- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Enfin terminé ! Les examens semblaient déjà être un lointain et mauvais souvenir pour moi. Depuis ce matin, où j’avais pu voir mes notes et me rassurer sur le fait que je n’avais pas bossé pour rien ! En ce vendredi 27 juillet, je pouvais enfin souffler un peu ! En plus, il était bientôt midi, donc une seule chose s’imposait à ce moment-là ! Manger !
Sauf qu’en passant par le parc, j’allais être confronté à quelque chose d’inattendu… Cela se présenta sous la forme de quatre élèves, des étudiants je dirais. Une jeune femme était assise sur un banc et les trois qui semblaient discuter avec elle. Franchement, je n’y aurais pas vraiment fait attention si ce n’était au moment où la jeune femme sortit de son sac un porte-feuille et donna de l’argent aux trois étudiants.
Bah, elle aurait simplement prêté de l’argent ? Non, elle était pâle, trop pâle pour que ce soit naturel. J’avais parfaitement compris ce qui se passait et pour être honnête, ça m’avait coupé l’appétit. J’attendis donc que les trois personnes partent, sans franchement avoir l’occasion de voir leur visage, deux filles et un garçon visiblement.
Une fois l’étudiante seule, je m’approchais alors pour m’assurer qu’elle n’avait rien.
- Eh ! Tu as l’air malade, est-ce que tout va bien ?
- S’il vous plaît, laissez-moi tranquille.
Ouille, c’était expéditif là. Mais c’était mal me connaître de penser que j’allais faire ce qu’on me disait bien sagement. Cette étudiante semblait clairement dans une position délicate et pour avoir déjà vu ça par le passé, elle ne s’en sortirait pas toute seule. Je vins donc m’asseoir à côté d’elle.
- Nope, pas envie ! Tu as l’air d’avoir un gros problème, je me trompe ?
- Quoi, toi aussi tu veux de l’argent pour ne pas me dénoncer, c’est ça ?
- Houlà ! Non, pas du tout, je veux juste t’aider… Gratuitement, je précise. Qu’est-ce qui se passe ?
Elle sembla réticente dans un premier temps, mais j’affichais un sourire rassurant et essayais de me montrer aussi limpide que possible pour qu’elle puisse être un peu plus. Elle finit par déballer son sac, non sans regarder autour d’elle avant. Je m’étais attendu à une situation complexe, mais clairement pas à ce point. Même mon sourire avait disparu pour laisser place à une tronche un peu déconfite.
- Au point où j’en suis… J’ai triché lors de mon dernier examen. Mon père est malade, alors je n’ai pas eu beaucoup de temps pour réviser et je n’avais pas le choix ! Mais, ils l’ont appris et m’ont promis de ne pas me dénoncer si je … Si je …
Des sanglots, je les voyais venir. Elle était clairement mal barrée la pauvre. Un soupir de ma part en dit d’ailleurs encore plus long sur la situation… Très mal barrée. Cette fille va difficilement pouvoir échapper à une exclusion. Enfin, pour le moment, ce n’était pas le plus important et je lâchais.
- D'accord, tu as triché, c’est une chose. Mais ça n’excuse pas les autres chanteurs de te faire subir ça. Donc, on va déjà chercher une solution. Un problème après l’autre.
Je réfléchissais un peu trop vite pour mon pauvre cerveau, cherchant une solution, ou bien quelqu’un qui pourrait l’aider. De toute façon, qu’avait-elle à perdre réellement ? C’était impossible qu’elle s’en sorte sans casse là. Oh mais j’y pense ! Il y a une personne qui pourrait potentiellement être la mieux placée pour l’aider !
Je tapais dans mes mains avec un grand sourire, rassuré de savoir que j’avais peut-être une idée, ou un début d’idée… ou encore peut-être l’espoir d’un début d’idée ! C’était toujours mieux que rien.
- Bon, je connais quelqu’un qui va pouvoir t’aider au moins un peu. Ce n’est pas une solution miracle mais bon.
C’était mieux que de subir une situation pareille. Je pensais même qu’elle devait déjà s’en rendre compte, elle s’était loupée, peu importe ses raisons. Justifiées ou non, la triche ne passerait pas. Mais bon, ce n’était pas le sujet. Je lui fis signe de me suivre et elle s’exécuta, consciente de ne sûrement pas devoir rejeter une main tendue.
Elle se raidit un peu en voyant où on allait, mais je la rassurais du mieux que je pouvais.
- Je connais la psy, un peu, mais je peux te dire que c’est quelqu’un de bien. Si y a bien une personne dans l’université qui peut t’aider au niveau du personnel sans te faire virer directement, à ma connaissance, c’est bien elle.
À voir ensuite ce qu’il adviendra, nous avions donc pris place sur le banc et il ne restait plus qu’attendre, soit que la psy nous appelle si elle était déjà dans son bureau, soit qu’elle revienne de la cantine. J’avais clairement plus faim, moi.
Sauf qu’en passant par le parc, j’allais être confronté à quelque chose d’inattendu… Cela se présenta sous la forme de quatre élèves, des étudiants je dirais. Une jeune femme était assise sur un banc et les trois qui semblaient discuter avec elle. Franchement, je n’y aurais pas vraiment fait attention si ce n’était au moment où la jeune femme sortit de son sac un porte-feuille et donna de l’argent aux trois étudiants.
Bah, elle aurait simplement prêté de l’argent ? Non, elle était pâle, trop pâle pour que ce soit naturel. J’avais parfaitement compris ce qui se passait et pour être honnête, ça m’avait coupé l’appétit. J’attendis donc que les trois personnes partent, sans franchement avoir l’occasion de voir leur visage, deux filles et un garçon visiblement.
Une fois l’étudiante seule, je m’approchais alors pour m’assurer qu’elle n’avait rien.
- Eh ! Tu as l’air malade, est-ce que tout va bien ?
- S’il vous plaît, laissez-moi tranquille.
Ouille, c’était expéditif là. Mais c’était mal me connaître de penser que j’allais faire ce qu’on me disait bien sagement. Cette étudiante semblait clairement dans une position délicate et pour avoir déjà vu ça par le passé, elle ne s’en sortirait pas toute seule. Je vins donc m’asseoir à côté d’elle.
- Nope, pas envie ! Tu as l’air d’avoir un gros problème, je me trompe ?
- Quoi, toi aussi tu veux de l’argent pour ne pas me dénoncer, c’est ça ?
- Houlà ! Non, pas du tout, je veux juste t’aider… Gratuitement, je précise. Qu’est-ce qui se passe ?
Elle sembla réticente dans un premier temps, mais j’affichais un sourire rassurant et essayais de me montrer aussi limpide que possible pour qu’elle puisse être un peu plus. Elle finit par déballer son sac, non sans regarder autour d’elle avant. Je m’étais attendu à une situation complexe, mais clairement pas à ce point. Même mon sourire avait disparu pour laisser place à une tronche un peu déconfite.
- Au point où j’en suis… J’ai triché lors de mon dernier examen. Mon père est malade, alors je n’ai pas eu beaucoup de temps pour réviser et je n’avais pas le choix ! Mais, ils l’ont appris et m’ont promis de ne pas me dénoncer si je … Si je …
Des sanglots, je les voyais venir. Elle était clairement mal barrée la pauvre. Un soupir de ma part en dit d’ailleurs encore plus long sur la situation… Très mal barrée. Cette fille va difficilement pouvoir échapper à une exclusion. Enfin, pour le moment, ce n’était pas le plus important et je lâchais.
- D'accord, tu as triché, c’est une chose. Mais ça n’excuse pas les autres chanteurs de te faire subir ça. Donc, on va déjà chercher une solution. Un problème après l’autre.
Je réfléchissais un peu trop vite pour mon pauvre cerveau, cherchant une solution, ou bien quelqu’un qui pourrait l’aider. De toute façon, qu’avait-elle à perdre réellement ? C’était impossible qu’elle s’en sorte sans casse là. Oh mais j’y pense ! Il y a une personne qui pourrait potentiellement être la mieux placée pour l’aider !
Je tapais dans mes mains avec un grand sourire, rassuré de savoir que j’avais peut-être une idée, ou un début d’idée… ou encore peut-être l’espoir d’un début d’idée ! C’était toujours mieux que rien.
- Bon, je connais quelqu’un qui va pouvoir t’aider au moins un peu. Ce n’est pas une solution miracle mais bon.
C’était mieux que de subir une situation pareille. Je pensais même qu’elle devait déjà s’en rendre compte, elle s’était loupée, peu importe ses raisons. Justifiées ou non, la triche ne passerait pas. Mais bon, ce n’était pas le sujet. Je lui fis signe de me suivre et elle s’exécuta, consciente de ne sûrement pas devoir rejeter une main tendue.
Elle se raidit un peu en voyant où on allait, mais je la rassurais du mieux que je pouvais.
- Je connais la psy, un peu, mais je peux te dire que c’est quelqu’un de bien. Si y a bien une personne dans l’université qui peut t’aider au niveau du personnel sans te faire virer directement, à ma connaissance, c’est bien elle.
À voir ensuite ce qu’il adviendra, nous avions donc pris place sur le banc et il ne restait plus qu’attendre, soit que la psy nous appelle si elle était déjà dans son bureau, soit qu’elle revienne de la cantine. J’avais clairement plus faim, moi.
- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 29■ Messages : 730■ Inscrit le : 13/02/2023
Mon personnage
❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2017
Perte et profit
27 juillet 2018 || Ft. Junichi
27 juillet 2018 || Ft. Junichi
C'était enfin la fin des examens et les étudiants venaient prendre rendez-vous tour à tour pour pouvoir faire part de leur angoisses. Certains élèves pouvaient faire un malaise avant les examens, se mettait à jeûner pour étudier toute la nuit ou un weekend entier sans sortir de leur chambre. Beck trouvait cette situation alarmante, surtout pour pouvoir parvenir à de meilleurs résultats.... Certains perdaient du poids ou d'autres mangeait à ne pas s'arrêter tellement l'angoisse était tellement grande.
La psychologue avait prit sa pause déjeuner dans son bureau tranquillement après son dernier rendez-vous de la matinée. Elle avait écrit quelques notes sur son carnet concernant sa séances pour pouvoir je retranscrire informatiquement. Son bento était constitué de boulettes de riz avec des makis qu'elle avait fabriqué la veille ainsi que beaux rouleaux de printemps constitué de crevettes, de feuilles de menthe et de cheveux d'ange. Après tout, on peut mettre ce que l'on souhaite dans ce genre de collation. Elle buvait quelques gorgées d'eau et puis une fois son repas terminé, Beck descendra les escaliers, parcourant les couloirs en quête de vouloir prendre un peu l'air avant son prochain rendez-vous.
Aujourd'hui, le temps était radieux et aux beaux fixe. La jeune femme voulait profiter du climat idéal de l'été pour prendre un peu de vitamines d. Elle marchait tranquillement dans le parc commun où pouvait se retrouver les élèves, les professeurs et les autres employés. Beck n'avait pas vu la scène du racket, mais elle marchait en direction de Junichi et l'étudiante. La thérapeute pensait que c'était poli de venir saluer Junichi avec qui elle avait passé un bon weekend en sa compagnie lors du festival des étoiles.
Beck affichait un léger sourire et un petit hochement de la tête pour saluer l'étudiante. Elle ne connaissait pas tous les élèves de l'établissement, tous ne venaient pas la consulter. Pour le moment, elle pouvait discuter avec les deux autres protagonistes car la jeune femme n'avait pas de rendez vous avant quinze heure de l'après midi, il semblait lire sur le visage de la jeune fille qu'il y avait quelque chose qui n'allait pas mais par politesse, Beck ne voulait pas la déranger avec des questions intrusives. Elle était en pause et non en train de travailler.
La psychologue avait prit sa pause déjeuner dans son bureau tranquillement après son dernier rendez-vous de la matinée. Elle avait écrit quelques notes sur son carnet concernant sa séances pour pouvoir je retranscrire informatiquement. Son bento était constitué de boulettes de riz avec des makis qu'elle avait fabriqué la veille ainsi que beaux rouleaux de printemps constitué de crevettes, de feuilles de menthe et de cheveux d'ange. Après tout, on peut mettre ce que l'on souhaite dans ce genre de collation. Elle buvait quelques gorgées d'eau et puis une fois son repas terminé, Beck descendra les escaliers, parcourant les couloirs en quête de vouloir prendre un peu l'air avant son prochain rendez-vous.
Aujourd'hui, le temps était radieux et aux beaux fixe. La jeune femme voulait profiter du climat idéal de l'été pour prendre un peu de vitamines d. Elle marchait tranquillement dans le parc commun où pouvait se retrouver les élèves, les professeurs et les autres employés. Beck n'avait pas vu la scène du racket, mais elle marchait en direction de Junichi et l'étudiante. La thérapeute pensait que c'était poli de venir saluer Junichi avec qui elle avait passé un bon weekend en sa compagnie lors du festival des étoiles.
Bonjour, Junichi. Comment allez vous aujourd'hui ? Alors comment s'est passé vos examens ? Pas trop difficile ?
Beck affichait un léger sourire et un petit hochement de la tête pour saluer l'étudiante. Elle ne connaissait pas tous les élèves de l'établissement, tous ne venaient pas la consulter. Pour le moment, elle pouvait discuter avec les deux autres protagonistes car la jeune femme n'avait pas de rendez vous avant quinze heure de l'après midi, il semblait lire sur le visage de la jeune fille qu'il y avait quelque chose qui n'allait pas mais par politesse, Beck ne voulait pas la déranger avec des questions intrusives. Elle était en pause et non en train de travailler.
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
L’attente ne fut pas bien longue, du moins pour moi, mais j’avais la sensation que pour la jeune femme, ça semblait être une éternité. Je ne voyais pas trop quoi dire pour la rassurer, en soi, je pouvais comprendre les raisons de son geste, mais la triche, de mon point de vue, était la pire des chutes à son histoire. Son père ne lui en aurait sûrement pas voulu de se louper aux exams, et ce n’est pas comme si tout était fini.
Elle semblait jeune, à peine un an ou deux de moins que moi, mais c’était dur à dire. Oui, de mon point de vue, déterminer l’âge d’une femme était compliqué, car elles ne faisaient pas forcément leur âge. Regardez Beck, elle pouvait avoir 107 ans grâce à sa fontaine de jouvence ! Bref, ça me faisait toujours un peu rire, et un fin sourire était sur le point d’être visible sur mon visage l’espace d’une seconde et demi.
Elle avait des cheveux noirs, une coupe somme toute assez classique, et des yeux marron foncé, une Japonaise pure et dure visiblement. Plus petite que la moyenne, et je m’arrêtais là pour éviter d’ajouter le voyeurisme au harcèlement, elle en avait bien assez bavé, la pauvre. La psy arriva alors et prit directement de mes nouvelles. Avec un sourire, je répondis :
- Salut ! Oh, ben moi, on ne peut mieux, et pour mes exams… bah. Ce n’est pas un désastre, donc c’est forcément une réussite !
Pas compliqué, comme d’habitude, je n’avais pas eu que des bonnes notes, mais à défaut, la moyenne quand au pire.
- Mais ce n’est pas pour moi qu’il faut s’inquiéter.
Oui, je me tournais vers l’étudiante, mais elle semblait littéralement s’être refermée comme une coquille Saint-Jacques… Super. Je lui demandais alors rapidement si elle préférait que j’explique à sa place, et un hochement positif de sa part me convint. En me tournant vers Beck, le moulin se mit à tourner et le flot de paroles surgit alors.
- Du coup, c’est assez contextuel aux exams, je venais de constater mes notes et bien décidé à me remplir la panse pour fêter ça, je me rendais donc vers la cantine… Ils servent un plat en plus aujourd’hui, rien que d’y penser, j’en avais l’eau à la bouche ! Enfin, plus maintenant ! Mais tout à l’heure, Oh là là !
Je m’étais perdu, mais rapidement, je me recadrais !
- Ah oui ! Ce n’est pas important ça en fait ! Donc je faisais un petit tour dans le parc avant tout et c’est là que j’ai croisé la miss, elle était assise sur un banc et trois autres élèves lui parlaient. Bon, au début, je me suis juste dit « C’est bon Juni, il n’y a rien de bizarre là-dedans ! » Mais je ne sais pas, mon radar interne, celui qui ne marche qu’une fois sur quatre mais quand c’est toujours la bonne, me faisait signe que non ! Alors j’ai décidé d’observer un peu !
Un petit suspens ! Pas volontaire, je précise…
- C’est là que j’ai vu cette jeune femme leur donner de l’argent et là je me suis dit « Non, c’est définitivement bizarre là ! » Mais d’un autre côté, aussi « Enfin, elle leur prête juste de l’argent, c’est tout, rien de grave » … Quoi ?! Oui je me réponds parfois et alors ? Bon, on pourra peut-être en faire le sujet d’une séance plus tard mais là ce n’est pas important.
Je levai un doigt, l’espace d’une seconde, pour signifier que je reprenais mon souffle. Trop d’info dans la caboche en trop peu de temps, pas moyen de traiter la totalité des infos à la sortie. Forcément, ça donne un flux migratoire d’information peu viable à l’arrivée. Mais je clôturai … enfin !
- Donc ! Après leur départ, j’ai décidé de m’approcher d’elle et elle m’a confié que … Une seconde !.
Je me retournai quand même pour m’assurer qu’elle était bien d’accord que je dise « toute » la vérité. Elle hocha à nouveau la tête, consciente visiblement de sa situation compliquée.
- Qu’elle a triché aux exams
- Un Exam !
- Un seul ! Tout petit ! Mais malheureusement, d’autres élèves l’ont appris et plutôt que de lui venir en aide pour comprendre, ils ont visiblement saisi l’occasion pour lui extorquer de l’argent afin de ne pas la dénoncer.
J’avais fini ! En fait, j’aurais carrément pu commencer par la fin ! Je m’en rendais compte que maintenant, mais bon, soit, trop tard de toute façon. J’observais Beck avec un air plus sérieux et demandais d’une voix calme :
- Vous pouvez l’aider ? Je suis prêt à mettre la main à la patte s’il le faut aussi, elle mérite pas en plus ce chantage, mais de mémoire, c’est vous la mieux placée pour trouver une bonne solution. Enfin, je crois… Je vois que vous.
Je n’en étais pas au point de faire les yeux du chat Potté ! Mais s’il le fallait, je le ferais ! Attention, vous êtes prévenu !
Elle semblait jeune, à peine un an ou deux de moins que moi, mais c’était dur à dire. Oui, de mon point de vue, déterminer l’âge d’une femme était compliqué, car elles ne faisaient pas forcément leur âge. Regardez Beck, elle pouvait avoir 107 ans grâce à sa fontaine de jouvence ! Bref, ça me faisait toujours un peu rire, et un fin sourire était sur le point d’être visible sur mon visage l’espace d’une seconde et demi.
Elle avait des cheveux noirs, une coupe somme toute assez classique, et des yeux marron foncé, une Japonaise pure et dure visiblement. Plus petite que la moyenne, et je m’arrêtais là pour éviter d’ajouter le voyeurisme au harcèlement, elle en avait bien assez bavé, la pauvre. La psy arriva alors et prit directement de mes nouvelles. Avec un sourire, je répondis :
- Salut ! Oh, ben moi, on ne peut mieux, et pour mes exams… bah. Ce n’est pas un désastre, donc c’est forcément une réussite !
Pas compliqué, comme d’habitude, je n’avais pas eu que des bonnes notes, mais à défaut, la moyenne quand au pire.
- Mais ce n’est pas pour moi qu’il faut s’inquiéter.
Oui, je me tournais vers l’étudiante, mais elle semblait littéralement s’être refermée comme une coquille Saint-Jacques… Super. Je lui demandais alors rapidement si elle préférait que j’explique à sa place, et un hochement positif de sa part me convint. En me tournant vers Beck, le moulin se mit à tourner et le flot de paroles surgit alors.
- Du coup, c’est assez contextuel aux exams, je venais de constater mes notes et bien décidé à me remplir la panse pour fêter ça, je me rendais donc vers la cantine… Ils servent un plat en plus aujourd’hui, rien que d’y penser, j’en avais l’eau à la bouche ! Enfin, plus maintenant ! Mais tout à l’heure, Oh là là !
Je m’étais perdu, mais rapidement, je me recadrais !
- Ah oui ! Ce n’est pas important ça en fait ! Donc je faisais un petit tour dans le parc avant tout et c’est là que j’ai croisé la miss, elle était assise sur un banc et trois autres élèves lui parlaient. Bon, au début, je me suis juste dit « C’est bon Juni, il n’y a rien de bizarre là-dedans ! » Mais je ne sais pas, mon radar interne, celui qui ne marche qu’une fois sur quatre mais quand c’est toujours la bonne, me faisait signe que non ! Alors j’ai décidé d’observer un peu !
Un petit suspens ! Pas volontaire, je précise…
- C’est là que j’ai vu cette jeune femme leur donner de l’argent et là je me suis dit « Non, c’est définitivement bizarre là ! » Mais d’un autre côté, aussi « Enfin, elle leur prête juste de l’argent, c’est tout, rien de grave » … Quoi ?! Oui je me réponds parfois et alors ? Bon, on pourra peut-être en faire le sujet d’une séance plus tard mais là ce n’est pas important.
Je levai un doigt, l’espace d’une seconde, pour signifier que je reprenais mon souffle. Trop d’info dans la caboche en trop peu de temps, pas moyen de traiter la totalité des infos à la sortie. Forcément, ça donne un flux migratoire d’information peu viable à l’arrivée. Mais je clôturai … enfin !
- Donc ! Après leur départ, j’ai décidé de m’approcher d’elle et elle m’a confié que … Une seconde !.
Je me retournai quand même pour m’assurer qu’elle était bien d’accord que je dise « toute » la vérité. Elle hocha à nouveau la tête, consciente visiblement de sa situation compliquée.
- Qu’elle a triché aux exams
- Un Exam !
- Un seul ! Tout petit ! Mais malheureusement, d’autres élèves l’ont appris et plutôt que de lui venir en aide pour comprendre, ils ont visiblement saisi l’occasion pour lui extorquer de l’argent afin de ne pas la dénoncer.
J’avais fini ! En fait, j’aurais carrément pu commencer par la fin ! Je m’en rendais compte que maintenant, mais bon, soit, trop tard de toute façon. J’observais Beck avec un air plus sérieux et demandais d’une voix calme :
- Vous pouvez l’aider ? Je suis prêt à mettre la main à la patte s’il le faut aussi, elle mérite pas en plus ce chantage, mais de mémoire, c’est vous la mieux placée pour trouver une bonne solution. Enfin, je crois… Je vois que vous.
Je n’en étais pas au point de faire les yeux du chat Potté ! Mais s’il le fallait, je le ferais ! Attention, vous êtes prévenu !
- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 29■ Messages : 730■ Inscrit le : 13/02/2023
Mon personnage
❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2017
Perte et profit
27 juillet 2018 || Ft. Junichi
27 juillet 2018 || Ft. Junichi
Elle écoutait le récit de Junichi avec grande attention même si c'était pas nécessaire de raconter le récit de son envie d'aller manger à la cantine qui avait l'air appétissant et commencer par la fin aurait été le mieux. Mais Beck était quelqu'un de polie et elle laissait donc l'étudiant tout raconter de A à Z pour savoir ce qui était important à retenir dans son histoire.
Tricher à un examen ? Est-ce vraiment honnête ? Est-ce que le doyen était quelqu'un de très important et pouvait se rendre compte de la moindre fraude des étudiants. En espérant que cela ne retombe pas sur le nez de la fille. La psychologue était même désolée que les gens avaient l'intention de tricher pour parvenir à leur fin afin de réussir un examen malhonnêtement. Pourquoi ? Après certains avaient des raisons, même si dans la tête de la thérapeute n'était pas justifié.
Beck n'était pas enthousiaste à encourager quelqu'un à la tricherie et la malhonnêteté. Mais elle voulait comprendre davantage, après le doyen et les surveillants sont aux aguets de tous les détails qui se passaient dans l'établissement. Alors, les harceleurs seraient certainement trouvés et convoqués. Mais Beck voulait comprendre toutes les motivations de la jeune femme.
Elle se rappelle des études de psychologie qu'elle avait entrepris quand elle était plus jeune. Les nuits à passer des veillées blanches pour pouvoir assimiler chaque modules qui allaient être communiqué dans l'examen mais n'importe quel sujet et il fallait être à l'affût de chaque détails, chaque question qui étaient posées sur les feuilles d'examens.
Elle n'encourageait pas la procédure, mais comment l'étudiante a pu se faire attraper ? Comment d'autres ont t'ils pu le voir alors que l'examinateur était dans la salle en train de surveiller. La psychologue n'allait rien divulguer ou aller balancer, bien qu'elle ne voulait pas être prise pour une complice.
Tricher à un examen ? Est-ce vraiment honnête ? Est-ce que le doyen était quelqu'un de très important et pouvait se rendre compte de la moindre fraude des étudiants. En espérant que cela ne retombe pas sur le nez de la fille. La psychologue était même désolée que les gens avaient l'intention de tricher pour parvenir à leur fin afin de réussir un examen malhonnêtement. Pourquoi ? Après certains avaient des raisons, même si dans la tête de la thérapeute n'était pas justifié.
J'aimerais savoir mademoiselle, dans quel intérêt avez vous à tricher à cet examen ? Ne vous en faites pas, je vais pas vous faire un sermon.
Beck n'était pas enthousiaste à encourager quelqu'un à la tricherie et la malhonnêteté. Mais elle voulait comprendre davantage, après le doyen et les surveillants sont aux aguets de tous les détails qui se passaient dans l'établissement. Alors, les harceleurs seraient certainement trouvés et convoqués. Mais Beck voulait comprendre toutes les motivations de la jeune femme.
Elle se rappelle des études de psychologie qu'elle avait entrepris quand elle était plus jeune. Les nuits à passer des veillées blanches pour pouvoir assimiler chaque modules qui allaient être communiqué dans l'examen mais n'importe quel sujet et il fallait être à l'affût de chaque détails, chaque question qui étaient posées sur les feuilles d'examens.
Je ne comprend pas, ces personnes vous ont demandé de l'argent parce qu'ils avaient grillé que vous avez triché ? Mais comment l'on t'ils vus ? Parce que lors d'un examen, il faut vraiment être discret...
Elle n'encourageait pas la procédure, mais comment l'étudiante a pu se faire attraper ? Comment d'autres ont t'ils pu le voir alors que l'examinateur était dans la salle en train de surveiller. La psychologue n'allait rien divulguer ou aller balancer, bien qu'elle ne voulait pas être prise pour une complice.
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
La jeune femme avait déroulé de façon précise et concise le déroulement des événements qui l'avaient conduite à penser que Beck serait la personne la mieux placée pour venir en aide à l'étudiante. Beck m'observa et parvint plus ou moins à suivre le fil, ce qui était plutôt un petit exploit en soi. Mais elle devait sûrement avoir l’habitude des personnes qui parlent beaucoup aussi.
Sans surprise, elle se désintéressa de moi pour porter rapidement son attention sur l'étudiante, alors je m'écartai d'un pas pour qu'elle puisse s'exprimer directement à la psychologue. Évidemment, je n'avais pas mentionné ce détail, même si j'étais au courant, car d'une part, ce n'était pas le centre du sujet de mon point de vue, et ensuite, peu importait ses raisons en réalité, la sanction ne serait pas franchement différente.
- Je n’ai pas eu le temps de réviser correctement. Mon père est tombé malade et incapable de travailler pendant quelque temps. J’ai pris un job d’étudiant pour pouvoir aider au revenu de mon foyer. Le salaire de ma mère ne suffisait pas et je suis l’ainée après. Mon petit frère n’a pas du tout l’âge. Alors, sur le moment… je me suis dit que ce serait surement une bonne idée. Du moins, je ne voulais le faire qu’une fois sur la matière où j’étais la moins douée.
Une fois donc. Ça paraît toujours sans grande conséquence. Personnellement, je comprenais ses raisons, mais il y avait certainement d'autres solutions que de tricher. Elle aurait déjà pu commencer par expliquer sa situation à un professeur. J'avais déjà vu ça, pas pour des raisons de triche, mais pour d'autres choses.
- Dis-moi, ta mère était-elle au courant que tu avais du mal à cumuler les deux, ou même ta famille ?
- Non, je ne voulais pas qu'ils s'inquiètent.
- Je vois, donc en parler avec quelqu’un de Kobe n’aurait fait que te faire courir le risque que les concernés l’apprennent.
Elle hocha la tête, donc elle se trouvait dos au mur. Enfin, avait cru l’être, mais c’était pareil. J'observais alors la psy poser une autre question. Mais je pensais déjà avoir compris de quoi il en retournait. Cependant, je me gardais bien de partager mon idée et laissais la parole à la jeune femme qui avoua.
- L’une d’entre elles m’a aidée. Elle n’a pas triché à proprement parler, juste couverte pour me laisser un peu de temps. J’avais quelques anti-sèches cachés dans mon soutien-gorge et ailleurs.
Ah ! Bon, ce n’est pas exactement ce que j’avais en tête, mais bon, au moins on avait une réponse. J'aurais parié sur le fait qu'elle l’avait aidée à tricher tout court. Mais il était vrai qu'un simple signe, discret, comme un coup de gomme ou un cliquetis de stylo, pouvait servir de signal. Difficile même pour un expert de les remarquer, pour peu que le signal soit défini à l’avance et pas répété, donc remplacé par un autre signal régulièrement.
Je n'avais jamais triché de ma vie, mais j'avais déjà pu discuter avec certaines personnes qui voyaient la triche durant un examen comme un réel défi. Ils n’étaient pas nombreux et souvent assez barrés. Je me risquai alors à demander d’une voix calme :
- Je parie que l’un des trois autres vous a aussi aidée, en vous expliquant certains trucs ? Si ta camarade est parvenue à te couvrir, c’est qu’elle s’y connaît un peu aussi.
Je me tournai alors vers Beck et parlai d’une voix détendue.
- J’ai connu quelques élèves comme ça, surtout durant un passage dans un lycée un peu …. Sécurisé disons. Ils adoraient éprouver leurs techniques de triche à chaque contrôle. Enfin je dis ça, on parle d’une personne sur je ne sais combien. Après tout, on trouve de tout partout. Mais en soi, je sais qu’il faut varier les signes, les bruits et toujours avoir un complice. Après, les détails, franchement je ne les connais pas, mais j’aimais bien parler avec eux, c’était intéressant.
Peut-être pour ça que la situation avant m’avait fait tiquer. Puis de toute façon, pour qu'ils puissent être au courant, c’était clair qu’ils avaient participé au moins un peu. Je soupirai.
- Ce n’est pas une extorsion, c’est une escroquerie. Tu m’as l’air d’être droite dans tes bottes quand même. Je suis sûr que c’est en partie eux qui t’ont donné l’idée de la triche…
Elle hocha la tête positivement. La pauvre, non content de profiter de sa situation actuelle, ils avaient aussi profité de sa faiblesse avant toute chose.
- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 29■ Messages : 730■ Inscrit le : 13/02/2023
Mon personnage
❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2017
Perte et profit
27 juillet 2018 || Ft. Junichi
27 juillet 2018 || Ft. Junichi
Cacher ses anti sèches dans son soutien gorge et autre part était quelque chose d'assez commun. La psychologue pensait que c'était quand même une situation assez compliquée dans le sens où l'étudiante à dû s'occuper d'une personne faible et malade. La situation était compliqué mais n'avait t'elle personne pour prendre les devants par faute de contact ou de moyens ?
Beck repensait à ses années d'études en psychologie, c'était avant son entrée d'ailleurs. Elle avait son grand père qui était hospitalisé et en traitement lourd de chimiothérapie pour un cancer généralisé. La maladie prenait le dessus sur les bronches et cela faisait des nécroses sur certains endroits de ses poumons. C'était compliqué comme année, surtout faire des aller retour entre l'université et l'hôpital pour rendre le maximum visite à son grand-père qu'elle aimait et respectait. Elle se rappelle avoir été fatiguée lors des trajets dans le tramway et s'endormir sans s'en rendre compte contre la vitre. Heureusement, elle se réveillait avant son arrêt avant d'arriver à son logement étudiant.
Elle avait de la chance, avoir eu une famille qui avait de l'argent et qui pouvait lui permettre de lui payer des études ainsi que des cours particuliers quand elle loupait quelques modules important de ce qu'elle devait apprendre à son examen d'entrée. L'étudiante que Beck avait en face d'elle n'avait pas cette chance de pouvoir être épaulé lors de ces examens et certains petits malins au courant de son histoire, en profitait pour lui soutirer de l'argent pour éviter de divulguer l'information de la tricherie à l'établissement.
Si Beck avait été avocat, il est certain que c'était passible d'amende et puni par la loi. Profiter de la vulnérabilité d'une personne a une psychologie faible.
Beck ne pouvait retenir sa langue concernant l'appellation des personnes qui profitaient de la faiblesse de l'étudiante. C'était même quelque chose d'inconcevable dans l'esprit de la thérapeute. Elle avait subie du harcèlement physique et moral durant sa jeunesse, mais jamais de racket pour qu'ils puissent taire une information.
Beck repensait à ses années d'études en psychologie, c'était avant son entrée d'ailleurs. Elle avait son grand père qui était hospitalisé et en traitement lourd de chimiothérapie pour un cancer généralisé. La maladie prenait le dessus sur les bronches et cela faisait des nécroses sur certains endroits de ses poumons. C'était compliqué comme année, surtout faire des aller retour entre l'université et l'hôpital pour rendre le maximum visite à son grand-père qu'elle aimait et respectait. Elle se rappelle avoir été fatiguée lors des trajets dans le tramway et s'endormir sans s'en rendre compte contre la vitre. Heureusement, elle se réveillait avant son arrêt avant d'arriver à son logement étudiant.
Elle avait de la chance, avoir eu une famille qui avait de l'argent et qui pouvait lui permettre de lui payer des études ainsi que des cours particuliers quand elle loupait quelques modules important de ce qu'elle devait apprendre à son examen d'entrée. L'étudiante que Beck avait en face d'elle n'avait pas cette chance de pouvoir être épaulé lors de ces examens et certains petits malins au courant de son histoire, en profitait pour lui soutirer de l'argent pour éviter de divulguer l'information de la tricherie à l'établissement.
Si Beck avait été avocat, il est certain que c'était passible d'amende et puni par la loi. Profiter de la vulnérabilité d'une personne a une psychologie faible.
Je ne veux pas jouer l'avocat du diable, mais avez vous essayé d'autres alternatives ? Avant de vouloir oser la tricherie et de vous attirer des ennuis avec des guignols qui en profitent ?
Beck ne pouvait retenir sa langue concernant l'appellation des personnes qui profitaient de la faiblesse de l'étudiante. C'était même quelque chose d'inconcevable dans l'esprit de la thérapeute. Elle avait subie du harcèlement physique et moral durant sa jeunesse, mais jamais de racket pour qu'ils puissent taire une information.
Comment pouvez vous anticiper les réactions du personnel de cet établissement concernant votre problématique ? Peut-être qu'ils auraient trouvés une solution à votre problème, peut être vous laisser un temps supplémentaire pour réviser cet examen en question.... Mais ce qui est faut est fait..
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
J’écoutais avec attention, déjà car je voulais aider la jeune femme même si c’était aussi humblement que possible. Mais déjà je comprenais d’avance que je deviendrais rapidement spectateur de tout ça. La psy était une adulte alors que moi j’étais encore un étudiant, donc elle avait forcément plus de clés que moi pour permettre de déverrouiller la situation de la jeune femme.
À sa question, je me demandais vaguement si, au vu de la situation de la jeune femme et probablement du manque de temps, elle ne s’était pas jetée là-dessus comme si c’était une solution miracle. La solution à tous ses problèmes, sauf que maintenant ça se retournait contre elle et qu’elle le veuille ou non, désormais, elle devait faire face à cette situation. Cependant, ce n’était que mon hypothèse et la jeune femme se montra plus pragmatique que je ne l’aurais cru dans sa réponse.
- Non, je n’ai pas réfléchi et j’étais trop anxieuse à l’idée de me rater. Je ne pensais pas que ça finirait comme ça.
Elle retenait un sanglot et j’observais la scène en tâchant de ne pas laisser mes émotions prendre le dessus. De toute façon, je ne changerais pas grand-chose. À part prodiguer quelques possibilités avec mon expérience. Je n’avais pas souvent été victime de harcèlement mais en revanche, j’avais parfois aidé des élèves par le passé. Après il fallait dire que comme je déménageais souvent, je n’avais pas franchement peur des conséquences aussi.
- Ouais, on ne reviendra pas en arrière. Mais qu’est-ce que je peux faire pour me sortir de cette situation ?
Ah ça, il n’y en avait pas deux cents. Le moyen le plus simple était de tout simplement aller voir le premier surveillant et se dénoncer. Accepter la sanction et tant qu’à y être, entraîner les autres dans sa chute même si j’avais la sensation qu’ils avaient sûrement bien sécurisé leurs arrières. En tout cas, je me permettais de l’ouvrir.
- Franchement, j’en vois qu’une seule et de toute façon, c’est la moins pire de toutes. Tu te dénonces de toi-même. Je pense que le personnel administratif se montrera sûrement plus clément envers toi et même si tu as une sanction, elle sera peut-être moins lourde que si quelqu’un se dénonce à ta place.
Oui, j’étais de ceux qui préfèrent clairement avouer leurs torts tout de suite, quitte à se faire démonter sur place plutôt que d’attendre que le souci germe doucement en secret et que la situation devienne insoutenable. D’autant que j’ajoutais d’une voix plus sérieuse.
- Et on te laissera sûrement la chance de l’annoncer toi-même à ta famille. Sinon, tu es partie pour payer les autres pendant un moment car je peux te garantir qu’ils ne vont pas te lâcher et vont te réclamer toujours un peu plus.
Je ne savais pas ce qu’en pensait Beck, peut-être serait-elle d’accord, ou peut-être aurait-elle une autre solution. Sans oublier qu’elle faisait partie du personnel. Avait-elle le droit de garder le silence sur une triche ? Non, ce serait risqué pour elle si ça venait à s’apprendre. Mais j’évitais de mentionner ce détail pour ne pas braquer la jeune femme qui lâcha sur un ton blasé.
- Super …
J’observais Beck, attendant de savoir ce qu’elle allait dire. De toute façon, il n’y avait aucune solution miracle. Mais elle avait refusé de croire dans le personnel scolaire avant, il fallait qu’elle y croie maintenant. Car ils feraient la différence entre une personne qui assume ses actes et une autre qui s’en cache.
- Et d’une certaine manière, tu vas aussi prouver que malgré ta triche, tu n’as pas perdu toute dignité pour autant.
À sa question, je me demandais vaguement si, au vu de la situation de la jeune femme et probablement du manque de temps, elle ne s’était pas jetée là-dessus comme si c’était une solution miracle. La solution à tous ses problèmes, sauf que maintenant ça se retournait contre elle et qu’elle le veuille ou non, désormais, elle devait faire face à cette situation. Cependant, ce n’était que mon hypothèse et la jeune femme se montra plus pragmatique que je ne l’aurais cru dans sa réponse.
- Non, je n’ai pas réfléchi et j’étais trop anxieuse à l’idée de me rater. Je ne pensais pas que ça finirait comme ça.
Elle retenait un sanglot et j’observais la scène en tâchant de ne pas laisser mes émotions prendre le dessus. De toute façon, je ne changerais pas grand-chose. À part prodiguer quelques possibilités avec mon expérience. Je n’avais pas souvent été victime de harcèlement mais en revanche, j’avais parfois aidé des élèves par le passé. Après il fallait dire que comme je déménageais souvent, je n’avais pas franchement peur des conséquences aussi.
- Ouais, on ne reviendra pas en arrière. Mais qu’est-ce que je peux faire pour me sortir de cette situation ?
Ah ça, il n’y en avait pas deux cents. Le moyen le plus simple était de tout simplement aller voir le premier surveillant et se dénoncer. Accepter la sanction et tant qu’à y être, entraîner les autres dans sa chute même si j’avais la sensation qu’ils avaient sûrement bien sécurisé leurs arrières. En tout cas, je me permettais de l’ouvrir.
- Franchement, j’en vois qu’une seule et de toute façon, c’est la moins pire de toutes. Tu te dénonces de toi-même. Je pense que le personnel administratif se montrera sûrement plus clément envers toi et même si tu as une sanction, elle sera peut-être moins lourde que si quelqu’un se dénonce à ta place.
Oui, j’étais de ceux qui préfèrent clairement avouer leurs torts tout de suite, quitte à se faire démonter sur place plutôt que d’attendre que le souci germe doucement en secret et que la situation devienne insoutenable. D’autant que j’ajoutais d’une voix plus sérieuse.
- Et on te laissera sûrement la chance de l’annoncer toi-même à ta famille. Sinon, tu es partie pour payer les autres pendant un moment car je peux te garantir qu’ils ne vont pas te lâcher et vont te réclamer toujours un peu plus.
Je ne savais pas ce qu’en pensait Beck, peut-être serait-elle d’accord, ou peut-être aurait-elle une autre solution. Sans oublier qu’elle faisait partie du personnel. Avait-elle le droit de garder le silence sur une triche ? Non, ce serait risqué pour elle si ça venait à s’apprendre. Mais j’évitais de mentionner ce détail pour ne pas braquer la jeune femme qui lâcha sur un ton blasé.
- Super …
J’observais Beck, attendant de savoir ce qu’elle allait dire. De toute façon, il n’y avait aucune solution miracle. Mais elle avait refusé de croire dans le personnel scolaire avant, il fallait qu’elle y croie maintenant. Car ils feraient la différence entre une personne qui assume ses actes et une autre qui s’en cache.
- Et d’une certaine manière, tu vas aussi prouver que malgré ta triche, tu n’as pas perdu toute dignité pour autant.
- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 29■ Messages : 730■ Inscrit le : 13/02/2023
Mon personnage
❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2017
Perte et profit
27 juillet 2018 || Ft. Junichi
27 juillet 2018 || Ft. Junichi
Effectivement, il n y avait pas trente six milles solutions. C'était triste, mais la jeune fille devait se dénoncer à l'administration de l'établissement pour éviter d'avoir une sanction plus sévère. Si elle avait triché à d'autres examens ? Rien ne prouve qu'elle l'avait fait que sur un seul. La psychologue n'était pas adepte de ce genre de consolation, mais elle ne pouvait l'encourager à rester dans ce vice qui n'était pas très honnête non plus. Son examen d'entrée pour l'université de psychologie, elle l'avait obtenue légalement et sans tricher. Elle ne comprend pas pourquoi certains triment pour obtenir leur diplôme sans vouloir doubler et que certains l'auraient parce qu'ils ont trichés. Beck trouvait cela injuste, mais la situation de l'étudiante était complètement différente.
Beck ne connaissait pas la jeune fille, alors comment pouvait t'elle faire confiance à ses dires ? Mais Junichi avait vu la scène de ses racketteurs, alors bon c'était bien ce qui s'était passé.
Mais il était inconcevable que certains viennent lui faire du chantage concernant l'argent pour éviter qu'elle soit dénoncé. Mais est-ce que cela ne va pas s'ébruiter et faire mauvaise réputation à l'école ? La jeune femme avait la crainte que cela se produise. Les rumeurs vont très vite et surtout quand c'est un bahut pleins d'étudiants. Beck ne voulait pas être complice du méfait de l'étudiante, alors qu'elle était au courant. Elle ne voulait pas l'encourager à cela et elle voulait que celle-ci puisse poursuivre ses études sans encombre.
Ce n'était pas facile de jongler avec un membre de la famille malade et surtout que les études sont très importantes. Mais parfois, malheureusement notre conscience nous fait faire des choses qui ne sont pas logique. Au lieu d'assumer d'avoir une note en dessous de la moyenne et pour que cela ne paraisse pas suspect, on préfère tricher ? Ce n'était pas du tout dans la conception de Beck et surtout il faut parler et les adultes peuvent peut être trouver des solutions.
Il n'était pas rare de trouver des étudiants qui n'avaient pas d'amis, qui n'arrivaient tout simplement pas à s'intégrer. Mais avoir quelqu'un qui puisse nous aider pendant les révisions, cela peut exister et surtout dans cet établissement, une soutenance ou une permanence devait exister avec des surveillants qui pouvaient nous aider à réviser cela doit bien exister après les cours. La jeune femme ne trouvait pas d'autres portes de sorties pour l'étudiante. Même si elle aurait bien aimé l'aider plus...
Beck ne connaissait pas la jeune fille, alors comment pouvait t'elle faire confiance à ses dires ? Mais Junichi avait vu la scène de ses racketteurs, alors bon c'était bien ce qui s'était passé.
Je comprend que votre situation est ambarrassante, mais je pense que l'idéal c'est d'avouer votre fait. Je ne peux pas vous aider, mis à part vous conseiller d'être honnête et en expliquant la situation. L'administration sera beaucoup plus clémente, que si effectivement si quelqu'un vous dénonçait.
Mais il était inconcevable que certains viennent lui faire du chantage concernant l'argent pour éviter qu'elle soit dénoncé. Mais est-ce que cela ne va pas s'ébruiter et faire mauvaise réputation à l'école ? La jeune femme avait la crainte que cela se produise. Les rumeurs vont très vite et surtout quand c'est un bahut pleins d'étudiants. Beck ne voulait pas être complice du méfait de l'étudiante, alors qu'elle était au courant. Elle ne voulait pas l'encourager à cela et elle voulait que celle-ci puisse poursuivre ses études sans encombre.
Ce n'était pas facile de jongler avec un membre de la famille malade et surtout que les études sont très importantes. Mais parfois, malheureusement notre conscience nous fait faire des choses qui ne sont pas logique. Au lieu d'assumer d'avoir une note en dessous de la moyenne et pour que cela ne paraisse pas suspect, on préfère tricher ? Ce n'était pas du tout dans la conception de Beck et surtout il faut parler et les adultes peuvent peut être trouver des solutions.
Sinon, n'avez vous pas d'amis avec qui vous pouviez réviser à ce moment là ?
Il n'était pas rare de trouver des étudiants qui n'avaient pas d'amis, qui n'arrivaient tout simplement pas à s'intégrer. Mais avoir quelqu'un qui puisse nous aider pendant les révisions, cela peut exister et surtout dans cet établissement, une soutenance ou une permanence devait exister avec des surveillants qui pouvaient nous aider à réviser cela doit bien exister après les cours. La jeune femme ne trouvait pas d'autres portes de sorties pour l'étudiante. Même si elle aurait bien aimé l'aider plus...
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Beck semblait convenir de la même solution que moi, à savoir une dénonciation prématurée de la jeune femme afin qu’elle puisse s’en sortir avec le moins de casse possible. Ça me semblait être réellement la seule chose à faire en l’état, car il n’y avait aucune autre solution qui pouvait la sortir de cette situation, aucune qui n’aggrave pas le tout. Certes, elle pourrait encore mentir et tricher. Mais ça ne ferait que refermer un peu plus la spirale infernale autour d’elle.
Je retenais un soupir, bien content de ne pas avoir à vivre cela, puis j’observais la jeune femme avec un sourire plus encourageant. Ce n’était pas de remontrance dont elle avait besoin ! Après tout, elle semblait pleinement consciente de sa faute et d’une certaine manière, c’était une très bonne chose.
- Allé, on fait tous des erreurs ! Ce sera un mauvais moment à passer, certes, mais rapidement un mauvais souvenir et puis, d’une certaine façon, tu seras beaucoup plus intègre à l’avenir puisque tu as bien compris que tricher n’a rien apporté du tout.
L’étudiante semblait d'accord même si pas vraiment enthousiaste pour le moment. Je ne lui en voulais pas de le prendre ainsi, elle aurait le temps de mûrir sur cela lors de son exclusion temporaire. Remarque, elle aurait le temps de réviser au moins et puis bon, rattraper le tir sera compliqué mais d’autant plus embellissant sur son CV. Non contente de réussir, elle aura en plus rattrapé sa bêtise, dans l’hypothèse où elle s’en sort bien sûr.
Beck demanda alors si elle avait des amis avec qui réviser. Il était vrai que c’était plutôt une bonne question, si elle avait eu des gens avec qui réviser, alors cela aurait pu être plus simple… Mais elle avait dit qu’elle n’avait pas le temps justement. D’ailleurs, elle reconfirma très vite en ajoutant.
- Bien sûr que j’en ai… mais j’étais tellement à la traîne que je ne voulais pas les ralentir. Comme je vous l’ai dit, je n’ai pas eu de temps, j’étais trop prise en dehors de mes études. C’était dur de joindre les deux bouts. Je n’aurais pas triché sinon...
Un regard peiné de ma part, c’était dur de se sentir comme un boulet en soi et on pouvait vite en venir à des solutions extrêmes. J’observais Beck et demandais d’une voix plus sérieuse.
- C’est vrai que pendant les révisions, si on ne suit pas le groupe, c’est un peu compliqué. Je peux comprendre qu’elle n’ait pas voulu entraîner d’autres personnes dans son retard même s’ils l’auraient sûrement fait de bon cœur. Quoi qu’il en soit, on peut tergiverser toute la journée sur des solutions à un problème qui est déjà passé. Elle m’a l’air d’avoir bien compris sa bêtise et je n’ai pas l’impression qu’elle la refera à nouveau. Cependant, il est vrai que les périodes d’examen représentent un sérieux fardeau pour pas mal d’étudiants. La triche n’est certes pas une solution, mais malheureusement, dans un moment où on ne réfléchit plus posément, cela peut sembler être une solution. Un peu la solution de facilité en soi, même si personnellement je n’y adhère pas.
Un soupir avant de reprendre.
- Et certains en profitent de cette faiblesse. Si on veut qu’elle puisse se dénoncer librement, il faudrait déjà la protéger de représailles de la part de ses extorqueurs… Car elle va invariablement les entraîner dans sa chute et même si elle n’en parle pas… Ils peuvent vouloir protéger leurs arrières. S’ils sont déjà capables de faire du chantage, les menaces physiques peuvent vite devenir la prochaine étape.
Du moins, c’est ce que je pensais. Il y avait des problèmes plus immédiats. Elle avait fait une faute et s’en voulait. Sauf que les personnes qui s’en prenaient à elle n’avaient clairement aucun intérêt à ce qu’elle cherche à se dénoncer. La jeune femme se raidit, prise d'un coup de pression ou de peur.
- Oui, c’est vrai, ils m’ont déjà clairement dit que ce serait pire si je les dénonce. Pour ça que c’est compliqué.
Aïe, donc, ils vont clairement la prendre pour cible en plus en cas de retombée.
Je retenais un soupir, bien content de ne pas avoir à vivre cela, puis j’observais la jeune femme avec un sourire plus encourageant. Ce n’était pas de remontrance dont elle avait besoin ! Après tout, elle semblait pleinement consciente de sa faute et d’une certaine manière, c’était une très bonne chose.
- Allé, on fait tous des erreurs ! Ce sera un mauvais moment à passer, certes, mais rapidement un mauvais souvenir et puis, d’une certaine façon, tu seras beaucoup plus intègre à l’avenir puisque tu as bien compris que tricher n’a rien apporté du tout.
L’étudiante semblait d'accord même si pas vraiment enthousiaste pour le moment. Je ne lui en voulais pas de le prendre ainsi, elle aurait le temps de mûrir sur cela lors de son exclusion temporaire. Remarque, elle aurait le temps de réviser au moins et puis bon, rattraper le tir sera compliqué mais d’autant plus embellissant sur son CV. Non contente de réussir, elle aura en plus rattrapé sa bêtise, dans l’hypothèse où elle s’en sort bien sûr.
Beck demanda alors si elle avait des amis avec qui réviser. Il était vrai que c’était plutôt une bonne question, si elle avait eu des gens avec qui réviser, alors cela aurait pu être plus simple… Mais elle avait dit qu’elle n’avait pas le temps justement. D’ailleurs, elle reconfirma très vite en ajoutant.
- Bien sûr que j’en ai… mais j’étais tellement à la traîne que je ne voulais pas les ralentir. Comme je vous l’ai dit, je n’ai pas eu de temps, j’étais trop prise en dehors de mes études. C’était dur de joindre les deux bouts. Je n’aurais pas triché sinon...
Un regard peiné de ma part, c’était dur de se sentir comme un boulet en soi et on pouvait vite en venir à des solutions extrêmes. J’observais Beck et demandais d’une voix plus sérieuse.
- C’est vrai que pendant les révisions, si on ne suit pas le groupe, c’est un peu compliqué. Je peux comprendre qu’elle n’ait pas voulu entraîner d’autres personnes dans son retard même s’ils l’auraient sûrement fait de bon cœur. Quoi qu’il en soit, on peut tergiverser toute la journée sur des solutions à un problème qui est déjà passé. Elle m’a l’air d’avoir bien compris sa bêtise et je n’ai pas l’impression qu’elle la refera à nouveau. Cependant, il est vrai que les périodes d’examen représentent un sérieux fardeau pour pas mal d’étudiants. La triche n’est certes pas une solution, mais malheureusement, dans un moment où on ne réfléchit plus posément, cela peut sembler être une solution. Un peu la solution de facilité en soi, même si personnellement je n’y adhère pas.
Un soupir avant de reprendre.
- Et certains en profitent de cette faiblesse. Si on veut qu’elle puisse se dénoncer librement, il faudrait déjà la protéger de représailles de la part de ses extorqueurs… Car elle va invariablement les entraîner dans sa chute et même si elle n’en parle pas… Ils peuvent vouloir protéger leurs arrières. S’ils sont déjà capables de faire du chantage, les menaces physiques peuvent vite devenir la prochaine étape.
Du moins, c’est ce que je pensais. Il y avait des problèmes plus immédiats. Elle avait fait une faute et s’en voulait. Sauf que les personnes qui s’en prenaient à elle n’avaient clairement aucun intérêt à ce qu’elle cherche à se dénoncer. La jeune femme se raidit, prise d'un coup de pression ou de peur.
- Oui, c’est vrai, ils m’ont déjà clairement dit que ce serait pire si je les dénonce. Pour ça que c’est compliqué.
Aïe, donc, ils vont clairement la prendre pour cible en plus en cas de retombée.
- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 29■ Messages : 730■ Inscrit le : 13/02/2023
Mon personnage
❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2017
Perte et profit
27 juillet 2018 || Ft. Junichi
27 juillet 2018 || Ft. Junichi
Les choses n'étaient pas simples car la demoiselle serait prise en cible de la part de ses extorqueurs. Ils connaissaient son secret concernant son secret et Beck avouait que ce n'était pas évident, car se dénoncer c'est pas mal mais c'est comme le serpent qui se mordait la queue. On ne peut pas malheureusement se défaire de ce genre de spirale infernale, car c'est bien plus complexe que cela. La jeune femme ne connaissait pas ce genre de situation car elle a toujours été honnête et droite dans ses bottes concernant ses études. Alors, il était plus simple pour elle de passer du temps devant ses bouquins et de temps en temps quand elle avait le temps, de rendre visite à son grand père malade à l'hôpital.
Beck réfléchissait à une solution. Elle ne voulait pas être prise dans les filets et surtout être prise pour complice alors qu'elle était au courant de la confidence de l'étudiante qui semblait lui faire confiance puisqu'elle lui avait avouée sans se cacher de son vice. La psychologue regardait le ciel en posant la main sur son menton et faisant mine de réfléchir tout en regardant la pauvre étudiante qui était prise au dépourvue.
Elle avait peur que l'étudiante soit reprise vis à vis de son acte d'avoir trichée pendant un examen officiel et d'être suspendue de l'établissement lourde en conséquence. Beck ne savait pas quoi faire et se creusant la tête, écoutant en même temps les dires de Junichi qui avait toujours été dans la bienveillance. Elle soupirait quelques instants et regardant Juni avec un léger sourire.
Il y avait pourtant des surveillants partout, alors c'était sûre qu'il y avait eu des yeux pour voir ce qu'il s'était passé dans le parc. Mais qui aurait les tripes pour pouvoir témoigner en la faveur de l'étudiante tout en connaissance de cause et savant le pourquoi du comment ?
Beck réfléchissait à une solution. Elle ne voulait pas être prise dans les filets et surtout être prise pour complice alors qu'elle était au courant de la confidence de l'étudiante qui semblait lui faire confiance puisqu'elle lui avait avouée sans se cacher de son vice. La psychologue regardait le ciel en posant la main sur son menton et faisant mine de réfléchir tout en regardant la pauvre étudiante qui était prise au dépourvue.
Savez vous quels sont les personnes qui vous demandent de l'argent ? Ce serait bien d'avoir leurs identités. Après, je en veux pas que vous ayez des ennuis parce qu'on sait qui c'est, mais c'est à double tranchant. Mais si plusieurs adultes ou les autorités étaient au courant, est-ce que cela changerait les choses ?
Elle avait peur que l'étudiante soit reprise vis à vis de son acte d'avoir trichée pendant un examen officiel et d'être suspendue de l'établissement lourde en conséquence. Beck ne savait pas quoi faire et se creusant la tête, écoutant en même temps les dires de Junichi qui avait toujours été dans la bienveillance. Elle soupirait quelques instants et regardant Juni avec un léger sourire.
Junichi, est-ce que vous pensez apporter votre témoignage à l'administration si elle venait à se dénoncer ? Car passer par les autorités, j'ai bien peur que les conséquences soient plus dures pour elle.
Il y avait pourtant des surveillants partout, alors c'était sûre qu'il y avait eu des yeux pour voir ce qu'il s'était passé dans le parc. Mais qui aurait les tripes pour pouvoir témoigner en la faveur de l'étudiante tout en connaissance de cause et savant le pourquoi du comment ?
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Il était vrai que j’avais songé à ce détail après avoir proposé à la jeune femme de se dénoncer. Car cette idée m’était venue sans prendre en compte ses extorqueurs… mais maintenant que j’y songeais, ça me semblait peu probable qu’ils la laissent tranquille même après. Non, ils chercheraient à lui faire payer. Cependant, il pouvait bien y avoir une solution.
Beck posa quelques questions, cherchant visiblement une solution, et j’en profitai pour m’asseoir un peu. Non, parce que pour l’instant, je n’avais pas du tout mangé et la faim se faisait sentir malgré la situation. C’était plus compliqué de réfléchir dans cet état, d’ailleurs, mais je faisais de mon mieux. Faire le constat d’une situation était simple, en trouver une solution, c’était une autre paire de manches.
L’étudiante prit un bout de papier dans son sac ainsi qu’un stylo, elle nota le nom des deux filles qu’elle connaissait mais celui du garçon semblait lui échapper. Ça devait être le copain de l’une des deux, ou un ami… ou que sais-je ? Au fond, je ne voulais même pas vraiment le savoir.
- Tenez, l’une d’elles est dans ma classe, l’autre traîne souvent avec elle. Quant à l’autre type, franchement, je ne l’ai vu que deux fois et il ne parle pas beaucoup. Je ne sais pas pour le reste, franchement, je veux juste en finir avec cette histoire.
Sûrement là pour intimider un peu aussi, c’est plus facile après tout. Au fond, il était complice, donc coupable. Je soufflai du nez en réfléchissant encore à une solution mais pour le moment, je n’en voyais pas vraiment. La voix de Beck parvint à nouveau à mes oreilles, me sortant de mes pensées, et je l’observai, mettant un petit instant avant de comprendre.
- Hein ?! Oh ! Eh bien …
Mon hésitation était palpable en réalité, témoignant en sa faveur certes… Cependant, j’ajoutai avec franchise.
- Oui, je pourrais, mais malheureusement, sans prendre parti. Ne m’en veux pas, mais en soi, je ne te connais pas non plus et tu peux très bien nous mentir pour essayer d’arrondir ta situation.
Hélas, elle avait triché à un examen, donc qui sait si elle ne jouait pas un rôle. J’étais ignoble et j’en avais conscience, mais malheureusement, je ne la connaissais pas assez pour me mouiller autant que ça dans sa cause. Alors j’ajoutai.
- Cependant, je peux attester de ce que j’ai vu et en soi, c’est déjà pas mal. Mais je ne mentirai pas et ne prendrai pas le risque de confirmer le mensonge d’un ou d’une autre si jamais c’est le cas, les conséquences seraient aussi pour ma pomme. Donc, disons que je suis un témoin qui apporte son aide, j’ai bien vu trois personnes te prendre de l’argent, c’est tout. Je n’ai rien entendu sur le moment, on a que ta version des faits et même si tu me sembles sincère, je ne peux pas tellement te croire sur ta simple bonne foi.
J’en étais désolé, mais elle hocha la tête, semblant comprendre ce que je voulais dire.
- Non, c’est bon, c’est déjà bien. Au moins, tu peux témoigner même un peu.
J’observai Beck en haussant les épaules avant de demander d’une voix calme.
- Je suppose que sans preuve crédible, on ne peut pas décemment accuser d’autres élèves sur une simple parole, non ? Ils ne sont pas assez bêtes pour en laisser sinon, ils se feraient pincer beaucoup trop facilement. Si seulement on avait connaissance d’une autre victime, ça serait plus crédible, mais là.
La seule réelle solution serait de permettre à l’étudiante de se dénoncer sans risque de représailles et de garder à l’œil les trois autres pour les attraper sur une récidive, s’ils sont assez bêtes pour recommencer, bien sûr.
Beck posa quelques questions, cherchant visiblement une solution, et j’en profitai pour m’asseoir un peu. Non, parce que pour l’instant, je n’avais pas du tout mangé et la faim se faisait sentir malgré la situation. C’était plus compliqué de réfléchir dans cet état, d’ailleurs, mais je faisais de mon mieux. Faire le constat d’une situation était simple, en trouver une solution, c’était une autre paire de manches.
L’étudiante prit un bout de papier dans son sac ainsi qu’un stylo, elle nota le nom des deux filles qu’elle connaissait mais celui du garçon semblait lui échapper. Ça devait être le copain de l’une des deux, ou un ami… ou que sais-je ? Au fond, je ne voulais même pas vraiment le savoir.
- Tenez, l’une d’elles est dans ma classe, l’autre traîne souvent avec elle. Quant à l’autre type, franchement, je ne l’ai vu que deux fois et il ne parle pas beaucoup. Je ne sais pas pour le reste, franchement, je veux juste en finir avec cette histoire.
Sûrement là pour intimider un peu aussi, c’est plus facile après tout. Au fond, il était complice, donc coupable. Je soufflai du nez en réfléchissant encore à une solution mais pour le moment, je n’en voyais pas vraiment. La voix de Beck parvint à nouveau à mes oreilles, me sortant de mes pensées, et je l’observai, mettant un petit instant avant de comprendre.
- Hein ?! Oh ! Eh bien …
Mon hésitation était palpable en réalité, témoignant en sa faveur certes… Cependant, j’ajoutai avec franchise.
- Oui, je pourrais, mais malheureusement, sans prendre parti. Ne m’en veux pas, mais en soi, je ne te connais pas non plus et tu peux très bien nous mentir pour essayer d’arrondir ta situation.
Hélas, elle avait triché à un examen, donc qui sait si elle ne jouait pas un rôle. J’étais ignoble et j’en avais conscience, mais malheureusement, je ne la connaissais pas assez pour me mouiller autant que ça dans sa cause. Alors j’ajoutai.
- Cependant, je peux attester de ce que j’ai vu et en soi, c’est déjà pas mal. Mais je ne mentirai pas et ne prendrai pas le risque de confirmer le mensonge d’un ou d’une autre si jamais c’est le cas, les conséquences seraient aussi pour ma pomme. Donc, disons que je suis un témoin qui apporte son aide, j’ai bien vu trois personnes te prendre de l’argent, c’est tout. Je n’ai rien entendu sur le moment, on a que ta version des faits et même si tu me sembles sincère, je ne peux pas tellement te croire sur ta simple bonne foi.
J’en étais désolé, mais elle hocha la tête, semblant comprendre ce que je voulais dire.
- Non, c’est bon, c’est déjà bien. Au moins, tu peux témoigner même un peu.
J’observai Beck en haussant les épaules avant de demander d’une voix calme.
- Je suppose que sans preuve crédible, on ne peut pas décemment accuser d’autres élèves sur une simple parole, non ? Ils ne sont pas assez bêtes pour en laisser sinon, ils se feraient pincer beaucoup trop facilement. Si seulement on avait connaissance d’une autre victime, ça serait plus crédible, mais là.
La seule réelle solution serait de permettre à l’étudiante de se dénoncer sans risque de représailles et de garder à l’œil les trois autres pour les attraper sur une récidive, s’ils sont assez bêtes pour recommencer, bien sûr.
- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 29■ Messages : 730■ Inscrit le : 13/02/2023
Mon personnage
❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2017
Perte et profit
27 juillet 2018 || Ft. Junichi
27 juillet 2018 || Ft. Junichi
L'étudiante semblait expliquer que les gens qui la harcelaient étaient des personnes qui faisaient parti de sa classe. Mais la jeune femme était dans la même position que Junichi. Elle ne voulait pas prendre parti pour qui que ce soit, ce n'était qu'une employée et elle, n'avait pas vu la scène en question. Elle ne peut attester de rien, juste à avoir essayé de trouver des solutions concernant la problématique.
C'était assez difficile de se positionner. Elle réfléchissait à quelque chose à dire tout en écoutant les dires des étudiants, même si Beck restait tout de même perplexe et soufflant du nez, croisant les bras tout en observant les deux autres protagonistes, tout en restant sur la réserve.
Beck ne voulait pas outrepasser ses fonctions concernant l'affaire. Il ne fallait pas croire ce que disait tout le monde et elle restait assez sur la défensive, voir la méfiance. Elle ne connaissait pas l'étudiante, elle ne l'avait jamais vu dans son bureau et ne pouvait pas réellement savoir si l'étudiante cherchait à se donner la bonne image. La jeune femme était assez contente en regardant l'homme et la demoiselle discuter du soucis.
Des surveillants avaient vu les protagonistes discuter dans le parc. Ils s'approchaient doucement d'eux et puis vint un surveillant venait à dire.
Que faites vous ? Est-ce que tout vas bien ? Est-ce que l'on peut vous aider ?
C'était assez difficile de se positionner. Elle réfléchissait à quelque chose à dire tout en écoutant les dires des étudiants, même si Beck restait tout de même perplexe et soufflant du nez, croisant les bras tout en observant les deux autres protagonistes, tout en restant sur la réserve.
Je vois, je ne peux pas prendre de parti pour qui que ce soit. Je ne suis qu'une employée, je ne peux que vous conseiller d'être honnête et je ne peux pas avoir qu'un seul son de cloche. Après, ce serait risqué d'aller vers les dites personnes pour tenter de comprendre la chose et déceler le vrai du faux, mais je ne pense pas que cela soit de mon ressort et de mes compétences.
Beck ne voulait pas outrepasser ses fonctions concernant l'affaire. Il ne fallait pas croire ce que disait tout le monde et elle restait assez sur la défensive, voir la méfiance. Elle ne connaissait pas l'étudiante, elle ne l'avait jamais vu dans son bureau et ne pouvait pas réellement savoir si l'étudiante cherchait à se donner la bonne image. La jeune femme était assez contente en regardant l'homme et la demoiselle discuter du soucis.
Je ne sais pas comment faire pour vous ma grande, je ne veux pas que votre histoire soit préjudiciable pour vous.
Des surveillants avaient vu les protagonistes discuter dans le parc. Ils s'approchaient doucement d'eux et puis vint un surveillant venait à dire.
Que faites vous ? Est-ce que tout vas bien ? Est-ce que l'on peut vous aider ?
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Un profond soupir intérieur se faisait ressentir dans mon esprit, mais je tâchais malgré tout de garder un petit sourire, certes contraint mais un sourire quand même. J’étais le genre de personne à penser qu’il y avait toujours une solution à un problème. La vie est malléable après tout, alors on doit toujours pouvoir se contorsionner pour réussir à s’extriquer d’une situation compliquée… Woaw, beaucoup de mots complexes dans ma pensée, je ne vais sûrement pas tarder à avoir mal au crâne.
Beck clarifia aussi sa position et je ne pouvais que la comprendre. Elle avait plus à perdre que de simples études. Elle devait vivre de son travail et avait besoin de sa paye. Si je devais mettre en jeu ma carrière sportive, je ne le ferais pas pour n’importe qui non plus, donc je pouvais comprendre sa position et nul doute que la victime ici présente pouvait comprendre.
- Cela dit, en tant que psychologue scolaire, vous pouvez toujours faire bénéficier notre amie ici présente de séance si besoin non ? Ou à la limite… Vous pourriez l’aider avec ses parents ? Je suppose que l’appui d’un membre du personnel pour le dialogue serait sûrement une bonne chose.
Demander ne coute rien après tout. Je me tournais vers l’étudiante en lâchant.
- D’une certaine manière, si ce que tu dis est vrai, les élèves ont visiblement profité de ta détresse pour te convaincre de tricher. Donc tu peux peut-être jouer sur ça pour atténuer la sentence du côté de ta famille. Même si bon, je ne pense pas non plus qu’ils vont t’en vouloir autant que ça. Mais je connais pas ta famille non plus.
Le problème était toujours de lui permettre de se dénoncer sans problème et malheureusement le destin semblait bien décidé à lui en faire baver à la pauvre jeune femme. Des surveillants venaient de se pointer. Bah oui, ils devaient avoir fini de manger eux ! Tout en demandant s’ils pouvaient faire quelque chose pour nous aider, j’observais la scène avec un regard détendu même si je venais de me crisper doucement.
Un regard vers Beck, puis l’étudiante. Si nous attendions trop, cela serait un peu louche. Mentir n’était pas une option, mais broder la vérité semblait plus jouable. À condition que cela passe sans dégâts pour moi bien évidemment. Je ne pouvais pas décemment dire que j’avais assisté à un racket car je n’en étais même pas réellement convaincu moi-même. Cependant…
- Oui, je voudrais me dénoncer. J’ai triché durant un examen et ces deux personnes m’ont convaincue qu’il valait mieux que je prenne les devants. Je comptais venir vous voir juste après.
Elles s’étaient levées du banc et faisaient face, serrant le bas de son haut dans ses poings. C’était assez courageux, cependant, elle ne semblait pas décidée à dénoncer les autres élèves. Je convenais qu’il était probablement plus prudent. Mais bon, là je ne m’attendais pas vraiment à un retournement pareil. J’imagine que les surveillants allaient embarquer la jeune élève avec eux dans un bureau pour en discuter. Cependant, elle demanda avant toute chose.
- Je suis prête à assumer la sanction, mais je voudrais juste, je veux que ma famille le sache de ma bouche. C’est tout, c’est à moi de leur dire.
Oui c’est vrai, ça semblait clairement la meilleure chose à faire. Le savoir par le biais du personnel scolaire serait la pire des choses. Or admettre avoir triché et en plus s’être dénoncé en été une autre. Je lâchais d’une voix détendue.
- Vous pouvez bien faire ça non ? Au moins par respect pour sa dignité ?
Et je savais que la dignité était très importante dans ce pays.
Beck clarifia aussi sa position et je ne pouvais que la comprendre. Elle avait plus à perdre que de simples études. Elle devait vivre de son travail et avait besoin de sa paye. Si je devais mettre en jeu ma carrière sportive, je ne le ferais pas pour n’importe qui non plus, donc je pouvais comprendre sa position et nul doute que la victime ici présente pouvait comprendre.
- Cela dit, en tant que psychologue scolaire, vous pouvez toujours faire bénéficier notre amie ici présente de séance si besoin non ? Ou à la limite… Vous pourriez l’aider avec ses parents ? Je suppose que l’appui d’un membre du personnel pour le dialogue serait sûrement une bonne chose.
Demander ne coute rien après tout. Je me tournais vers l’étudiante en lâchant.
- D’une certaine manière, si ce que tu dis est vrai, les élèves ont visiblement profité de ta détresse pour te convaincre de tricher. Donc tu peux peut-être jouer sur ça pour atténuer la sentence du côté de ta famille. Même si bon, je ne pense pas non plus qu’ils vont t’en vouloir autant que ça. Mais je connais pas ta famille non plus.
Le problème était toujours de lui permettre de se dénoncer sans problème et malheureusement le destin semblait bien décidé à lui en faire baver à la pauvre jeune femme. Des surveillants venaient de se pointer. Bah oui, ils devaient avoir fini de manger eux ! Tout en demandant s’ils pouvaient faire quelque chose pour nous aider, j’observais la scène avec un regard détendu même si je venais de me crisper doucement.
Un regard vers Beck, puis l’étudiante. Si nous attendions trop, cela serait un peu louche. Mentir n’était pas une option, mais broder la vérité semblait plus jouable. À condition que cela passe sans dégâts pour moi bien évidemment. Je ne pouvais pas décemment dire que j’avais assisté à un racket car je n’en étais même pas réellement convaincu moi-même. Cependant…
- Oui, je voudrais me dénoncer. J’ai triché durant un examen et ces deux personnes m’ont convaincue qu’il valait mieux que je prenne les devants. Je comptais venir vous voir juste après.
Elles s’étaient levées du banc et faisaient face, serrant le bas de son haut dans ses poings. C’était assez courageux, cependant, elle ne semblait pas décidée à dénoncer les autres élèves. Je convenais qu’il était probablement plus prudent. Mais bon, là je ne m’attendais pas vraiment à un retournement pareil. J’imagine que les surveillants allaient embarquer la jeune élève avec eux dans un bureau pour en discuter. Cependant, elle demanda avant toute chose.
- Je suis prête à assumer la sanction, mais je voudrais juste, je veux que ma famille le sache de ma bouche. C’est tout, c’est à moi de leur dire.
Oui c’est vrai, ça semblait clairement la meilleure chose à faire. Le savoir par le biais du personnel scolaire serait la pire des choses. Or admettre avoir triché et en plus s’être dénoncé en été une autre. Je lâchais d’une voix détendue.
- Vous pouvez bien faire ça non ? Au moins par respect pour sa dignité ?
Et je savais que la dignité était très importante dans ce pays.
- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 29■ Messages : 730■ Inscrit le : 13/02/2023
Mon personnage
❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2017
Perte et profit
27 juillet 2018 || Ft. Junichi
27 juillet 2018 || Ft. Junichi
Au moins, l'étudiante assumeraut les sanctions qui lui seraient donné pour avoir triché. Bon, ce n'était pas grave en soit mais au moins il faut reconnaître ses erreurs et c'était une étape de franchie. Cela faisait sourire Beck davantage.
La psychologue scolaire voulait bien entendu témoigner en ce qui concerne l'abus de faiblesse qu'on fait part les autres étudiants à l'égard de la demoiselle. En y réfléchissant, c'était quelque chose de punissable par la loi malgré le fait qu'elle ait commis cette faute à l'examen. Profiter de quelqu'un de vulnérable, psychologiquement cela peut jouer et la personne est vraiment dépourvue au point d'aller à cette solution.
Le surveillant était toujours présent. Il se demandait ce qui se tramait et attendait patiemment qu'on lui réponde. Il soupirait et commençait à s'agacer.
Expliquez moi clairement ce qu'il s'est passé et pourquoi elle semble être complètement dépassée....
La psychologue voulait tenter de rebondir. Voulait voir ce que la demoiselle répondrait au surveillant, il semblait demander des explications. Il aurait aimé savoir pourquoi elle était si embarrassée.
Elle continuera à expliquer les raisons et les impacts psychologique qu'il y a sur le psychisme d'une personne fragile et qui ne peut pas être sur tous les fronts. Que c'était très difficile à devoir jouer sur plusieurs tableaux et assurer à l'école. Une matière qu'elle n'avait pas eu le temps de réviser à cause de son train de vie compliqué et qui jouait beaucoup sur sa santé mentale.
La psychologue scolaire voulait bien entendu témoigner en ce qui concerne l'abus de faiblesse qu'on fait part les autres étudiants à l'égard de la demoiselle. En y réfléchissant, c'était quelque chose de punissable par la loi malgré le fait qu'elle ait commis cette faute à l'examen. Profiter de quelqu'un de vulnérable, psychologiquement cela peut jouer et la personne est vraiment dépourvue au point d'aller à cette solution.
Même si nous n'avons pas eu de consultation, on peut très bien faire jouer l'abus de faiblesse sur personne vulnérable. D'une manière juridique, cela pourrait faire pencher la balance. Tout en expliquant le contexte, qu'en pensez-vous ?
Le surveillant était toujours présent. Il se demandait ce qui se tramait et attendait patiemment qu'on lui réponde. Il soupirait et commençait à s'agacer.
Expliquez moi clairement ce qu'il s'est passé et pourquoi elle semble être complètement dépassée....
La psychologue voulait tenter de rebondir. Voulait voir ce que la demoiselle répondrait au surveillant, il semblait demander des explications. Il aurait aimé savoir pourquoi elle était si embarrassée.
Monsieur, permettez moi de vous signaler qu'il y a eu des personnes qui ont profité de la faiblesse de l'étudiante. Ils en profitent pour lui soutirer de l'argent sous peine de la dénoncer pour tricherie à un examen, alors qu'il l'y ont poussé.
Elle continuera à expliquer les raisons et les impacts psychologique qu'il y a sur le psychisme d'une personne fragile et qui ne peut pas être sur tous les fronts. Que c'était très difficile à devoir jouer sur plusieurs tableaux et assurer à l'école. Une matière qu'elle n'avait pas eu le temps de réviser à cause de son train de vie compliqué et qui jouait beaucoup sur sa santé mentale.
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Je n’étais pas sûr d’avoir voulu jouer jusqu’à l’abus de faiblesse pour l’étudiante, mais en soi, c’était plutôt ça. Si tant est qu’elle disait bien la vérité, de toute façon, nous n’avions aucun moyen de le vérifier, donc ce serait sur parole. Cependant, je ne pensais pas que Beck irait jusqu’à tout balancer comme ça de but en blanc sur les autres élèves. Remarque, l’étudiante n’était pas en cause, et rien ne pourrait indiquer qu’elle avait parlé puisque j’avais été témoin de la scène. Autant le dire.
- Oui, c’est en partie parce que j’ai assisté au fait qu’elle avait dû donner de l’argent, visiblement sous la contrainte que nous lui avons conseillé de se dénoncer. Même si bon, je pense que la culpabilité l'aurais convaincue tôt ou tard !
Cependant, les surveillants semblaient plus perdus qu’autre chose et il vaudrait peut-être mieux commencer par le début. Je laissais Beck expliquer à nouveau en restant un peu en retrait, après tout je n’étais qu’un élève face à plusieurs membres du personnel. Autant me faire tout petit, enfin autant que possible. Mais l’étudiante elle ne se démonta pas et lâcha.
- Les raisons qui m’ont poussée à accepter me regardent, j’ai manqué de temps pour les révisions à cause d’impératifs et j’avoue que… ça n’a pas été très dur de me pousser vers la facilité.
Un soupir de ma part, admiratif certes, mais aussi peiné. J’ignorais si elle arrangeait son cas ou non là, mais une chose était sûre, au moins elle disait la vérité. Qu’avait-elle à gagner en mentant dans une situation pareille ? Pas grand-chose, elle perdait plus qu’elle ne gagnait. Logiquement, si je me fiais à ce que j’avais déjà vu par le passé dans mes anciens lieux scolaires, la sanction la plus légère était au mieux une simple annulation des notes, rendant les examens nuls, et au pire, une exclusion de plusieurs jours. Visiblement, elle risquait les deux.
Tant qu’ils la laissaient en parler avec ses parents, c’était le minimum. L’étudiante étant mineure, une première année visiblement, elle ne pouvait donc pas assumer la sanction sans que ses tuteurs ne soient mis au courant. Complexe comme situation en effet, mais je l’observais et avouais d’une voix sérieuse.
- Ce sera vite un mauvais souvenir et tu ne referas pas l’erreur une seconde fois. Je me doute que ça doit ne pas être simple à vivre, mais crois-moi, je suis certain que tu as fait le bon choix.
J’observais Beck, me souvenant d’un petit truc dont elle m’avait parlé la dernière fois qu’on s’était croisés.
- Vous ne m’aviez pas parlé d’un truc que vous vouliez faire sur les harcèlements, un groupe de parole ou je ne sais plus quoi… Ma mémoire peut me tromper, mais peut-être que ça pourra aussi lui faire du bien. Même si ça a été court, j’imagine qu’elle a dû traverser pas mal de choc émotionnel. Après, je sais pas vraiment ce que ça fait, donc vous êtes mieux placé que moi pour le savoir.
Cependant, je demandais ça alors que les surveillants discutaient avec l’étudiante pour avoir le fin mot de l’histoire. Avant de me reconcentrer sur l’affaire.
- Oui, c’est en partie parce que j’ai assisté au fait qu’elle avait dû donner de l’argent, visiblement sous la contrainte que nous lui avons conseillé de se dénoncer. Même si bon, je pense que la culpabilité l'aurais convaincue tôt ou tard !
Cependant, les surveillants semblaient plus perdus qu’autre chose et il vaudrait peut-être mieux commencer par le début. Je laissais Beck expliquer à nouveau en restant un peu en retrait, après tout je n’étais qu’un élève face à plusieurs membres du personnel. Autant me faire tout petit, enfin autant que possible. Mais l’étudiante elle ne se démonta pas et lâcha.
- Les raisons qui m’ont poussée à accepter me regardent, j’ai manqué de temps pour les révisions à cause d’impératifs et j’avoue que… ça n’a pas été très dur de me pousser vers la facilité.
Un soupir de ma part, admiratif certes, mais aussi peiné. J’ignorais si elle arrangeait son cas ou non là, mais une chose était sûre, au moins elle disait la vérité. Qu’avait-elle à gagner en mentant dans une situation pareille ? Pas grand-chose, elle perdait plus qu’elle ne gagnait. Logiquement, si je me fiais à ce que j’avais déjà vu par le passé dans mes anciens lieux scolaires, la sanction la plus légère était au mieux une simple annulation des notes, rendant les examens nuls, et au pire, une exclusion de plusieurs jours. Visiblement, elle risquait les deux.
Tant qu’ils la laissaient en parler avec ses parents, c’était le minimum. L’étudiante étant mineure, une première année visiblement, elle ne pouvait donc pas assumer la sanction sans que ses tuteurs ne soient mis au courant. Complexe comme situation en effet, mais je l’observais et avouais d’une voix sérieuse.
- Ce sera vite un mauvais souvenir et tu ne referas pas l’erreur une seconde fois. Je me doute que ça doit ne pas être simple à vivre, mais crois-moi, je suis certain que tu as fait le bon choix.
J’observais Beck, me souvenant d’un petit truc dont elle m’avait parlé la dernière fois qu’on s’était croisés.
- Vous ne m’aviez pas parlé d’un truc que vous vouliez faire sur les harcèlements, un groupe de parole ou je ne sais plus quoi… Ma mémoire peut me tromper, mais peut-être que ça pourra aussi lui faire du bien. Même si ça a été court, j’imagine qu’elle a dû traverser pas mal de choc émotionnel. Après, je sais pas vraiment ce que ça fait, donc vous êtes mieux placé que moi pour le savoir.
Cependant, je demandais ça alors que les surveillants discutaient avec l’étudiante pour avoir le fin mot de l’histoire. Avant de me reconcentrer sur l’affaire.
- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 29■ Messages : 730■ Inscrit le : 13/02/2023
Mon personnage
❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2017
Perte et profit
27 juillet 2018 || Ft. Junichi
27 juillet 2018 || Ft. Junichi
Comprenez bien que nous essayons de comprendre et que nous devrons essayer de référer les personnes qui gèrent l'établissement. Nous ne pouvons malheureusement pas rester sans rien faire, nous en sommes désolés. Peu importe les raisons qui vous ont poussé à tricher, nous devons les tenir au courant et voir la sanction qui sera employé à votre encontre. A quel examen avez vous triché exactement ? Que vous ne soyez pas pénalisé pour tous les examens, mais c'est un peu compliqué car ce n'est que votre parole.Disait le surveillant en croisant les bras et regardant l'assemblé.
Beck regardait le surveillant du coin de l'oeil et puis passait à l'étudiante qui semblait un peu fermé. On ne sait pas trop si cette dernière allait tenter de s'en sortir avec des explications tout à fait bancale ou est-ce qu'elle allait être honnête ? Car ses réponses semblaient être complètement aléatoires. Et puis, elle entendit Junichi évoquer l'idée de la dernière fois. Mais est-ce que ce genre d'initiative arrangerait la situation ou amoindrirai tout simplement.
Oui, c'est vrai. Il faut que je mette ça en place, mais faut que je sache si les gens sont d'accord pour rejoindre le groupe de parole. Après, cela pourrait se faire dans l'intimité dans mon bureau.
Le surveillant ne faisait qu'acquiescer de la tête en écoutant Beck. Il y avait depuis plusieurs années, une évolution du harcèlement dans les établissements et encore plus depuis les réseaux sociaux, même si cela était déjà existant depuis un moment et même à l'époque de la psychologue. Elle était consciente de l'enjeu et de ce que cela engageait, mais est-ce que les gens seraient emballé à l'idée de se retrouver avec d'autres personnes étant dans le même cas, mais pas forcément pour les même raisons ? Cela pouvait être motivant, car beaucoup trop d'étudiants ou de jeunes aujourd'hui se murent dans le silence.
Ce serait quelque chose d'important de pouvoir mettre en place ce projet. Tout cela est un essai, mais il y a tellement une recrudescence de ce cas que c'est quelque chose qui permettrait aux personnes concernées de pouvoir se confier et cela éviterait les cas un peu plus noir, enfin vous voyez ce que je veux dire.
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Je me doutais bien que dans la situation présente, l’étudiante n’avait que deux solutions : mentir et s’enfoncer ou bien accepter la sanction pour ensuite serrer les dents face aux autres élèves. Les surveillants avaient plutôt bien dépeint sa situation, même s’ils avouaient n’avoir triché qu’à un examen, elle pouvait très bien l’avoir fait pour les autres… Donc c’était bel et bien sa parole, mais cependant, je songeais à un petit détail assez intéressant.
- Vous pourriez en profiter pour en apprendre plus sur comment elle a fait ? Pas ici, bien sûr. Personnellement, je pense que ce sera mieux dans un endroit fermé, mais comprendre comment elle est parvenue à tricher sans se faire prendre ne pourrait qu’être intéressant pour anticiper une autre triche éventuelle lors des prochains examens, non ? Enfin, je me doute bien que vous en aviez l’intention. Simplement, je me dis, autant en profiter pour en faire un acquis et sa faute ne sera pas non plus complètement pénalisante pour le système éducatif.
En théorie, bien sûr, mais ils étaient bien placés pour le savoir. Je savais qu’il pouvait y avoir des tricheurs, comme j’en avais déjà vu à l’œuvre. Plus la sécurité était haute, plus le défi devenait intéressant. Cependant, si la sécurité était inexistante alors n’importe qui le pourrait. Mais on échangeait quelques tricheurs doués et probablement un minimum intègre dans leur choix contre des tricheurs saisissant juste la voie de la facilité pour avancer. Des deux maux, je me tournais facilement vers les quelques tricheurs. Enfin, ce n’était pas forcément le cas de Kobe, je n’avais encore jamais entendu de cas de triche jusqu’à aujourd’hui ici.
Cependant, la réaction des surveillants m’indiquait que ce n’était pas si inhabituel, ils ne semblaient ni surpris, ni peu habitués. Beck me parla alors et je laissais l’étudiante expliquer qu’elle avait triché durant l’examen d’histoire de l’art… Enfin, un truc comme ça visiblement. Beck avait raison sur un point, il y avait de plus en plus de cas de harcèlement et je me permettais d’avouer.
- Oui, si je n’avais pas surpris cette scène, j’imagine que cette jeune femme ne se serait pas dénoncée aussi vite et aurait souffert en silence. Ce genre de groupe me semble de plus en plus important et le fait de savoir que cela existe ici à Kobe pourrait même aider quelques langues à se délier. Certains pourraient alors dévoiler d’autres personnes harcelées qui s’en cachent si ces personnes ne viennent pas d’elles-mêmes. Au fond, je ne vois pas le mal que ça pourrait faire.
Un instant de réflexion avant de dire.
- Ça pourrait même décourager quelques harceleurs de peur qu’ils se fassent dénoncer. Mais bon, ça serait trop beau.
Les surveillants décidèrent alors d’embarquer l’étudiante pour lui parler plus en privé. J’observais la psy, un peu inquiet malgré moi et demandai d’une voix calme bien qu’un peu anxieuse.
- J’espère qu’elle s’en sortira sans trop de casse. Vous pensez qu’elle va se faire exclure ? J’ai cru en entendre parler en même temps que je vous écoutais.
Et un autre détail.
- Puis, concernant les autres élèves, on fait quoi ? Sans preuve concrète, ce n’est pas une simple accusation qui va changer grand-chose. Au pire, je pourrais toujours aller en parler à quelques membres du club de baseball, je sais qu’il y en a qui détestent ce type de personne.
Ce n’était pas une solution, d’autant plus qu’on sortait du cadre du règlement.
- Au moins pour leur faire comprendre que s’ils touchent à un cheveu de l’étudiante, bah ils auront à faire avec eux. Mais bon, ce n’est pas la meilleure des solutions… et je ne suis pas franchement pour une escalade de la violence…
Un soupir avant d’avouer.
- Non, laissez tomber en vrai, c’est la pire idée à avoir et je préfère ne pas m’en mêler plus. Je suppose qu’elle va devoir encaisser et compter sur le soutien de sa famille pour la défendre des représailles.
- Vous pourriez en profiter pour en apprendre plus sur comment elle a fait ? Pas ici, bien sûr. Personnellement, je pense que ce sera mieux dans un endroit fermé, mais comprendre comment elle est parvenue à tricher sans se faire prendre ne pourrait qu’être intéressant pour anticiper une autre triche éventuelle lors des prochains examens, non ? Enfin, je me doute bien que vous en aviez l’intention. Simplement, je me dis, autant en profiter pour en faire un acquis et sa faute ne sera pas non plus complètement pénalisante pour le système éducatif.
En théorie, bien sûr, mais ils étaient bien placés pour le savoir. Je savais qu’il pouvait y avoir des tricheurs, comme j’en avais déjà vu à l’œuvre. Plus la sécurité était haute, plus le défi devenait intéressant. Cependant, si la sécurité était inexistante alors n’importe qui le pourrait. Mais on échangeait quelques tricheurs doués et probablement un minimum intègre dans leur choix contre des tricheurs saisissant juste la voie de la facilité pour avancer. Des deux maux, je me tournais facilement vers les quelques tricheurs. Enfin, ce n’était pas forcément le cas de Kobe, je n’avais encore jamais entendu de cas de triche jusqu’à aujourd’hui ici.
Cependant, la réaction des surveillants m’indiquait que ce n’était pas si inhabituel, ils ne semblaient ni surpris, ni peu habitués. Beck me parla alors et je laissais l’étudiante expliquer qu’elle avait triché durant l’examen d’histoire de l’art… Enfin, un truc comme ça visiblement. Beck avait raison sur un point, il y avait de plus en plus de cas de harcèlement et je me permettais d’avouer.
- Oui, si je n’avais pas surpris cette scène, j’imagine que cette jeune femme ne se serait pas dénoncée aussi vite et aurait souffert en silence. Ce genre de groupe me semble de plus en plus important et le fait de savoir que cela existe ici à Kobe pourrait même aider quelques langues à se délier. Certains pourraient alors dévoiler d’autres personnes harcelées qui s’en cachent si ces personnes ne viennent pas d’elles-mêmes. Au fond, je ne vois pas le mal que ça pourrait faire.
Un instant de réflexion avant de dire.
- Ça pourrait même décourager quelques harceleurs de peur qu’ils se fassent dénoncer. Mais bon, ça serait trop beau.
Les surveillants décidèrent alors d’embarquer l’étudiante pour lui parler plus en privé. J’observais la psy, un peu inquiet malgré moi et demandai d’une voix calme bien qu’un peu anxieuse.
- J’espère qu’elle s’en sortira sans trop de casse. Vous pensez qu’elle va se faire exclure ? J’ai cru en entendre parler en même temps que je vous écoutais.
Et un autre détail.
- Puis, concernant les autres élèves, on fait quoi ? Sans preuve concrète, ce n’est pas une simple accusation qui va changer grand-chose. Au pire, je pourrais toujours aller en parler à quelques membres du club de baseball, je sais qu’il y en a qui détestent ce type de personne.
Ce n’était pas une solution, d’autant plus qu’on sortait du cadre du règlement.
- Au moins pour leur faire comprendre que s’ils touchent à un cheveu de l’étudiante, bah ils auront à faire avec eux. Mais bon, ce n’est pas la meilleure des solutions… et je ne suis pas franchement pour une escalade de la violence…
Un soupir avant d’avouer.
- Non, laissez tomber en vrai, c’est la pire idée à avoir et je préfère ne pas m’en mêler plus. Je suppose qu’elle va devoir encaisser et compter sur le soutien de sa famille pour la défendre des représailles.
- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 29■ Messages : 730■ Inscrit le : 13/02/2023
Mon personnage
❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2017
Perte et profit
27 juillet 2018 || Ft. Junichi
27 juillet 2018 || Ft. Junichi
Ce genre d'opération peut finalement être bénéfique aux victimes, mais la psychologue devait explorer l'idée et surtout organiser ses groupes de paroles surtout après les cours. Histoire que tout le monde soit disponible et pas occupé. De pouvoir réunir une dizaine d'élèves par groupe de parole, étant donné qu'elle n'avait pas trop espoir de réunir autant d'élèves la première séance ou qu'ils ne reviendraient pas forcément à la prochaine.
La jeune femme regardait l'étudiante s'éloigner avec le surveillant. La situation était assez gênante dans le sens où celle-ci avait été sur la défensive et en espérant que son interrogatoire dans un lieu fermé et clos lui permettrait d'aborder la confidence. C'est sûr que ce n'est pas vraiment facile de devoir avouer ses faiblesses et ses vices alors que Beck imagine qu'elle a du chercher d'autres solutions.
Le fait d'être plus ou moins mêlé à cette histoire, que l'on soit témoins ou non, on peut même supposer sur les surveillants viendront vers les deux protagonistes pour venir les interroger sur quelques détails que l'étudiante aurait peut-être omis de dire, en fonction de ce qui se dira entre les murs de l'administration. Beck était désolée de voir la situation comme elle l'était aujourd'hui, surtout de tous ses bourreaux qui profitent de la situation.
Elle regardait Junichi, soupirant légèrement et puis observant les alentours. Ce parc n'était pas du tout fréquenté, que très peu par les étudiants. En tout cas, en période d'examens beaucoup moins. Alors, avoir davantage de témoins était compliqué pour que cela soit en faveur de l'étudiante et de sa tricherie.
Elle haussait doucement les épaules. La psychologue prenait toujours autant de plaisir à explorer les idées avec des étudiants et surtout avoir des avis extérieur. Elle-même est victime du harcèlement et de violences de la part d'élèves à l'époque quand elle était plus jeune. Beaucoup de choses lui ont fait perdre confiance, mais Beck se bat tous les jours contre ses démons et tente d'aider les jeunes afin qu'ils ne soient pas dans cette instabilité émotionnelle.
La jeune femme regardait l'étudiante s'éloigner avec le surveillant. La situation était assez gênante dans le sens où celle-ci avait été sur la défensive et en espérant que son interrogatoire dans un lieu fermé et clos lui permettrait d'aborder la confidence. C'est sûr que ce n'est pas vraiment facile de devoir avouer ses faiblesses et ses vices alors que Beck imagine qu'elle a du chercher d'autres solutions.
Ne mêlez pas les autres à ce soucis. Malheureusement ça ne sert à rien de créer un scandale autour de cette affaire. Il faut juste rester droit dans ses bottes et laisser faire l'administration.
Le fait d'être plus ou moins mêlé à cette histoire, que l'on soit témoins ou non, on peut même supposer sur les surveillants viendront vers les deux protagonistes pour venir les interroger sur quelques détails que l'étudiante aurait peut-être omis de dire, en fonction de ce qui se dira entre les murs de l'administration. Beck était désolée de voir la situation comme elle l'était aujourd'hui, surtout de tous ses bourreaux qui profitent de la situation.
Elle regardait Junichi, soupirant légèrement et puis observant les alentours. Ce parc n'était pas du tout fréquenté, que très peu par les étudiants. En tout cas, en période d'examens beaucoup moins. Alors, avoir davantage de témoins était compliqué pour que cela soit en faveur de l'étudiante et de sa tricherie.
Je tenterai de mettre cela après les vacances d'août, histoire de bien réfléchir à comment le mettre en place et en parler au doyen. Je ne pense pas qu'il sera contre l'idée de ce groupe de parole.
Elle haussait doucement les épaules. La psychologue prenait toujours autant de plaisir à explorer les idées avec des étudiants et surtout avoir des avis extérieur. Elle-même est victime du harcèlement et de violences de la part d'élèves à l'époque quand elle était plus jeune. Beaucoup de choses lui ont fait perdre confiance, mais Beck se bat tous les jours contre ses démons et tente d'aider les jeunes afin qu'ils ne soient pas dans cette instabilité émotionnelle.
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
J’espère qu’elle n’était pas inscrite pour le voyage, sinon ça tomberait aussi à plat, j’imagine. C’est dommage, personnellement j’aurais préféré me manger une mauvaise note mais pouvoir partir en vacances ! Enfin bon, on n’a pas tous de la chance et si elle s’en sort déjà en limitant la casse, ce serait déjà une bonne chose pour elle.
Beck allait dans mon sens, convenant que ce n’était pas utile de rajouter de l’huile sur le feu. N’empêche, c’était énervant de ne pas pouvoir rien faire de plus ! Dans ce genre de situation, on aimerait tellement que tout se passe dans le meilleur des mondes. Cela mettait un coup à ma positivité naturelle mais je m’en remettrais sûrement très vite. Dès que j’aurais le ventre plein, j’aurais probablement oublié toute cette histoire.
- Ouais, c’est ce que je me dis aussi. Puis bon, je lui souhaite quand même le meilleur. Les études c’est une chose mais après ça ne fait pas tout. En soi, je trouve ça plus courageux de délaisser ses études pour s’investir dans sa famille.
Si ma mère en avait fait autant par rapport à son boulot, nous serions probablement une famille unie encore à l’heure actuelle. Probablement que le Week-end, nous aurions pu faire des repas de famille. Mais bon, on n’a pas toujours ce que l’on souhaite et j’avouais d’une voix détendue.
- Puis bon, si ses parents la réprimandent, c’est aussi pour son bien je suppose, donc au moins elle a de la chance. On fait tous des erreurs, le principal n’est pas de réfléchir à comment on aurait pu les éviter… mais plutôt de travailler dessus et de trouver la force de ne pas les refaire. Enfin, c’est ce que je pense. Elle ne retrichera pas de sitôt !
Après quoi, je marquais une pause en écoutant la psychologue. Son idée était vraiment bonne et je ne pouvais que l’encourager mentalement dans son projet. J’étais sûr que l’administration du campus ne pourrait que saluer une telle chose. J’ajoutais sur un ton beaucoup plus enjoué qu’avant, ayant chassé les idées noires de mon esprit.
- Comptez sur moi pour vous faire de la pub quand ce sera en place. Puis même si vous avez besoin d’un petit comique pour détendre l’atmosphère et permettre aux langues de se délier plus facilement, je serais ravi de me cantonner à ce rôle !
Qui me va comme un gant, mais bon, n’étant pas concerné par le sujet, je me doutais que ce ne serait pas fait pour moi. J’ajoutai sur un ton amusé par la pensée que j’avais en tête.
- Je plaisante bien sûr. Enfin, il ne faut pas non plus compter sur moi pour enfiler un costume de mascotte panda thérapeutique ou que sais-je d’autre !
Cela dit, il paraît qu’il ne faut jamais dire non à un panda !
Beck allait dans mon sens, convenant que ce n’était pas utile de rajouter de l’huile sur le feu. N’empêche, c’était énervant de ne pas pouvoir rien faire de plus ! Dans ce genre de situation, on aimerait tellement que tout se passe dans le meilleur des mondes. Cela mettait un coup à ma positivité naturelle mais je m’en remettrais sûrement très vite. Dès que j’aurais le ventre plein, j’aurais probablement oublié toute cette histoire.
- Ouais, c’est ce que je me dis aussi. Puis bon, je lui souhaite quand même le meilleur. Les études c’est une chose mais après ça ne fait pas tout. En soi, je trouve ça plus courageux de délaisser ses études pour s’investir dans sa famille.
Si ma mère en avait fait autant par rapport à son boulot, nous serions probablement une famille unie encore à l’heure actuelle. Probablement que le Week-end, nous aurions pu faire des repas de famille. Mais bon, on n’a pas toujours ce que l’on souhaite et j’avouais d’une voix détendue.
- Puis bon, si ses parents la réprimandent, c’est aussi pour son bien je suppose, donc au moins elle a de la chance. On fait tous des erreurs, le principal n’est pas de réfléchir à comment on aurait pu les éviter… mais plutôt de travailler dessus et de trouver la force de ne pas les refaire. Enfin, c’est ce que je pense. Elle ne retrichera pas de sitôt !
Après quoi, je marquais une pause en écoutant la psychologue. Son idée était vraiment bonne et je ne pouvais que l’encourager mentalement dans son projet. J’étais sûr que l’administration du campus ne pourrait que saluer une telle chose. J’ajoutais sur un ton beaucoup plus enjoué qu’avant, ayant chassé les idées noires de mon esprit.
- Comptez sur moi pour vous faire de la pub quand ce sera en place. Puis même si vous avez besoin d’un petit comique pour détendre l’atmosphère et permettre aux langues de se délier plus facilement, je serais ravi de me cantonner à ce rôle !
Qui me va comme un gant, mais bon, n’étant pas concerné par le sujet, je me doutais que ce ne serait pas fait pour moi. J’ajoutai sur un ton amusé par la pensée que j’avais en tête.
- Je plaisante bien sûr. Enfin, il ne faut pas non plus compter sur moi pour enfiler un costume de mascotte panda thérapeutique ou que sais-je d’autre !
Cela dit, il paraît qu’il ne faut jamais dire non à un panda !
- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 29■ Messages : 730■ Inscrit le : 13/02/2023
Mon personnage
❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2017
Perte et profit
27 juillet 2018 || Ft. Junichi
27 juillet 2018 || Ft. Junichi
La famille est ce qu'il ya de précieux dans une vie. Elle était heureuse de savoir qu'il y a encore des gens sur cette terre qui prennent encore soin des membres de leur famille et c'est ce qui était arrivé à cette étudiante. On ne choisit pas les imprévus qu'il arrive durant notre petite vie, sinon ce serait bien trop facile.
Beck saluait le courage de cette fille, qui luttait tant bien que mal à soigner ses proches et tout en étant concentré sur ses examens. Après, est-ce grave d'avoir une mauvaise note à un seul exam ? Non. La psychologue pensait qu'elle s'était fourré dans un sacré pétrin même si ça arrive à tout le monde de fauter. Il faut apprendre de ses erreurs. Beck espérait qu'elle ne prenne pas une sanction trop dure de la part de l'administration même si ce serait justifié plus ou moins de traiter tout le monde à la même échelle. Le doyen ne pouvait pas se permettre de faire du cas par cas.
Tout garder à l'intérieur ça ferait que la personne exploserait partiellement sur une personne qui n'aurait rien demandé. Une seule phrase peut être mal interprété et tout est prit de travers. Les nerfs, la fatigue, l'agacement et espérant que l'étudiante ne soit pas le genre à sauter des repas pour s'occuper de son membre de la famille malade ou étudier à en faire des nuits blanches. Ce n'était pas très bien.
Junichi évoqua l'idée d'être la mascotte ou être présent pour intervenir dans le groupe de parole grâce à sa bonne humeur. En tout cas, Beck se sentait heureuse d'être encouragé dans ce projet et dans ce qu'elle entreprenait pour le bien des autres. Cela avait toujours été sa priorité, son let motive et son choix de vie. Elle rêvait à un monde meilleur, des choses plus justes et des gens qui étaient davantage solidaires avec les uns et les autres. Mais c'est trop rêver n'est-ce pas ?
La psychologue esquissa un léger sourire en regardant son partenaire et croisant les bras, toujours amusée par cette idée de mascotte. Un petit rire échappa.
Beck attendant patiemment la réaction de Junichi. Il semblerait qu'il ait un certain penchant pour l'humour et l'auto dérision. La psychologue aimait ce genre de personnalité solaire et qui avait tendance à passer au dessus de ses problèmes. Car comme tous, l'étudiant avait aussi ses tourments mais savait passer outre ou n'en parlait pas vraiment. Sauf ce soucis la dernière fois où sa mère avait prit les devants en l'inscrivant à l'une de ses séances et pensant que c'était une personne qui était irrespectueux.
Peut-être que Beck se trompait. Qu'elle se faisait des idées concernant la relation qu'elle avait avec Junichi. Même si c'était un étudiant, ils pourraient peut-être devenir super amis et la jeune femme n'était pas gênée par la situation. Il y avait rien d'intlme, alors elle pensait qu'elle ne faisait rien de mal ? Ce n'est pas comme certains profs qui auraient des relations avec des élèves comme on pourrait lire dans des livres ou dans des séries dramatiques que l'on pouvait apercevoir à la télévision.
La psychologue n'était guère dans une fiction, elle croyait dur comme fer que les humains avaient tous des maturités différentes et que certains malgré un certain écart pouvait s'entendre ensemble sans se poser de questions. Même si Beck n'avait jamais eu vraiment d'amis, elle ressentait quand le feeling passait avec quelqu'un et c'était très important pour elle. Quand elle discutait avec Junichi, elle n'avait pas sa casquette de professionnel. C'était juste Beck.
Beck saluait le courage de cette fille, qui luttait tant bien que mal à soigner ses proches et tout en étant concentré sur ses examens. Après, est-ce grave d'avoir une mauvaise note à un seul exam ? Non. La psychologue pensait qu'elle s'était fourré dans un sacré pétrin même si ça arrive à tout le monde de fauter. Il faut apprendre de ses erreurs. Beck espérait qu'elle ne prenne pas une sanction trop dure de la part de l'administration même si ce serait justifié plus ou moins de traiter tout le monde à la même échelle. Le doyen ne pouvait pas se permettre de faire du cas par cas.
J'espère qu'elle dira la vérité et ne dira rien pour la camoufler. Cela peut oui entraîner davantage d'ennuis et ce serait fort dommage. J'espère qu'elle viendra dans mon bureau pour qu'elle puisse avoir une consultation afin de se libérer davantage. Garder tout pour soit, ce n'est pas bon.
Tout garder à l'intérieur ça ferait que la personne exploserait partiellement sur une personne qui n'aurait rien demandé. Une seule phrase peut être mal interprété et tout est prit de travers. Les nerfs, la fatigue, l'agacement et espérant que l'étudiante ne soit pas le genre à sauter des repas pour s'occuper de son membre de la famille malade ou étudier à en faire des nuits blanches. Ce n'était pas très bien.
Junichi évoqua l'idée d'être la mascotte ou être présent pour intervenir dans le groupe de parole grâce à sa bonne humeur. En tout cas, Beck se sentait heureuse d'être encouragé dans ce projet et dans ce qu'elle entreprenait pour le bien des autres. Cela avait toujours été sa priorité, son let motive et son choix de vie. Elle rêvait à un monde meilleur, des choses plus justes et des gens qui étaient davantage solidaires avec les uns et les autres. Mais c'est trop rêver n'est-ce pas ?
La psychologue esquissa un léger sourire en regardant son partenaire et croisant les bras, toujours amusée par cette idée de mascotte. Un petit rire échappa.
Et pourquii pas venir m'aider un jour dans un atelier qui serait mis en place après les vacances ? Ce serait sympa. Bien que l'idée de la mascotte panda est une idée très intéressante, les peluches donnent cette atmosphère réconfortante. Beaucoup de mes patients repartent avec une peluche présente dans mon bureau, j'adore ce petit détail qui peut faire penser à l'enfance, vous en pensez quoi ?
Beck attendant patiemment la réaction de Junichi. Il semblerait qu'il ait un certain penchant pour l'humour et l'auto dérision. La psychologue aimait ce genre de personnalité solaire et qui avait tendance à passer au dessus de ses problèmes. Car comme tous, l'étudiant avait aussi ses tourments mais savait passer outre ou n'en parlait pas vraiment. Sauf ce soucis la dernière fois où sa mère avait prit les devants en l'inscrivant à l'une de ses séances et pensant que c'était une personne qui était irrespectueux.
J'aime beaucoup votre personnalité qui est plus qu'intéressante. J'aime votre bienveillance et à toujours vouloir aider les autres quoi qu'il advienne. Vous aimez faire passer les autres avant vous et ... J'ai l'impression que c'est peut-être pour cela que nous nous entendons bien.
Peut-être que Beck se trompait. Qu'elle se faisait des idées concernant la relation qu'elle avait avec Junichi. Même si c'était un étudiant, ils pourraient peut-être devenir super amis et la jeune femme n'était pas gênée par la situation. Il y avait rien d'intlme, alors elle pensait qu'elle ne faisait rien de mal ? Ce n'est pas comme certains profs qui auraient des relations avec des élèves comme on pourrait lire dans des livres ou dans des séries dramatiques que l'on pouvait apercevoir à la télévision.
La psychologue n'était guère dans une fiction, elle croyait dur comme fer que les humains avaient tous des maturités différentes et que certains malgré un certain écart pouvait s'entendre ensemble sans se poser de questions. Même si Beck n'avait jamais eu vraiment d'amis, elle ressentait quand le feeling passait avec quelqu'un et c'était très important pour elle. Quand elle discutait avec Junichi, elle n'avait pas sa casquette de professionnel. C'était juste Beck.
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Elle m’apprenait certaines choses assez amusantes à entendre, et j’en retrouvais ma bonne humeur naturelle à force de l’écouter. J’étais même limite content de pouvoir, l’espace de quelques instants, me changer les idées. Donc forcément, lorsque elle m’avoua que certains patients pouvaient repartir avec des peluches, j’eus un faux air révolté avant de lâcher, en retenant un rire de bonne humeur.
- Quoi ? Pourquoi je n’ai pas eu de peluche, moi ? Je n’avais pas assez de soucis ?! Il fallait que je fasse combien de séances pour en avoir une ?
Bon, en vrai, je me marrais bien et je n’étais pas du tout peluche, pour tout dire. Donc, je repris rapidement avec un ton plus sérieux et détendu.
- Blague à part, bien sûr. Si j’ai du temps pour venir et que vous jugez que ça peut vous rendre service, alors je pense que je pourrais libérer un peu de temps dans mon agenda. Limite, je peux même me charger de faire une playlist de musique pour aider à la détente en ambiance de fond !
Oui, car la musique adoucit les nerfs, c’est bien connu, et en vrai, j’avais déjà pu étudier un peu le sujet plus en profondeur avec mon père. L’effet de la musique sur le mental, la psychologie n’était plus vraiment à démontrer ! En soi, je pensais même que c’était une bonne idée. Bon, je donnais l’impression d’être un idiot, mais tout ce qui touchait au sport ou à la musique, j’étais assez calé en fait… mais c’était tout !
La suite me laissa un peu mal à l’aise parce qu’au fond, ce besoin d’attirer l’attention était plus égoïste que je voulais bien l’admettre. En vrai, j’étais content de me rendre utile, car d’une certaine manière, je parvenais à me convaincre que mes actions n’étaient pas vaines. Mais bon, je ne voyais pas l’intérêt d’en parler, parce qu’après tout, j’étais au clair avec tout ça ! Alors autant jouer la carte de la modestie !
- Franchement, je passais juste dans le coin ! Puis n’importe qui aurait fait autant… Je veux dire, si je me retrouvais dans une situation comme la sienne, ne pas avoir de soutien même aussi infime soit-il… Je ne sais pas si je pourrais le supporter, pour être honnête. Donc, je me charge juste de tenir ce rôle en attendant que mieux se présente. Personnellement, si ce n’est pas vital de le faire, alors je m’abstiens. Je ne suis juste pas un sans-cœur qui laisse quelqu’un dans la détresse, comme beaucoup de monde.
Comment le dire… C’était compliqué, mais au final, je résumai avec un sourire.
- Vous n’avez jamais eu la sensation qu’en aidant les autres, vous vous aidez plutôt vous-même ?
Question bizarre, certes, mais pourtant si lourde de sens. Je n’avais pas ce recul, cette retenue, je parlais comme je pensais et cette sincérité me faisait parfois dire des choses comme ça. Mais c’était probablement la meilleure façon d’expliquer pourquoi je ressentais le besoin d’aider les autres. C’était un automatisme presque naturel.
- Enfin, peu importe qu’on soit animé des meilleures intentions du monde ou non. On ne peut malheureusement pas régler les problèmes de tout le monde. Je n’ai quand même pas que ça à faire non plus.
Lâchai-je enfin avec un regard et un sourire sympathique, conscient de mes propres limites aussi.
- Quoi ? Pourquoi je n’ai pas eu de peluche, moi ? Je n’avais pas assez de soucis ?! Il fallait que je fasse combien de séances pour en avoir une ?
Bon, en vrai, je me marrais bien et je n’étais pas du tout peluche, pour tout dire. Donc, je repris rapidement avec un ton plus sérieux et détendu.
- Blague à part, bien sûr. Si j’ai du temps pour venir et que vous jugez que ça peut vous rendre service, alors je pense que je pourrais libérer un peu de temps dans mon agenda. Limite, je peux même me charger de faire une playlist de musique pour aider à la détente en ambiance de fond !
Oui, car la musique adoucit les nerfs, c’est bien connu, et en vrai, j’avais déjà pu étudier un peu le sujet plus en profondeur avec mon père. L’effet de la musique sur le mental, la psychologie n’était plus vraiment à démontrer ! En soi, je pensais même que c’était une bonne idée. Bon, je donnais l’impression d’être un idiot, mais tout ce qui touchait au sport ou à la musique, j’étais assez calé en fait… mais c’était tout !
La suite me laissa un peu mal à l’aise parce qu’au fond, ce besoin d’attirer l’attention était plus égoïste que je voulais bien l’admettre. En vrai, j’étais content de me rendre utile, car d’une certaine manière, je parvenais à me convaincre que mes actions n’étaient pas vaines. Mais bon, je ne voyais pas l’intérêt d’en parler, parce qu’après tout, j’étais au clair avec tout ça ! Alors autant jouer la carte de la modestie !
- Franchement, je passais juste dans le coin ! Puis n’importe qui aurait fait autant… Je veux dire, si je me retrouvais dans une situation comme la sienne, ne pas avoir de soutien même aussi infime soit-il… Je ne sais pas si je pourrais le supporter, pour être honnête. Donc, je me charge juste de tenir ce rôle en attendant que mieux se présente. Personnellement, si ce n’est pas vital de le faire, alors je m’abstiens. Je ne suis juste pas un sans-cœur qui laisse quelqu’un dans la détresse, comme beaucoup de monde.
Comment le dire… C’était compliqué, mais au final, je résumai avec un sourire.
- Vous n’avez jamais eu la sensation qu’en aidant les autres, vous vous aidez plutôt vous-même ?
Question bizarre, certes, mais pourtant si lourde de sens. Je n’avais pas ce recul, cette retenue, je parlais comme je pensais et cette sincérité me faisait parfois dire des choses comme ça. Mais c’était probablement la meilleure façon d’expliquer pourquoi je ressentais le besoin d’aider les autres. C’était un automatisme presque naturel.
- Enfin, peu importe qu’on soit animé des meilleures intentions du monde ou non. On ne peut malheureusement pas régler les problèmes de tout le monde. Je n’ai quand même pas que ça à faire non plus.
Lâchai-je enfin avec un regard et un sourire sympathique, conscient de mes propres limites aussi.
- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 29■ Messages : 730■ Inscrit le : 13/02/2023
Mon personnage
❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2017
Perte et profit
27 juillet 2018 || Ft. Junichi
27 juillet 2018 || Ft. Junichi
C'est vrai que lors de sa séance, Junichi n'avait pas eu de peluches. Mais en général, ce sont les personnes qui vont s'en saisir d'une en particulier. Pendant leur consultation, l'étudiant n'en avait pas prit car il n'en ressentait pas du tout le besoin et Beck n'en offrait pas une à chaque séance non plus. Fallait pas exagérer, mais elle constata que l'homme gardait toujours son sens de l'humour et avait tendance à vouloir plaisanter avec la psychologue, peut être parce qu'il se sentait bien ?
La jeune femme eut un petit sourire à sa phrase, mais elle était contente de voir que ce dernier voulait bien l'aider quand il aurait du temps. C'était un projet à mettre en place bien évidemment, qui prendrait du temps mais Beck était convaincue que cela pouvait marcher avec de la motivation et de l'implication.
Les deux protagonistes semblaient avoir trouvé un sujet après que l'étudiante soit partie en interrogatoire auprès de l'administration. Pas que Beck était insensible à ce que vivait cette dernière à ce moment là, mais c'était un moyen de dissimuler son angoisse. Essayer de parler de d'autres choses pour essayer d'évacuer le stress.
Elle voulait que tout se passe bien, essayer d'être positive à l'égard de la malheureuse.
Certains privilégierait leur petit nombril et leurs études avant tout. Beck trouvait que cela était dommage de manquer de valeurs et de vouloir donner la main à d'autres qui sont dans le besoin. La jeune femme soupirait légèrement à la fin de sa phrase. Combien pouvait se défiler de la tâche et dire "non merci, je préfère me consacrer à mes études ou profiter de mon temps libre". Certes, Junichi n'avait pas besoin de compliments ou quoi, c'était sa nature d'être ainsi et la jeune femme était contente de s'entourer de ce genre de personne.
Junichi avait l'air d'être une personne totalement investie dans ce qu'il faisait. C'était quelqu'un de très respectable aux yeux de la psychologue et elle en était reconnaissante, même si elle n'en disait rien. Profiter de sa gentillesse n'était pas du tout dans ses projets, elle voulait simplement discuter avec lui et surtout de sa vision des choses. Entre les étudiants et les adultes, il y a parfois un gros fossé.
La jeune femme eut un petit sourire à sa phrase, mais elle était contente de voir que ce dernier voulait bien l'aider quand il aurait du temps. C'était un projet à mettre en place bien évidemment, qui prendrait du temps mais Beck était convaincue que cela pouvait marcher avec de la motivation et de l'implication.
Oui, une musique d'ambiance est intéressante. Mais suivant les cas, certains ne se sentiront pas du tout détendu par la musique. Celle-ci dégage certaines ondes que des individus ne ressentent pas... Il faut trouver la bonne musique.
Les deux protagonistes semblaient avoir trouvé un sujet après que l'étudiante soit partie en interrogatoire auprès de l'administration. Pas que Beck était insensible à ce que vivait cette dernière à ce moment là, mais c'était un moyen de dissimuler son angoisse. Essayer de parler de d'autres choses pour essayer d'évacuer le stress.
Elle voulait que tout se passe bien, essayer d'être positive à l'égard de la malheureuse.
En tout cas, si vous pouvez être présent quand vous le pouvez, déjà c'est très bien. Beaucoup d'étudiants le feraient pas et seraient égoïstes sur la chose.
Certains privilégierait leur petit nombril et leurs études avant tout. Beck trouvait que cela était dommage de manquer de valeurs et de vouloir donner la main à d'autres qui sont dans le besoin. La jeune femme soupirait légèrement à la fin de sa phrase. Combien pouvait se défiler de la tâche et dire "non merci, je préfère me consacrer à mes études ou profiter de mon temps libre". Certes, Junichi n'avait pas besoin de compliments ou quoi, c'était sa nature d'être ainsi et la jeune femme était contente de s'entourer de ce genre de personne.
Junichi avait l'air d'être une personne totalement investie dans ce qu'il faisait. C'était quelqu'un de très respectable aux yeux de la psychologue et elle en était reconnaissante, même si elle n'en disait rien. Profiter de sa gentillesse n'était pas du tout dans ses projets, elle voulait simplement discuter avec lui et surtout de sa vision des choses. Entre les étudiants et les adultes, il y a parfois un gros fossé.
Merci Junichi d'être vous, merci surtout de prendre le temps de m'écouter et d'apporter vos idées. Je suis encore plus motivée pour aboutir à ce projet de groupe de parole contre le harcèlement !
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Tout passait toujours un peu mieux avec de la musique, c’était un fait. Je connaissais assez bien le sujet pour pouvoir en parler. Même si je n’étais pas un expert, je pense qu’il était largement dans mes cordes de trouver pourquoi mixer des musiques pour les séances du groupe de parole qu’elle voulait mettre en place.
Après tout, ce qu’elle me disait n’était pas faux. Mais le but de la musique était avant tout d’installer une ambiance, dans le cas présent apaisante. Elle ne serait donc qu’un bruit de fond. Il fallait surtout trouver le bon dosage de façon à ce que ceux qui l’apprécient y soient réceptifs et que ceux qui n’y sont pas sensibles n’y soient pas dérangés.
Mais je songeais aussi à une autre idée qui serait sûrement plus intéressante, même si je me doutais qu’elle avait déjà dû y songer. Ceux qui étaient les mieux placés pour en faire la promotion, n’étaient-ce pas justement les professeurs ? Après tout, ils étaient en première ligne pour pouvoir remarquer des potentiels cas de personnes harcelées. Je demandai d’une voix détendue :
- Mais dites ! Vous avez au moins songé à la possibilité de mettre dans la confidence des professeurs du campus ? Ils sont en première ligne après tout… On ne peut pas envisager la possibilité que des élèves balancent des noms, cela reviendrait presque à une forme de dénonciation ! Mais les profs en revanche, ça fait un peu partie de leur travail. Je ne suis pas loin d’être sûr qu’il y aura un ou deux profs qui seront ravis de vous soutenir ! Même si bon, là, je n’ai pas franchement de nom qui me viennent en tête.
C’était vrai, tous les professeurs n’étaient pas forcément à l’écart de leurs élèves et ils pouvaient même s’y impliquer de façon plus émotionnelle pour certains d’entre eux. Qu’on le veuille ou non, on ne choisit pas à qui on s’attache. J’avouai avec bonne humeur en réponse :
- Bien sûr, je ferais de mon mieux pour me libérer du temps selon les moments. Je ne peux pas promettre d’être présent à chaque fois, mais je promets au moins d’y venir quelques fois pour vous rendre service.
Après quoi, ce fut un festival de compliments de la part de la psy. Franchement, je ne savais plus où me mettre. Cependant, je riais doucement et j’observais la femme qui me parlait. Sérieusement, que répondre à tout ça… Enfin, moi j’étais probablement à part car, avec enthousiasme, je lâchai :
- Ah mais ça je le sais déjà que je suis génial !!! Mais franchement, j’ai déjà dit oui… alors c’est plus trop la peine de me brosser dans le sens du poil ! Parce que je ne pourrais pas faire mieux là.
Un petit rire, ou plutôt une façon détournée d’avouer que les compliments étaient amplement suffisants ! Je l’observai avant de dire d’une voix un peu plus moqueuse :
- Puis, dire à quel point les autres sont géniaux n’est bon qu’à nous faire oublier nos propres qualités. Mais ça, vous le savez déjà ! Je ne suis qu’un étudiant tout ce qu’il y a de plus normal et je n’ai rien fait d’exceptionnel. Vous en revanche, vous allez peut-être permettre à pas mal d’étudiants de se sortir d’une situation compliquée. En soi, ma génialissime fierté en prend un coup ! Mais c’est comme ça ! Je ne peux que m’incliner face à vous, ô grande maîtresse de la bienveillance et de la bonté, car je ne suis qu’un petit joueur en comparaison !
Avant de rire de bon cœur.
Après tout, ce qu’elle me disait n’était pas faux. Mais le but de la musique était avant tout d’installer une ambiance, dans le cas présent apaisante. Elle ne serait donc qu’un bruit de fond. Il fallait surtout trouver le bon dosage de façon à ce que ceux qui l’apprécient y soient réceptifs et que ceux qui n’y sont pas sensibles n’y soient pas dérangés.
Mais je songeais aussi à une autre idée qui serait sûrement plus intéressante, même si je me doutais qu’elle avait déjà dû y songer. Ceux qui étaient les mieux placés pour en faire la promotion, n’étaient-ce pas justement les professeurs ? Après tout, ils étaient en première ligne pour pouvoir remarquer des potentiels cas de personnes harcelées. Je demandai d’une voix détendue :
- Mais dites ! Vous avez au moins songé à la possibilité de mettre dans la confidence des professeurs du campus ? Ils sont en première ligne après tout… On ne peut pas envisager la possibilité que des élèves balancent des noms, cela reviendrait presque à une forme de dénonciation ! Mais les profs en revanche, ça fait un peu partie de leur travail. Je ne suis pas loin d’être sûr qu’il y aura un ou deux profs qui seront ravis de vous soutenir ! Même si bon, là, je n’ai pas franchement de nom qui me viennent en tête.
C’était vrai, tous les professeurs n’étaient pas forcément à l’écart de leurs élèves et ils pouvaient même s’y impliquer de façon plus émotionnelle pour certains d’entre eux. Qu’on le veuille ou non, on ne choisit pas à qui on s’attache. J’avouai avec bonne humeur en réponse :
- Bien sûr, je ferais de mon mieux pour me libérer du temps selon les moments. Je ne peux pas promettre d’être présent à chaque fois, mais je promets au moins d’y venir quelques fois pour vous rendre service.
Après quoi, ce fut un festival de compliments de la part de la psy. Franchement, je ne savais plus où me mettre. Cependant, je riais doucement et j’observais la femme qui me parlait. Sérieusement, que répondre à tout ça… Enfin, moi j’étais probablement à part car, avec enthousiasme, je lâchai :
- Ah mais ça je le sais déjà que je suis génial !!! Mais franchement, j’ai déjà dit oui… alors c’est plus trop la peine de me brosser dans le sens du poil ! Parce que je ne pourrais pas faire mieux là.
Un petit rire, ou plutôt une façon détournée d’avouer que les compliments étaient amplement suffisants ! Je l’observai avant de dire d’une voix un peu plus moqueuse :
- Puis, dire à quel point les autres sont géniaux n’est bon qu’à nous faire oublier nos propres qualités. Mais ça, vous le savez déjà ! Je ne suis qu’un étudiant tout ce qu’il y a de plus normal et je n’ai rien fait d’exceptionnel. Vous en revanche, vous allez peut-être permettre à pas mal d’étudiants de se sortir d’une situation compliquée. En soi, ma génialissime fierté en prend un coup ! Mais c’est comme ça ! Je ne peux que m’incliner face à vous, ô grande maîtresse de la bienveillance et de la bonté, car je ne suis qu’un petit joueur en comparaison !
Avant de rire de bon cœur.
- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 29■ Messages : 730■ Inscrit le : 13/02/2023
Mon personnage
❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2017
Perte et profit
27 juillet 2018 || Ft. Junichi
27 juillet 2018 || Ft. Junichi
Beck souriait doucement en regardant l'homme qui semblait être enthousiasmé par l'idée. Il est vrai qu'elle ne connaissait pas beaucoup de professeurs, mais Ryuji et Moon pourraient certainement faire partie des personnes qui pourraient la soutenir dans sa démarche voir même peut être Arizona ! La jeune femme réfléchissait à un moment pour pouvoir soumettre le projet à ses collègues sans paraître pour une illuminée.
La discussion plaisait totalement à la psychologue, oubliant presque de pourquoi elle avait atterri ici. S'entendre à merveille avec quelqu'un comme Junichi ça doit être topissime, il oublie jamais son sens de l'humour et ne le laisse jamais au placard.
En y pensant, la jeune femme savait pertinemment que nombreuse personnes avaient besoin de ce genre de groupe de paroles. Elle aurait aimé avoir eu ce genre de soutien quand elle était plus jeune, elle aurait aimé avoir cette épaule ou cette oreille qui aurait prit la peine de l'écouter, bien qu'elle voyait un thérapeute à l'époque, Beck ne pensait pas que si elle avait été plus entourée et ayant eu des parents moins laxistes.
Elle se souvient de ses parents quand elle leur avait parlé de ses soucis de harcèlement à l'école ou quoi, ils décrétaient simplement que Beck n'avait pas assez de caractère et qu'elle ne devait pas se laisser faire. Beck en a bavé durant son enfance et encore aujourd'hui, elle a encore des séquelles.
La discussion plaisait totalement à la psychologue, oubliant presque de pourquoi elle avait atterri ici. S'entendre à merveille avec quelqu'un comme Junichi ça doit être topissime, il oublie jamais son sens de l'humour et ne le laisse jamais au placard.
J'ai peut être quelques collègues qui me viennent en tête pour qu'ils puissent m'aider à l'ascension pour ce projet. Après je suis persuadée que cela pourrait fonctionner, surtout au vu du nombre de personnes qui ont besoin d'aide..
En y pensant, la jeune femme savait pertinemment que nombreuse personnes avaient besoin de ce genre de groupe de paroles. Elle aurait aimé avoir eu ce genre de soutien quand elle était plus jeune, elle aurait aimé avoir cette épaule ou cette oreille qui aurait prit la peine de l'écouter, bien qu'elle voyait un thérapeute à l'époque, Beck ne pensait pas que si elle avait été plus entourée et ayant eu des parents moins laxistes.
Elle se souvient de ses parents quand elle leur avait parlé de ses soucis de harcèlement à l'école ou quoi, ils décrétaient simplement que Beck n'avait pas assez de caractère et qu'elle ne devait pas se laisser faire. Beck en a bavé durant son enfance et encore aujourd'hui, elle a encore des séquelles.
Arrêtez, vous allez me faire rougir ! Ne dites pas cela, je ne suis pas la maitresse de la bienveillance et de la bonté... Je ne réfléchis pas et je fais cela tout naturellement.
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Sur le papier, cela ne paraissait pas si compliqué. Mais c’était sur le papier ça, en réalité, tout était toujours plus compliqué ! L’initiative de la psy en soi semblait exemplaire et je ne pouvais absolument rien redire là-dessus, d’autant que cela semblait rentrer en attribution avec son travail sur le campus. Je pensais sincèrement qu’elle ferait du bon travail aussi !
Il y avait juste pas mal de paramètres que, sur le moment, je n’avais pas franchement pris en compte. Déjà, comment convaincre des élèves harcelés de se rendre à son groupe de parole ? C’était probablement le plus gros souci en soi, car il faudrait le faire de façon à ce qu’ils ne se retrouvent pas ensuite avec une cible collée sur le dos pour des harceleurs potentiels. Même fait en toute discrétion, les informations finissaient toujours par fuiter.
Enfin, c’était un souci pour la Beck de demain, ça, pas d’aujourd’hui. Notre Ba était visiblement accomplie et j’écoutais l’adulte m’avouer qu’elle avait bien quelques personnes en tête. Oui, c’était quand même mieux qu’un simple étudiant en sport. À mon échelle, malgré toute ma motivation, je ne ferais pas grand-chose ! Puis, soyons honnête, à part mon humour et mon côté décontracté, je ne servais pas tellement dans cette situation.
- Au pire, vous trouvez des dossiers et vous les faites chanter pour qu’ils vous aident !!! Oh puis au passage, ça leur donnera aussi une bonne raison pour rejoindre votre groupe de parole ! On fait d’une pierre deux coups.
Évidemment que je n’étais pas sérieux une seule seconde, mais il fallait admettre que l’image était amusante et, en observant Beck, je me fis la remarque à voix haute.
- Naaan, vous n’avez pas le profil pour faire ce genre de chose !
De toute façon, après les compliments que je lui avais faits juste avant, elle se doutait bien que je ne pourrais jamais la voir d’un mauvais œil. Mais je trouvais simplement qu’elle m’accordait bien trop de mérite. Certes, j’avais réagi, mais c’était par instinct. Mais en comparaison, j’étais bien ridicule par rapport à ce que faisait Beck. Un travail comme le sien, je ne pourrais pas tenir plus de quelques mois !
- C’est dommage qu’il n’y ait plus de gens comme vous quand j’étais au lycée Seikei. Dans mes souvenirs, là-bas, c’était hiérarchisé par classe économique des familles… Ou éventuellement si les ancêtres étaient renommés. Donc comme je n’avais ni l’un ni l’autre, bah je ne vous raconte pas la galère. Je suis bien content que Kobe ne soit pas comme ça en vrai. De toute façon, dès qu’il y a de l’argent en cause de près ou de loin, ce n’est jamais bon et je crois que dans la majorité des cas, c’est pris en compte dans les harcèlements.
Je soupirais avant de reprendre.
- Donc franchement, je ne peux que vous soutenir… Pas forcément pour votre projet, mais même pour le reste. Je ne veux pas que ce genre d’endroit où j’ai étudié par le passé devienne récurent. Ou que certains demeurent en toute impunité parce qu’ils ont tel parent qui en a les moyens. Je crois que c’est aussi un peu pour ça que j’ai du mal avec ma mère… Elle est tellement dépendante de sa position et de son statut qu’elle ne se rend pas compte de tout ce qu’elle ne remarque pas.
Pas forcément moi, juste que je ne pouvais pas concevoir la vie de cette manière. Repenser à ce fichu lycée n’était peut-être pas une bonne idée, mais franchement, jamais un retour dans un lycée plus modeste ensuite ne m’avait fait autant de bien. J’ajoutais sur un ton plus léger.
- Sourire ! Heureusement que c’est gratuit et bon marché ça !
Il y avait juste pas mal de paramètres que, sur le moment, je n’avais pas franchement pris en compte. Déjà, comment convaincre des élèves harcelés de se rendre à son groupe de parole ? C’était probablement le plus gros souci en soi, car il faudrait le faire de façon à ce qu’ils ne se retrouvent pas ensuite avec une cible collée sur le dos pour des harceleurs potentiels. Même fait en toute discrétion, les informations finissaient toujours par fuiter.
Enfin, c’était un souci pour la Beck de demain, ça, pas d’aujourd’hui. Notre Ba était visiblement accomplie et j’écoutais l’adulte m’avouer qu’elle avait bien quelques personnes en tête. Oui, c’était quand même mieux qu’un simple étudiant en sport. À mon échelle, malgré toute ma motivation, je ne ferais pas grand-chose ! Puis, soyons honnête, à part mon humour et mon côté décontracté, je ne servais pas tellement dans cette situation.
- Au pire, vous trouvez des dossiers et vous les faites chanter pour qu’ils vous aident !!! Oh puis au passage, ça leur donnera aussi une bonne raison pour rejoindre votre groupe de parole ! On fait d’une pierre deux coups.
Évidemment que je n’étais pas sérieux une seule seconde, mais il fallait admettre que l’image était amusante et, en observant Beck, je me fis la remarque à voix haute.
- Naaan, vous n’avez pas le profil pour faire ce genre de chose !
De toute façon, après les compliments que je lui avais faits juste avant, elle se doutait bien que je ne pourrais jamais la voir d’un mauvais œil. Mais je trouvais simplement qu’elle m’accordait bien trop de mérite. Certes, j’avais réagi, mais c’était par instinct. Mais en comparaison, j’étais bien ridicule par rapport à ce que faisait Beck. Un travail comme le sien, je ne pourrais pas tenir plus de quelques mois !
- C’est dommage qu’il n’y ait plus de gens comme vous quand j’étais au lycée Seikei. Dans mes souvenirs, là-bas, c’était hiérarchisé par classe économique des familles… Ou éventuellement si les ancêtres étaient renommés. Donc comme je n’avais ni l’un ni l’autre, bah je ne vous raconte pas la galère. Je suis bien content que Kobe ne soit pas comme ça en vrai. De toute façon, dès qu’il y a de l’argent en cause de près ou de loin, ce n’est jamais bon et je crois que dans la majorité des cas, c’est pris en compte dans les harcèlements.
Je soupirais avant de reprendre.
- Donc franchement, je ne peux que vous soutenir… Pas forcément pour votre projet, mais même pour le reste. Je ne veux pas que ce genre d’endroit où j’ai étudié par le passé devienne récurent. Ou que certains demeurent en toute impunité parce qu’ils ont tel parent qui en a les moyens. Je crois que c’est aussi un peu pour ça que j’ai du mal avec ma mère… Elle est tellement dépendante de sa position et de son statut qu’elle ne se rend pas compte de tout ce qu’elle ne remarque pas.
Pas forcément moi, juste que je ne pouvais pas concevoir la vie de cette manière. Repenser à ce fichu lycée n’était peut-être pas une bonne idée, mais franchement, jamais un retour dans un lycée plus modeste ensuite ne m’avait fait autant de bien. J’ajoutais sur un ton plus léger.
- Sourire ! Heureusement que c’est gratuit et bon marché ça !
- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 29■ Messages : 730■ Inscrit le : 13/02/2023
Mon personnage
❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2017
Perte et profit
27 juillet 2018 || Ft. Junichi
27 juillet 2018 || Ft. Junichi
La situation avait amené Beck a écouter de nouvelles confidences de la part de Junichi. La jeune femme écoutait attentivement l'homme raconter dans ce lycée où tout était hiérarchisé et que celui ci n'était pas du tout dans ce genre de délire avec sa famille. Avoir ce genre de lycée, la psychologue ne comprenait pas comment des parents pouvaient y inscrire leur enfants sans comprendre qu'ils pouvaient être harcelés par d'autres qui pouvaient faire partie de la haute classe. Beck comprenait très bien ce soucis de la société où les gens étaient égoïstes et ne regardaient que la valeur des uns et des autres que par l'argent, ce qui était dommage. Cela pouvait empêcher de faire de belles rencontres.
La thérapeute souriait, affichant toujours cette même expression au visage et passant un bon moment auprès de Junichi et lui étant reconnaissante d'autant de confidences de sa part alors qu'ils n'étaient clairement pas en séance de psychanalyse.
Les écoles de prestiges, certains parents pouvaient en rêver pour que leur bambins puissent s'épanouir et évoluer dans un bon environnement. Mais parfois, cela ne se passe toujours comme prévu et surtout l'intégration dans des classes avec des élèves où leur estimes à été mis sur un pied d'estale est très compliqué ! Surtout quand leur progénitures ont une haute d'estime d'eux même et feront tout pour écraser les autres sur leur passage pour monter le plus haut possible, même à utiliser des coups bas les plus foireux.
Mais c'est une fois qu'on tente de les faire tomber que ses gens là changent de visage, qu'ils deviennent désagréables. Junichi semble être le parfait candidat pour ne pas se laisser faire par ce genre de petits enquiquineurs de premières.
Beck acquiesçait à l'idée de savoir que son projet était totalement encouragé et qu'elle était sûre que ses amis Kazane, Ryuji et Moon serait d'office intéressés par la chose. Alors pouvoir soumettre son idée aux administrations pour qu'un groupe de parole soit mis en place au moins deux fois par mois, ce serait déjà très bien.
La thérapeute souriait, affichant toujours cette même expression au visage et passant un bon moment auprès de Junichi et lui étant reconnaissante d'autant de confidences de sa part alors qu'ils n'étaient clairement pas en séance de psychanalyse.
J'ignorais que ce genre d'école existait de nos jours. C'était l'idée de vous inscrire dans un établissement pareil ? Parce que bon, c'est un peu comme envoyer une proie dans la fosse aux lions. C'est un peu envoyer son enfant au suicide. Mes mots sont un peu forts, mais bon c'est que l'on veut pas forcément son bien ou alors qu'on est totalement inconscient.
Les écoles de prestiges, certains parents pouvaient en rêver pour que leur bambins puissent s'épanouir et évoluer dans un bon environnement. Mais parfois, cela ne se passe toujours comme prévu et surtout l'intégration dans des classes avec des élèves où leur estimes à été mis sur un pied d'estale est très compliqué ! Surtout quand leur progénitures ont une haute d'estime d'eux même et feront tout pour écraser les autres sur leur passage pour monter le plus haut possible, même à utiliser des coups bas les plus foireux.
Mais c'est une fois qu'on tente de les faire tomber que ses gens là changent de visage, qu'ils deviennent désagréables. Junichi semble être le parfait candidat pour ne pas se laisser faire par ce genre de petits enquiquineurs de premières.
Je suis même sûre que vous ne vous laissiez pas faire par ces personnes où leur tête était plus grosse qu'une pastèque... C'est avec ces gens là que l'enfance est parfois compliqué et qu'il est difficile de se construire !
Beck acquiesçait à l'idée de savoir que son projet était totalement encouragé et qu'elle était sûre que ses amis Kazane, Ryuji et Moon serait d'office intéressés par la chose. Alors pouvoir soumettre son idée aux administrations pour qu'un groupe de parole soit mis en place au moins deux fois par mois, ce serait déjà très bien.
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Évidemment, je n’en parlais pas pour me plaindre, ce n’est pas mon genre ! Plutôt pour faire un parallèle avec la situation. À Seikei, les élèves qui avaient des parents riches et influents ne craignaient pas grand-chose d’un point de vue disciplinaire. Une certaine forme de souplesse qui s’appliquait de peur des répercussions que cela pourrait avoir. Ils n’étaient pas nombreux, mais, malheureusement, un seul d’entre eux pouvait faire subir ses humeurs à pas mal d’élèves.
La psy semblait surprise d’apprendre cela. Je ne savais pas comment cela avait évolué avec les années, pour être honnête, mais je n’avais pas tenu à y rester. La provenance de cette tentative d’inscription n’était pas si dure à trouver et j’avouais d’une voix détendue, nullement peiné. Depuis le temps, j’avais appris à être au clair avec ce genre de chose.
- C’était une idée de ma mère. J’avoue que j’étais un peu jeune alors je n’ai pas saisi tous les détails de ses motivations. Mais, de mémoire, c’était une affaire d’image avant tout, et aussi dans l’optique que je puisse suivre ses traces. Je vous laisse deviner la chute. Ni l’un ni l’autre. Mon père a rapidement fait son possible pour la faire plier et me remettre dans un lycée public où j’ai pu… C’est quoi le terme qu’on emploie déjà… Ah ! M’épanouir !
Je souriais avec un air amusé, comme si ce revers que ma mère s’était pris me faisait plaisir. J’aurais tellement voulu voir sa tête, maintenant avec le recul, lorsque la situation lui avait totalement échappé et qu’elle n’avait plus le contrôle sur rien. Cependant, elle avait tapé juste, je ne me laissais pas faire.
- Tout juste, j’ai beaucoup de points faibles, mais celui-là ! Mais j’avoue que… Je n’étais pas non plus là pour soutenir ceux qui en avaient besoin. Je ne faisais même pas le minimum, en vérité. Ça m’est venu que plus tard aussi, à force de passer de lycée en lycée. J’ai appris à m’approcher des autres sans forcément les connaître.
Cela dit, je n’allais pas non plus chercher à soulever des montagnes pour des personnes que je ne connaissais pas. Une simple parole encourageante, un sourire réconfortant et une petite tape sur l’épaule, c’était déjà énorme dans certains cas. J’observais la psy sans vraiment me demander si elle comprenait tout. C’était clair dans ma tête car j’avais toutes les infos, mais pour quelqu’un qui débarque…
- Enfin, c’est du passé et on n’y reviendra pas. Je suis moins bien placé que vous pour comprendre les personnes qui sont victimes de harcèlements aussi ! Je n’ai jamais connu ça et je ne pourrais jamais me mettre à leur place. Cependant, vous ! Vous avez clairement plus de vécu que moi et je suis prêt à parier un dessert que vous n’avez aucun mal à les comprendre !
La psy semblait surprise d’apprendre cela. Je ne savais pas comment cela avait évolué avec les années, pour être honnête, mais je n’avais pas tenu à y rester. La provenance de cette tentative d’inscription n’était pas si dure à trouver et j’avouais d’une voix détendue, nullement peiné. Depuis le temps, j’avais appris à être au clair avec ce genre de chose.
- C’était une idée de ma mère. J’avoue que j’étais un peu jeune alors je n’ai pas saisi tous les détails de ses motivations. Mais, de mémoire, c’était une affaire d’image avant tout, et aussi dans l’optique que je puisse suivre ses traces. Je vous laisse deviner la chute. Ni l’un ni l’autre. Mon père a rapidement fait son possible pour la faire plier et me remettre dans un lycée public où j’ai pu… C’est quoi le terme qu’on emploie déjà… Ah ! M’épanouir !
Je souriais avec un air amusé, comme si ce revers que ma mère s’était pris me faisait plaisir. J’aurais tellement voulu voir sa tête, maintenant avec le recul, lorsque la situation lui avait totalement échappé et qu’elle n’avait plus le contrôle sur rien. Cependant, elle avait tapé juste, je ne me laissais pas faire.
- Tout juste, j’ai beaucoup de points faibles, mais celui-là ! Mais j’avoue que… Je n’étais pas non plus là pour soutenir ceux qui en avaient besoin. Je ne faisais même pas le minimum, en vérité. Ça m’est venu que plus tard aussi, à force de passer de lycée en lycée. J’ai appris à m’approcher des autres sans forcément les connaître.
Cela dit, je n’allais pas non plus chercher à soulever des montagnes pour des personnes que je ne connaissais pas. Une simple parole encourageante, un sourire réconfortant et une petite tape sur l’épaule, c’était déjà énorme dans certains cas. J’observais la psy sans vraiment me demander si elle comprenait tout. C’était clair dans ma tête car j’avais toutes les infos, mais pour quelqu’un qui débarque…
- Enfin, c’est du passé et on n’y reviendra pas. Je suis moins bien placé que vous pour comprendre les personnes qui sont victimes de harcèlements aussi ! Je n’ai jamais connu ça et je ne pourrais jamais me mettre à leur place. Cependant, vous ! Vous avez clairement plus de vécu que moi et je suis prêt à parier un dessert que vous n’avez aucun mal à les comprendre !
- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 29■ Messages : 730■ Inscrit le : 13/02/2023
Mon personnage
❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2017
Perte et profit
27 juillet 2018 || Ft. Junichi
27 juillet 2018 || Ft. Junichi
Pas étonnant que ce soit la mère de Junichi qui ait eu cette fabuleuse idée de le mettre dans une école pour friqués. C'est complètement aberrant de vouloir le meilleur pour son enfant mais au final l'envoyer au suicide. Le mot est fort, mais combien certains passent l'arme à gauche parce qu'ils sont traumatisé de cette période scolaire et en font une phobie. Certains même restent enfermés chez eux, car ils ont peur du monde extérieur.
Beck ne comprenait pas ces parents qui cherchent à vouloir à tout prix mettre leur enfant dans des écoles studieuses ou qui veulent que ces derniers suivent leur chemin. Mais s'ils n'en n'ont pas envie ? Vouloir le meilleur pour sa progéniture, c'est tout à fait louable. Il ne faut pas non plus cracher sur ces personnes qiu ne veulent que le meilleur pour leur bambins. La psychologue aurait aimée que ses parents soient plus attentifs à son avenir ou ce qu'elle allait devenir plus tard.
Résultats des courses, elle est devenue elle-même thérapeute. Cette profession qui l'a aidé par le passé !
Avoir un projet pour stopper ces hontes, ces paroles gênantes que pourrait avoir un adolescent en pleine construction était important pour Beck. Augmenter ses chances de pouvoir recevoir davantage de patients au sein de ce groupe de parole était une excellente idée. La psychologue était motivée et elle savait qu'elle s'était soutenue par quelques personnes de l'établissement.
Elle avait toujours eu cette détermination à vouloir aider son prochain et que les personnes en question ne soient pas handicapées par la suite concernant leur traumatisme, les choses qui peuvent leur faire peur et ne pas profiter de la vie. La jeune femme voulait le bien être des étudiants de ce bahut et être la meilleure dans son domaine.
Elle se souvient des remontrances, des coups portées à son insue et surtout toutes ses moqueries concernant sa grande taille, sa sensibilité et son prénom qui n'était pas très japonais. La jeune femme luttait chaque jour contre ses fantômes du passé et c'est grâce à des gens comme Junichi que Beck percevait du bon dans l'humanité et que les personnes estropiés par la vie, peuvent s'en sortir et elle ferait tout pour les y aider. Beck pouvait discuter des heures avec l'étudiant, elle le voyait comme son ami.
Elle se sentait comprise. Et cela avait le don de la faire sourire davantage.
Beck ne comprenait pas ces parents qui cherchent à vouloir à tout prix mettre leur enfant dans des écoles studieuses ou qui veulent que ces derniers suivent leur chemin. Mais s'ils n'en n'ont pas envie ? Vouloir le meilleur pour sa progéniture, c'est tout à fait louable. Il ne faut pas non plus cracher sur ces personnes qiu ne veulent que le meilleur pour leur bambins. La psychologue aurait aimée que ses parents soient plus attentifs à son avenir ou ce qu'elle allait devenir plus tard.
Résultats des courses, elle est devenue elle-même thérapeute. Cette profession qui l'a aidé par le passé !
Je comprends les raisons de votre mère pour vous pousser vers le meilleur même si j'ai l'impression que c'est quelque chose d'important pour un parent de voir leur enfants s'épanouir.
Avoir un projet pour stopper ces hontes, ces paroles gênantes que pourrait avoir un adolescent en pleine construction était important pour Beck. Augmenter ses chances de pouvoir recevoir davantage de patients au sein de ce groupe de parole était une excellente idée. La psychologue était motivée et elle savait qu'elle s'était soutenue par quelques personnes de l'établissement.
Elle avait toujours eu cette détermination à vouloir aider son prochain et que les personnes en question ne soient pas handicapées par la suite concernant leur traumatisme, les choses qui peuvent leur faire peur et ne pas profiter de la vie. La jeune femme voulait le bien être des étudiants de ce bahut et être la meilleure dans son domaine.
Vos capacités à aller facilement vers les autres est remarquable. Il faut que vous continuez à être ainsi, ce sont des personnes comme vous que j'aurais aimé pouvoir rencontrer quand j'ai connue malheureusement cette dite période.
Elle se souvient des remontrances, des coups portées à son insue et surtout toutes ses moqueries concernant sa grande taille, sa sensibilité et son prénom qui n'était pas très japonais. La jeune femme luttait chaque jour contre ses fantômes du passé et c'est grâce à des gens comme Junichi que Beck percevait du bon dans l'humanité et que les personnes estropiés par la vie, peuvent s'en sortir et elle ferait tout pour les y aider. Beck pouvait discuter des heures avec l'étudiant, elle le voyait comme son ami.
Elle se sentait comprise. Et cela avait le don de la faire sourire davantage.
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Le souci, et j'en avais particulièrement bien conscience, c'est qu'elle ne l'avait pas vraiment fait complètement pour moi. En réalité, c'était plus pour elle. C'était durant la période où elle grimpait beaucoup les échelons et, de fait, avait une évolution sociale assez prononcée... Ce qui était d'ailleurs la cause principale du fossé qui s'était creusé.
J'avoue que j'avais eu malgré moi un rire jaune en entendant la psychologue en parler. Je ne pouvais pas lui en vouloir. C'était une longue histoire et j'aurais pu lui en parler. Mais bon, flemme ! J'observais plutôt ce qu'il y avait devant moi avec un petit sourire amusé. Ma vie aurait pu être tellement pire. Quand je vois des familles complètement déchirées qui continuent à s'infliger cela, je me dis que mes parents étaient probablement plus intelligents... et aussi moins amoureux.
- C'est compliqué et j'ai mal à la tête ! Toutes ces histoires de parents et d'enfants. Par moment, je me dis que j'ai bien fait de vouloir faire du baseball.
Oui voilà, on éteint le cerveau ! C'est bien ça aussi par moment. A trop tourner, on risque la surchauffe et je préférais mille fois ne pas me prendre la tête avec cette histoire. Cela ne changeait rien à l'histoire de harcèlement... Oh mais attendez ? Est-ce du harcèlement quand une mère impose un costume horrible qui tient chaud en plein été pour faire bien lors d'un repas caritatif à son travail ? Oui, complètement ! Là, je tiens un truc ! Les dommages et intérêts pourraient être assez conséquents en plus !
Je venais de rire sans le vouloir à cette pensée. C'était marrant, mais bon, pour le réalisme, on repassera ! Bref, je devais passer pour un fou là, non ? Bah ! Elle n'en avait pas l'habitude de cas ? Elle me parlait, non ? Oups, faudrait que je l'écoute un peu mais j'avais compris l'essentiel ! Oui, j'avais une capacité de socialisation qui par moment me dépassait un peu.
- En même temps, on n'a qu'une vie, non ? Enfin, arrêtez-moi si je me trompe bien sûr ! Si on la passe à se morfondre ou à faire du mal à l'autre, on n'en profite pas vraiment. Après, il faut de tout pour faire un monde, non ? Je ne sais plus qui a dit « Il y a autant de différence que d'homme », mais en soi, ce n'est pas complètement faux.
J'observais la psy avec un sourire pour dire d'une voix un peu plus posée :
- Et malheureusement, il faut aussi des mauvaises personnes. Je pense qu'il ne faut pas les voir d'un œil mauvais et comprendre comment ils en arrivent à ce point. Puis contrebalancer en se montrant meilleurs qu'eux, tout simplement.
En théorie, mais en pratique, c'est beaucoup plus complexe. Je pense cependant que je ne pourrais jamais être mauvais... Donc il faudra bien qu'une autre personne se dévoue parce qu'il faut de tout. Le principe du Yin-Yang et etc. Bref, ce n'est pas mon domaine tout ça, mais ça me paraît pourtant assez clair. Aussi clair que de me dire que si tout le monde était fondamentalement bon... Bah on s'ennuierait ferme.
J'avoue que j'avais eu malgré moi un rire jaune en entendant la psychologue en parler. Je ne pouvais pas lui en vouloir. C'était une longue histoire et j'aurais pu lui en parler. Mais bon, flemme ! J'observais plutôt ce qu'il y avait devant moi avec un petit sourire amusé. Ma vie aurait pu être tellement pire. Quand je vois des familles complètement déchirées qui continuent à s'infliger cela, je me dis que mes parents étaient probablement plus intelligents... et aussi moins amoureux.
- C'est compliqué et j'ai mal à la tête ! Toutes ces histoires de parents et d'enfants. Par moment, je me dis que j'ai bien fait de vouloir faire du baseball.
Oui voilà, on éteint le cerveau ! C'est bien ça aussi par moment. A trop tourner, on risque la surchauffe et je préférais mille fois ne pas me prendre la tête avec cette histoire. Cela ne changeait rien à l'histoire de harcèlement... Oh mais attendez ? Est-ce du harcèlement quand une mère impose un costume horrible qui tient chaud en plein été pour faire bien lors d'un repas caritatif à son travail ? Oui, complètement ! Là, je tiens un truc ! Les dommages et intérêts pourraient être assez conséquents en plus !
Je venais de rire sans le vouloir à cette pensée. C'était marrant, mais bon, pour le réalisme, on repassera ! Bref, je devais passer pour un fou là, non ? Bah ! Elle n'en avait pas l'habitude de cas ? Elle me parlait, non ? Oups, faudrait que je l'écoute un peu mais j'avais compris l'essentiel ! Oui, j'avais une capacité de socialisation qui par moment me dépassait un peu.
- En même temps, on n'a qu'une vie, non ? Enfin, arrêtez-moi si je me trompe bien sûr ! Si on la passe à se morfondre ou à faire du mal à l'autre, on n'en profite pas vraiment. Après, il faut de tout pour faire un monde, non ? Je ne sais plus qui a dit « Il y a autant de différence que d'homme », mais en soi, ce n'est pas complètement faux.
J'observais la psy avec un sourire pour dire d'une voix un peu plus posée :
- Et malheureusement, il faut aussi des mauvaises personnes. Je pense qu'il ne faut pas les voir d'un œil mauvais et comprendre comment ils en arrivent à ce point. Puis contrebalancer en se montrant meilleurs qu'eux, tout simplement.
En théorie, mais en pratique, c'est beaucoup plus complexe. Je pense cependant que je ne pourrais jamais être mauvais... Donc il faudra bien qu'une autre personne se dévoue parce qu'il faut de tout. Le principe du Yin-Yang et etc. Bref, ce n'est pas mon domaine tout ça, mais ça me paraît pourtant assez clair. Aussi clair que de me dire que si tout le monde était fondamentalement bon... Bah on s'ennuierait ferme.
- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 29■ Messages : 730■ Inscrit le : 13/02/2023
Mon personnage
❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2017
Perte et profit
27 juillet 2018 || Ft. Junichi
27 juillet 2018 || Ft. Junichi
Junichi avait raison concernant de vouloir se rendre meilleur que les personnes qui nous font obstacle et ne pas prêter attention à ce genre de détail qui nous consume la vie inutilement. Beck au cours de sa vie, commençait à prendre conscience peu à peu de ce genre de chose qui pourrait lui changer l'existence ! Pourquoi s'embêter avec tous ses petits détails ! Junichi avait le baseball pour se changer les idées et il avait entièrement raison de se changer les idées de ce côté là.
Cela faisait sourire doucement la psychologue a ce genre de discours qui était vraiment très positif pour elle-même. Avoir rencontrée l'étudiant lui servait comme une leçon et il n y a pas d'âge pour cela !
Cette conversation allait bientôt toucher à sa fin, peut être que Junichi allait reprendre ses cours et la jeune femme avait peut être d'autre chat à fouette aussi. L'étudiante devait être à cette heure ci dans le bureau des administrateurs de cet établissement et espérant que cette dernière ne soit pas trop assaillie de questions qui pouvaient la mettre mal à l'aise.
Elle prendra en compte que celle-ci devra lui rendre visite dans son office afin de pouvoir parler de ses problèmes. La jeune femme regardait son téléphone pour observer l'heure qu'affichait son écran et l'heure tournait à une vitesse folle. Une sonnerie vint à retentir pour donner signe d'une notification d'un message provenant d'un de ses amis qui voulait déjeuner le soir avec elle dans un petit restaurant du coin.
Beck venait à s'incliner en guise de remerciement, comme le ferait traditionnellement une japonaise. La jeune femme était respectueuse de son interlocuteur, car malgré tout elle apprenait tout un tas de chose sur elle-même et les attitudes à avoir. Ce garçon était tellement positif et dégageait quelque chose de tellement rafraichissant ! Beck avait vraiment besoin de ce genre de personne dans sa vie et elle lui en était très reconnaissante.
Cela faisait sourire doucement la psychologue a ce genre de discours qui était vraiment très positif pour elle-même. Avoir rencontrée l'étudiant lui servait comme une leçon et il n y a pas d'âge pour cela !
Grâce à vos paroles, je prend conscience que peu à peu que la vie est trop précieuse et qu'il ne sert à rien de se prendre la tête pour des personnes qui cherchent à nous gâcher la vie. Je vais prendre note ! Il est vrai que pendant que je fais de la cuisine, il m'arrive de penser à autre chose et être de bonne humeur haha !
Cette conversation allait bientôt toucher à sa fin, peut être que Junichi allait reprendre ses cours et la jeune femme avait peut être d'autre chat à fouette aussi. L'étudiante devait être à cette heure ci dans le bureau des administrateurs de cet établissement et espérant que cette dernière ne soit pas trop assaillie de questions qui pouvaient la mettre mal à l'aise.
Elle prendra en compte que celle-ci devra lui rendre visite dans son office afin de pouvoir parler de ses problèmes. La jeune femme regardait son téléphone pour observer l'heure qu'affichait son écran et l'heure tournait à une vitesse folle. Une sonnerie vint à retentir pour donner signe d'une notification d'un message provenant d'un de ses amis qui voulait déjeuner le soir avec elle dans un petit restaurant du coin.
Ah mince, j'avais oublié ce détail ce soir... Quelle tête en l'air.... Hm... En tout cas, ce fut un plaisir de parler avec vous Junichi, j'espère que nous aurons l'occasion de nous rencontrer très bientôt !
Beck venait à s'incliner en guise de remerciement, comme le ferait traditionnellement une japonaise. La jeune femme était respectueuse de son interlocuteur, car malgré tout elle apprenait tout un tas de chose sur elle-même et les attitudes à avoir. Ce garçon était tellement positif et dégageait quelque chose de tellement rafraichissant ! Beck avait vraiment besoin de ce genre de personne dans sa vie et elle lui en était très reconnaissante.
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum