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Kenichiro Matsuda
Non validé ; bouhouhou
Kenichiro Matsuda
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■ Inscrit le : 05/01/2025

Kenichiro Matsuda

À Modifier Kenichiro Matsuda

Dim 5 Jan 2025 - 18:00
Kenichiro Matsuda
Informations Générales
NOM : Matsuda ♦ PRÉNOM : Kenichiro ♦ DATE DE NAISSANCE : 3 août  ♦ ÂGE : 20 ans ♦ LIEU DE NAISSANCE : Osaka ♦ NATIONALITÉ :  Japonais, si ses yeux sont verts, c’est juste dû au sang européen de sa mère ♦ SEXE : Homme ♦ ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel. Vraiment. Rien d’autre. Quedal. Quetchi. C’est pas comme si les mecs l’attiraient autant que les filles. Non. Vous vous trompez. (Donc en vérité, bisexuel)

SECTION CHOISIE : Sportive ♦ ANNEE EN COURS : 1ère année ♦ MATIERES SUIVIES : PRINCIPALE : Basketball | SECONDAIRE(S) : Anatomie & Physiologie, Karaté ♦ CLUB(S) REJOINTS : Club de Basketball ♦ DATE D ARRIVÉE DANS L ÉTABLISSEMENT : Janvier 2019 ♦ PERSONNAGE SUR L AVATAR : GAVIN REED de DETROIT:BECOME HUMAN


Code:
<b>DETROIT:BECOME HUMAN</b> ; GAVIN REED <span class="pris">▬</span> [i]Kenichiro Matsuda[/i]


   
 
 
Physique & Caractère
Clope au bec, une habitude difficile à décrocher, quand on a commencé. Toujours pour de mauvaises raisons. C’est plus facile comme ça, quelque part, fumer détend, fumer apaise. Et quand on est encore mineur, boire pour oublier est difficile, à moins d’être discret. Et la discrétion, il sait pas vraiment faire.
Rien que par son envie de ne jamais porter l’uniforme. Pas terrible comme tenue. Tant mieux que l’université ne lui exige rien. Alors il se trimballe, fringué comme un de ses jeunes qu’on ne fréquente pas. Il en a fait son identité. Je suis exactement comme tu le penses. M’approche pas, je te bouffe.

Pourtant, ce n’est pas tout à fait vrai. Sous son blouson en cuir, sa chemise parfois trouée, il rayonne parfois si fort, que l’habit ne fait plus le moine, et que les gens le suivent juste parce qu’il sait jouer avec les codes. C’est un bon japonais : il a retenu les règles, les détourne à son aise.
Et en même temps, parfois, Kenichiro glisse. Les règles, sont fait pour être détruites, parfois sans subtilité. Ça ne l'empêche pas de plaire, de savoir utiliser les mots à son aise. De faire celui qui s’en fout. Celui qui est plus fort que les autres. Il s’illumine pour que les autres viennent vers lui. Toujours le bon mot. Toujours ce charme qu’il tâche de garder.

Toujours jusqu’à ce que parfois, la façade se brise. La frustration. La tension. Les doutes. D’abord la colère, celle qui vous explose à la tronche, quand ses yeux verts, héritage tabou, en deviennent presque marrons. Ils lancent des éclairs, veulent vous brûler, ses poings se serrent. Kenichiro crache sa bile, il fonce dedans, il ne se laisse pas faire.
Puis, les doutes. Peut-il faire ça ? Et s’il n’y arrivait pas ? Fissure dans lequel il refuse de s’enfoncer, de se laisser marquer. Sa cicatrice sur le nez est déjà une preuve de trop pour dénoncer ce qui se cache derrière tout ça.

De toute façon, Kenichiro décroche peu quand il commence à s’accrocher. Il est poussif à un point obsessionnel. Qu’il s’en rende compte ou pas d’ailleurs. Les challenges, les défis, ça lui donne envie de continuer, il en fait son quotidien. Mais bien sûr, s’il perd, c’est à nouveau la tempête.
Nah. Pas son genre de perdre. Il est prêt à tout pour atteindre ses fins. Il sera celui qu’il veut être, il obtiendra tout ce dont il a envie. Pas besoin de faire un caprice, pleurer ne mène à rien, agir, par contre…

Quelque part aussi, peut-être qu’il imite ce qu’il a toujours connu. Ce n’est pas sa mère qui aurait pu lui apprendre la vie, elle qui se tapissait, aussi petite qu’une souris. On ne peut pas imiter les souris, quand le gros rat vous crache dessus. Alors, le jeune homme a appris la violence comme moyen de communication.
C’est plus facile de faire peur aux gens, même si c’est bien aussi parfois de se faire respecter. Mais s’il faut user de la violence pour les deux, ça lui va. Même quand il ne veut pas. Même quand il veut faire autrement. Se calmer, être plus doux… Il n’y arrive pas. Il y a trop de haine, trop de colère. Déjà, sa main glisse dans ses cheveux bruns en bataille, ou coiffés de gel. Déjà, des mots acerbes, interdis, mal vus, se glissent dans sa voix.
C’est là que les gens remarquent les quelques traces de mèches blondes voire même turquoises dans sa chevelure, dévoilant un peu plus un cliché de ce qu’il est.
Quel rebelle.

Parce que c’est ce qu’il est, Kenichiro, non ? Juste un sale gosse, avec qui c’est pas la peine de discuter, qui s’en sort en cours mais que c’est bien un miracle. Pour qui harceler est aussi facile que d'ouvrir une porte.
S’énerver, ne jamais être content, faire souffrir les autres pour se venger de la sienne. C’est si facile à faire, à être. Combiné à la violence naturelle qu’il a appris tout au long de sa vie.
Facile à contrôler, aussi, quand on connaît ça sur le bout des doigts.
Et qu’est ce que Kenichiro aime ça : avoir le contrôle. Savoir que ce qu’il fait se déroulera précisément comme il le désire. Se redressant de toute sa hauteur, plus grand que la moyenne, approchant le mètre quatre vingt cinq sans problème, pour montrant qu’il sait tout. Il sait tellement tout, qu’il ne montre ses véritables capacités que si la violence ne sert à rien. Personne ne peux rien lui faire. Il est trop bon à tout ça.

Seulement, ça serait oublier la fissure. Ca, il ne la contrôle pas. Elle est un pan de lui malgré tout. Un mensonge caché sous des injures.
Elle est celle qu’il tente de mieux connaître, pour l’utiliser dans ses plans, sans y parvenir. Omettant le fait qu’au fond, Kenichiro est humain : il n’est fait que de fissures formant un vase imparfait aux morceaux recollés maladroitement.

Plus une tête qu’il ne veux bien le prétendre, refusant qu’on le sache, refusant de faire plus d’efforts, cela n’est que la première fissure. La plus simple, la plus sympathique. Celle qu’il dévoile presque à l’occasion, mais s’arrangeant toujours pour ne jamais à passer pour un intello. Son attrait pour les choses mignonnes souvent à base de chat, en est une autre. Quelle honte. Un homme aimant ça ? Il en est hors de question. Et puis, son attirance pour les hommes, bien qu’il apprécie les femmes aussi, ne ferait que le briser un peu plus si ça se savait. S’il voulait l’admettre.


Et puis il y a tout le reste. Tout ce que Kenichiro continue de voir comme des faiblesses. L’envie d’être plus sympathique. L’envie de rattraper ses erreurs. Ok, je l’ai frappé, mais pourquoi ressentir cette envie de me faire pardonner ? Une pensée paradoxale qu’il haït. Les doutes, toujours. Quand il passe sa main dans ses cheveux, ou quand il joue distraitement avec son piercing d’oreille, discret petit anneau. Quand il trépigne aussi. Les doutes, toujours eux. Ceux qui savent la vérité : le fait qu’il n’a pas si confiance en lui que ça. Qu’il a juste de la chance d’avoir tout sous contrôle. Que peut-être un jour, la chance s’échappera.

Alors, il se raccroche aux choses qu’il aime. Kenichiro parfois ne fait pas que haïr ou cacher. Il aime des choses. Comme sa mère. Plus qu’il ne voudrait bien l’admettre et qui à ses yeux est bien plus “qu’une chose”, mais une partie importante de sa vie. Qu’elle soit heureuse est aussi une chose qu’il apprécie nettement.
Et puis il y a me sport, qui l’aide tant à maintenir le contrôle, à passer sa colère, profitant de sa grande taille pour lancer le ballon dans le panier. Et tout ce qui peut l’emmener dans d’autres univers : les jeux vidéos, qu’ils fussent MOBA ou MMORPG, mais souvent en multijoueur. La lecture de mangas régulière, surtout ceux de sport. Des hobbies d’otaku, voire d’hikkikomori, de ce genre de type contre lequel il aime mettre le grappin pour se défouler, quand le sport ne suffit plus.
Il aime sortir aussi, fumer, et à l’occasion observer les étoiles, quand il peut, et se dire que peut-être, oui, ça va aller, et qu’il est plus que ça.
Que d’ailleurs, peu importe qui il était. Peut-être que ce qui comptait à cet instant, c’est ce qu’il allait devenir. Ce type qui essayait malgré tout de changer, petit à petit, malgré son perpétuel conflit intérieur. Et les étoiles sont secrètes. Trop lointaines, se contentant de soutenir au loin, de le laisser respirer en paix.
Alors, Kenichiro se sent vrai, quand il les observe. Pas trop prévisible, trop intelligent, trop blessé ou traumatisé, trop violent, trop colérique. Juste, en paix.
 
Histoire
Trigger Warning : Violence conjugale, relation d’emprise, maltraitance sur enfants, harcèlement, mention de gang (rapidos mais quand même)
Paraît qu’on a jamais les souvenirs de quand on est petit. Que c’est normal, le cerveau est pas assez développé. J’ai beau tenté de me rappeler, le premier souvenir que j’ai, c’est ma mère qui souris parce que je me suis foutu de la glace partout sur moi. Et de mon père qui grince des dents, gronde, se retient parce que y a des gens autour, mais que lui, il trouve ça déplacé.
C’était avant la violence qui se voit, c’était celle qui se parlait, pas celle qui marquait le corps.

Mon second souvenir, ça a été la fois où Katashi m’a balancé une bassine dans la gueule, dans la salle de bains. Soi disant que je chialais trop, ou que j’allais pas assez vite. Je me rappelle plus et sa version changeait à chaque fois qu’il en causait. Mais je crois que ça a marqué combien je l’ai haï dès le début. Il voulait pas de moi. Je crois qu’à ses yeux j’étais un cafard qui l’imitait trop, mais vu sa tête de gland, je pense pas qu’il valait beaucoup mieux que moi.

Et puis, après, y a eu les hurlements. Je sais pas comment les voisins faisaient. Osaka ça reste grand. C’est pas Tokyo, mais quand même, c’est pas petit, et les murs y sont tout aussi en peau de chips que dans les appartements de grandes villes. Pourtant la police n'a jamais débarqué chez nous.
Les hurlements, c’était pas que moi et mon frangin. Ce crétin se pensait intelligent mais j’avais souvent le dernier mot. Nan, les hurlements c’était mon père. Les excuses, il en trouvait toujours. Ma mère avait raté le riz. Ma mère avait perdu la télécommande de la télé qu’elle regardait jamais. Ma mère respirait trop fort pour ses pauvres petites oreilles. Pis mon frère aussi, soi-disant y foutait le boucan. Moi, peut-être j’étais trop petit encore pour m’en prendre plein la tronche.
Il se contentait de hurler, quand eux, il les frappait. Je savais pas quoi dire. On m’avait répété de fermer ma bouche, que si je causais à la maîtresse, ça foutrait juste la honte sur la famille. Je voulais pas que ma mère soit vu comme indigne. Je voulais qu’elle puisse continuer de sortir, voir ses copines, même si mon père lui interdisait petit à petit de les voir.

Je crois que j’aurais préféré garder juste en tête mon premier souvenir. Plus glamour, si on omet la réaction de mon vieux. Mais cette réaction, elle était moins salissante et moins frappante que la seconde.
Mais non. La mémoire d’un homme s’arrête pas juste au sourire de sa mère, même quand il préférerait.
Et même si je pouvais oublier, y aurait toujours les marques sur mon corps.

Parce qu’un jour, j’ai été assez grand. Suffisamment pour que j’y passe aussi. Peut-être que ma gueule lui revenait pas. Mon frère avait des reflets roux, moi des yeux verts, tout ça parce que ma grand mère maternelle, elle était pas vraiment japonaise. Paraît que c’est méga rare voire quasi impossible, les yeux verts. Encore plus quand comme par hasard, tes parents sont surtout japonais.
J’ai les mêmes yeux que ma mère, sûrement que c’était une raison suffisante pour me péter la figure, jusqu’à ce que j’arrête de pleurer. Pis pleurer, c’était pas bien. Un mec doit pas chialer. C’est pire qu’une gonzesse. Mon père lâchait des insultes dans le confort de notre maison, comme on respire.
Je peux rien dire, je fais pareil maintenant. Je le comprends : c’est plus facile de frapper les autres plutôt que d’assumer le reste.
Pourtant, qu’est ce que j’avais la haine. De voir ma famille en morceaux comme ça. D’être si petit, si faible, si peu capable d’arrêter les coups. De devoir accepter que tout le monde s’en foutait que le petit Kenichiro se retrouvait avec “un bobo au nez en tombant au parc vous comprenez”. Un bobo, ça laisse pas de cicatrice. Mais ce jour là, j’avais vraiment cherché mon père.


Alors j’ai commencé aussi à en donner. Des coups. De la haine. Surtout de la haine. C’était bien fait. Ça faisait du bien. J’imaginais la sale gueule de mon père en le faisant, ça rendait les choses encore plus faciles. Pis j’étais plus vicieux que les autres. J’avais tellement bien appris toutes ses années : soit je frappais à des endroits discrets, soit je savais menacer, manipuler. Ça a plu à pas mal de morveux. Des gens comme moi qui avaient rien de mieux à faire que de causer par la violence.
J’ai jamais eu d’emmerde, jamais viré, pourtant, ma réputation elle tenait sur les rumeurs qui criaient la vérité. Mais je m’en sortais en cours, le reste du temps, je faisais tout bien comme il faut, à peu de choses près. Ok, le coup des mèches blondes, c’était pas fameux, mais j’étais beau gosse.
Mes cibles préférées, de toute façon, c’était ceux qui fermaient leur gueule. Ceux dont la tête me revenait pas. Ceux dont j’avais toutes les raisons du monde de m’en occuper et de leur faire la leçon. Genre ce petit gars, minuscule, qui causait jamais, qui pourtant vous regardait comme s’il était le plus intelligent. Kinzoku. Je le voyais bien dans son regard combien il était hautain. Comment il aurait pu être autre chose, quand il chialait pas assez à mon goût ?

Il a toujours été mon préféré, je crois. En même temps, c’était facile : il fermait sa gueule, il se défendait pas, et on a pas arrêté de se suivre scolairement parlant. Genre, je rentrais dans une école, et paf, il était toujours là. Parfait. Même si ok, pour le lycée, je l’ai cherché, je l’ai suivi, je voulais pas le perdre.

A côté de ça, ma mère a fini par lâcher mon père. Tant mieux. Je veux bien admettre que ça m’a fait du bien. Que je l’ai suivi sans hésiter. Par contre, j’avoue que voir Katashi suivre mon père, ça m’a fait bizarre. Même si on ne s'entendait pas, même si on se chamaillent dès qu’on pouvait, j’ai pas compris pourquoi il a fait ça, les raisons de son geste. Pourquoi rester avec une crevure qui vous frappait juste parce que vous existiez ?
Alors comme j’ai pas compris, je me suis exprimé à ma façon. Les coups que mon frangin m’a donné, au moins, je les ai rendu. Ma mère voulait que j’arrête. Pas moyen. Pas possible. On s’est frité, et j’ai dû garder une autre cicatrice, il me semble.

Et puis, non content de me foutre en rogne, en détruisant un peu plus la famille, y a fallu que dans ma vie y ait cet autre incident. Mais cette fois à l’école, pour ne rien arranger.
Cet autre type. Qui n’était pas moi. Qui n’avait, même, rien à voir avec moi, mais qui a été suffisamment véhément pour non seulement me repousser, mais aussi, s’occuper de Kinzoku. Comme si Kinzoku lui appartenait. Comme s’il avait le droit de le toucher comme ça, tranquille. Genre. Putain. La rage. J’avais l’air fin. J’avais l’air con devant mes subordonnés. Et surtout, d’où il osait le toucher comme ça ?!
Il n’y avait que moi qui avait le droit de m’amuser avec lui de cette façon.

Le lycée se terminait sur cette fausse note. Ca et les nouvelles sur mon frère, parce que paraîtrait qu’il s’amusait bien avec un gang. Un gang bordel. Même moi, j’étais pas aussi con. Et ma mère désespérée, avec ses yeux doux. J’étais censé m’en foutre. Faire le gamin qui n’en avait rien à faire. Celui qui fermait la porte quand il jouait aux jeux pour pas l’entendre, pour être tranquille.
Mais la vérité, c’est que je pouvais pas m’empêcher de faire attention à elle, tout le temps, j’avoue. Encore maintenant. Je peux pas la lâcher. Je l’appelle souvent. Je veux juste être sûr que ça va.

Et quand je terminais le lycée avec mon diplôme de justesse, j’ai bien sûr tenté aussi de rejoindre Kinzoku. J’avais que ça à foutre. Et puis : hors de question qu’il m’échappe. J’avais envie de continuer de lui rappeler que j’existais tiens. Pas parce que je l’aimais bien. Ca va pas non ? Je vais pas aimer un foutu type pas capable d’exprimer une émotion - sauf quand il chiale -.
N’importe quoi.
Bon. Sauf que je me suis fait recalé, là, comme ça, comme si je valais pas grand chose. Et je déteste quand je n’obtiens pas ce que je veux ou quand les choses m’échappent. Et entre ma famille et lui… J’étais pas prêt de lâcher.

Alors j’ai fais ce que je voulais : j’ai usé de ma tête, de mon charme, de mon bagou, quoi. Ouais, en apparence je semblais surtout taper, mais si je me suis jamais fait choper, c’est bien que je savais quoi faire pour envoûter mon monde non ?
Donc après avoir traficoté dans mon coin quelques infos et tout le reste, j’ai réussi à obtenir ce que je voulais. Ok. Y a aussi fallu passer les examens de remise à niveau, ouais, mais j'ai réussi ! (après je dis pas que c'était parfait, tsé) Comme quoi, quand je veux un truc, je le veux, c'est tout.
En même temps, j’avais de quoi : j’adorais le sport à côté de ça, et j’étais convaincant.
Donc dorénavant, je sais où je vais. Je vais faire comprendre à Kinzoku qu’il ne faut pas s’enfuir loin de moi. Que je déteste ça.
Et qui sait les souvenirs qui en découleront. Je suis sûr que je vais bien m’éclater. Ouais.
 
Au niveau des langues
Japonais : langue maternelle
Anglais : meilleur qu’il n’y paraît
 
Et moi derrière l écran !
PRENOM & AGE : Arthur-Avel / KoalaVolant & 30 ans ♦ COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? Y a très longtemps, en 2007 probablement, par contre, comment, euh, haha….  ♦ PREMIER OU SECOND COMPTE ? Premier ♦ DÉJÀ EU UN COMPTE ICI ? Oui. Mais aucune idée de qui. J’ai pas retrouvé la fiche :/ Maybe Masao Uraomote mais je sais même pas mdrrr ♦ PERSONNAGE INVENTÉ OU ATTENDU ? Scénario ♦ COMBIEN DE TEMPS PEUX-TU ACCORDER AU FORUM ? Autant que possible ^^ ♦ UN TRUC À DIRE ? Euuuuh hey?
Noboru Fujiki
A l'université ; 1è année
Noboru Fujiki
■ Age : 28
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Mon personnage
❖ Âge : 22 ans
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❖ Arrivé(e) en : Rentrée 2018
Noboru Fujiki

À Modifier Re: Kenichiro Matsuda

Dim 5 Jan 2025 - 19:56
Planque Crevette/Kotai loiiiiin d'ici

Non bienvenue ici Innocent Reste loiiiiin de Monsieur Kinzoku et tout se passera bien, sinon je serais obligé de le défendre. Et pas a coup de micro pattes de crevette. Si tu t'en prend à lui tôt ou tard j'irais l'apprendre et ça sera pas beau a voi-

Pousse Noboru et reprend possession du clavier

Bienvenue ici ! Hâte de voir ce que ça ira donner en rp' et comment le personnage ira évoluer d'ici six mois, d'ici un an, voir d'ici encore plus loin ! LV3 : Violence et poings c'est pas super cool pour se faire des amis et arriver à s’intégrer, surtout vu ce qu'il a pu vivre avant, je pense pas que le taux d'utilisation ira baisser rapidement mais peut être qu'un futur sera possible ou monsieur Kenichiro les utilisera beaucoup moins

Bon courage pour la validation !

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Noboru parle japonais en cc3300, anglais en 0066ff et français en 009900
(Ne vous demandez pas quand il ira parler sans râler, sans faire de grimace ou sans soupirer, c'est mieux de ne pas se poser la question... Vous gardez encore espoir comme ça...)
Kotai Kinzoku
A l'université ; 1è année
Kotai Kinzoku
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Kenichiro Matsuda 15Kz7Ph


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❖ Chambre/Zone n° : U-2
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2018
Kotai Kinzoku

À Modifier Re: Kenichiro Matsuda

Dim 5 Jan 2025 - 21:44
*Revient jeter un oeil malgré l'interdiction du Gronchon*

Bienvenue à toi sur le forum et merci beaucoup d'avoir choisi mon prédéfini ! J'ai super trop hâte de pouvoir rp avec toi et que nos personnages puissent... Hmm.. peut-être essayer de dépasser leur dynamique d'origine ? Enfin, pas trop vite, faudrait pas tomber à court de délicieux drrrrrama !

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Japonais : DarkOrange | Anglais : IndianRed
Kenichiro Matsuda D4lswWUMdMGw
Shin Saito
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■ Inscrit le : 29/06/2024


Mon personnage
❖ Âge : 21 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-107
❖ Arrivé(e) en : Septembre 2018
Shin Saito

À Modifier Re: Kenichiro Matsuda

Lun 6 Jan 2025 - 7:27
Malgré ce que peut inspirer le personnage, tu as réussi à faire ressentir de l'empathie pour lui. Chapeau !
J'espère que j'aurais l'occasion de le voir évoluer (en bien ?) ici. En attendant sache que Kotai est bien entouré. Shin n'est pas aussi véhément que Noboru mais il a ses propres méthodes-
En bref, bienvenue !
Milan Cray
A l'université ; 4è année
Milan Cray
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■ Inscrit le : 16/07/2019

■ Mes clubs :
Kenichiro Matsuda TEWzgIo


Mon personnage
❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 1, Appartement
❖ Arrivé(e) en : Avril 2015
Milan Cray

À Modifier Re: Kenichiro Matsuda

Lun 6 Jan 2025 - 12:50
Owiii un basketteur !! Bienvenue câlin
(comment ça j'ai pas lu le reste ? non mais c'est pour mieux garder la surprise sisi)

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"Tired of being what you want me to be I don't know what you're expecting of me
Put under the pressure of walking in your shoes Every step that I take is another mistake to you"

Linkin Park - Numb


Kenichiro Matsuda Jlry

Kenichiro Matsuda G0xm

Milan parle en japonais :#cc3333
Milan baragouine comme il peut en anglais avec un très fort accent : #cc6600
Kenichiro Matsuda
Non validé ; bouhouhou
Kenichiro Matsuda
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■ Inscrit le : 05/01/2025

Kenichiro Matsuda

À Modifier Re: Kenichiro Matsuda

Jeu 9 Jan 2025 - 21:02
Merciiii à touuus !
@Noboru : Je resteraaais jamaaaais loiiin de luii jaaamaaais !!! Et on verra si jamais oui Kenichiro cessera donc sa violence. En vrai, on y crois ! ... Ou pas.

@Kotai : Coucou toi *regard appuyé* Et ouiii draaamaaa, et on verra donc bien ce qu'il va se passer, mwahahaha

@Shin : Merci beaucoup ><. Et mince, monsieur Kinzoku à sa garde rapprochée, les choses se compliquent XD

@Milan : Wouiiii ! Et en vrai euh, au pire, euh, tu auras une surprise explosive XD
Seito Mori
Elève ; en 3ème année
Seito Mori
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■ Mes clubs :
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❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : L-1
❖ Arrivé(e) en : Fin Novembre 2016
Seito Mori

À Modifier Re: Kenichiro Matsuda

Dim 12 Jan 2025 - 15:17

Modération de fiche

Bienvenue parmi nous

Bienvenue sur le forum Kenichiro !  Kenichiro Matsuda 1f60a

C'est moi qui vais t'accompagner sur la correction de ta fiche jusqu'à sa validation !

Informations générales

Date d'anniversaire : Il manque l'année de naissance. Kenichiro doit être né en 1998 pour avoir 20 ans.

Code : Il te manque le milieu du code secret disséminé dans les textes importants du forum.

Physique & Caractère

Avatar : Tu mentionnes des yeux verts mais sur l'avatar ils sont marrons. Il faudra faire la retouche d'image.

Yeux : D'ailleurs, en parlant de ses yeux, tu dis qu'ils deviennent presque marrons quand Kenichiro est en colère. Mais j'imagine que c'est une figure de style ? La phrase porte à confusion.

Poids : En plus de la taille, il faudra ajouter son poids exact.

Taille : Il est très grand pour un japonais. Mais de ce que j'ai compris, cela s'explique par le métissage de sa grand-mère et donc de sa mère. De quelle nationalité sont-elles ?

Mèches de cheveux : Ses mèches colorées sont-elles occasionnelles ? Si elles sont permanentes et qu'il les entretient, il faudrait que cela soit visible sur l'avatar.

Histoire

Tout est bon ici. Mais tu peux tout à fait argumenter sur le métissage de la mère dans la partie Histoire plutôt que Physique.

Langues

Anglais : Peux-tu me préciser son niveau ? Correct, bon, très bon. Ecrit et parlé ?

Petit mot de Seito

Des petits détails à ajouter par-ci par-là mais aucun problème majeur détecté  Kenichiro Matsuda 1f4ab Ta fiche est très plaisante à lire, Kenichiro est plus complexe qu'il n'y paraît et donne envie d'être connu !

Pour plus de clarté, merci de mettre les modifications faites à ta fiche en gras pour que l'on puisse voir d'un seul coup d'œil que tu as édité ta fiche !

Préviens à la suite de ce message quand c'est fait.

En cas de questions, je suis disponible à la suite de ce message, en MP Forum ainsi que sur Discord (via ticket). Au moindre souci, n'hésite surtout pas à venir toquer à ma porte !
KraKhot - Inspired by Awful

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Kenichiro Matsuda 75366_s
Comme un jour sans lumière | Ou un orage sans éclair | Emerger sans toi n'aura aucun sens.
Une route pleine de dangers, on adhère, alors... | Risquons tout pour s'accorder cette chance.
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À Modifier Re: Kenichiro Matsuda

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