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Junko Fushita
A l'université ; 3è année
Junko Fushita
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Ven 5 Jan 2024 - 1:00
Dimanche 1 juillet, dans l'après-midi.

Junko a pris un repas succinct, encore bien énervé par la discussion du matin même, en compagnie du jeune Naoya et de son amie Kazane Mitsugu. Toute cette histoire autour du rouquin commence sérieusement à lui taper sur le système. Si ce n'était que ça... A vrai dire, cela fait bien une semaine que Jun est tendu, voire anxieux. Il a recommencé à avoir un tic de jambe sans repos à chaque fois qu'il est assis ou en position lui permettant de faire trembler celle-ci pour évacuer un stresse constant. Ces deux dernières semaines n'ont clairement pas été de tout repos pour lui, et de toute sa vie, il n'a pas connu pire rentrée scolaire.
Oui, parce que même s'il avait déjà commencé son trimestre à Tokyo, être transféré à Kobe c'est tout de même l'équivalent de refaire une rentrée. Les cours ne se suivent pas, et il a un peu de mal à s'y retrouver entre ceux qu'il a quitté à l'université de Tokyo et ceux qui sont en cours au campus de KHS. Quand bien même, il tente de s'accrocher. Il tente seulement puisqu'après avoir subi un séisme, s'être inquiété pour Naoya et avoir découvert toute l'histoire, il a fallu qu'à tout ça se rajoute Arizona.

Le brun s'adosse contre le muret près des dortoirs et lâche un profond soupire alors que ses yeux bruns se lèvent jusqu'au ciel. Il regarde l'heure sur son téléphone. 14h.
La petite Emma ne devrait plus tarder.
Il a aussi un message d'Arizona.

Oui, parce qu'Arizona, ça n'avait pas l'air d'en finir. Non contente de l'avoir expulsé de sa vie le week-end précédent, elle s'amuse maintenant à l'appeler à 3h du matin pour pleurer au téléphone et tout en même temps lui hurler tous ses défauts. Il ne comprend rien. Junko il sait plus sur quel pied danser avec elle, actuellement.
Elle le vire, puis l'appelle pour se rassurer pour les répliques, elle s'occupe de ses soeurs à lui alors que ça n'a plus de sens, puis silence radio, et maintenant cet appel de désespérée à 3h du matin, sous l'emprise de l'alcool. La tête dans le brouillard, Jun lui a envoyé un message au réveil : un simple gif, rien de particulier, comme rien ne lui venait à l'esprit en terme de mots. Elle en a mis du temps à répondre.

Lorsqu'il ouvre son message, c'est un autre gif qui lui répond. Rien ne passe sur son visage, mais dans son esprit c'est un train à grande vitesse qui fait des cercles. Junko lui en renvoie un et range son téléphone dans sa poche. Un nouveau soupire s'échappe du jeune homme, alors qu'il ferme les yeux et laisse sa tête se reposer contre le muret.

Il n'a pas vraiment de temps à lui accorder aujourd'hui et il se demande même pourquoi il persiste à lui répondre ainsi. Il devrait plutôt lui foutre un "vu" et la laisser couiner dans son coin. Quelque part, il a vraiment l'impression qu'elle joue avec lui, par pure et simple vengeance. Ce comportement l'énerve, vraiment. Ça le rend dingue. Ça le rend dingue de voir qu'il est assez con pour lui renvoyer un nouveau message, cinq minutes plus tard.
Agacé par sa propre attitude, Junko met son téléphone sous silencieux et le range de nouveau dans la poche de son short. Sourcils froncés, il regarde le sol alors que le temps passe étrangement lentement comme il attend.

Il n'a pas le temps pour les conneries d'Arizona.
Il a rendez-vous avec la petite blonde de la bibliothèque : Emma Walker. Elle s'est enfin décidée à le contacter, et il a sauté sur l'occasion lorsqu'elle lui a proposé une sortie. Si elle ne s'était pas avancée sur la nature précise de leur entrevue, Junko a frappé du poing sur la table pour appeler un chat, un chat. Oui, c'est ça, il a un date avec la canadienne.

Après tout, pourquoi pas. Elle est assez mignonne avec ses cheveux blonds et son nœud, sa façon d'être discrète mais à la fois pas du tout, tant elle est maladroite. On verra bien.
Il verra bien.

D'après ses messages, il suppose qu'elle devrait encore avoir ses béquilles. Ils doivent se rendre à la plage et il espère que ça ira pour le trajet. Sinon, il a déjà une idée de comment ça se finira. Allez, on se détend. Junko fait rouler ses larges épaules dans l'espoir d'étirer un peu son corps et relâcher la pression dans ses muscles. Le stresse se fait ressentir partout. Il dort mal, et il ne se repose pas quand il le fait. Il mange, quand même, mais il n'a pas l'impression que ça change grand chose à son moral. Quoique la veille, il a bien rencontré quelqu'un qui pourrait rendre ça plus intéressant : quelle veine de tomber sur ce blond là, ce Kazuki. Jun' ne manquera pas de le recontacter sous peu.

Tap, tap, tap.
Le bruit régulier de béquilles sur le sol. Junko se redresse, et glisse ses yeux sur leur propriétaire alors qu'un sourire prend place sur son visage.

« Yo ! Comment va cette demoiselle ? » salue t-il en s'approchant, mains dans les poches. « A t-elle au moins le moral ? »


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Sam 6 Jan 2024 - 20:38

Je ne sais pas comment je me sens. Mise à part que je me sens littéralement comme une patate. Ce weekend, je ne travaille pas. Habituellement, je suis à la boutique, mais quand mes patrons ont appris que mon pied n’avait pas aimé le séisme, ils ont eu la gentillesse de bien vouloir me laisser le weekend. Je les ai rassurés en disant que ça irait mieux la semaine prochaine. Je prie pour que ce soit réellement le cas. Déjà que je suis au bout de ma vie, je ne peux pas danser pour encore quelques semaines et je me demande bien comment je vais faire pour les examens. Mine de rien, ils arrivent rapidement ! J’espère que mon prof va être compréhensif si jamais j’ai encore quelques soucis. Bref, la semaine a déjà été assez longue en laissant de côté le sport que je fais habituellement. Les soupirs passés, quelques livres en tout genre de lus pour me changer les idées, j’ai fait tout mon possible pour oublier tous mes problèmes et ne pas trop anticiper mon weekend. Je suis quand même un peu anxieuse de ma date avec Junko Fushita.

J’ai mis, encore une fois, beaucoup trop de temps pour me préparer. J’ai fini par opter pour une jupe en jean, avec un cuissard en dessous pour être confortable, avec un petit haut très léger jaune. Pour mes cheveux, je les ai attachés, simplement avec un ruban noir, pour aller avec la couleur de mes souliers.

Durant la semaine, j’avais aussi préparé quelques petites choses. Du thé glacé maison, avec des biscuits que j’ai fait durant le club de cuisine, mais aussi quelques sacs de snacks en tout genre. Il y a une partie de moi qui veut vraiment que ce soit parfait. Je veux vraiment que ça se passe bien avec lui. Je le trouve à la fois intriguant, mignon et absolument pas de ces japonais coincés et ça fait du bien parfois. Une petite partie de moi souhaite aussi que tout se passe bien pour fois. Je souhaite avoir du fun. Ça m’arrive de temps en temps, mais pas assez souvent, j’ai parfois l’impression. Une fois prête, une fois tout mis dans mon sac à dos, je me suis armée de mes SUPERBES béquilles – si je pouvais rouler des yeux à l’infini en ce moment je le ferais –, puis je me dirige tranquillement à l’entrée du campus.

Ça me prend beaucoup trop de temps pour m’y rendre. Genre mille ans. J’ai l’impression que ça me prend une éternité. Je me trouve lente et je me maudis, en me disant que j’aurais dû partir un peu plus tôt. Je me dépêche du mieux que je peux, mais honnêtement, c’est vraiment pas facile de le faire. En plus, je n’aime pas du tout le bruit que ça fait, tout le monde me regarde, me juge presque. Enfin, j’ai cette impression que des gens me jugent.

Bref.

Je finis par arriver. Heureusement. J’aurais pu lui écrire tout simplement, mais je pense que ça m’aurait encore plus retardée. Je suis soulagée d’être à destination… pour le moment. Je lui fais un beau sourire alors qu’il fait de même. C’est Fushita qui ouvre le bal me demandant comment ça va.

Je suis mitigée et je n’hésite pas à lui partager tous mes sentiments.

- Salut ! Cette demoiselle a juste envie de balancer ses béquilles au bout de ses bras, mais son pied ne voudra rien savoir. Mais sinon le moral fait ce qu’il peut. Je suis contente de pouvoir passer ce moment en ta compagnie. Au fait, désolée pour le retard, me déplacer me prend plus de temps que prévu.

Je ne peux pas m’empêcher de pousser un petit soupir de découragement. Les gens ne peuvent pas savoir comment j’en ai déjà marre de ces béquilles-là et que je veux juste frapper des trucs avec. Mais bon, je finis par lui faire un beau sourire, laissant tout de côté pour lui retourner la question :

- Toi ça va bien ? Tu as rêvé à cette sortie depuis notre dernière rencontre ?

Je lui fais une légère grimace pour lui montrer à quel point je ne suis pas trop sérieuse.

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Tenue d'Emma

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Dim 7 Jan 2024 - 20:50
Emma lui répond d'un beau sourire et il laisse ses yeux bruns détailler sa tenue de haut en bas. Ça n'a plus rien à voir avec sa tenue très sporty et casual de la bibliothèque. Elle a pourtant gardé son nœud dans les cheveux, mais a préféré un petit crop top jaune un peu pastel, avec une mini-jupe en jean dévoilant la peau de ses jambes. Et parce qu'il n'y a rien de plus pratique que des baskets, elle en porte aussi pour donner à son look une touche un peu plus décontractée. Junko ne la connait pas assez bien pour savoir s'il s'agit d'une tenue habituelle chez elle ou si elle a fait un petit effort vestimentaire pour lui plaire.
Dans tous les cas, il la trouve assez mignonne comme ça.

« Salut ! Cette demoiselle a juste envie de balancer ses béquilles au bout de ses bras, mais son pied ne voudra rien savoir. Mais sinon le moral fait ce qu’il peut. Je suis contente de pouvoir passer ce moment en ta compagnie. Au fait, désolée pour le retard, me déplacer me prend plus de temps que prévu. »


Elle a quelque peu perdu son sourire dans un soupire lassé et Junko l'observe avec le sien, toujours présent et immobile sur son visage. Il ne comprend que trop bien que ça doit être vraiment relou de se déplacer en béquilles. Aussi se demande t-il s'ils ont bien fait d'opter pour la plage, pour se voir tous les deux. Peut-être devraient-ils prendre le bus pour s'y rendre, même si ça n'est pas si loin à pieds.

« Tu en as encore pour longtemps à te trimballer ça ? » demande t-il d'une voix calme. « Tu t'es pas loupée, en vrai. »


Elle qui lui disait n'avoir pas grand chose après le séisme, finalement, c'est bien plus grave que prévu. Junko darde ses yeux bruns dans ceux de la jeune femme, et tend une main pour lui prendre les sacs qu'elle porte avec elle et la débarrasser. Faire preuve de galanterie, ça ne peut que lui rapporter des bons points, après tout.

« Je te prends ça. » lâche t-il, et il n'attend pas de réponse à ça.


La petite blonde lui offre un nouveau sourire et il engage le pas après l'avoir invitée d'un geste de la tête. Il ne compte pas rester devant les dortoirs éternellement, et quelque part, il a quand même très envie de sortir du campus et passer un après-midi à la plage. Ce sera la première fois pour lui, qu'il s'y rendra. Avant les examens, c'est parfait pour décompresser, sachant qu'il passera surement sa semaine à réviser.

« Toi ça va bien ? Tu as rêvé à cette sortie depuis notre dernière rencontre ? »


Tout en marchant, Junko glisse son regard sur elle dans un sourire malicieux et taquin. Eh bah, elle a mangé du lion aujourd'hui, la petite Emma. Où est donc passée la jeune femme rougissante de la bibliothèque ? Le japonais ne veut pas être médisant, mais il est certain que s'il joue au même jeu qu'elle, il la retrouvera parée de son rouge aux joues. Pourquoi pas, après tout ? C'est amusant, finalement, de la mettre mal à l'aise, dans le bon sens.

« Tu t'es faite désirer, mais je sais être patient pour obtenir ce que je veux. » répond t-il nonchalamment, mais dans un sourire en coin, ses prunelles brunes attrapant celles de l'étudiante.


Junko la fixe, attendant de voir si elle compte lui répondre et engager les hostilités, ou s'il a touché juste pour la voir se peindre d'un joli rose sur son visage blond.

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Ven 19 Jan 2024 - 22:03

Ça me redonne un peu foi en la vie quand je vois son sourire, parce que moi, cette situation me déprime un peu. J’essaie quand même de ne pas trop penser à ce fâcheux accident, j’essaie aussi de mettre de côté le fait que j’ai pas mal eu peur avec le séisme. Ce n’est pas quelque chose d’inconnu, je sais qu’il y a des séismes au Japon, c’est seulement que c’était la première fois que j’en vivais un. J’ai fait ce que j’ai pu, comme on peut le faire dans ces situations, mais en vrai… Ça n'a pas été un franc succès.

- Je dois voir retourner à l’infirmerie demain pour voir si je les garde ou non. Je me croise les doigts pour que tout soit bon, mais je ne sais pas ce que je vais faire avec les examens qui arrivent bientôt… Je ne sais pas ce que je vais faire pour la danse. En tout cas, on laisse ça de côté pour le moment.

Je fais un mouvement de ma main pour chasser toutes ces mauvaises pensées que j’ai en tête. Il suffit seulement de penser à autre chose, passer à autre chose, même chose dans tous les cas. Fushita me fait l’immense honneur de prendre mes sacs, je n’ai rien demandé, j’aurais pu les trimballer par moi-même, mais je ne suis pas contre le fait qu’on me prenne un peu pour une princesse et qu’on veuille prendre soin de moi… Bien que ce soit probablement éphémère. Mais je le remercie grandement, aussi grandement que sa grande taille, parce que… Pour de vrai, je suis bien soulagée d’avoir ça en moins, déjà que les béquilles sont un vrai fardeau.

- D’accord, merci beaucoup !

Et des fois je me trouve complètement idiote. Je ne sais pas comment faire avec les gens, je ne sais pas comment draguer, je ne sais pas si j’ai envie de draguer non plus. Tout ça, c’est un peu confus. Une partie de moi entend ma tante qui me souffle de profiter de ma jeunesse, d’avoir du fun – en restant quand même prudente, il ne faut pas abuser non plus –. Je regrette un peu de ce que je lui ai dit. Je disais ça pour plaisanter moi ! C’est mon erreur, je dois vraiment prendre sur moi, je dois vraiment être capable de ne pas rougir aux trois secondes et quart parce qu’il a dit un truc. Un truc qu’il a dit parce que j’ai dit un truc débile, quoi. Ma spontanéité me vaudra ma mort l’un de ces jours, j’en suis plus que convaincue.

Avec un peu de chance, ce sera une belle mort.

Clairement, on peut dire qu’en ce moment, cette conversation a toutes les allures d’une montagne russe. Nous voilà maintenant dans la montée. Il faudrait bien descendre en toute délicatesse, mais je crains que ça n’arrive pas. C’est comme le Monstre de La Ronde… Mmh, le Monstre est un peu vieux et ne fait pas si peur que ça… L’Ednör serait peut-être un peu plus à propos.

J’ai toujours refusé de faire ce manège, il m’a toujours fait trop peur.

- Il fallait bien te faire patienter un peu, il n’aurait pas fallu que tu penses que j’avais envie de te revoir dès le lendemain. Ça aurait été un peu trop précipité.

En tout cas, c’est ce que m’avait suggéré quelques amies… Je n’aurais peut-être pas dû attendre si longtemps non plus. Ça aurait été plus cool cette sortie sans ces satanées de béquilles.

Et en plus, je trouve ma réponse toute pourrie... Je me trouve nulle, comme cette réponse, comme mon sens de la répartie qui est partie faire un tour particulièrement loin et semble ne plus vouloir revenir.

Ouais je suis pas mal nulle.


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Jeu 25 Jan 2024 - 9:01

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Ceci est une intervention divine

Rina, en première année à l’université, a tout de la japonaise aux traits standards et à l’habillement neutre. Elle a dû aller faire quelques courses afin de s’assurer de ne manquer de rien pour les révisions. Papier, crayon, efface, surligneur.. Elle a même acheté un nouvel aiguiseur au cas ou l’autre brise. Elle n’a pas de temps à perdre. Elle doit déjà commencer à préparer ses fiches sur les différentes matières ainsi qu’à planifier son horaire d’études dans son bullet journal qu’elle doit terminer de mettre tout beau pour qu’il égaye ses journées et lui donne envie de l’ouvrir pour consulter son avancée des études. Elle sait bien qu’elle est d’avance, mais on n’est jamais trop d’avance pour performer et avoir les meilleures notes possibles pour s’assurer un avenir.

Elle retourne sur le campus, le sac contenant ses achats en main en plus de son mini sac à dos… Sur le dos… Elle est un peu perdue dans ses pensées et ne regarde pas trop autour d’elle, dans sa bulle. Au tournant pour entrer sur le campus, elle fonce donc inévitablement dans un poteau qui n’était pas là plus tôt. Un poteau? Non. Un… Garçon?

Elle lève les yeux et se perds dans le regard de Junko en prenant une teinte pivoine. Ce qu’il est beau! À cet instant, c’est comme si le temps s’était figé. Elle pourrait le contempler pour l’éternité. Est-ce que… Est-ce que c’est donc ça un coup de foudre? Venait-elle de trouver l’amour de sa vie? Qui était cet intrigant bel homme? Par contre.. Il vaudrait mieux qu’elle s’excuse puisqu’elle l’a percuté.

-B-Bonjour.. Euh.. P-Pardon!! Vraiment je suis désolée! Euh.. Enchantée! Je m-m’appelle Noguchi Rina….. Je…

Son regard se posa alors sur la jeune fille juste à côté de lui, réalisant sa présence et alors, la déception envahit son regard. Elle devra donc se résigner à la triste réalité: Le coup de foudre éternel n’est pas pour aujourd’hui.. Et se pencha un peu en direction de celle-ci pour s’excuser.

-V-vraiment désolée.. Je.. C’était un accident, j-je vous le promet!! Je.. Pardon d’avoir regardé.. euh non.. d’avoir heurté v-votre petit ami…

Elle garda la tête basse pour cacher sa honte et s’éloigna tout en lâchant de façon juste assez audible:

-Vous en avez de la chance….

Maintenant, la fuite était la seule option possible… Vivement qu’elle doit étudier et réviser au max.
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Lun 29 Jan 2024 - 14:17
Si Junko n'en donne pas l'air, avec son sourire détaché et son regard qui glisse nonchalamment sur les environs autour d'eux, il l'écoute attentivement. Elle dit être un peu angoissée pour ses examens et pour la danse, à cause de sa blessure et de ses béquilles. Il note dans un coin de sa tête, toute information utile à son sujet. Elle fait de la danse alors... et si elle doit garder ses béquilles quelques semaines, il ne peut que compatir. Ça le rendrait lui-même dingue de ne plus pouvoir faire de sport à cause d'une blessure pareille.

Elle le suit à son rythme et Junko ralentit le sien pour ne pas la brusquer. Avec ses grandes jambes, c'est facile pour lui de marcher vite, mais elle, avec ses béquilles, elle a déjà un handicap en plus de sa petite taille comparée à lui. Il darde ses prunelles sur elle, alors qu'elle lui répond, guettant le moindre signe de rose à ses joues.

« Il fallait bien te faire patienter un peu, il n’aurait pas fallu que tu penses que j’avais envie de te revoir dès le lendemain. Ça aurait été un peu trop précipité. »


Oh, alors elle est de la team "j'attends un peu sinon j'ai l'impression d'être acquise trop facilement".
Junko n'a jamais compris cette tactique, quand on veut quelque chose, on y va c'est tout. Quand bien même il est adepte de souffler le chaud et le froid, il n'a jamais trouvé ça intelligent de laisser couler quelques jours pour proposer quelque chose ou accepter une invitation. Le silence radio, ça se fait après, pas avant. Paroles de lover.
Il a un léger sourire taquin.

« Et c'était le cas ? » demande t-il en plongeant ses prunelles brunes dans celles bleues de la demoiselle, se penchant quelque peu vers elle. « Tu avais envie de me revoir, dès le lendemain ? »


Ses cheveux noirs attachés en demi-chignon coulent de ses épaules alors qu'il est penché vers elle, ses yeux faisant quelques accrocs sur quelques parties du visage d'Emma, entre ses yeux et ses lèvres, entre son petit nez tout cute. Il cherche la moindre faille, la moindre micro-expression qui lui donnerait satisfaction de l'avoir déstabilisée un peu. Beaucoup.
Son petit manège est arrêté par quelqu'un qui lui rentre dedans. Junko porte son regard sur cette tierce personne. Une jeune japonaise, visiblement étudiante, et à la teinte pivoine qui jalouserait presque celle que peut prendre la canadienne. Des longs cheveux noirs, des traits typiques. Elle balbutie quelques mots sous le regard amusé de Junko. Noguchi Rina mmh ? Elle n'a rien de particulier qui pourrait accrocher l'intérêt du hafu. Finalement, elle se rend compte de la présence de la petite blonde à côté de lui, lance quelques excuses en prenant Jun pour le petit-ami d'Emma, et s'en va sans demander son reste.
Junko rit doucement, amusé et l'égo un peu reboosté par cette rencontre impromptue et si rapide.

« Tu vois, fallait peut-être pas attendre. » lâche t-il dans un sourire malicieux à Emma, en se remettant à marcher.


Qu'elle l'interprète comme elle le souhaite, après tout, il reste vague et de façon tout à fait consciente.
De loin, il voit la navette pour la plage arriver à l'arrêt et court jusqu'à elle pour demander au chauffeur d'attendre. Un pied engagé dans le bus, il fait signe à Emma, son fin sourire détaché planant sur son visage.

« Le carrosse de ma petite-amie est avancé. » plaisante t-il dans un léger rire.


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I can sell you dopamine Empty Re: I can sell you dopamine

Ven 9 Fév 2024 - 21:04
Je ne lui raconterais pas le comment du pourquoi. Même moi, je ne suis pas certaine si c’était une bonne chose d’attendre. Puis, bon j’ai une vie plutôt chargée ! Entre les cours, le travail, les études, mon semblant de vie social, des fois, je me demande comment je peux faire. En plus dans tout ça, je ne parle pas d’entraînement pour rester en forme pour les cours de danse.

Quoi qu’en ce moment, c’est un peu mort, vu l’état de ma cheville. Je prie pour que ça revienne à temps d’ici les examens, sinon je vais être vraiment dans la…

En tout cas.

Je le regarde. Je n’ai pas peur de ses yeux, ni du grand méchant loup qu’il peut être. Méchant, je ne suis pas certaine, loup, un peu plus. Un loup lover. C’est quand même un peu gênant de lui avouer la vérité. Mais lui conter un mensonge, ça ne se fait pas.

- Disons… le surlendemain.

Le temps que je me remette d’abord de mes émotions avant de vouloir impérativement le revoir. Mais oui, ça ne m’a pas pris beaucoup de temps de vouloir le revoir. C’est pas tellement parce que j’ai hâte de le dater, c’est surtout que je me pose beaucoup trop de questions sur ce gars que j’ai rencontré, plutôt BG, qui étudie la médecine et tout ça.
On papote et tout et pendant un instant, j’ai l’impression que tout va au ralenti, ou juste beaucoup trop rapidement pour que j’y comprenne quoi que ce soit. Enfin, oui, j’ai compris, mais disons que j’ai quand même l’impression de vivre complètement à côté de la plaque en regardant ce qui se passe. D’abord une demoiselle que je ne connais absolument pas qui fonce dans Fushita. Et pendant ce moment, il y a un moment de flottement. Comme si quelque chose se passe, mais qu’en réalité, tout le monde est juste figé dans une fraction de seconde. Je vois le visage de la demoiselle virer au rouge. Clairement, elle a un crush sur lui, quelque chose du genre.

Elle ne perd pas de temps pour s’excuser et se présenter au passage. Quand elle me regarde, j’ai l’impression d’être un caca. Pendant un moment, j’ai l’impression que je viens de détruire sa vie amoureuse, ainsi que l’extension qu’elle pouvait en faire en s’imaginant être avec Fushita. J’essaie d’attraper le regard de la demoiselle, mais il n’y a pas moyen, cette Rina se penche, s’excuser à nouveau, disant que c’est un accident. J’ai l’impression d’être la peste ou d’être une peste. J’ai l’impression qu’elle perçoit cet événement comme un affront à mon égard alors que… À vrai dire… C’est juste un accident.

QUOI !? NON MAIS !

- Mon… ?

J’ai VRAIMENT bien entendu !? Je suis soudainement prise d’un doute incroyable. Je vais pour protester, mais ce n’est pas le bon moment, là voilà qu’elle se sauve. Je reste vraiment sans voix. Je ne sais pas quoi dire. Une partie de moi sait bien que je suis rouge, j’essaie de vivre dans le déni.

Et finalement, cette histoire, ne fait que me tomber sur moi. Fushita se moque, en me disant que je n’aurais pas dû attendre et je ne sais pas quoi lui répondre.

C’est juste qu’avant… C’était peut-être pas tant le bon moment, je n’avais pas vraiment le temps non plus. Je ne sais pas quoi lui répondre. De toute façon, je ne pense pas qu’il y ait de bonne réponse à ça. Bref, on reprend notre marche, mais voilà que Fushita pique un petit sprint pour se rendre jusqu’au bus qui va nous permettre d’aller jusqu’à la plage. Perso, j’ai déjà les aisselles en feu, alors, je ne vais pas faire style de piquer une course moi avec. Je trouve son attention gentille. Je trouve ça sympa qu’il fasse attendre le chauffeur. Personnellement, j’accélère quand même la cadence parce que je me dis que les gens doivent attendre après moi pour aller faire leur petit pique-nique sur la plage. C’est un peu gênant tout ça. C’est encore plus gênant que lorsque j’arrive finalement au bus, voilà que Fushita se moque encore de ce que l’autre à dit, m’appelant au passage sa « petite-amie » alors qu’on a juste rien fait. On ne s’est même pas tenu la main.

Allez, faut voir ça du bon côté ? J’ai quand même un petit sourire timide alors que je monte avec mes béquilles et je m’installe à l’endroit le plus simple pour moi et qu’il y a place pour deux. Bref, pas trop loin de la sortie parce que sinon, je m’en sortirais jamais.

- Merci bien d’avoir retenu le carrosse, mes bras et ma cheville t’en remercient.

Posée, je me sens mieux. Pour vrai, une chaise roulante aurait peut-être été plus pratique. Mais je n’étais pas pour me plaindre, après tout, je suis assez jeune pour utiliser des béquilles et marcher. Posée, je me rends compte que je ne sais pas comment poursuivre notre conversation, je ne sais pas quoi lui dire. Je me trouve un peu nul. Une partie de moi se dit qu’un jour, il va falloir que je regarde sur des sites internet ou des trucs du genre pour avoir quelques idées quoi. J’ai une petite moue bien malgré moi.

- Au fait, j’ai apporté quelques petits trucs à grignoter… je ne savais pas trop ce que tu aimes, alors euh… voilà. Enfin, pas pour tout de suite, mais… voilà. J’en ai fait quelques-uns…

Voilà, c’est nul. Il va me trouver nul.

Je me questionne encore à savoir ce qu’il trouve intéressant chez moi.

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Junko Fushita

I can sell you dopamine Empty Re: I can sell you dopamine

Lun 15 Avr 2024 - 15:28
Junko la regarde venir jusqu'au bus, clopin-clopante sur ses béquilles, sa queue blonde soutenue par son noeud sautillant derrière sa tête. Elle ne répond rien à sa remarque, mais il se doute qu'elle doit être prise au dépourvu et il guette le rouge à ses joues, son regard brun s'animant d'un lueur d'amusement. Qu'elle soit mal à l'aise, ce n'est pas étonnant finalement. Il est plutôt sûr de lui et il s'en amuse beaucoup. Il la laisse passer devant lui et s'installer là où elle le souhaite, prenant le siège à côté. Jun' la débarrasse de ses béquilles, et les cale contre lui.

« Y'a pas d'quoi, c'est normal. » la rassure t-il lorsqu'elle le remercie.


Il darde ses yeux sur Emma, puis le bus démarre. Un léger silence flotte entre eux, jusqu'à ce qu'elle le brise après une petite moue qu'il n'a pas manquée. Elle trahit encore une nouvelle fois sa gêne, et il tourne la tête vers la petite blonde, sourire aux lèvres. Junko n'a pas peur de la regarder dans les yeux, il cherche même à ce qu'elle fasse de même.

« Au fait, j’ai apporté quelques petits trucs à grignoter… je ne savais pas trop ce que tu aimes, alors euh… voilà. Enfin, pas pour tout de suite, mais… voilà. J’en ai fait quelques-uns… »


Junko fait flasher ses dents entre ses lèvres et il glisse ses yeux sur les sacs qu'il tient toujours.

« Je ne savais pas que tu cuisinais. » répond t-il pour s'intéresser à elle. « Tu as fait quoi de beau ? »


Le brun visse son regard dans le sien et alors que le bus fait un premier arrêt, il pose nonchalamment son bras sur le haut du dossier du siège d'Emma, pour se tourner un peu plus vers elle et discuter. Et comme il est quand même grand même assis, il coule ses yeux sur la tenue de la canadienne, avant de la regarder de nouveau dans les yeux.

« J'aime bien. Ta tenue. » lui dit-il dans un sourire. Avant d'enchaîner en laissant ses prunelles dériver sur le paysage qui défile. Ils se rapprochent de la plage. « C'est vraiment cool qu'il fasse beau aujourd'hui. »


Un petit compliment placé ici, juste pour le plaisir de la déstabiliser une nouvelle fois. Quoiqu'elle commence à répliquer la petite Emma. Elle a besoin d'échauffement, peut-être. Junko pose ses yeux sur elle, en lui souriant toujours d'une expression légère, amusé.

tenue de junko:
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Mar 2 Juil 2024 - 1:39
Il me met dans ces états, ce gars-là, j’en peux plus. Enfin, j’en peux plus de moi. Il a toujours ce beau sourire aux lèvres et n’hésite pas à me regarder dans les yeux. Je pose également mon regard bleu dans le sien qui est brun. Même si les gens trouvent que le brun c’est moche pour des couleurs d’yeux, moi, je trouve qu’il peut y avoir quelque chose de très beau. Fushita en vient même à s’intéresser à la nourriture que j’ai apportée. Je dois admettre que ça a été un sacré défi pour trouver des choses variées, surtout, sachant que j’ai AUCUNE idée de ce qu’il aime ou non.

- J’ai un mélange de noix épicés, des cookies et un peu de pain aux courgettes et dattes. C’était un peu compliqué parce que je ne sais pas trop ce que tu aimes alors je suis allée sur des trucs un peu différents. Bon, c’est vrai que ce ne sont pas tant des snacks japonais par contre, mais c’était des trucs que je peux faire rapidement et qui se conservent quand même bien. Oh ! J’espère que tu n’as pas d’allergies alimentaires !

Je parle clairement trop, il doit tellement me trouver ennuyante surtout quand je me mets à parler nourriture et que je m’emporte un peu, comme en ce moment. Mais ma bulle de cerveau concernant les allergies alimentaires est tellement importante. Je m’en voudrais d’avoir cuisiné quelque chose qui ne peut pas manger. Pire, je pense que je mourrais de honte si jamais j’ai cuisiné quelque chose qu’il n’aime pas du tout. Bref, je lui présenterais ça un peu plus tard, si jamais nous avons un petit creux, pour le moment, c’est un peu compliqué alors que l’autobus suit tranquillement son chemin en direction de la plage.

Je vois bien le mouvement avec son bras au haut de mon siège, je le regarde momentanément, mais je fais style que ça ne me dérange pas plus qu’il le faut. C’est seulement pour être un peu plus confortable, non pas pour faire quoi que ce soit d’intéressant. Il me complimente sur ma tenue et je ne peux pas m’empêcher de rougir une nouvelle fois.

- Me… Merci bien ! Je me disais que le jaune ça irait bien justement avec le temps qu’on a aujourd’hui. On a vraiment de la chance qu’il fasse beau en effet ! Je pense que ça aurait vraiment été catastrophique comme plan s’il avait plu des cordes.

Inutile de lui dire que j’ai pris une éternité pour choisir cette tenue et que j’ai changé des millions de fois. Parler de météo a quelque chose d’un peu plus… simple et qui me calme bien rapidement par contre. Je me permets un petit commentaire sur ses vêtements. J’ai envie de niaiser en lui disant qu’il va à Harvard, mais peut-être qu’il me trouverait pas tant drôle.

- Je trouve que tu as un style d’un dude qui s’en va jouer au basket, est-ce que c’est l’un de tes clubs ?, demandai-je intriguée, intéressée et un peu intimidée.

Je suis un peu gênée en sa compagnie. Je dois quand même prendre sur moi un peu. Il me trouve jolie dans mon ensemble, en même temps, j’ai un peu choisi cet ensemble pour ça (pas que, mais en partie, oui). Un ensemble qui en montre juste assez, mais pas trop. Bref, laissons mes vêtements de côté pour le moment…ENFIN… pas les retirer, loin de là. Bref. Je m’emmêle même dans ce que je pense, je suis vraiment une petite patate.

C’est quand même une bonne chose s’il est dans le club de basket. Je trouverais ça vraiment classe. Sportif et médecine oulala ! C’est vraiment du gros luxe pour un bg. En plus, il est capable d’avoir des conversations, c’est seulement moi qui ne suis pas capable de les tenir, mais c’est autre chose. C’est seulement qu’il me complimente trop, je n’ai pas l’habitude d’une telle chose, comme je n’ai pas l’habitude qu’un garçon s’intéresse à moi de cette façon. C’est intimidant. Mais je veux passer ça. Je veux avoir une bonne date. Je me ressaisis, allez, j’en suis capable !

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I can sell you dopamine Empty Re: I can sell you dopamine

Lun 15 Juil 2024 - 13:26
Junko hausse un sourcil, et hoche la tête à chaque fois que la petite blonde à côté de lui rajoute quelque chose à la liste de ce qu'elle a apporté à manger. Et effectivement, il voit bien qu'il n'y a pas grand chose de nippon dans les snacks qu'elle a préparé, mais Junko n'est pas difficile concernant la nourriture. Il est surtout très étonné qu'elle ait fait autant de choses, et ça le fait même rire un peu. Son sourire fait flasher ses dents alors qu'il se moque gentiment.

« "Quelques petits trucs" hein » lui lance t-il dans une mimique taquine d'un sourire en coin « T'avais peur que je meurs de faim ? »


L'attention est louable, mais il ne peut pas s'empêcher de la taquiner un peu. Junko darde ses yeux bruns sur elle, la rassure quant à son absence d'allergie alimentaire puis l'écoute quand elle explique avoir choisi sa tenue en fonction du beau temps. Enfin, tout le monde fait ça, normalement, mais elle parle plutôt de la couleur. Junko lui offre un nouveau sourire quelque peu charmeur. Il n'en loupera pas une avec elle, et il commence tout juste à s'échauffer.

« Le jaune fait ressortir tes yeux. »


Il n'émet pas de compliment sur les iris bleues, mais la lecture entre ses lignes fera le travail à sa place. Junko la fixe, ses yeux bruns dans les siens, un léger sourire planant sur son visage. Il hausse les épaules quant à la remarque sur la météo : s'il avait plu, ils auraient trouvé autre chose à faire. Ce n'est pas comme si ça manque d'occupations en intérieur non plus. Enfin, c'est ce qu'il pense.
Le japonais relève la tête et regarde distraitement le paysage défiler. Ils sont encore en pleine ville, et le bus s'arrête de façon régulière. Ils vont bientôt arriver. Son regard coule de nouveau sur Emma, quand elle lui pose une question sur lui, sur sa tenue et le fait qu'elle lui fait penser à celle d'un basketteur. Fûtée, la petite Emma.

« Ouais, je suis au club de basket et de karaté. » répond t-il. « Et toi, à part la danse ? Club de cuisine peut-être, puisque t'as l'air de bien aimer ça. »


Il tente de deviner, mais enfin le bus s'arrête à leur arrêt. La plage n'est vraiment pas loin, et du bus ils peuvent la voir. Junko descend de son siège, et s'il s'avance vers la sortie de l'autocar, il attend quand même Emma. Avec son handicap, elle n'est pas très rapide mais après tout, ils ont le temps. Il en profite pour regarder son portable et répondre à un message, avant de descendre complètement du bus.
Comme elle vient à sa hauteur, Junko lui propose son bras pour l'aider. Et les voilà parvenus jusqu'à la plage. Jun s'étire, ses bras tendus vers le ciel, son haut remontant quelque peu sur son ventre et sa sangle abdominale. Il aime bien la plage. Et la mer. Cette vision le revigore, et éclaire ses yeux d'une certaine excitation. Il tourne la tête vers Emma.

« Tu vas t'en sortir avec tes béquilles sur le sable ? » demande t-il. « On peut se poser sur un banc devant la plage, si tu préfères plutôt. »


Il dit ça, mais lui, il a très envie d'aller se mettre au bord de l'eau. Enfin, c'est pas lui le blessé, et lui il a surtout pas de béquilles pour se traîner.
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Emma Walker

I can sell you dopamine Empty Re: I can sell you dopamine

Ven 23 Aoû 2024 - 21:10


- En fait, c’est surtout que je ne savais pas ce que tu aimes alors, j’ai pris un certain éventail de trucs…

JE SAIS que je me répète. Mais… Mais c’est la vraie vérité quoi ! Mais j’ai quand même envie de fondre. Fondre dans la gêne et tout ça. Il doit vraiment me trouver débile, c’est pas vrai. C’est juste un gars qui veut pécho quoi ! C’est rien de plus incroyable. Et moi, j’essaie de faire des trucs pour lui plaire un minimum. Voilà ce que s’est. Sauf que je ne suis pas douée. Il va très certainement trouver les autres plus mieux bientôt et faire style qu’on a rien fait d’intéressant. Voire peut-être qu’il ne va même pas me redonner des nouvelles, j’sais pas. Je me dis que je dois bien profiter un peu, faire comme toute jeune demoiselle de mon âge ferait : probablement sortir avec des gars, avoir du fun, sortir vraiment plus et tout.

Puis voilà. BAM ! Il me balance à nouveau un compliment. Mon haut jaune fait ressortir mes yeux… C’est gentil. Je ne sais pas où me mettre quand il me complimente de même à chaque fois. C’est toujours la même chose au final : je rougis. En même temps c’est quand même un peu logique que ça fasse ressortir mes yeux, enfin je crois, compte tenu que j’ai les cheveux blonds, il ne faut pas s’attendre à grand-chose. C’est juste que c’était un bon choix de couleur. Je pourrais bien faire de même avec lui, mais il n’a pas grande couleur sur ses vêtements quoi. Puis donner ce genre de compliment à un garçon, c’est vraiment nul.

Plus ça va, plus je me dis que je suis complètement nulle avec les gars. Il n’y a rien à y faire. Je suis juste pas douée avec eux. Ma vie n’est qu’échecs sentimentaux, la suite logique c’est que ça n’aboutera à rien notre semblant d’histoire. Je dis semblant, parce qu’on en est genre à l’introduction, rien de plus.

- M… Merci, finis-je par dire, à retardement.

OUI, ça a pris un moment avant que ça se rende et que ça se forme en paroles. Je suis bien contente qu’on bifurque plutôt sur les clubs, une conversation qu’on peut avoir comme deux personnes bien normales sans s’inquiéter quoi !

- Oui, de cuisine aussi. Des fois je me dis que je pourrais joindre un troisième club, mais je ne sais pas trop ce que ça pourrait être alors j’ai laissé tomber.

J’parle trop, c’est bien évident. Ma Meyuki intérieure se facepalm et me juge comme pas possible. Je marche tranquillement. Mais je suis bien contente de voir la mer. Elle est si belle, si jolie. Fushita a l’air tout aussi content d’y être arrivé que moi.

- Je ne sais pas pour le sable, dis-je réellement embêtée. Mais j’ai envie d’essayer ! Je préférais qu’on aille près de l’eau, c’est plus joli que de regarder ça d’un banc… Bien que ça soit plus pratique. Sinon, je marcherais sur les mains, ça pourrait presque le faire, dis-je avec un petit rire afin de prouver que je ne suis pas si sérieuse que ça pour marcher sur les mains.

Surtout qu’avec une jupe, ça ne le fait pas du tout.

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