- Hoshi KizakiPersonnel ; jardinière■ Age : 30■ Messages : 40■ Inscrit le : 17/01/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 23 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 2 - Maison
❖ Arrivé(e) en : Juillet 2018
Samedi 24 novembre 2018
Quelle idée t'a prise de venir? Déjà, t'entêter à prendre les transports en commun, même si tu as débarqué plus tôt pour marcher plus mais au moins respirer, c'est beaucoup. Tu aurais pu demander à Jin s'il était disponible pour venir te porter, mais tu n'avais pas osé le déranger pour cela. Il était déjà si gentil de te conduire au campus et de te faire si souvent à manger en prenant soin de respecter ton alimentation particulière. Tu tentais de lui rendre la pareille à ta façon. De toute façon, tu as du longtemps et souvent te débrouiller seule. Ce n'est pas la première fois que tu prends le bus et ce ne sera pas la dernière. Tu as tenter de choisir un moment où ça pouvais être plus tranquille, mais un samedi après-midi? Impossible!
Cependant c'est bon maintenant. La marche t'a calmé.. Tu pourras supporter un petit tour au centre commercial pour faire tes emplettes Enfin... C'est ce que tu croyais... Fin novembre... Le centre commercial est bondé. Beaucoup profitent des derniers weekends avant le temps des fêtes, sans parler des soldes dans diverses boutiques. Mais tu dois y arriver... Même s'il y a plus de foule que le reste de l'année... Tu prends une bonne inspiration et tu commences à te faufiler à travers cette foule, tu trouve des "poches" de vide dans lesquelles tu t'empresse de t'engouffre pour finalement réaliser que tu est au centre de la grande place. Ça circule à gauche, à droite, devant, derrière... Finalement non. Tu ne t'es pas assez remise du bus.. Et maintenant te voilà au milieu de la foule. Tans de gens, tant d'énergies diverse, tant de sons intelligibles. Tu dois avancer. Tu veux avancer, mais tu est figée là. Un banc! Oui un banc!! Mais tous les banc autour de toi sont pris. Bouge satané corps!! Si ton visage reste miraculeusement au neutre, quelqu'un observant ton regard y verrait la panique grandissante. Seulement, personne ne te voit. Tous sont trop occupés à passer leur chemin pour aller à la boutique suivante. Tu tente de trouver un point fixe pour t'y concentrer, mais ton regard s'embrouille. Tes mains tremblent légèrement. La peur, l'angoisse l'inconfort t'envahissent. Ton souffle se fait de plus en plus court, saccadé. Ta tête tourne. Tes jambes sont de plus en plus lourde. Tu n'y arrive pas. Ton coeur essaie de percer ta poitrine à coup de marteau piquer. Tu veux bouger. Tu le veux tellement, mais tu est paralysée, tétanisée. C'est trop. Tu as juste envie de sortir d'ici mais ça implique encore la foule. Tu as envie de pleurer, mais tu ne peux pas. Ça tourne encore plus. Tu as mal aux poumons tellement tu as l'impressions de manquer d'air. Tu n'arrive pas à reprendre ton souffle et la panique prends le dessus. Ton champ de vision commence à se réduire peu à peu...
Quelle idée t'a prise de venir? Déjà, t'entêter à prendre les transports en commun, même si tu as débarqué plus tôt pour marcher plus mais au moins respirer, c'est beaucoup. Tu aurais pu demander à Jin s'il était disponible pour venir te porter, mais tu n'avais pas osé le déranger pour cela. Il était déjà si gentil de te conduire au campus et de te faire si souvent à manger en prenant soin de respecter ton alimentation particulière. Tu tentais de lui rendre la pareille à ta façon. De toute façon, tu as du longtemps et souvent te débrouiller seule. Ce n'est pas la première fois que tu prends le bus et ce ne sera pas la dernière. Tu as tenter de choisir un moment où ça pouvais être plus tranquille, mais un samedi après-midi? Impossible!
Cependant c'est bon maintenant. La marche t'a calmé.. Tu pourras supporter un petit tour au centre commercial pour faire tes emplettes Enfin... C'est ce que tu croyais... Fin novembre... Le centre commercial est bondé. Beaucoup profitent des derniers weekends avant le temps des fêtes, sans parler des soldes dans diverses boutiques. Mais tu dois y arriver... Même s'il y a plus de foule que le reste de l'année... Tu prends une bonne inspiration et tu commences à te faufiler à travers cette foule, tu trouve des "poches" de vide dans lesquelles tu t'empresse de t'engouffre pour finalement réaliser que tu est au centre de la grande place. Ça circule à gauche, à droite, devant, derrière... Finalement non. Tu ne t'es pas assez remise du bus.. Et maintenant te voilà au milieu de la foule. Tans de gens, tant d'énergies diverse, tant de sons intelligibles. Tu dois avancer. Tu veux avancer, mais tu est figée là. Un banc! Oui un banc!! Mais tous les banc autour de toi sont pris. Bouge satané corps!! Si ton visage reste miraculeusement au neutre, quelqu'un observant ton regard y verrait la panique grandissante. Seulement, personne ne te voit. Tous sont trop occupés à passer leur chemin pour aller à la boutique suivante. Tu tente de trouver un point fixe pour t'y concentrer, mais ton regard s'embrouille. Tes mains tremblent légèrement. La peur, l'angoisse l'inconfort t'envahissent. Ton souffle se fait de plus en plus court, saccadé. Ta tête tourne. Tes jambes sont de plus en plus lourde. Tu n'y arrive pas. Ton coeur essaie de percer ta poitrine à coup de marteau piquer. Tu veux bouger. Tu le veux tellement, mais tu est paralysée, tétanisée. C'est trop. Tu as juste envie de sortir d'ici mais ça implique encore la foule. Tu as envie de pleurer, mais tu ne peux pas. Ça tourne encore plus. Tu as mal aux poumons tellement tu as l'impressions de manquer d'air. Tu n'arrive pas à reprendre ton souffle et la panique prends le dessus. Ton champ de vision commence à se réduire peu à peu...
- Hikaru ChevalierPersonnel ; surveillant■ Age : 32■ Messages : 22■ Inscrit le : 04/08/2024
Mon personnage
❖ Âge : 23 ans
❖ Chambre/Zone n° : 1 - Appartement
❖ Arrivé(e) en : Fin Octobre 2018
Parfois, il faut simplement accepter de lâcher prise pour mieux reprendre vie
Quand la brise nous effleure
Le plus petit confié à une baby-sitter pour l'après-midi, Hikaru s'envole pour un rendez-vous important. Toutefois, après ce dernier, il lui reste un peu de temps avant de rentrer libérer la jeune fille. Il se dirige donc vers le centre commercial afin d'acheter quelques vêtements pour Sora et Ryu. Le franco-japonais marchait souplement dans la foule, certains se retournant à son passage en voyant ses piercings. Ignorant les regards, les remarques, Hikaru reste confiant, fier. Après tout, il n'en avait que faire du regard et des pensées des personnes qu'il ne recroiserait sûrement plus jamais de sa vie.
Hikaru s'arrêta dans sa marche en voyant une jeune fille plantée en plein milieu, sans bouger. Ce n'était vraiment pas normal... Etait-elle perdue ? Non, elle regarderait autour d'elle. Avait-elle mal quelque part ? Elle se serait au moins assise... Hikaru balaya une à une les possibilités en cherchant à croiser son regard. Finalement, il comprend lorsqu'il arrive à agripper son regard. Il pouvait y lire une forme d'angoisse, de la panique. Bref, elle n'était pas à l'aise et devait sans doute être paralysé par la peur, l'angoisse. La foule devait l'oppresser, certainement. Il devait agir. Maintenant. Car personne d'autre ne semblait la remarquer et à ce rythme, elle risquait de lui faire un malaise entre les bras. Hikaru avance vers elle avec un sourire amical tout en enlevant sa veste.
"Je vais vous aider à sortir de là. Bouchez-vous les oreilles, je vais vous guider."
Pour que cette jeune femme puisse se calmer, il fallait réduire au maximum les sources et les stimulii angoissants en coupant un maximum les différents sens. En se bouchant les oreilles, elle n'aurait plus le bruit, c'était une première étape. Il lui déposa sa veste sur la tête et les épaules pour lui couper la vision périphérique, ainsi, elle ne se sentirait plus oppressé par la foule sur les côtés. Hikaru passa un bras sur ses épaules et commença à marcher tout en la guidant. De son bras libre, il faisait en sorte de créer le chemin pour éloigner un maximum les inconnus de leur passage. Et clairement, il n'en avait rien à faire qu'on grogne sur lui. Une fois sortie de la foule amassé, Hikaru emmène la jeune femme vers un couloir beaucoup moins emprunté.
"Ca va mieux ? Je peux aller vous chercher à boire si vous voulez."
Hoshi
24 novembre 2018
- Hoshi KizakiPersonnel ; jardinière■ Age : 30■ Messages : 40■ Inscrit le : 17/01/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 23 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 2 - Maison
❖ Arrivé(e) en : Juillet 2018
À l'aide.
La frayeur a vicieusement prit le dessus sur ton esprit. Il n'y a pas de sortie, pas d'échappatoire. Tu sera prise à tout jamais au milieu de cette foule qui t'a faite prisonnière. Tu pourrais aisément comparer cette sensation à l'impression de se noyer dans l'immensité de l'océan. Tu as beau nager, tu n'atteint pas la surface.
Juste avant que tu ne songe à te laisser sombre, une ombre se dessine devant toi. Un son un peu plus distinct parvient à tes oreilles. Cependant tu n'en saisit pas l'essence. Une personne maintenant près de toi et un chaleureux cocon qui t'enveloppe. C'est là que ton cerveau fini enfin l'interprétation des mots entendu quelques secondes plus tôt. Tu te bouche les oreilles et tu laisse le bras te tenant te guider. Tu n'y vois rien, tu n'entends rien alors autant te renfermer d'avantage dans ta bulle. On est peut-être en train de te kidnapper, mais tu t'en fiche. En fait, ton cerveau n'arrive plus à rien analyser. De l'air, du calme, du silence... De l'air du calme... Respirer... Inspirer... Expirer.. Te concentrer sur te pieds, la seule chose que tu vois...
Finalement, ton mystérieux guide t'arrête et te demande si tu vas mieux. Tu ose alors lever ton regard et dégager un tout petit peu ta tête pour observer autour de toi. De L'espace inoccupée. L'énergie est moins lourde. Moins d'auras qui t'agresse... Oui... Tu peux respirer. Tu regarde alors celui qui est devant toi et plonge ton regard dans le siens pendant une longue minute de silence. C'est le point d'apaisement que tu as choisi, ralentissant tes respiration, ton corps étant de moins en moins crispé. Tu te perds volontairement dans ce regard, comme si tu mettais son âme à nu. C'est un regard gentil, inquiet, apaisant, attentionné, bienveillant avec une pointe de fatigue. C'était un regard néanmoins brillant de vie et ton regard reprenait peu à peu de l'éclat. Étant de nouveau revenue à la réalité, tu répondit enfin.
-De l'eau... m'asseoir...
Une crise comme ça était épuisante. À peine as-tu énoncé le désir de t'asseoir que tu tend ton sac noir en tissus garni de dentelle à l'étranger après lequel est attaché ta petit bouteille d'eau noire avec des motifs de mandalas agglomérés de façon à former un crane. Tu recule ensuite de quelques pas pour arriver dos au mur et te laisse glisser assise au sol. Pas le temps ni l'envie de chercher un banc. Tu retire la veste de ta tête et vient la serrer sur tes épaule comme une couverture réconfortante et détail un peut mieux du regard l'étranger... Celui qui t'as sauvée de cette désastreuse situation...
La frayeur a vicieusement prit le dessus sur ton esprit. Il n'y a pas de sortie, pas d'échappatoire. Tu sera prise à tout jamais au milieu de cette foule qui t'a faite prisonnière. Tu pourrais aisément comparer cette sensation à l'impression de se noyer dans l'immensité de l'océan. Tu as beau nager, tu n'atteint pas la surface.
Juste avant que tu ne songe à te laisser sombre, une ombre se dessine devant toi. Un son un peu plus distinct parvient à tes oreilles. Cependant tu n'en saisit pas l'essence. Une personne maintenant près de toi et un chaleureux cocon qui t'enveloppe. C'est là que ton cerveau fini enfin l'interprétation des mots entendu quelques secondes plus tôt. Tu te bouche les oreilles et tu laisse le bras te tenant te guider. Tu n'y vois rien, tu n'entends rien alors autant te renfermer d'avantage dans ta bulle. On est peut-être en train de te kidnapper, mais tu t'en fiche. En fait, ton cerveau n'arrive plus à rien analyser. De l'air, du calme, du silence... De l'air du calme... Respirer... Inspirer... Expirer.. Te concentrer sur te pieds, la seule chose que tu vois...
Finalement, ton mystérieux guide t'arrête et te demande si tu vas mieux. Tu ose alors lever ton regard et dégager un tout petit peu ta tête pour observer autour de toi. De L'espace inoccupée. L'énergie est moins lourde. Moins d'auras qui t'agresse... Oui... Tu peux respirer. Tu regarde alors celui qui est devant toi et plonge ton regard dans le siens pendant une longue minute de silence. C'est le point d'apaisement que tu as choisi, ralentissant tes respiration, ton corps étant de moins en moins crispé. Tu te perds volontairement dans ce regard, comme si tu mettais son âme à nu. C'est un regard gentil, inquiet, apaisant, attentionné, bienveillant avec une pointe de fatigue. C'était un regard néanmoins brillant de vie et ton regard reprenait peu à peu de l'éclat. Étant de nouveau revenue à la réalité, tu répondit enfin.
-De l'eau... m'asseoir...
Une crise comme ça était épuisante. À peine as-tu énoncé le désir de t'asseoir que tu tend ton sac noir en tissus garni de dentelle à l'étranger après lequel est attaché ta petit bouteille d'eau noire avec des motifs de mandalas agglomérés de façon à former un crane. Tu recule ensuite de quelques pas pour arriver dos au mur et te laisse glisser assise au sol. Pas le temps ni l'envie de chercher un banc. Tu retire la veste de ta tête et vient la serrer sur tes épaule comme une couverture réconfortante et détail un peut mieux du regard l'étranger... Celui qui t'as sauvée de cette désastreuse situation...
- Hikaru ChevalierPersonnel ; surveillant■ Age : 32■ Messages : 22■ Inscrit le : 04/08/2024
Mon personnage
❖ Âge : 23 ans
❖ Chambre/Zone n° : 1 - Appartement
❖ Arrivé(e) en : Fin Octobre 2018
Parfois, il faut simplement accepter de lâcher prise pour mieux reprendre vie
Quand la brise nous effleure
Une fois les deux jeunes extirpés de la foule, Hikaru ne s'arrête pas pour autant et trouve un endroit plus calme pour qu'elle puisse reprendre le dessus sur elle-même en toute tranquillité et en prenant le temps qu'il faut. A sa question, elle relève les yeux vers lui, bon, au moins, elle semblait être un peu redescendue en pression, c'était déjà ça. Toutefois, elle semble encore incapable de prendre la parole alors Hikaru patiente, un léger sourire aux lèvres. L'échange de regard est long mais semble nécessaire à la jeune femme. Au bout de quelques minutes, elle est de nouveau en capacité de prendre la parole et lui indiquer ce dont elle avait à présent besoin. Elle lui tend son sac, sac que l'homme attrape sans attendre en se rapprochant afin de pouvoir être au plus près si en cherchant à s'asseoir, ses jambes s'effondrent.
Une fois assuré qu'elle n'allait pas tomber dans les pommes suite à la potentielle chute d'adrénaline provoquée par la fin de crise, le jeune homme détacha la petite bouteille d'eau, l'observant rapidement avec un léger sourire avant de lui tendre. Il s'assit ensuite en face d'elle, l'observant un peu plus spécifiquement. Son style dénotait et il adorait ça ! Lui aussi dénotait mais de façon plus discrète que la jeune femme.
"J'aime beaucoup votre style et votre gourde est vraiment classe !"
Hikaru s'adosse contre le mur, posant son bras sur son genou replié. Il était, à présent, totalement détendu en constatant que la jeune femme commençait à se sentir mieux. Voyant qu'elle n'était pas encore en pleine possession de ses moyens, Hikaru continua à parler, lui laissant le loisir de reprendre ses esprits tranquillement sans pour autant être laissée à elle-même.
"Ca me rappelle une histoire. Quand j'étais p'tit, je me baladais souvent dans une forêt près de chez moi. Une fois, j'ai trouvé un crâne mais genre en parfait état. J'étais vraiment le gamin le plus heureux du monde. Mais il ne ressemblait à aucun crâne que je connaissais, j'étais fou, je pensais être le gamin qui venait de découvrir encore une espèce totalement inconnue. Bah non, c'était une blague de mon père. C'était un faux crane qu'il avait commandé. Je me sentais tellement idiot de m'être laissé avoir comme ça !"
Hoshi
24 novembre 2018
- Hoshi KizakiPersonnel ; jardinière■ Age : 30■ Messages : 40■ Inscrit le : 17/01/2024■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 23 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 2 - Maison
❖ Arrivé(e) en : Juillet 2018
Il aurait pu te kidnapper. Il ne l'a pas fait. Il aurait pu s'enfuir avec ton sac. Il ne l'a pas fait. Visiblement, tu avais la chance d'être tombé sur quelqu'un de bien. L'analyse de son regard ne t'avait pas trompé sur ce point. Ça aurait pu vu tes sens embrouillés par ces événements horribles que tu venais de vivre. Un fois au sol, tu saisit la bouteille, tu pris plusieurs petite mais longues gorgée. Cela t'aida à finir de réguler ton pouls et tes respirations. T'étendre dans l'herbe t'apaiserait tellement, mais ce n'est pas une option accessible pour l'instant et puis tu étais revenue à la réalité. D'ailleurs, l'inconnu complimenta ton style et tu cacha le plaisir de recevoir cette remarque derrière ta bouteille, restant neutre avec ton habituelle froideur. Tu ne recevais rarement ce genre de compliment vu qu'habituellement les gens se contentent de juger de loin. Une fois de nouveau toi-même, tu referma ta bouteille maintenant vide et la posa à côté de toi.
L'homme s'était mis en tête de tout bonnement te raconter une anecdote de sa vie même si vous ne vous connaissez pas et tu terminais de l'écouter. Adorable... C'est le mot qui te vint instinctivement en tête. Quelle drôle de première impression... Un léger sourire se dessina enfin sur le coin de tes lèvres. Au vu de comment il s'Est fait avoir par son grand-père, il a quelque chose de naïf. Tu le détailla à nouveau du regard.. Ses yeux bleus gris La chevelure jais... Il est aussi plutôt grand....
-Je vous ai déjà aperçu quelque part...
C'était une affirmation, même pas une once de question se dénotait dans ton ton. Tu ne dirais pas vu, parce que ça te dit quelque chose, mais en même rien... Peut-être ce piercing au visage qui change tout? Tu constate alors que lui aussi a un style pas mal... Mais tu enchaine alors, parce que tu te rends compte que ton affirmation est un peu étrange pour commencer une conversation.
-Enfin.. Je veux dire... Merci... Pourquoi m'avoir aider?
Tout le monde te laissait à toi même puisque ça ne dérange pas une fille qui reste juste debout au milieu de la foule, figée... Peut-être visiblement un peu en panique, sans plus. Mais lui, lui avait saisit ton regard et compris que tu devais sortir de là avant de t'évanouir de frayeur et de panique...
L'homme s'était mis en tête de tout bonnement te raconter une anecdote de sa vie même si vous ne vous connaissez pas et tu terminais de l'écouter. Adorable... C'est le mot qui te vint instinctivement en tête. Quelle drôle de première impression... Un léger sourire se dessina enfin sur le coin de tes lèvres. Au vu de comment il s'Est fait avoir par son grand-père, il a quelque chose de naïf. Tu le détailla à nouveau du regard.. Ses yeux bleus gris La chevelure jais... Il est aussi plutôt grand....
-Je vous ai déjà aperçu quelque part...
C'était une affirmation, même pas une once de question se dénotait dans ton ton. Tu ne dirais pas vu, parce que ça te dit quelque chose, mais en même rien... Peut-être ce piercing au visage qui change tout? Tu constate alors que lui aussi a un style pas mal... Mais tu enchaine alors, parce que tu te rends compte que ton affirmation est un peu étrange pour commencer une conversation.
-Enfin.. Je veux dire... Merci... Pourquoi m'avoir aider?
Tout le monde te laissait à toi même puisque ça ne dérange pas une fille qui reste juste debout au milieu de la foule, figée... Peut-être visiblement un peu en panique, sans plus. Mais lui, lui avait saisit ton regard et compris que tu devais sortir de là avant de t'évanouir de frayeur et de panique...
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