! Beck se souvenait de ses séances avec les psychologues et qui ont bien tenté de l'aider. Aujourd'hui, elle se sent plus forte et se sent mieux dans sa peau. La confiance en elle n'est pas encore acquise mais c'est en cours de route. Les blessures à l'intérieur sont souvent celle qui sont le plus compliqué à soigner.
" Je vois... Il est bien évident que vous terminerez vos études et après cela en est terminé de vous sentir attaché par vos parents à cause de cet aspect financier. Beaucoup d'étudiants font des petits boulots afin de pouvoir subvenir à leur besoin et payer leurs études. Mais, dans cet établissement il me semble que les élèves on quand même quelques moyens..." La psychologue analysait tous les mots que Milan pouvait exprimer dans sa détresse, mais bon son calvaire est bientôt terminé. Peut être que de parler à Beck était plus facile qu'à un pote de sa classe ou sa propre famille. La brune voulait aider son interlocuteur, rien qu'à se libérer et pouvoir parler. De pouvoir s'enlever tout ce poids qu'il a sur ces épaules. Le basket, le sport est une évasion pour lui et qui lui sert d'échappatoire. Beaucoup de personnes font le nécessaire pour essayer d'oublier leur problèmes sans passer forcément par un traitement médicamenteux.
Comme dit auparavant, il fallait être honnête avec ses parents et encore plus avec des personnes qui nous sont chers. Nous ne choisissons pas notre famille, mais nos amis c'est certain. Les jambes croisés et décroiser quelques secondes après prouvait une instabilité de la part de la psychologue. Elle n'était pas instable psychologiquement, mais elle était quand même assez mal à l'aise pour le jeune Milan qui voulait apparemment s'en sortir. C'était plutôt bien ! " Vous ne me dérangez pas du tout, et puis c'est mon travail de pouvoir être une écoute pour mes patients. Ils ont ce besoin de se confier afin de pouvoir libérer toute cette souffrance qu'ils ont enfouis au fond d'eux. C'est vrai que c'est quelque chose de difficile à croire, mais parler cela fait un bien fou ! Beck se souvenait de ses séances avec les psychologues et qui ont bien tenté de l'aider. Aujourd'hui, elle se sent plus forte et se sent mieux dans sa peau. La confiance en elle n'est pas encore acquise mais c'est en cours de route. Les blessures à l'intérieur sont souvent celle qui sont le plus compliqué à soigner.
- Milan CrayA l'université ; 4è année■ Age : 32■ Messages : 2461■ Inscrit le : 16/07/2019■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 1, Appartement
❖ Arrivé(e) en : Avril 2015
Ah ça, les petits boulots, on ne peut pas dire que je ne connais pas. Et de passer d'un statut privilégié, à pouvoir puiser dans un compte en banque quasi illimité, ne jamais avoir eu à faire la moindre tâche ingrate ; à celui où je ne sais même pas comment faire pour me payer un repas par jour, ça a été particulièrement compliqué. Je ne souhaite à personne d'avoir à vivre ce que j'ai vécu quand je suis arrivé à Kobe. Même si ça a largement contribué à me faire prendre conscience de ce qu'est réellement la vie, je crois que s'il n'y avait pas eu Chandini à cette époque, qui s'occupait de moi en s'assurant que j'ai de quoi survivre, je ne serai sûrement pas là à terminer tranquillement mes études.
- "J'ai passé deux ans et demi à enchainer les baito, mais pour gagner de quoi vivre correctement tout en payant les frais d'inscription de l'école chaque année, ça me demandait vraiment beaucoup d'heures. A cette époque là, c'était difficile de suivre en classe. Je ne sais même pas comment j'ai fais pour valider tous mes examens."
Parce que mes notes étaient vraiment plus que limites. Alors oui, bien sûr que d'avoir l'occasion de retrouver un niveau de vie décent, je ne vais pas cracher dessus. D'autant plus que même si je refusais, ce n'est pas ce qui empêcherait mon frère de continuer à m'imposer ses choix sans que je n'ai mon mot à dire.
- "Mais, je sais aussi que pour espérer trouver un emploi qui me plaise derrière, je ne peux pas me contenter des petites universités sans renommée malgré des frais d'inscription plus faibles. Je sais faire des concessions lorsqu'il le faut."
Au détriment de mon nombre d'heures de sommeil, bien sûr.
Mais bien sûr, j'ai beau avoir conscience que quand on va dans le bureau d'un psy c'est pour parler de soi eh bien.... Je n'ai pas trop l'habitude d'être dans cette position. Habituellement, je suis plutôt celui qui pose les questions. Et lorsque mon interlocuteur se montre bavard et s'intéresse à moi en retour, on trouve généralement une certaine stabilité sur notre curiosité mutuelle. Là... Ca fait un moment que je ne parle que de moi, et je me sens comme obligé de m'intéresser à la femme face à moi. Quoi que, obligé n'est sûrement pas le bon terme. Non, parce que ça m'intéresse réellement.
- "Ahah oui, c'est vrai, c'est votre travail. Mais... Qu'est-ce qui vous a poussé à vous orienter dans cette voie ? Ca ne doit pas être évident d'entendre des gens se plaindre ou parler de leurs problèmes à longueur de journée !"
Je me suis toujours dit que ça devait être particulièrement difficile pour le moral.
- "J'ai passé deux ans et demi à enchainer les baito, mais pour gagner de quoi vivre correctement tout en payant les frais d'inscription de l'école chaque année, ça me demandait vraiment beaucoup d'heures. A cette époque là, c'était difficile de suivre en classe. Je ne sais même pas comment j'ai fais pour valider tous mes examens."
Parce que mes notes étaient vraiment plus que limites. Alors oui, bien sûr que d'avoir l'occasion de retrouver un niveau de vie décent, je ne vais pas cracher dessus. D'autant plus que même si je refusais, ce n'est pas ce qui empêcherait mon frère de continuer à m'imposer ses choix sans que je n'ai mon mot à dire.
- "Mais, je sais aussi que pour espérer trouver un emploi qui me plaise derrière, je ne peux pas me contenter des petites universités sans renommée malgré des frais d'inscription plus faibles. Je sais faire des concessions lorsqu'il le faut."
Au détriment de mon nombre d'heures de sommeil, bien sûr.
Mais bien sûr, j'ai beau avoir conscience que quand on va dans le bureau d'un psy c'est pour parler de soi eh bien.... Je n'ai pas trop l'habitude d'être dans cette position. Habituellement, je suis plutôt celui qui pose les questions. Et lorsque mon interlocuteur se montre bavard et s'intéresse à moi en retour, on trouve généralement une certaine stabilité sur notre curiosité mutuelle. Là... Ca fait un moment que je ne parle que de moi, et je me sens comme obligé de m'intéresser à la femme face à moi. Quoi que, obligé n'est sûrement pas le bon terme. Non, parce que ça m'intéresse réellement.
- "Ahah oui, c'est vrai, c'est votre travail. Mais... Qu'est-ce qui vous a poussé à vous orienter dans cette voie ? Ca ne doit pas être évident d'entendre des gens se plaindre ou parler de leurs problèmes à longueur de journée !"
Je me suis toujours dit que ça devait être particulièrement difficile pour le moral.
"Tired of being what you want me to be I don't know what you're expecting of me
Put under the pressure of walking in your shoes Every step that I take is another mistake to you"
Linkin Park - Numb
Milan parle en japonais :#cc3333
Milan baragouine comme il peut en anglais avec un très fort accent : #cc6600
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- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 28■ Messages : 699■ Inscrit le : 13/02/2023
Mon personnage
❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2017
Un élève... Dur d'être un scientifique.
Enchaîner plusieurs travails pour pouvoir subvenir à ses besoins, cela était chose difficile mais la psychologue comprenait. Ses parents avaient eu de l'argent de côté, ce qui lui permettait de pouvoir faire ses études tranquillement en psychologie ce qui n'est pas la chance de tout le monde. Mais pour pouvoir quand même apporter sa pierre à l'édifice, Beck travaillait en tant que serveuse le temps de soirées dans un bar pour récolter un peu d'argent et aider ses géniteurs. Ce n'était pas chose facile, mais Beck s'accrochait en même temps pour pouvoir suivre ses cours et ses études malgré que la fatigue commençait à prendre le dessus. Beck fait parti de ses personnes qui ont besoin d'un certain lapse de temps de sommeil, s'il n'est pas respecté, la jeune femme va se traîner comme un boulet toute la journée et avoir envie de somnoler tout simplement.
" Pour décrocher vos examens vous vous êtes accroché et vous n'avez rien lâché. Vous êtes quelqu'un de combatif et puis vous savez, ce n'est pas évident de faire les études que vous faites actuellement ! J'imagine que cela ne vous permets pas trop de profiter tout de même de votre vie... Les études sont quelque chose de prenant ! " Beck soupirait quelques instants, elle savait un peu de quoi elle parlait car pour devenir psychologue, il ne suffisait pas d'avoir un simple diplôme, mais valider plusieurs examens sur plusieurs années. Tout ce temps est un investissement dans la vie de tous les jours. Les notes faut qu'elles suivent et il y a aussi la pression des parents derrière qui fait que nous sommes stressés tout le temps pour notre réussite, après ce qui est logique que les parents soient derrière nous.
" Faire des études demande bon nombre de sacrifice tout de même, enfin je pense que savez de quoi je parle." On a beau faire ce que l'on veut, mais nous ne sommes pas tous égaux au niveau de la compréhension et de l'apprentissage. Certains vont potasser des heures et des heures durant afin d'obtenir des résultats convenable. D'autres vont juste regarder leur cahier une heure ou deux, faire des fiches puis c'est parti. Le cerveau est souvent capricieux et suivant la matière, un élève y trouvera plus ou moins d'intérêt, ce qui est logique. Ce qui fait des personnes, des individus totalement différents ! Milan vint à poser une question qui revenait très souvent dans ce bureau. La curiosité de savoir pourquoi la psychologie était quelque chose qui la passionnait ou pourquoi passer son temps à écouter les jérémiades des gens, les problèmes.
" C'est vrai que cela peut paraître bizarre, mais étant une ancienne harcelée, j'aurais aimé que quelqu'un m'aide comme la fait ma psy' de l'époque ! C'était une chouette personne, elle m'a donné envie de faire ce métier. J'étais encore jeune ! J'aurais pu faire institutrice ou n'importe quel métier, mais c'est ce domaine qui me plaisait !"" Beck marqua une pause tout en regardant son interlocuteur. Elle parlait avec beaucoup de passion de son métier, elle ne pouvait s'en empêcher et on ne pouvait pas dire que la jeune femme faisait cela pour l'argent car sinon elle aurait continué dans le privé, à aider des particuliers. Mais la psychologue a choisi le milieu scolaire et c'est vrai que c'est un endroit plutôt sensible. " Ce que je peux rajouter aussi, c'est que c'est pas du tout fatiguant d'écouter les personnes bien au contraire, je me sens utile afin de pouvoir les aider sur ce que j'ai appris et, mon expérience de la vie bien que je reste encore jeune. J'ai encore un tas de chose à apprendre, je ne suis pas parfaite !"
" Pour décrocher vos examens vous vous êtes accroché et vous n'avez rien lâché. Vous êtes quelqu'un de combatif et puis vous savez, ce n'est pas évident de faire les études que vous faites actuellement ! J'imagine que cela ne vous permets pas trop de profiter tout de même de votre vie... Les études sont quelque chose de prenant ! " Beck soupirait quelques instants, elle savait un peu de quoi elle parlait car pour devenir psychologue, il ne suffisait pas d'avoir un simple diplôme, mais valider plusieurs examens sur plusieurs années. Tout ce temps est un investissement dans la vie de tous les jours. Les notes faut qu'elles suivent et il y a aussi la pression des parents derrière qui fait que nous sommes stressés tout le temps pour notre réussite, après ce qui est logique que les parents soient derrière nous.
" Faire des études demande bon nombre de sacrifice tout de même, enfin je pense que savez de quoi je parle." On a beau faire ce que l'on veut, mais nous ne sommes pas tous égaux au niveau de la compréhension et de l'apprentissage. Certains vont potasser des heures et des heures durant afin d'obtenir des résultats convenable. D'autres vont juste regarder leur cahier une heure ou deux, faire des fiches puis c'est parti. Le cerveau est souvent capricieux et suivant la matière, un élève y trouvera plus ou moins d'intérêt, ce qui est logique. Ce qui fait des personnes, des individus totalement différents ! Milan vint à poser une question qui revenait très souvent dans ce bureau. La curiosité de savoir pourquoi la psychologie était quelque chose qui la passionnait ou pourquoi passer son temps à écouter les jérémiades des gens, les problèmes.
" C'est vrai que cela peut paraître bizarre, mais étant une ancienne harcelée, j'aurais aimé que quelqu'un m'aide comme la fait ma psy' de l'époque ! C'était une chouette personne, elle m'a donné envie de faire ce métier. J'étais encore jeune ! J'aurais pu faire institutrice ou n'importe quel métier, mais c'est ce domaine qui me plaisait !"" Beck marqua une pause tout en regardant son interlocuteur. Elle parlait avec beaucoup de passion de son métier, elle ne pouvait s'en empêcher et on ne pouvait pas dire que la jeune femme faisait cela pour l'argent car sinon elle aurait continué dans le privé, à aider des particuliers. Mais la psychologue a choisi le milieu scolaire et c'est vrai que c'est un endroit plutôt sensible. " Ce que je peux rajouter aussi, c'est que c'est pas du tout fatiguant d'écouter les personnes bien au contraire, je me sens utile afin de pouvoir les aider sur ce que j'ai appris et, mon expérience de la vie bien que je reste encore jeune. J'ai encore un tas de chose à apprendre, je ne suis pas parfaite !"
- Milan CrayA l'université ; 4è année■ Age : 32■ Messages : 2461■ Inscrit le : 16/07/2019■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 1, Appartement
❖ Arrivé(e) en : Avril 2015
Je dois admettre que c'est plutôt plaisant de discuter avec la psychologue (et pas uniquement en raison de son physique particulièrement avantageux). De l'entendre pointer toutes ces choses positives, même si je ne les sens parfois pas toutes justifiées, voir même un peu trop habillées, eh bien mine de rien, c'est super motivant. On ne peut pas dire que j'ai une confiance en moi particulièrement élevée (malgré les apparences) alors, oui, ça me fait plaisir de l'entendre pointer ces quelques réussites malgré des conditions qui ont été très compliquées.
- "C'est vrai que ce n'est pas tous les jours faciles, mais je sais pourquoi je suis ici, la motivation pour l'avenir m'aide souvent à avancer."
Même si j'aime énormément l'ambiance qu'il peut y avoir au sein de l'université, je ne serai clairement pas ici à galérer tous les jours pour me payer à manger. Ou plutôt à réclamer régulièrement à mon père un peu plus d'argent...
Alors bien sûr, comme je la trouve sympa eh bien, moi aussi j'ai envie d'en savoir plus ! Et je dois bien admettre que je ne m'attendais pas à une telle réponse ! Ouah, c'est vrai que c'est assez fort et d'un coup je me sens super mal pour elle. Être harcelée, ça doit être tellement difficile à vivre. Surtout dans le milieu scolaire, qui est l'endroit qui est censé nous permettre de se construire et de construire son avenir.
- "Oh, oui, en effet, ça ne devait pas être facile..."
Je crois que j'ai toujours été un peu trop empathique, alors ce qu'elle raconte me touche forcément beaucoup. Tout comme je ne peux pas m'empêcher de l'admirer un peu aussi. Si tout le monde était capable de s'écouter un peu plus honnêtement, au lieu de se concentrer sur ses propres problèmes, la communication serait probablement bien plus simple.
- "Je comprends. J'aimerais pouvoir aider les autres aussi plus tard, et c'est pour ça que je m'accroche ! En tout cas, même si vous ne vous considérez pas comme parfaite, moi, je ne vous trouve aucun défaut ! Je crois qu'on a bien de la chance de vous avoir comme psychologue !"
Ce que j'accompagne de mon meilleur grand sourire. Ouais, sûrement que ceux qui ont de vrais problèmes peuvent enfin trouver une oreille attentive ici.
- "C'est vrai que ce n'est pas tous les jours faciles, mais je sais pourquoi je suis ici, la motivation pour l'avenir m'aide souvent à avancer."
Même si j'aime énormément l'ambiance qu'il peut y avoir au sein de l'université, je ne serai clairement pas ici à galérer tous les jours pour me payer à manger. Ou plutôt à réclamer régulièrement à mon père un peu plus d'argent...
Alors bien sûr, comme je la trouve sympa eh bien, moi aussi j'ai envie d'en savoir plus ! Et je dois bien admettre que je ne m'attendais pas à une telle réponse ! Ouah, c'est vrai que c'est assez fort et d'un coup je me sens super mal pour elle. Être harcelée, ça doit être tellement difficile à vivre. Surtout dans le milieu scolaire, qui est l'endroit qui est censé nous permettre de se construire et de construire son avenir.
- "Oh, oui, en effet, ça ne devait pas être facile..."
Je crois que j'ai toujours été un peu trop empathique, alors ce qu'elle raconte me touche forcément beaucoup. Tout comme je ne peux pas m'empêcher de l'admirer un peu aussi. Si tout le monde était capable de s'écouter un peu plus honnêtement, au lieu de se concentrer sur ses propres problèmes, la communication serait probablement bien plus simple.
- "Je comprends. J'aimerais pouvoir aider les autres aussi plus tard, et c'est pour ça que je m'accroche ! En tout cas, même si vous ne vous considérez pas comme parfaite, moi, je ne vous trouve aucun défaut ! Je crois qu'on a bien de la chance de vous avoir comme psychologue !"
Ce que j'accompagne de mon meilleur grand sourire. Ouais, sûrement que ceux qui ont de vrais problèmes peuvent enfin trouver une oreille attentive ici.
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Milan parle en japonais :#cc3333
Milan baragouine comme il peut en anglais avec un très fort accent : #cc6600
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- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 28■ Messages : 699■ Inscrit le : 13/02/2023
Mon personnage
❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2017
Un élève... Dur d'être un scientifique.
La psychologue avait parlé de son passé à son interlocuteur, alors qu'elle ne le connaît pas. Cela peut paraître étrange pour une adulte de se confier de cette manière à un inconnu, mais Beck voulait simplement que ce dernier comprenne que les psychologue ne sont pas parole d'évangile et que parfois c'est eux qui sont les plus tourmentés. On a beau se montrer parfait auprès des autres, mais c'est difficile de devoir porter ce masque qui n'est autre qu'illusion et qui se brise à la moindre occasion. Être fragile n'est pas chose évidente dans ce monde de requin.
« Je ne veux pas que vous pensez ça de moi... Bien au contraire. Nous avons toutes nos failles et ça, malheureusement c'est ce qui fait de notre diversité humaine. »
Les hommes sont dur avec eux même et ils visent toujours plus haut, pour atteindre une perfection qu'ils n'atteindront jamais. Comme tous les individus, Milan était comme les autres. Il ne montrait qu'une façade juste pour paraître fort, mais avait l'air d'être un adolescent blessé et brisé. Mais ce sourire semblait lui donner une force incommensurable. La jeune femme semblait admirative face à ce genre d'attitude, toujours garder la face quoi qu'il arrive.
« Alors tant mieux, sachez que personne ne vous en voudra d'aider les autres et cela sera reconnu. Bien que certains vous prendrons la main, d'autres vous mangeront le bras ! Il faut malheureusement se méfier de tout aujourd'hui... »
Les gens on cette fâcheuse tendance à regarder leur nombril et de s'occuper de leur propre affaire. Mais en soit, ce n'est pas une erreur mais de temps en temps regarder ce qui se passe à côté. La jeune femme a failli passer à l'acte suite à ce harcèlement et du dégoût humain. Beck se contentait d'enchaîner les séances psychologie pour aider les élèves et ses clients via le passé. Elle tentait de faire du bon travail tout en laissant ses tourments de côté, car ce n'est plus elle la priorité même s'il faut prendre soin d'elle par la même occasion.
Après avoir prononcé cette phrase, la psychologue se tue et restant dans ses pensées. La jeune femme ne voulait pas déranger l'homme qui se trouvait en face d'elle et puis reprit quelques secondes après en affichant toujours cette expression sereine sur son visage.
« Sinon, avez vous des frères et sœurs qui vous soutiennent dans vos projets ? Vos démarches ? C'est toujours bien d'être soutenu par de la famille proche. »
Beck toujours son cahier de note sur les genoux et regardant de temps en temps Milan. Le tic tac des aiguilles de l'horloge rendait un peu l'ambiance mystérieuse et légèrement pesante.
« Je ne veux pas que vous pensez ça de moi... Bien au contraire. Nous avons toutes nos failles et ça, malheureusement c'est ce qui fait de notre diversité humaine. »
Les hommes sont dur avec eux même et ils visent toujours plus haut, pour atteindre une perfection qu'ils n'atteindront jamais. Comme tous les individus, Milan était comme les autres. Il ne montrait qu'une façade juste pour paraître fort, mais avait l'air d'être un adolescent blessé et brisé. Mais ce sourire semblait lui donner une force incommensurable. La jeune femme semblait admirative face à ce genre d'attitude, toujours garder la face quoi qu'il arrive.
« Alors tant mieux, sachez que personne ne vous en voudra d'aider les autres et cela sera reconnu. Bien que certains vous prendrons la main, d'autres vous mangeront le bras ! Il faut malheureusement se méfier de tout aujourd'hui... »
Les gens on cette fâcheuse tendance à regarder leur nombril et de s'occuper de leur propre affaire. Mais en soit, ce n'est pas une erreur mais de temps en temps regarder ce qui se passe à côté. La jeune femme a failli passer à l'acte suite à ce harcèlement et du dégoût humain. Beck se contentait d'enchaîner les séances psychologie pour aider les élèves et ses clients via le passé. Elle tentait de faire du bon travail tout en laissant ses tourments de côté, car ce n'est plus elle la priorité même s'il faut prendre soin d'elle par la même occasion.
Après avoir prononcé cette phrase, la psychologue se tue et restant dans ses pensées. La jeune femme ne voulait pas déranger l'homme qui se trouvait en face d'elle et puis reprit quelques secondes après en affichant toujours cette expression sereine sur son visage.
« Sinon, avez vous des frères et sœurs qui vous soutiennent dans vos projets ? Vos démarches ? C'est toujours bien d'être soutenu par de la famille proche. »
Beck toujours son cahier de note sur les genoux et regardant de temps en temps Milan. Le tic tac des aiguilles de l'horloge rendait un peu l'ambiance mystérieuse et légèrement pesante.
- Milan CrayA l'université ; 4è année■ Age : 32■ Messages : 2461■ Inscrit le : 16/07/2019■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 1, Appartement
❖ Arrivé(e) en : Avril 2015
Je souris légèrement lorsque la psychologue m'affirme que personne n'est parfait. Non, bien sûr. J'en ai conscience. Mais, parfois, c'est plus simple de se dire qu'un tel modèle peut exister. Comme si cette quête pour s'améliorer et atteindre finalement un idéal n'était pas vaine. Des fois, je me demande quelle est la vraie raison de ce choix d'orientation. Est-ce que cette envie d'aider les autres, je l'ai vraiment en moi ? Est-ce que ce n'est pas juste une façon d'arriver à me regarder dans un miroir. D'effacer une partie de certaines choses que j'ai eu à faire ? Des choses que je n'arriverai en réalité jamais à accepter. Je n'en sais rien. Tout ce que je sais, c'est qu'il me faut continuer à avancer.
- "Est-ce que... Vous vous méfiez, vous ?"
J'ai tout à fait conscience de l'ingratitude que peut représenter ce rôle que j'ai choisi. Ce n'est sûrement pas la meilleure place. Mon père a bien veillé à ce que je sache de quoi l'être humain est capable. De ce que signifie être fort. De la façon dont les plus forts affirment leur autorité. Je sais que je ne suis pas fichu de me sortir de cette case dans laquelle les plus faibles sont relayés. On m'a tellement répété à quel point je ne suis qu'un bon à rien... Je le sais. Et quoi que je fasse, cette fatalité semble persister. A tel point que j'ai fini par l'accepter. Qu'est-ce que je peux faire d'autre ?
Pourtant, quand je regarde mon interlocutrice, elle a seulement l'air de vouloir se donner intégralement aux étudiants qui en formulent le besoin. Enfin, pas tout à fait dans ce sens là mais... Vous avez compris ! Dire que j'étais juste venu jeter un coup d'oeil à la plastique de cette femme dont certains parlaient il y a encore quelques soirs de ça. Je me trouve d'un coup bien pitoyable. Une pensée qui me frappe juste avant que se dernière question ne vienne me sortir de ces idées sombres.
- "Oh, non. Non ça... Le côté famille, j'ai définitivement fait une croix dessus. Je préfère me dire que les amis sont plus importants mais... Même ça, c'est parfois compliqué."
Il n"y a qu'à voir comme j'ai encore réussi à tout foutre en l'air avec Tessa. Je ne parle même pas du chaos que j'ai traversé avec Chandini. Et avec Neil qui est parti en septembre, on ne peut pas dire que ma base d'amitié soit très solide. Il n'y a bien qu'Elizabeth avec qui les choses ne sont pas bizarres, mais... J'avoue, j'ai un peu peur de la mettre en colère alors, je me retiens bien de lui parler de certains de mes problèmes dont je suis toujours le principal responsable.
- "Il y avait peut-être une personne mais... Je crois que je n'arrive pas à lui pardonner."
L'image d'Akira me vient facilement en tête. Même s'il n'y a aucun lien de sang entre nous, elle a toujours fait partie de ma famille. Elle était l'une en qui j'avais le plus confiance. Oh, je ne lui disais pas tout non plus mais... Depuis cet été, je n'y arrive plus. Je sais que c'est mon frère qui décide.
- "Est-ce que... Vous vous méfiez, vous ?"
J'ai tout à fait conscience de l'ingratitude que peut représenter ce rôle que j'ai choisi. Ce n'est sûrement pas la meilleure place. Mon père a bien veillé à ce que je sache de quoi l'être humain est capable. De ce que signifie être fort. De la façon dont les plus forts affirment leur autorité. Je sais que je ne suis pas fichu de me sortir de cette case dans laquelle les plus faibles sont relayés. On m'a tellement répété à quel point je ne suis qu'un bon à rien... Je le sais. Et quoi que je fasse, cette fatalité semble persister. A tel point que j'ai fini par l'accepter. Qu'est-ce que je peux faire d'autre ?
Pourtant, quand je regarde mon interlocutrice, elle a seulement l'air de vouloir se donner intégralement aux étudiants qui en formulent le besoin. Enfin, pas tout à fait dans ce sens là mais... Vous avez compris ! Dire que j'étais juste venu jeter un coup d'oeil à la plastique de cette femme dont certains parlaient il y a encore quelques soirs de ça. Je me trouve d'un coup bien pitoyable. Une pensée qui me frappe juste avant que se dernière question ne vienne me sortir de ces idées sombres.
- "Oh, non. Non ça... Le côté famille, j'ai définitivement fait une croix dessus. Je préfère me dire que les amis sont plus importants mais... Même ça, c'est parfois compliqué."
Il n"y a qu'à voir comme j'ai encore réussi à tout foutre en l'air avec Tessa. Je ne parle même pas du chaos que j'ai traversé avec Chandini. Et avec Neil qui est parti en septembre, on ne peut pas dire que ma base d'amitié soit très solide. Il n'y a bien qu'Elizabeth avec qui les choses ne sont pas bizarres, mais... J'avoue, j'ai un peu peur de la mettre en colère alors, je me retiens bien de lui parler de certains de mes problèmes dont je suis toujours le principal responsable.
- "Il y avait peut-être une personne mais... Je crois que je n'arrive pas à lui pardonner."
L'image d'Akira me vient facilement en tête. Même s'il n'y a aucun lien de sang entre nous, elle a toujours fait partie de ma famille. Elle était l'une en qui j'avais le plus confiance. Oh, je ne lui disais pas tout non plus mais... Depuis cet été, je n'y arrive plus. Je sais que c'est mon frère qui décide.
"Tired of being what you want me to be I don't know what you're expecting of me
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- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 28■ Messages : 699■ Inscrit le : 13/02/2023
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❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2017
Un élève... Dur d'être un scientifique.
On pouvait deviner dans l'attitude de Beck quand ce dernier posa la question sur la méfiance, la jeune femme s'arrêta net devant lui et resta fixe. La méfiance, qu'est-ce donc au final ? Avoir accordée trop d'importance aux choses sans intérêt et y mettre toute son âme pour au final que l'on nous crache à la figure ? Il est difficile de faire confiance dans ce monde où il n'est que nuisance. Être le plus fort pour conquérir à tout prix ce monde où il faut être le meilleur. Malheureusement, Beck l'avait apprit malheureusement à ses dépends. Être trop gentille, tout donner et être au final la cinquième roue du carrosse. Beck s'en mordait les doigts de ne pas avoir assez d'impact, assez de trempe pour pouvoir dire que les choses ne lui plaisent pas.
Milan semblait être un animal blessé, dans la détresse intense et de ne pas savoir à qui d'adresser. Beck voulait réaliser son travail de psychologue et être la meilleure écoute pour l'adolescent. La jeune femme affichait toujours ce regard vide et reprit ces esprits doucement pour répondre à la question de l'homme. Hors de question de l'éviter.
« Pour vous répondre au sujet de la méfiance...Je me méfie beaucoup des gens malgré que la plupart peuvent me donner leur confiance. Mais je préfère rester sur mes gardes ! »
Il fallait relâcher pourtant la bride et essayer de ne pas mettre les gens dans le même panier. La psychologue tenait son carnet entre ses mains assez fermement et regardant Milan avec un regard plus détendu après avoir répondue à cette question. Au final, il n y a aucun piège. Beck croisa les bras contre sa poitrine après avoir déposé son support sur ses genoux de nouveau. Elle était vouée corps et âme à ses patients, consultants.
« Le plus important, c'est que vous vous sentez bien dans votre peau et c'est ce qui m'importe ! Je veux que les personnes qui viennent me voir trouve la clé de ce qui peut les rendre heureux. Sans avoir à faire à tous ces procédés médicamenteux. »
La jeune femme n'était pas pour la guérison imminente sous l'anxiolytique ou de choses qui permettent de faire oublier au patient qu'il a des soucis ou de les fuir. Mais parfois il n y a malheureusement pas le choix de recourir à ce genre de solutions. Par le passé, Beck y a eu recourt pour oublier ces désagréments de harcèlement physique de la part de ses camarades et la jeune femme avait jamais eu confiance physiquement ou moralement. Ce sont peut être juste des airs que la brune se donnait pour ne pas montrer ses faiblesses à autrui comme un masque.
Une personne qui n'arrive pas à pardonner !? C'est fréquent, même dans les familles la plus proche. C'est compliqué les relations familiales car on est pas tout le temps sur les mêmes pensées ou longueur d'ondes. C'est quelque chose à double tranchant, surtout quand on grandi. On a des opinions différentes, des envies ainsi que des rêves....
« Sans indiscrétion, qu'est-ce que vous n'arrivez pas à pardonner ? Vous savez, cela fait du bien d'extérioriser... »
L'homme n'était pas obligé de le dire, mais Beck savait que cela fait du bien de sortir ce qui ne va pas. De devoir tout garder comme un secret fait de nous une cocotte minute et fela fini par exploser d'un moment à un autre. Et parfois, c'est sur la personne qui est en face de nous sur qui ça tombe. Bien sûr, celle-ci n'a rien demandé. Beck vint à se lever de sa chaise pour ensuite s'asseoir aux côtés de Milan et posant sa main sur son épaule. Non, elle ne le draguait pas. Juste une position de figure maternelle ou de grande sœur.
Milan semblait être un animal blessé, dans la détresse intense et de ne pas savoir à qui d'adresser. Beck voulait réaliser son travail de psychologue et être la meilleure écoute pour l'adolescent. La jeune femme affichait toujours ce regard vide et reprit ces esprits doucement pour répondre à la question de l'homme. Hors de question de l'éviter.
« Pour vous répondre au sujet de la méfiance...Je me méfie beaucoup des gens malgré que la plupart peuvent me donner leur confiance. Mais je préfère rester sur mes gardes ! »
Il fallait relâcher pourtant la bride et essayer de ne pas mettre les gens dans le même panier. La psychologue tenait son carnet entre ses mains assez fermement et regardant Milan avec un regard plus détendu après avoir répondue à cette question. Au final, il n y a aucun piège. Beck croisa les bras contre sa poitrine après avoir déposé son support sur ses genoux de nouveau. Elle était vouée corps et âme à ses patients, consultants.
« Le plus important, c'est que vous vous sentez bien dans votre peau et c'est ce qui m'importe ! Je veux que les personnes qui viennent me voir trouve la clé de ce qui peut les rendre heureux. Sans avoir à faire à tous ces procédés médicamenteux. »
La jeune femme n'était pas pour la guérison imminente sous l'anxiolytique ou de choses qui permettent de faire oublier au patient qu'il a des soucis ou de les fuir. Mais parfois il n y a malheureusement pas le choix de recourir à ce genre de solutions. Par le passé, Beck y a eu recourt pour oublier ces désagréments de harcèlement physique de la part de ses camarades et la jeune femme avait jamais eu confiance physiquement ou moralement. Ce sont peut être juste des airs que la brune se donnait pour ne pas montrer ses faiblesses à autrui comme un masque.
Une personne qui n'arrive pas à pardonner !? C'est fréquent, même dans les familles la plus proche. C'est compliqué les relations familiales car on est pas tout le temps sur les mêmes pensées ou longueur d'ondes. C'est quelque chose à double tranchant, surtout quand on grandi. On a des opinions différentes, des envies ainsi que des rêves....
« Sans indiscrétion, qu'est-ce que vous n'arrivez pas à pardonner ? Vous savez, cela fait du bien d'extérioriser... »
L'homme n'était pas obligé de le dire, mais Beck savait que cela fait du bien de sortir ce qui ne va pas. De devoir tout garder comme un secret fait de nous une cocotte minute et fela fini par exploser d'un moment à un autre. Et parfois, c'est sur la personne qui est en face de nous sur qui ça tombe. Bien sûr, celle-ci n'a rien demandé. Beck vint à se lever de sa chaise pour ensuite s'asseoir aux côtés de Milan et posant sa main sur son épaule. Non, elle ne le draguait pas. Juste une position de figure maternelle ou de grande sœur.
- Milan CrayA l'université ; 4è année■ Age : 32■ Messages : 2461■ Inscrit le : 16/07/2019■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 1, Appartement
❖ Arrivé(e) en : Avril 2015
Je hoche légèrement la tête lorsque la psychologue me donne son point de vue sur la façon dont elle accorde sa confiance à certaines personnes. Ou non. Bien sûr que je comprends. Si j'essaie autant que possible de baisser certaines barrières avec les gens dont je suis le plus proche, je n'ai pourtant jamais réussi à faire suffisamment confiance à qui que ce soit pour me livrer totalement. Même avec Chandini. Alors qu'elle est déjà au courant de beaucoup de choses que je ne peux avouer me concernant. Elle ne serait peut-être pas si étonnée. Mais, et si ça lui faisait suffisamment peur pour qu'elle me quitte et ne m'adresse plus jamais la parole ? Ou pire. Qu'elle veuille me quitter mais ne l'ose pas ?
- "Oh, je ne suis pas malheureux. Du moins, je ne crois pas l'être. C'est seulement que, comme pour tout le monde, il y a toujours des petites choses un peu plus embêtantes de temps en temps."
Des petites choses, peut-être pas si petites, c'est vrai. Ou en tout cas suffisamment grosses pour que je ne puisse pas réellement en parler tel quel avec cette femme dont c'est pourtant le métier. Mais quand elle me demande ce que je ne peux pardonner, mon cerveau a déjà fait cette petite gymnastique habituelle pour ne donner que la réponse qui m'arrange le plus.
- "Il y avait bien une personne dans ma famille avec qui j'arrivais à bien m'entendre. A qui je pensais pouvoir faire confiance. Mais l'été dernier... Elle m'a seulement prouvé que, ce dont moi j'avais envie, ça n'a pas d'importance. Et ça n'en aura jamais."
Même cette version édulcorée des choses reste difficile à prononcer. Les souvenirs associés me nouent toujours autant la gorge. Pourtant, c'est avec un haussement d'épaules désinvolte que j'enchaine.
- "C'est une pratique habituelle dans ma famille hein, je n'en ai pas été si étonné à vrai dire. Seulement déçu."
Je ne sais toujours pas où en est ma relation avec Akira. C'est difficile. Je sais très bien que mon frère ne lui a pas demandé son avis à elle non plus. Je suis sûr que ça la gonfle plus qu'autre chose. Mais je n'arrive pas à retirer tout ce ressentiment que je peux éprouver à son égard malgré les mois qui sont passés. Je sais que c'est exactement le résultat qu'il cherchait. Me prouver que même la personne dont j'étais le plus proche, celle qui prenait ma défense malgré toutes mes bourdes, l'écoutait davantage lui que moi.
Est-ce que ça m'a vraiment fait du bien d'extérioriser ? Je ne pense pas. Mais là non plus, je ne devrais pas en être si étonné. A chaque fois que je me suis essayé à cet exercice, mettre des mots sur une vérité un peu embêtante, le résultat n'a jamais été positif. Il n'y a qu'à voir où j'en suis rendu avec Tessa.
- "Oh, je ne suis pas malheureux. Du moins, je ne crois pas l'être. C'est seulement que, comme pour tout le monde, il y a toujours des petites choses un peu plus embêtantes de temps en temps."
Des petites choses, peut-être pas si petites, c'est vrai. Ou en tout cas suffisamment grosses pour que je ne puisse pas réellement en parler tel quel avec cette femme dont c'est pourtant le métier. Mais quand elle me demande ce que je ne peux pardonner, mon cerveau a déjà fait cette petite gymnastique habituelle pour ne donner que la réponse qui m'arrange le plus.
- "Il y avait bien une personne dans ma famille avec qui j'arrivais à bien m'entendre. A qui je pensais pouvoir faire confiance. Mais l'été dernier... Elle m'a seulement prouvé que, ce dont moi j'avais envie, ça n'a pas d'importance. Et ça n'en aura jamais."
Même cette version édulcorée des choses reste difficile à prononcer. Les souvenirs associés me nouent toujours autant la gorge. Pourtant, c'est avec un haussement d'épaules désinvolte que j'enchaine.
- "C'est une pratique habituelle dans ma famille hein, je n'en ai pas été si étonné à vrai dire. Seulement déçu."
Je ne sais toujours pas où en est ma relation avec Akira. C'est difficile. Je sais très bien que mon frère ne lui a pas demandé son avis à elle non plus. Je suis sûr que ça la gonfle plus qu'autre chose. Mais je n'arrive pas à retirer tout ce ressentiment que je peux éprouver à son égard malgré les mois qui sont passés. Je sais que c'est exactement le résultat qu'il cherchait. Me prouver que même la personne dont j'étais le plus proche, celle qui prenait ma défense malgré toutes mes bourdes, l'écoutait davantage lui que moi.
Est-ce que ça m'a vraiment fait du bien d'extérioriser ? Je ne pense pas. Mais là non plus, je ne devrais pas en être si étonné. A chaque fois que je me suis essayé à cet exercice, mettre des mots sur une vérité un peu embêtante, le résultat n'a jamais été positif. Il n'y a qu'à voir où j'en suis rendu avec Tessa.
"Tired of being what you want me to be I don't know what you're expecting of me
Put under the pressure of walking in your shoes Every step that I take is another mistake to you"
Linkin Park - Numb
Milan parle en japonais :#cc3333
Milan baragouine comme il peut en anglais avec un très fort accent : #cc6600
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- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 28■ Messages : 699■ Inscrit le : 13/02/2023
Mon personnage
❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2017
Un élève... Dur d'être un scientifique.
Beck pouvait ressentir quelque chose de nostalgique dans les mots de son interlocuteur. La jeune femme essayait de ne pas être trop sensible, rester concentrée sur les maux de Milan. Elle continuait à prendre des notes pour les rentrer dans le dossier dans celui du concerné. La psychologue faisait cela pour chaque élève et il fallait qu'il y ait un suivi sous l'ordre du proviseur. Beck était quelqu'un de très empathique envers les personnes qui ont un passif assez compliqué. Même si elle était persuadée qu'elle ne l'avait pas beaucoup aidé à se libérer mais Milan avait réussi à se livrer c'était quelque chose de merveilleux pour l'étape de la guérison.
« Je peuw comprendre que cela puisse être compliqué Milan. Mais c'est quelque chose qui est tout à fait normal, je n'ai pas la prétention de vous guérir ou de vous apaiser bien entendu. »
Cela serait prétentieux de croire que l'homme se guerirait en un claquement de doigt. La vie n'est pas de la magie, ce serait trop facile de croire que les choses redeviennent comme avant en y pensant très fort. La jeune femme ne croyait pas aux contes de fées et c'est en voyant tout un tas de gens défiler dans son cabinet au fil des années que la situation lui a fait réaliser que la vie n'est pas route rose, que chacun a des soucis plus ou moins grave, à différentes échelle.
“ Avec votre discours, cela me fait croire que vous ne pouvez compter que sur vous même... Peu importe la famille ou les amis, n'est-ce pas ? »
Elle viendra poser la main sur son épaule doucement pour ne pas l'effrayer, comme pour le consoler comme une personne proche l'aurait fait. Mais pas une seule larme ne coulait, juste de la tristesse qui pouvait se lire sur son visage. Beck se voulait être rassurante pour l'individu. Mais être psychologue ne lui donnait pas un large choix pour trouver la clé qui lui redonnerait le sourire définitivement.
Être psychologue cela a des limites, certains seront plus sensible que d'autres et seront plus amené à analyser la situation un peu plus en profondeur. Beck n'était pas magicienne, mais elle essayait de trouver les mots juste. Le tic tac de son horloge murale résonnait dans la pièce, sous ce silence qui commençait à devenir un peu pesant. Mais Beck faisait avec.
« Je peuw comprendre que cela puisse être compliqué Milan. Mais c'est quelque chose qui est tout à fait normal, je n'ai pas la prétention de vous guérir ou de vous apaiser bien entendu. »
Cela serait prétentieux de croire que l'homme se guerirait en un claquement de doigt. La vie n'est pas de la magie, ce serait trop facile de croire que les choses redeviennent comme avant en y pensant très fort. La jeune femme ne croyait pas aux contes de fées et c'est en voyant tout un tas de gens défiler dans son cabinet au fil des années que la situation lui a fait réaliser que la vie n'est pas route rose, que chacun a des soucis plus ou moins grave, à différentes échelle.
“ Avec votre discours, cela me fait croire que vous ne pouvez compter que sur vous même... Peu importe la famille ou les amis, n'est-ce pas ? »
Elle viendra poser la main sur son épaule doucement pour ne pas l'effrayer, comme pour le consoler comme une personne proche l'aurait fait. Mais pas une seule larme ne coulait, juste de la tristesse qui pouvait se lire sur son visage. Beck se voulait être rassurante pour l'individu. Mais être psychologue ne lui donnait pas un large choix pour trouver la clé qui lui redonnerait le sourire définitivement.
Être psychologue cela a des limites, certains seront plus sensible que d'autres et seront plus amené à analyser la situation un peu plus en profondeur. Beck n'était pas magicienne, mais elle essayait de trouver les mots juste. Le tic tac de son horloge murale résonnait dans la pièce, sous ce silence qui commençait à devenir un peu pesant. Mais Beck faisait avec.
- Milan CrayA l'université ; 4è année■ Age : 32■ Messages : 2461■ Inscrit le : 16/07/2019■ Mes clubs :
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❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 1, Appartement
❖ Arrivé(e) en : Avril 2015
Ahah non, bien sûr qu'elle ne peut pas me "guérir". Et me guérir de quoi ? Je ne suis pas venu chercher quoi que ce soit de particulier dans ce bureau, si ce n'est satisfaire ma curiosité. Oh, je ne prétendrais pas être bien dans ma peau, je le prétends déjà bien assez au quotidien. J'ai seulement arrêté de me voiler la face. Mais non, bien sûr que si j'accepte de me plier aux règles du jeu en répondant aux questions (et en essayant de donner le change de temps en temps) je n'en espère pas de résultat miracle pour autant.
- "Honnêtement... Je n'en sais trop rien. J'espère toujours que, si un jour, je devais avoir vraiment besoin d'eux, ils seront là. Mais, en attendant, j'essaie surtout de m'arranger pour que ça n'arrive pas."
Je sais bien que j'ai tendance à m'attirer des ennuis trop facilement. Heureusement, je suis aussi très doué pour la fuite. La preuve. J'ai réussi à disparaitre deux années entières avant que mon frère ne réussisse à me remettre la main dessus. Et si je sais bien que d'après certaines règles stupides, j'aurais pu mériter bien pire, j'ai encore du mal à accepter cet accueil qu'il m'a réservé.
- "Mais, ça ne me dérange pas de ne compter que sur moi-même. Je préfère ça que d'être déçu. Parce qu'au final, les amis c'est un peu pareil. Un jour, ils disparaissent."
On ne peut pas dire que je me sois attaché à beaucoup de monde au cours de ma vie. Et la première amitié que j'ai pu nouer, qui s'est brisée en des milliers de morceaux acérés qui m'ont entaillé de toute part aurait dû être bien suffisante. Je repense souvent à lui. A la façon dont on s'est violemment disputé ce jour là. Au vide qu'il a laissé. Pourtant, j'ai recommencé. Emily. Partie. Neil. Parti. Tessa... Peut-être bien qu'il n'y a qu'avec Chandini que je peux essayer de sauver quelque chose. Mais même là, je ne peux pas m'empêcher d'appréhender le jour où tout se terminera. Pourtant, c'est encore un simple sourire que j'offre à la psychologue.
- "Je crois juste que je ne dois pas faire parti de ces gens faits pour les relations sincères. Mais, ce n'est pas bien grave. Ce n'est pas ce qui m'empêche de vivre !"
Parce qu'on a beau remettre en doute mon instinct de survie régulièrement, on ne pourra pas dire que je suis bien fermement accroché à la vie.
- "Honnêtement... Je n'en sais trop rien. J'espère toujours que, si un jour, je devais avoir vraiment besoin d'eux, ils seront là. Mais, en attendant, j'essaie surtout de m'arranger pour que ça n'arrive pas."
Je sais bien que j'ai tendance à m'attirer des ennuis trop facilement. Heureusement, je suis aussi très doué pour la fuite. La preuve. J'ai réussi à disparaitre deux années entières avant que mon frère ne réussisse à me remettre la main dessus. Et si je sais bien que d'après certaines règles stupides, j'aurais pu mériter bien pire, j'ai encore du mal à accepter cet accueil qu'il m'a réservé.
- "Mais, ça ne me dérange pas de ne compter que sur moi-même. Je préfère ça que d'être déçu. Parce qu'au final, les amis c'est un peu pareil. Un jour, ils disparaissent."
On ne peut pas dire que je me sois attaché à beaucoup de monde au cours de ma vie. Et la première amitié que j'ai pu nouer, qui s'est brisée en des milliers de morceaux acérés qui m'ont entaillé de toute part aurait dû être bien suffisante. Je repense souvent à lui. A la façon dont on s'est violemment disputé ce jour là. Au vide qu'il a laissé. Pourtant, j'ai recommencé. Emily. Partie. Neil. Parti. Tessa... Peut-être bien qu'il n'y a qu'avec Chandini que je peux essayer de sauver quelque chose. Mais même là, je ne peux pas m'empêcher d'appréhender le jour où tout se terminera. Pourtant, c'est encore un simple sourire que j'offre à la psychologue.
- "Je crois juste que je ne dois pas faire parti de ces gens faits pour les relations sincères. Mais, ce n'est pas bien grave. Ce n'est pas ce qui m'empêche de vivre !"
Parce qu'on a beau remettre en doute mon instinct de survie régulièrement, on ne pourra pas dire que je suis bien fermement accroché à la vie.
"Tired of being what you want me to be I don't know what you're expecting of me
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Linkin Park - Numb
Milan parle en japonais :#cc3333
Milan baragouine comme il peut en anglais avec un très fort accent : #cc6600
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- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 28■ Messages : 699■ Inscrit le : 13/02/2023
Mon personnage
❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2017
Un élève... Dur d'être un scientifique.
Beck ignorait que ce dernier était venu dans ce bureau par curiosité, pour venir savoir à quoi elle ressemblait ou qu'est-ce qu'elle était, sa personnalité. La jeune femme croisait et décroisait les jambes. Elle notait quelques écritures pas très importantes dans son carnet, tout en jetant un œil à Milan. Chaque être humain essaye tant bien que mal à ne pas dépendre d'autrui et à être indépendant, comme le faisait comprendre Milan. Et cela était tout à son honneur. La jeune femme était touchée de ce garçon qui avait l'air déterminé à s'en sortir et cela faisait sourire légèrement la psychologue.
" Je suis contente de voir que vous êtes quelqu'un de déterminé à vous en sortir quoi qu'il advienne seul ou accompagné. "
A en croire son discours, on pourrait croire que le blondinet à été malchanceux avec les relations humaine et cela était bien triste. La jeune femme restait de marbre, ne laissant pas paraître sa sensibilité face à l'adolescent. La jeune femme était quelqu'un de très peu sociable de base, mais s'efforçait à cause du travail de l'être pour donner l'envie à l'autre de s'exprimer.
" Il faut tenter de positiver pour vos relations, on peut être super amis pendant des années durant et ça, c'est très souvent fréquent dans certaines cultures. Mais après, le destin fait que ces gens là devaient partir. "
La psychologue ne pouvait qu'aller dans son sens, elle ne pouvait pas tout le temps avoir la bonne parole et surtout de toujours être "positive". Le rôle d'un psychologue c'est d'être aussi terre à terre avec ses clients et surtout leur montrer que malgré la réalité, on peut aller de l'avant. Milan est quelqu'un de très réfléchi, du moins ce qu'elle en voyait et elle était persuadée que ce dernier serait en mesure d'évoluer.
" Un jour, j'en suis persuadée vous trouverez ces personnes sincères. N'en doutez pas !"
" Je suis contente de voir que vous êtes quelqu'un de déterminé à vous en sortir quoi qu'il advienne seul ou accompagné. "
A en croire son discours, on pourrait croire que le blondinet à été malchanceux avec les relations humaine et cela était bien triste. La jeune femme restait de marbre, ne laissant pas paraître sa sensibilité face à l'adolescent. La jeune femme était quelqu'un de très peu sociable de base, mais s'efforçait à cause du travail de l'être pour donner l'envie à l'autre de s'exprimer.
" Il faut tenter de positiver pour vos relations, on peut être super amis pendant des années durant et ça, c'est très souvent fréquent dans certaines cultures. Mais après, le destin fait que ces gens là devaient partir. "
La psychologue ne pouvait qu'aller dans son sens, elle ne pouvait pas tout le temps avoir la bonne parole et surtout de toujours être "positive". Le rôle d'un psychologue c'est d'être aussi terre à terre avec ses clients et surtout leur montrer que malgré la réalité, on peut aller de l'avant. Milan est quelqu'un de très réfléchi, du moins ce qu'elle en voyait et elle était persuadée que ce dernier serait en mesure d'évoluer.
" Un jour, j'en suis persuadée vous trouverez ces personnes sincères. N'en doutez pas !"
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❖ Âge : 22 ans
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❖ Arrivé(e) en : Avril 2015
Oui, sûrement que les vraies amitiés qui durent toute une vie sont extrêmement rares. La plupart durent un temps, avant que la vie ne fasse que nos chemins ne se séparent et, naturellement, d'année en année, ces liens noués finissent par s'effriter sans qu'on ne puisse rien y faire. Je ne suis pas naïf. Je sais que c'est de cette façon que vont finir la plupart de ces nouvelles relations à distance. Alors pourquoi est-ce que je m'embête encore à nouer ce genre de relation ? A vrai dire, je crois que je n'avais pas vraiment anticipé que j'en viendrai à si bien m'entendre avec ces quelques personnes rencontrées à Kobe.
- "Oui, vous avez raison, je ne devrais pas m'inquiéter de ces choses là."
Parce que je sais très bien que les problèmes de sincérité ne viennent pas des autres. Mais ça, je ne suis sûrement pas près à le reconnaitre.
- "C'est gentil de votre part d'avoir pris le temps de m'écouter."
Ouais, je sais, c'est son métier, mais je le fais remarquer quand même, parce que moi j'aime bien dire des trucs sympas même quand ça parait normal !
- "Je crois que je ne vais pas vous embêter plus longtemps, vous avez sûrement beaucoup d'autres choses à faire !"
Et mine de rien, je ne pensais pas rester ici aussi longtemps. Ni parler autant. Non, cette séance est bien différente de ce à quoi je m'attendais. Il faut dire que je ne pensais pas trouver quoi que ce soit d'intéressant à dire compte tenu de la raison pour laquelle je venais à la base. Et justement, je pense en avoir bien assez dit. Je ne suis pas habitué à être celui qui répond aux questions et mine de rien, c'est un peu éprouvant quand même. Il va sûrement me falloir une petite pause.
- "Oui, vous avez raison, je ne devrais pas m'inquiéter de ces choses là."
Parce que je sais très bien que les problèmes de sincérité ne viennent pas des autres. Mais ça, je ne suis sûrement pas près à le reconnaitre.
- "C'est gentil de votre part d'avoir pris le temps de m'écouter."
Ouais, je sais, c'est son métier, mais je le fais remarquer quand même, parce que moi j'aime bien dire des trucs sympas même quand ça parait normal !
- "Je crois que je ne vais pas vous embêter plus longtemps, vous avez sûrement beaucoup d'autres choses à faire !"
Et mine de rien, je ne pensais pas rester ici aussi longtemps. Ni parler autant. Non, cette séance est bien différente de ce à quoi je m'attendais. Il faut dire que je ne pensais pas trouver quoi que ce soit d'intéressant à dire compte tenu de la raison pour laquelle je venais à la base. Et justement, je pense en avoir bien assez dit. Je ne suis pas habitué à être celui qui répond aux questions et mine de rien, c'est un peu éprouvant quand même. Il va sûrement me falloir une petite pause.
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❖ Âge : 29 ans
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Un élève... Dur d'être un scientifique.
Beck sentait la fin de séance arriver. Il était logique voilà presque une heure que les deux protagonistes discutaient des soucis de Milan. Si l'on peut appeler ça des problèmes, ce sont des choses qui peuvent se régler avec du travail et du temps. Milan était quelqu'un de touchant aux yeux de la psychologue, mais elle tentait de rester de marbre pour ne pas laisser transparaître ses émotions. En temps que psychologue, il faut savoir rester professionnel avec les gens et que Beck a cette empathie débordante. Elle sait se mettre à la place de la personne.
Milan semblait être quelqu'un de fort et sans doute avec une ténacité de fer. La psychologue y croyait. Cela n'allait pas être simple, mais il allait réussir. Elle posa son crayon et se redressa de son fauteuil en regardant le visage du blondinet.
« Vous ne me dérangez pas. Je suis reconnaissante de voir que vous vous êtes confié à moi et que vous m'accordez un peu de cette confiance. Ce n'est pas grand chose, mais dans mon cas c'est énorme. »
Le sourire aux lèvres, la voix de Beck était douce et apaisante. Se levant de son assise pour saluer Milan. L'horloge murale indiquait l'heure du prochain rendez vous qui commençait dans cinq minutes, bien que la jeune femme n'était pas à la minute près. Au fond d'elle, la brune espérait recroiser l'homme dans d'autres circonstances. Mais c'est déjà bien et la psychologue devait s'en contenter. C'est son métier et c'est son travail après tout. Trouver tout le monde sympathique n'aidera en rien de développer la sociabilité de la jeune femme qui en vrai est un loup solitaire. Le job lui permettait de voir des gens, voir du monde et une légère communication.
Cela faisait un moment que Beck n'était pas sortie à l'extérieur avec ses amis Fuji ou Olivier qui était bien loin de Kobe. La jeune femme s'était renfermé peu à peu dans cette routine qui en soit est bien banale. N'avoir personne dans sa vie est bien, au moins elle peut se consacrer cent pour cent à son boulot et on ne pouvait pas nier qu'elle n'y était pas dévouée.
« En tout cas, merci d'avoir prit le temps et le courage de venir me consulter Milan. Je suis ravie que vous ayez pu parler un peu, je peux comprendre comment cela peut être éprouvant émotionnellement. »
Tout ce que Beck espérait au final, c'est de ne pas revoir Milan revenir dans son bureau et que tout roulerait pour lui dans sa vie une fois avoir passé cette porte. La jeune femme saluera donc l'homme, marquant la fin de la séance et de la conclusion de cette première rencontre.
Milan semblait être quelqu'un de fort et sans doute avec une ténacité de fer. La psychologue y croyait. Cela n'allait pas être simple, mais il allait réussir. Elle posa son crayon et se redressa de son fauteuil en regardant le visage du blondinet.
« Vous ne me dérangez pas. Je suis reconnaissante de voir que vous vous êtes confié à moi et que vous m'accordez un peu de cette confiance. Ce n'est pas grand chose, mais dans mon cas c'est énorme. »
Le sourire aux lèvres, la voix de Beck était douce et apaisante. Se levant de son assise pour saluer Milan. L'horloge murale indiquait l'heure du prochain rendez vous qui commençait dans cinq minutes, bien que la jeune femme n'était pas à la minute près. Au fond d'elle, la brune espérait recroiser l'homme dans d'autres circonstances. Mais c'est déjà bien et la psychologue devait s'en contenter. C'est son métier et c'est son travail après tout. Trouver tout le monde sympathique n'aidera en rien de développer la sociabilité de la jeune femme qui en vrai est un loup solitaire. Le job lui permettait de voir des gens, voir du monde et une légère communication.
Cela faisait un moment que Beck n'était pas sortie à l'extérieur avec ses amis Fuji ou Olivier qui était bien loin de Kobe. La jeune femme s'était renfermé peu à peu dans cette routine qui en soit est bien banale. N'avoir personne dans sa vie est bien, au moins elle peut se consacrer cent pour cent à son boulot et on ne pouvait pas nier qu'elle n'y était pas dévouée.
« En tout cas, merci d'avoir prit le temps et le courage de venir me consulter Milan. Je suis ravie que vous ayez pu parler un peu, je peux comprendre comment cela peut être éprouvant émotionnellement. »
Tout ce que Beck espérait au final, c'est de ne pas revoir Milan revenir dans son bureau et que tout roulerait pour lui dans sa vie une fois avoir passé cette porte. La jeune femme saluera donc l'homme, marquant la fin de la séance et de la conclusion de cette première rencontre.
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