- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Le mois d'août, tous les jours se ressemblent pour moi et je ne fais pas grand-chose à part profiter des vacances avec mon père qui profite aussi. Même si ce dernier donnait encore quelques cours particuliers que je l'aidais, j'avoue que c'était surtout une période bien à nous. C'était calme, on se posait en terrasse de la maison, on tapait la balle en fin de journée, on jouait aux jeux ou regardait un film et on bossait la journée soit sur les projets musicaux, soit sur du bricolage à la maison.
Oui, c'était bien ! Mais je prenais aussi du temps pour voir des amis de temps à autre et en milieu d'après-midi, après une bonne séance de digestion et un peu de boulot sur l'ordinateur pour aider mon père sur ses sons. Mon téléphone m'interpella et je reçus un message d'une amie… Connaissance ? Non, amie ! Après nos aventures dans la grotte ! C'était la moindre des choses ! Bref, elle me demandait ce qu'il y avait de bien à faire à Osaka vu qu'elle y était et semblait s'ennuyer ferme. Avec un sourire, je lui proposais alors d'être son guide vu que l'après-midi semblait plutôt light pour moi.
Rapidement, elle me demandait si je connaissais un endroit où trouver des crêpes glacées et la discussion s'en suivit jusqu'à ce que nous convenions d'un rendez-vous en centre-ville. Cependant, lorsque je prévenais mon père, ce dernier me proposa de me déposer car il devait se rendre au magasin de musique pour y acheter des produits d'entretien.
Bon, je vous passe les détails du trajet en voiture. Habillé d'un haut gris avec quelques motifs vite fait et d'un short beige parce qu'il faisait… genre 80 degrés ! Je suis quasiment sûr de ne pas exagérer ! Mes fidèles lunettes sur le pif et une casquette pour me protéger du soleil. Quant à mon père, bien qu'il eût les cheveux noirs, il était globalement pareil mais en plus vieux, les cheveux plus courts et pas de lunettes.
Je fis signe à Nissa dès que je la vis alors que nous approchions de la gare, point de rendez-vous de base non loin du centre-ville et… JE crois que la situation qui s'en suivit alla un peu trop vite pour moi. Même si j'avais l'habitude en réalité.
- Coucou ! Je te présente rapidement mon père.
- Bonjour jeune fille… Eh mais ! Ce n'est pas elle avec qui tu es allé au festival la dernière fois ?
Je l'observais, un air un peu surpris, pas tant par ce qu'il disait mais plutôt par le fait qu'il avait un peu tout mélangé et m'affichait un peu comme ça, d'un coup. Je n'étais pas allé avec une fille au festival, cette fille était "Perdu !" et je l'avais simplement "Aidé !"… Enfin, ne vaut mieux pas rentrer dans les détails, surtout que je m'étais bien gardé l'épisode du parc pour moi. Quoi qu'il en soit, je rattrapai le tir.
- Non ! Rien à voir ! C'était quelqu'un d'autre.
- Oh ? D'accord, vous vous êtes connus où alors ?
- Dans une grotte ! Une autre question ?!
Je sentis le regard un peu inquisiteur de mon père, voire même une petite pointe de jugement, regard qu'il posa également sur Nissa. Je l'avais plutôt bien mouché, il ne l'avait pas vu venir et son ton un peu hésitant me confirma rapidement ce fait, auquel j'affichais un sourire satisfait.
- Euh… Là non… plus vraiment, je pense que ça ira. Enchanté quand même, ça me fait plaisir de revoir Juni se faire des amis dans le coin ! Il était temps. Merci de bien vouloir supporter mon fils !
Non mais ça va ! Je ne suis pas un boulet non plus !!! Enfin quoique…
Oui, c'était bien ! Mais je prenais aussi du temps pour voir des amis de temps à autre et en milieu d'après-midi, après une bonne séance de digestion et un peu de boulot sur l'ordinateur pour aider mon père sur ses sons. Mon téléphone m'interpella et je reçus un message d'une amie… Connaissance ? Non, amie ! Après nos aventures dans la grotte ! C'était la moindre des choses ! Bref, elle me demandait ce qu'il y avait de bien à faire à Osaka vu qu'elle y était et semblait s'ennuyer ferme. Avec un sourire, je lui proposais alors d'être son guide vu que l'après-midi semblait plutôt light pour moi.
Rapidement, elle me demandait si je connaissais un endroit où trouver des crêpes glacées et la discussion s'en suivit jusqu'à ce que nous convenions d'un rendez-vous en centre-ville. Cependant, lorsque je prévenais mon père, ce dernier me proposa de me déposer car il devait se rendre au magasin de musique pour y acheter des produits d'entretien.
Bon, je vous passe les détails du trajet en voiture. Habillé d'un haut gris avec quelques motifs vite fait et d'un short beige parce qu'il faisait… genre 80 degrés ! Je suis quasiment sûr de ne pas exagérer ! Mes fidèles lunettes sur le pif et une casquette pour me protéger du soleil. Quant à mon père, bien qu'il eût les cheveux noirs, il était globalement pareil mais en plus vieux, les cheveux plus courts et pas de lunettes.
Je fis signe à Nissa dès que je la vis alors que nous approchions de la gare, point de rendez-vous de base non loin du centre-ville et… JE crois que la situation qui s'en suivit alla un peu trop vite pour moi. Même si j'avais l'habitude en réalité.
- Coucou ! Je te présente rapidement mon père.
- Bonjour jeune fille… Eh mais ! Ce n'est pas elle avec qui tu es allé au festival la dernière fois ?
Je l'observais, un air un peu surpris, pas tant par ce qu'il disait mais plutôt par le fait qu'il avait un peu tout mélangé et m'affichait un peu comme ça, d'un coup. Je n'étais pas allé avec une fille au festival, cette fille était "Perdu !" et je l'avais simplement "Aidé !"… Enfin, ne vaut mieux pas rentrer dans les détails, surtout que je m'étais bien gardé l'épisode du parc pour moi. Quoi qu'il en soit, je rattrapai le tir.
- Non ! Rien à voir ! C'était quelqu'un d'autre.
- Oh ? D'accord, vous vous êtes connus où alors ?
- Dans une grotte ! Une autre question ?!
Je sentis le regard un peu inquisiteur de mon père, voire même une petite pointe de jugement, regard qu'il posa également sur Nissa. Je l'avais plutôt bien mouché, il ne l'avait pas vu venir et son ton un peu hésitant me confirma rapidement ce fait, auquel j'affichais un sourire satisfait.
- Euh… Là non… plus vraiment, je pense que ça ira. Enchanté quand même, ça me fait plaisir de revoir Juni se faire des amis dans le coin ! Il était temps. Merci de bien vouloir supporter mon fils !
Non mais ça va ! Je ne suis pas un boulet non plus !!! Enfin quoique…
- InvitéInvité
Junichi
Retrouvaille en tire-bouchon
24 Août
Yasuhisa-san... Junichi... ? Hum. C'est compliqué d'avoir un point de vie non biaisé de lui. On s'est tombé dessus dans une situation assez drôle de base, qui est partie en crescendo dans un tourbillon de fou-rire. Ça m'était plus arrivé depuis...
Alors je suis mitigé en lui envoyant un message après m'être fait prendre un lapin par l'amie de Momo. Pour moi, c'était un bon pote, voir carrément un ami. Mais dès qu'on me sourit, c'est bon, on est amis ! Alors avait-ce seulement une importance ?
Est si là, il me trouvait naze ? Habituellement, je fais plus partie partie du publique, des figurants, je n'ai pas le bagou des personnes qui nous tordent de rire. Alors j'ai un petit coup de stress, quand il me propose de faire un tour en ville à deux.
Je tire sur le devant de ma salopette, par-dessus mon maillot blanc, et sur la lanière de mon sac à dos galaxy. Mes lunettes de soleil type mouche à tapette sur le nez, je plisse les yeux quand je vois quelqu'un au loin me faire signe, ils sont deux ?
Je fais signe en retour. C'est toujours un peu awkward le moment où on se voit, et celui où on finit par enfin être face à face. Mais il se démonte pas, et me présente son père... alors que je me baisse pour le saluer, il parle d'une autre fille.
« Enchantée Yasuhisa-san ! Je m'app-ppelle Nissa Tanaka ! »
Je retiens un sourire vraiment mais vraiment mal contenu quand les deux se battent pour du rire, que le père balance les bails de son gosse et que Junichi réplique sur la grotte. Je sens le jugement dans le regard adressé par le père.
« Ne vous inquiétez pas, je prendrai bien soin de Juni... ! »
Ok ça commence mal ! Je trouvais ça drôle de l’appeler par le petit surnom du papa, mais ça fait aussi bien trop familier pour passer inaperçu, même si c'était le but à la base... je me retiens de me racler ma gorge comme quand je sens la malaise.
Bon ! Qu'est-ce qu'il a prévu aujourd'hui ?
code by emmeAlors je suis mitigé en lui envoyant un message après m'être fait prendre un lapin par l'amie de Momo. Pour moi, c'était un bon pote, voir carrément un ami. Mais dès qu'on me sourit, c'est bon, on est amis ! Alors avait-ce seulement une importance ?
Est si là, il me trouvait naze ? Habituellement, je fais plus partie partie du publique, des figurants, je n'ai pas le bagou des personnes qui nous tordent de rire. Alors j'ai un petit coup de stress, quand il me propose de faire un tour en ville à deux.
Je tire sur le devant de ma salopette, par-dessus mon maillot blanc, et sur la lanière de mon sac à dos galaxy. Mes lunettes de soleil type mouche à tapette sur le nez, je plisse les yeux quand je vois quelqu'un au loin me faire signe, ils sont deux ?
Je fais signe en retour. C'est toujours un peu awkward le moment où on se voit, et celui où on finit par enfin être face à face. Mais il se démonte pas, et me présente son père... alors que je me baisse pour le saluer, il parle d'une autre fille.
« Enchantée Yasuhisa-san ! Je m'app-ppelle Nissa Tanaka ! »
Je retiens un sourire vraiment mais vraiment mal contenu quand les deux se battent pour du rire, que le père balance les bails de son gosse et que Junichi réplique sur la grotte. Je sens le jugement dans le regard adressé par le père.
« Ne vous inquiétez pas, je prendrai bien soin de Juni... ! »
Ok ça commence mal ! Je trouvais ça drôle de l’appeler par le petit surnom du papa, mais ça fait aussi bien trop familier pour passer inaperçu, même si c'était le but à la base... je me retiens de me racler ma gorge comme quand je sens la malaise.
Bon ! Qu'est-ce qu'il a prévu aujourd'hui ?
- Tenue:
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Nous avions laissé la voiture sur un parking non loin pour rejoindre la gare et retrouvé Nissa. Après quoi, les échanges de politesses « Yasuhisien » venaient d'être échangés et rapidement, la pauvre jeune femme fit la connaissance de mon paternel. Tiens, elle m'appelle par mon surnom ? Elle prend la confiance, c'est bien ça ! Enfin, quoi qu'il en soit, mon père semblait ravi de me laisser avec elle, lâchant au passage.
- Mais qu'elle est bien élevée en plus ! Si jamais le bégaiement est contagieux, tu peux lui refiler ? Comme ça il prendra le temps de respirer par moment quand il parle trop !
Je n'ajoutais rien à ça, du moins pas tout de suite, sans quoi la situation aurait pris une tournure totalement différente et je préférais m'éviter ça pour le moment. Cela dit, j'avais ce petit sourire amusé qui marquait clairement que je gardais des choses pour moi. Il imita alors ma mère même si c'était en caricature car la réelle aurait été beaucoup plus cash et sans aucun sourire. J'avoue que j'avais rigolé à la fin de sa première phrase avant de lui faire signe quand il commença à partir.
- Je me demande vraiment ce qu'une fille aussi bien élevée et gentille fait avec toi. Bon, allez, trêve de blague, je vous laisse à votre journée les jeunes.
Une fois que mon père était assez éloigné de nous, j'observais Nissa avec un regard amusé. Le même que tout à l'heure. Ouais, je savais ! Je savais ce qu'était le Snu-snu ! J'avais regardé sur internet et si j'avais balancé ça comme ça, à l'instant, autant dire qu'elle était mal barrée la pauvre. Cependant, maintenant, elle ne risquait plus rien… du moins.
- Fille bien élevée et gentille hein ? Si il savait…
Je haussais les épaules avant de lâcher la bombe.
- Figure-toi que je suis allé voir sur internet une certaine référence que je n'avais pas saisie la dernière fois. Ce n'est pas très joli-joli tout ça ! Heureusement que je sais tenir ma langue quand même.
Bon, en revanche, j'étais forcé d'admettre.
- Par contre, pour le bégaiement… Il n'a pas tort. Une fois, j'ai tellement parlé que j'ai failli en tourner de l'œil. Mais j'étais petit aussi !
Une petite fierté personnelle en vérité, fallait le faire quoi ! Ça me faisait malgré tout plaisir de la revoir dans d'autres circonstances. Plus décontracté que dans le bas-fond d'une grotte en tout cas. Bref ! Autant revenir au plus important, déjà de un avant d'échanger d'autres banalités.
- Bon ! On a parlé de crêpes tout à l'heure non ? Let's go ?!
J'avais échangé mon regard habituel contre des étoiles dans les yeux là !
- Mais qu'elle est bien élevée en plus ! Si jamais le bégaiement est contagieux, tu peux lui refiler ? Comme ça il prendra le temps de respirer par moment quand il parle trop !
Je n'ajoutais rien à ça, du moins pas tout de suite, sans quoi la situation aurait pris une tournure totalement différente et je préférais m'éviter ça pour le moment. Cela dit, j'avais ce petit sourire amusé qui marquait clairement que je gardais des choses pour moi. Il imita alors ma mère même si c'était en caricature car la réelle aurait été beaucoup plus cash et sans aucun sourire. J'avoue que j'avais rigolé à la fin de sa première phrase avant de lui faire signe quand il commença à partir.
- Je me demande vraiment ce qu'une fille aussi bien élevée et gentille fait avec toi. Bon, allez, trêve de blague, je vous laisse à votre journée les jeunes.
Une fois que mon père était assez éloigné de nous, j'observais Nissa avec un regard amusé. Le même que tout à l'heure. Ouais, je savais ! Je savais ce qu'était le Snu-snu ! J'avais regardé sur internet et si j'avais balancé ça comme ça, à l'instant, autant dire qu'elle était mal barrée la pauvre. Cependant, maintenant, elle ne risquait plus rien… du moins.
- Fille bien élevée et gentille hein ? Si il savait…
Je haussais les épaules avant de lâcher la bombe.
- Figure-toi que je suis allé voir sur internet une certaine référence que je n'avais pas saisie la dernière fois. Ce n'est pas très joli-joli tout ça ! Heureusement que je sais tenir ma langue quand même.
Bon, en revanche, j'étais forcé d'admettre.
- Par contre, pour le bégaiement… Il n'a pas tort. Une fois, j'ai tellement parlé que j'ai failli en tourner de l'œil. Mais j'étais petit aussi !
Une petite fierté personnelle en vérité, fallait le faire quoi ! Ça me faisait malgré tout plaisir de la revoir dans d'autres circonstances. Plus décontracté que dans le bas-fond d'une grotte en tout cas. Bref ! Autant revenir au plus important, déjà de un avant d'échanger d'autres banalités.
- Bon ! On a parlé de crêpes tout à l'heure non ? Let's go ?!
J'avais échangé mon regard habituel contre des étoiles dans les yeux là !
- InvitéInvité
Junichi
Retrouvaille en tire-bouchon
24 Août
Décidemment, le père aussi me prend à contre-pied avec sa réaction à mon bégaiement. Alors, au contraire, on a tendance à dépenser plus d'air en bégayant, mais je lui souris quand même en hochant la tête.
« Ce qui se passe dans la grotte reste dans la grotte ! Bonne journée à vous Yasuhisa-san ! »
Je le regarde disparaître peu à peu vers l'horizon. Junichi radote un peu dans son coin. Évidemment, je suis une fille bien élevée et gentille ; l'un empêche pas l'autre, après tout. Au moins, sa vision du monde s'est élargie grâce à moi !
« Connaître le Snu-snu n'enlève rien à mon éducation et à ma gentillesse ! »
Il le voit pas derrière mes lunettes de soleil, mais je cille. S'évanouir en parlant trop ? J'avais jamais entendu ça auparavant. Même petit, ce n'est pas normal, c'est même effrayant pour le bien être physique et mentale de la personne.
« ... j'vais avoir envie de te faire p-parler p-pour assister à ça ! C'est comme un sup-per p-pouvoir inversé »
Et puis là, il me parle du saint Graal, il ne le voit pas sous mes lunettes, mais des étoiles aussi se sont installées dans mes yeux. Je pourrai baver d'anticipation mais ça ferait un peu désordre, et pas très lady-like... mais ouais, je salive beaucoup.
« C'est loin ? On peut courir p-pour y arriver p-plus vite... L'app-ppel de l'estomac, tu sais... »
On peut y arriver en dérapant avec style.
code by emme« Ce qui se passe dans la grotte reste dans la grotte ! Bonne journée à vous Yasuhisa-san ! »
Je le regarde disparaître peu à peu vers l'horizon. Junichi radote un peu dans son coin. Évidemment, je suis une fille bien élevée et gentille ; l'un empêche pas l'autre, après tout. Au moins, sa vision du monde s'est élargie grâce à moi !
« Connaître le Snu-snu n'enlève rien à mon éducation et à ma gentillesse ! »
Il le voit pas derrière mes lunettes de soleil, mais je cille. S'évanouir en parlant trop ? J'avais jamais entendu ça auparavant. Même petit, ce n'est pas normal, c'est même effrayant pour le bien être physique et mentale de la personne.
« ... j'vais avoir envie de te faire p-parler p-pour assister à ça ! C'est comme un sup-per p-pouvoir inversé »
Et puis là, il me parle du saint Graal, il ne le voit pas sous mes lunettes, mais des étoiles aussi se sont installées dans mes yeux. Je pourrai baver d'anticipation mais ça ferait un peu désordre, et pas très lady-like... mais ouais, je salive beaucoup.
« C'est loin ? On peut courir p-pour y arriver p-plus vite... L'app-ppel de l'estomac, tu sais... »
On peut y arriver en dérapant avec style.
- Tenue:
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Ce qui s'est passé dans la grotte reste dans la grotte, ça va devenir énigmatique et sujet à questionnement pour pas mal de monde ça. Mais bon, tant pis ! C'est marrant ! Bon, quoi qu'il en soit, les échanges de banalités, c'était bien pendant 5 minutes ! Mais là, c'est l'heure de manger visiblement.
Blague à part, l'anecdote du fait que j'étais devenu bleu en parlant, c'était un peu plus compliqué que ça, mais j'en parlerais sûrement un jour. Rien de dramatique, juste que le moment s'y prêtait pas forcément ! Et que c'était… genre un très gros dossier sur moi ! J'observais la jeune femme avec un regard légèrement moqueur lorsqu'elle me confia que savoir pour sa réf n'en faisait pas moins une femme éduquée et gentille.
- Mouais !
Lâchais-je, lourd de sens. Est-ce que je ne la croyais pas du tout ? Mais bon, autant dire aussi :
- Ce qui s'est passé dans la grotte, reste dans la grotte comme tu dis.
Le coup dans le plexus, le bonhomme de toile, le Snu-snu et j'en passais. Mais elle était gentille, ça c'était quand même indéniable. Par contre, son éducation prenait un coup suite à sa réaction sur la bouffe et je ne pouvais pas m'empêcher de dire d'une voix en partie amusée, en partie surprise.
- Holala… Tu es une « comme moi » ! Attends attends… petit test, tu passes devant une échoppe de bonbons, un snack et une glacerie. Que fais-tu ?
Question très compliquée dont la réponse était assez simple pour des gens comme nous. En attendant, je répondais tout de même à la sienne, la rassurant sur un point.
Non, ce n'est pas loin par contre. Pas besoin de courir, ce sera pour après ça, histoire d'éliminer les calories ! Ils me connaissent bien là-bas, j'y vais souvent quand je vais au magasin de sport !
Avec un petit signe de tête, je l'invitais à me suivre, marchant alors d'un pas tranquille mais pas si lent non plus. Un ventre venait de grogner… était-ce le mien ou ? Sûrement le mien ! Vu le bruit ! Bon, c'était pas tout ça, mais je ne l'avais pas revue depuis le voyage, alors j'étais quand même curieux de savoir ce qu'elle devenait depuis le temps.
- Alors Nissassa, tu t'es bien permis pour Juni donc, je me permets aussi ! Tes vacances se sont bien passées jusque-là ? D'ailleurs, tu n'es quand même pas venue à Osaka juste pour me voir quand même ?
Une petite pause de fierté avant de lâcher sur un ton un peu plus fort.
- Même si c'est vrai que je suis probablement la meilleure attraction du coin ! Le Tourist Junichi Tour ! Ambiance, rire et prise de poids garantie ! Eh ... ca le fait trop bien en plus !
C'était dans l'ordre là qu'on le disait… Bref, j'étais curieux d'avoir de ses nouvelles maintenant.
Blague à part, l'anecdote du fait que j'étais devenu bleu en parlant, c'était un peu plus compliqué que ça, mais j'en parlerais sûrement un jour. Rien de dramatique, juste que le moment s'y prêtait pas forcément ! Et que c'était… genre un très gros dossier sur moi ! J'observais la jeune femme avec un regard légèrement moqueur lorsqu'elle me confia que savoir pour sa réf n'en faisait pas moins une femme éduquée et gentille.
- Mouais !
Lâchais-je, lourd de sens. Est-ce que je ne la croyais pas du tout ? Mais bon, autant dire aussi :
- Ce qui s'est passé dans la grotte, reste dans la grotte comme tu dis.
Le coup dans le plexus, le bonhomme de toile, le Snu-snu et j'en passais. Mais elle était gentille, ça c'était quand même indéniable. Par contre, son éducation prenait un coup suite à sa réaction sur la bouffe et je ne pouvais pas m'empêcher de dire d'une voix en partie amusée, en partie surprise.
- Holala… Tu es une « comme moi » ! Attends attends… petit test, tu passes devant une échoppe de bonbons, un snack et une glacerie. Que fais-tu ?
Question très compliquée dont la réponse était assez simple pour des gens comme nous. En attendant, je répondais tout de même à la sienne, la rassurant sur un point.
Non, ce n'est pas loin par contre. Pas besoin de courir, ce sera pour après ça, histoire d'éliminer les calories ! Ils me connaissent bien là-bas, j'y vais souvent quand je vais au magasin de sport !
Avec un petit signe de tête, je l'invitais à me suivre, marchant alors d'un pas tranquille mais pas si lent non plus. Un ventre venait de grogner… était-ce le mien ou ? Sûrement le mien ! Vu le bruit ! Bon, c'était pas tout ça, mais je ne l'avais pas revue depuis le voyage, alors j'étais quand même curieux de savoir ce qu'elle devenait depuis le temps.
- Alors Nissassa, tu t'es bien permis pour Juni donc, je me permets aussi ! Tes vacances se sont bien passées jusque-là ? D'ailleurs, tu n'es quand même pas venue à Osaka juste pour me voir quand même ?
Une petite pause de fierté avant de lâcher sur un ton un peu plus fort.
- Même si c'est vrai que je suis probablement la meilleure attraction du coin ! Le Tourist Junichi Tour ! Ambiance, rire et prise de poids garantie ! Eh ... ca le fait trop bien en plus !
C'était dans l'ordre là qu'on le disait… Bref, j'étais curieux d'avoir de ses nouvelles maintenant.
- InvitéInvité
Junichi
Retrouvaille en tire-bouchon
24 Août
Mais... je vais le frapper à réutiliser mon cliché sur la grotte. Mes yeux se relèvent sur son visage à son « comme moi » les bras croisés en entendant la suite, un test. C'est plutôt simple mais pas tant que ça, je réfléchis à voix haute :
« J’cambriole les trois... j'en ai trop dit je crois... Pourquoi cette question ? Elle est torduuue »
Je sens revenir le coup du bâton. Il va se moquer de toute sa stature à peine plus grande que la moyenne japonaise... mais ce qui fait un peu géant pour moi avec ma taille. Vingt centimètres, tout un drame. Au moins, la suite est déjà plus alléchante :
« De quoi bien se motiver pour faire du sp-port ! »
À croire que les salles de sport, ça rime avec pourri mon corps. Les stands sucrés, magasins de bonbons, ou comme là, de crêpe, toujours à proximité des gymnases... tout pour nous faire craquer, et là, j'ai du poids à perdre, je devrais pas.
« Oh noooon, tu m'as démasquée !!! »
Je gigote en faisant des kya kya en veux-tu, en voilà, avec les mains sur les joues pour bien amplifier le rôle... juste pour lui faire oublier cette question sur mes vacances. Je pense qu'il ne prendrait pas mal si je ne lui réponds pas, mais j'ai pas envie de jouer à la mystérieuse trop edgy dark.
« Je veux bien être ta première cliente, par pure bonté et un peu de pitié... »
Je marmonne vraiment la fin de ma phrase.
code by emme« J’cambriole les trois... j'en ai trop dit je crois... Pourquoi cette question ? Elle est torduuue »
Je sens revenir le coup du bâton. Il va se moquer de toute sa stature à peine plus grande que la moyenne japonaise... mais ce qui fait un peu géant pour moi avec ma taille. Vingt centimètres, tout un drame. Au moins, la suite est déjà plus alléchante :
« De quoi bien se motiver pour faire du sp-port ! »
À croire que les salles de sport, ça rime avec pourri mon corps. Les stands sucrés, magasins de bonbons, ou comme là, de crêpe, toujours à proximité des gymnases... tout pour nous faire craquer, et là, j'ai du poids à perdre, je devrais pas.
« Oh noooon, tu m'as démasquée !!! »
Je gigote en faisant des kya kya en veux-tu, en voilà, avec les mains sur les joues pour bien amplifier le rôle... juste pour lui faire oublier cette question sur mes vacances. Je pense qu'il ne prendrait pas mal si je ne lui réponds pas, mais j'ai pas envie de jouer à la mystérieuse trop edgy dark.
« Je veux bien être ta première cliente, par pure bonté et un peu de pitié... »
Je marmonne vraiment la fin de ma phrase.
- Tenue:
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Les trois était effectivement la bonne réponse, j'aurais dit que je les ai dévalisés perso ! En vrai, dommage que je n'ai pas croisé cette fille le jour où je cherchais un endroit pour goûter le bœuf de Kobe ! Ouais, il n'y a que moi pour vouloir un truc pareil le lendemain d'un séisme, on ne se refait pas ! Et forcément, tout était fermé ! Je souriais avec amusement avant de dire.
- C'est ta réponse qui est tordue, les trois seulement ? Perso, j'aurais continué à dévaliser tous les autres restaurants et kiosques à bouffe du coin ! Bah oui, si tu en vois trois côte-à-côte, c'est qu'il y en a forcément d'autres en tout genre dans la rue.
Une vraie question de QCM du glouton et d'une logique imparable. Car oui, quand il s'agissait de bouffe… J'étais d'une intelligence insoupçonnée ! Ouais, c'était un petit piège, je l'avoue ! Mais en soi, elle avait plutôt donné une bonne réponse et effectivement, c'était une comme moi ! Donc, je savais exactement dans quelle crêperie l'emmener. Même si elle se foutait un peu de ma tronche et qu'elle ne le méritait pas trop.
- Par bonté, mais madame est trop bonne !
Avant que toute confusion ne se fasse, je me reprenais avec un petit rire détendu.
- Enfin, généreuse plutôt ! Restons courtois et ne parlons pas dans notre barbe d'ailleurs !
Ouais parce qu'elle a dit un truc à la fin, mais beaucoup trop bas pour être entendu. D'ailleurs, elle avait répondu à ma question ? Sûrement, je suis tête en l'air, alors j'ai sûrement oublié… Oh non, je n'ai pas oublié quand même un truc aussi récent ? Si elle m'a dit un truc important, je fais comment ? Non mais elle m'a répondu, j'en suis sûr… Je crois ? Bref ! Autant ne pas y penser et si elle me demande, j'éluderais la question pour pas qu'elle le prenne mal si je n'ai pas calculé ce qu'elle a dit !
- Bon ! Alors pour ma première cliente ! Je propose un endroit magique, où les crêpes s'envolent pour finir dans une assiette recouverte d'un nappage de choix ! La chantilly y est excellente et les papilles vous diront encore merci !
Je prenais un petit accent pendant que je parlais, comme un cuisinier étranger qui présente un plat, un faux accent car je ne sais pas vraiment le faire. Elle ne voulait pas des crêpes glacées ? Bah, peu importe ! Elle ne sera pas déçue du voyage et du Tourist Junichi Tour ! Peut-être que je pourrais en profiter pour demander au gérant s'il connaît un autre endroit, genre un café sympa où je pourrais l'emmener. Mais pour l'instant.
- Bon, assez parlé des vacances. Et les cours, pressée de retourner en classe ?
Je savais que de mon côté, je n'avais pas dit grand-chose, mais là, valait mieux changer de sujet pour préserver la bonne ambiance de cette journée. J'avais trop souvent eu affaire à des femmes qui prennent mal quand on a oublié un truc qui a été dit, du moins un truc qui date de moins de 5 minutes.
- C'est ta réponse qui est tordue, les trois seulement ? Perso, j'aurais continué à dévaliser tous les autres restaurants et kiosques à bouffe du coin ! Bah oui, si tu en vois trois côte-à-côte, c'est qu'il y en a forcément d'autres en tout genre dans la rue.
Une vraie question de QCM du glouton et d'une logique imparable. Car oui, quand il s'agissait de bouffe… J'étais d'une intelligence insoupçonnée ! Ouais, c'était un petit piège, je l'avoue ! Mais en soi, elle avait plutôt donné une bonne réponse et effectivement, c'était une comme moi ! Donc, je savais exactement dans quelle crêperie l'emmener. Même si elle se foutait un peu de ma tronche et qu'elle ne le méritait pas trop.
- Par bonté, mais madame est trop bonne !
Avant que toute confusion ne se fasse, je me reprenais avec un petit rire détendu.
- Enfin, généreuse plutôt ! Restons courtois et ne parlons pas dans notre barbe d'ailleurs !
Ouais parce qu'elle a dit un truc à la fin, mais beaucoup trop bas pour être entendu. D'ailleurs, elle avait répondu à ma question ? Sûrement, je suis tête en l'air, alors j'ai sûrement oublié… Oh non, je n'ai pas oublié quand même un truc aussi récent ? Si elle m'a dit un truc important, je fais comment ? Non mais elle m'a répondu, j'en suis sûr… Je crois ? Bref ! Autant ne pas y penser et si elle me demande, j'éluderais la question pour pas qu'elle le prenne mal si je n'ai pas calculé ce qu'elle a dit !
- Bon ! Alors pour ma première cliente ! Je propose un endroit magique, où les crêpes s'envolent pour finir dans une assiette recouverte d'un nappage de choix ! La chantilly y est excellente et les papilles vous diront encore merci !
Je prenais un petit accent pendant que je parlais, comme un cuisinier étranger qui présente un plat, un faux accent car je ne sais pas vraiment le faire. Elle ne voulait pas des crêpes glacées ? Bah, peu importe ! Elle ne sera pas déçue du voyage et du Tourist Junichi Tour ! Peut-être que je pourrais en profiter pour demander au gérant s'il connaît un autre endroit, genre un café sympa où je pourrais l'emmener. Mais pour l'instant.
- Bon, assez parlé des vacances. Et les cours, pressée de retourner en classe ?
Je savais que de mon côté, je n'avais pas dit grand-chose, mais là, valait mieux changer de sujet pour préserver la bonne ambiance de cette journée. J'avais trop souvent eu affaire à des femmes qui prennent mal quand on a oublié un truc qui a été dit, du moins un truc qui date de moins de 5 minutes.
- InvitéInvité
Junichi
Retrouvaille en tire-bouchon
24 Août
Comment ça, c'est MA réponse qui est tordu ? Il pense avec son estomac, et remet en cause mon appétit insatiable. C'est comme le test pour savoir si t'es un psychopathe, tu l'as entendu une fois, tu peux faire le fifou ensuite.
« Alors, je suis sûre que sur google map-ps, je p-peux te trouver une rue avec juste ces trois lieux de sainteté ! Pas là, p-parce que ça p-prendrait une p-plombe, mais il suffit que je demande sur 4chan ou reddit pour qu'on m'en trouve ! De toute façon, après trois cambriolages, le quatrième me porterait malheur »
Alors. J'ai mis un temps avant de comprendre pourquoi il a choisi le mot généreuse, à la place de bonne. Si un simple mot dans sa pureté, et remit en place par peur d'offenser, je peux comprendre que le Snu-snu, fut un choc complet pour lui.
« T'es en train de dire que j'ai une barbe ? »
Je gonfle les joues comme une gosse. Si ça se trouve, il va culpabiliser d'avoir eu l'impression de m'insulter ? Ce serait vilain et tordant à la fois. Les hommes ont tendance à trouver les femmes mystérieuses et sensible. Tout le monde est si sensible.
« Y a des bronwie dans la chantilly ? »
Non parce, que c'est bien beau la chantilly, mais s'il n'y a pas de boule de chocolat dedans, avec du nappage chocolat-noisette, et du brownie dans la crêpe, elle a pas vraiment intérêt la-dite crêpe. J'ai peur qu'il soit la fameuse team adverse.
« Stup-plaît, p-pense à ta dignité avant d'essayer de faire un accent »
Avec tous les événements précédents du mois, ça faisait du bien de souffler un peu, même si c'est avec un clown monté sur échasse à talonnette. Je fredonne une musique dans la tête alors que je regarde tout autour de moi, venant rarement à Osaka :
« Je suis p-pressée de retourner à la clinique vétérinaire voir toutes les p-petites bouilles ! Et toi, de ton côté ? »
Tiens, il m'a parlé de ses vacances ou pas ?
code by emme« Alors, je suis sûre que sur google map-ps, je p-peux te trouver une rue avec juste ces trois lieux de sainteté ! Pas là, p-parce que ça p-prendrait une p-plombe, mais il suffit que je demande sur 4chan ou reddit pour qu'on m'en trouve ! De toute façon, après trois cambriolages, le quatrième me porterait malheur »
Alors. J'ai mis un temps avant de comprendre pourquoi il a choisi le mot généreuse, à la place de bonne. Si un simple mot dans sa pureté, et remit en place par peur d'offenser, je peux comprendre que le Snu-snu, fut un choc complet pour lui.
« T'es en train de dire que j'ai une barbe ? »
Je gonfle les joues comme une gosse. Si ça se trouve, il va culpabiliser d'avoir eu l'impression de m'insulter ? Ce serait vilain et tordant à la fois. Les hommes ont tendance à trouver les femmes mystérieuses et sensible. Tout le monde est si sensible.
« Y a des bronwie dans la chantilly ? »
Non parce, que c'est bien beau la chantilly, mais s'il n'y a pas de boule de chocolat dedans, avec du nappage chocolat-noisette, et du brownie dans la crêpe, elle a pas vraiment intérêt la-dite crêpe. J'ai peur qu'il soit la fameuse team adverse.
« Stup-plaît, p-pense à ta dignité avant d'essayer de faire un accent »
Avec tous les événements précédents du mois, ça faisait du bien de souffler un peu, même si c'est avec un clown monté sur échasse à talonnette. Je fredonne une musique dans la tête alors que je regarde tout autour de moi, venant rarement à Osaka :
« Je suis p-pressée de retourner à la clinique vétérinaire voir toutes les p-petites bouilles ! Et toi, de ton côté ? »
Tiens, il m'a parlé de ses vacances ou pas ?
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Décidément, il n'avait pas fallu longtemps avant que ça commence déjà à partir dans tous les sens. Comme quoi cette femme avait clairement un humour vraiment bien planqué. Même si elle avait encore quelques petits élans de gêne de temps en temps, il n'était pas dur de voir que ça ne demandait qu'à sortir. Ma mauvaise influence sur elle devait sûrement commencer à agir !
- Non mais, je blague surtout, c'était simplement pour voir à quel point tu aimes la nourriture ! Je suis rassuré de la réponse, du coup, je vais pouvoir me lâcher aussi un peu aujourd'hui. Ça fait un moment que je me serre la ceinture, donc j'ai quelques kilos de marge !
Oui, la vie d'un sportif, ce n'était pas tout bon non plus. Il fallait parfois passer par des régimes de temps en temps pour favoriser les entraînements. Les vacances, c'était le pire moment, car on avait vite tendance à se prélasser. Elle m'accusait de l'accuser de dire qu'elle avait probablement une barbe. Hollola, tant de réponses possibles ! Que dire !
- Autant que moi je dirais !
Ouais bon, autant ne pas trop m'avancer non plus, je me rasai mais j'en savais assez sur les femmes pour savoir que certaines enlèvent le duvet aussi ! Je ne suis pas idiot ! Mais ce n'est pas le sujet. Après une rapide explication de l'endroit où on allait, je souriais à sa remarque, au moins elle sait ce qu'elle veut ! C'est une qualité ! Je l'observais avant de lâcher d'une voix amusée.
- Il y a de tout ! Tu choisis ce que tu veux comme mélange et on te le sert ! Donc oui pour le brownie !
La gare était déjà loin derrière d'ailleurs et la crêperie plus si loin. D'ailleurs, en tendant un peu le nez, on pouvait déjà sentir les odeurs de différents restaurants, car cette rue en était remplie et vu l'heure, il n'était pas si tard dans l'après-midi. Je tâchais de ne pas y prêter trop attention en écoutant Nissa me parler. C'est vrai qu'elle faisait dans le domaine vétérinaire, c'est dommage, j'aurais dû en profiter pour sortir notre chien, mais le souci c'est que les restaurants ne les acceptent pas tous ! Donc, nous ferons sûrement une plus grande balade en soirée pour compenser avec mon père.
- Oh moi, j'avoue que j'ai un peu hâte aussi, pouvoir retrouver des personnes qui me manquent un peu, refaire du sport plus quotidiennement et j'en passe. C'est bien les vacances, mais c'est long et je ne peux pas beaucoup me dépenser comme à Kobe.
C'est marrant, mais j'espérais que le fait de dire que des personnes me manquaient là-bas, n'allait pas faire écho avec ce que mon paternel avait lâché plus tôt. Bon, il venait juste de me faire passer pour un gros dragueur, mais Nissa en semblait déjà convaincue à la base aussi, donc autant dire que tout allait bien directement même si en soi, c'était faux.
- Puis je vais reprendre la conduite pour le permis aussi, il faut vraiment que je me motive pour le passer au plus vite.
Oui aussi, n'empêche, j'avouai à la jeune femme alors que nous venions de tourner dans la rue en question.
- Bon, maintenant le défi… c'est traversé cette rue. La crêperie est pas vraiment au milieu si tu vois ce que je veux dire.
Ouais, ça sonnait comme quelque chose de sérieux, un peu comme ce demi-dieu Européen qui avait dû faire des travaux… Il n'était jamais venu au Japon ce petit joueur ! Traverse cette rue sans craquer en route, ça c'est un vrai défi ! D'ailleurs, j'entendis un ventre grogner… C'était le mien ou celui de Nissa ?
- Non mais, je blague surtout, c'était simplement pour voir à quel point tu aimes la nourriture ! Je suis rassuré de la réponse, du coup, je vais pouvoir me lâcher aussi un peu aujourd'hui. Ça fait un moment que je me serre la ceinture, donc j'ai quelques kilos de marge !
Oui, la vie d'un sportif, ce n'était pas tout bon non plus. Il fallait parfois passer par des régimes de temps en temps pour favoriser les entraînements. Les vacances, c'était le pire moment, car on avait vite tendance à se prélasser. Elle m'accusait de l'accuser de dire qu'elle avait probablement une barbe. Hollola, tant de réponses possibles ! Que dire !
- Autant que moi je dirais !
Ouais bon, autant ne pas trop m'avancer non plus, je me rasai mais j'en savais assez sur les femmes pour savoir que certaines enlèvent le duvet aussi ! Je ne suis pas idiot ! Mais ce n'est pas le sujet. Après une rapide explication de l'endroit où on allait, je souriais à sa remarque, au moins elle sait ce qu'elle veut ! C'est une qualité ! Je l'observais avant de lâcher d'une voix amusée.
- Il y a de tout ! Tu choisis ce que tu veux comme mélange et on te le sert ! Donc oui pour le brownie !
La gare était déjà loin derrière d'ailleurs et la crêperie plus si loin. D'ailleurs, en tendant un peu le nez, on pouvait déjà sentir les odeurs de différents restaurants, car cette rue en était remplie et vu l'heure, il n'était pas si tard dans l'après-midi. Je tâchais de ne pas y prêter trop attention en écoutant Nissa me parler. C'est vrai qu'elle faisait dans le domaine vétérinaire, c'est dommage, j'aurais dû en profiter pour sortir notre chien, mais le souci c'est que les restaurants ne les acceptent pas tous ! Donc, nous ferons sûrement une plus grande balade en soirée pour compenser avec mon père.
- Oh moi, j'avoue que j'ai un peu hâte aussi, pouvoir retrouver des personnes qui me manquent un peu, refaire du sport plus quotidiennement et j'en passe. C'est bien les vacances, mais c'est long et je ne peux pas beaucoup me dépenser comme à Kobe.
C'est marrant, mais j'espérais que le fait de dire que des personnes me manquaient là-bas, n'allait pas faire écho avec ce que mon paternel avait lâché plus tôt. Bon, il venait juste de me faire passer pour un gros dragueur, mais Nissa en semblait déjà convaincue à la base aussi, donc autant dire que tout allait bien directement même si en soi, c'était faux.
- Puis je vais reprendre la conduite pour le permis aussi, il faut vraiment que je me motive pour le passer au plus vite.
Oui aussi, n'empêche, j'avouai à la jeune femme alors que nous venions de tourner dans la rue en question.
- Bon, maintenant le défi… c'est traversé cette rue. La crêperie est pas vraiment au milieu si tu vois ce que je veux dire.
Ouais, ça sonnait comme quelque chose de sérieux, un peu comme ce demi-dieu Européen qui avait dû faire des travaux… Il n'était jamais venu au Japon ce petit joueur ! Traverse cette rue sans craquer en route, ça c'est un vrai défi ! D'ailleurs, j'entendis un ventre grogner… C'était le mien ou celui de Nissa ?
- InvitéInvité
Junichi
Retrouvaille en tire-bouchon
24 Août
Alors j'avais espéré qu'il comprenne mon second degré en allant toujours un peu plus loin dans la folie de ma réaction, mais il précise qu'il blague. Au moins, il se rattrape en avouant son plan de « Treat yoursel » de la journée.
« Facile d'en avoir autant qu'un imberbe »
Il me rassure encore sur les crêpes, même si j'ai l'impression que ce serait pas celles en forme de cornet. Montée de salive à 70%. Je lève les yeux vers lui quand il me parle de ce qui lui manque à Kobe, deux questions me viennent en tête :
« T'es du genre p-pop-pulaire dans ta section, genre beaucoup d'amis ? Ou même en général avec d'autres p-personnes ? La salle de gym suffit p-pas à te faire transp-pirer assez ? »
Okay, une question s'est glissé en plus de celle initial, mais c'était une suite logique après tout. Il me parle de se mettre sérieusement pour son permis, et je tape le poing dans ma main à cette phrase :
« Faut que je me bouge aussi, mais p-pour le permis moto ! »
Quand il me parlé du défi, j'arrête de respirer. Je vois ce qui se profile, et je ne suis pas censé trop dépensé non plus. Mais je sens aujourd'hui, tout mon argent de poche va y passer.
« Ok ! Je marche les yeux fermés, tu p-peux me guider ? »
Je sens déjà les effluves, miam miam miam.
code by emme« Facile d'en avoir autant qu'un imberbe »
Il me rassure encore sur les crêpes, même si j'ai l'impression que ce serait pas celles en forme de cornet. Montée de salive à 70%. Je lève les yeux vers lui quand il me parle de ce qui lui manque à Kobe, deux questions me viennent en tête :
« T'es du genre p-pop-pulaire dans ta section, genre beaucoup d'amis ? Ou même en général avec d'autres p-personnes ? La salle de gym suffit p-pas à te faire transp-pirer assez ? »
Okay, une question s'est glissé en plus de celle initial, mais c'était une suite logique après tout. Il me parle de se mettre sérieusement pour son permis, et je tape le poing dans ma main à cette phrase :
« Faut que je me bouge aussi, mais p-pour le permis moto ! »
Quand il me parlé du défi, j'arrête de respirer. Je vois ce qui se profile, et je ne suis pas censé trop dépensé non plus. Mais je sens aujourd'hui, tout mon argent de poche va y passer.
« Ok ! Je marche les yeux fermés, tu p-peux me guider ? »
Je sens déjà les effluves, miam miam miam.
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
On pouvait me reprocher pas mal de choses, mais pas d'être honnête ! Sa réplique sur la barbe me fit rire au passage mais j'avoue avoir été un peu plus absorbé par les questions qu'elle me posait ensuite. Populaire ? J'ai pu l'être un jour mais pas à Kobe ! Dans un des anciens lycées par lequel je suis passé, probablement. Autant répondre avec la même honnêteté.
- Hum, non pas tellement. Enfin je ne suis pas asocial non plus et je pense que c'est une évidence pour n'importe qui qui me connait un peu. Donc je parle avec tout le monde sans soucis. Sans dire que je croule sous les amis pour autant ! Et non, la salle de gym ne me suffit pas ! Il me faut un terrain, des joueurs, un côté compétitif, un sport d'équipe ! Ce me motive toujours à tout donner et surpasser mes limites ! On ne gagne pas toujours mais au moins, on dort tous bien à la fin !
Un petit rire, puis elle me parla du permis moto ! Non attends, je me retournais quand même quelques secondes pour l'observer. Elle ? Sur une moto ? Je veux voir ça ! Franchement, elle touche le sol au moins ? Bon elle n'est pas toute petite non plus et même plutôt dans la moyenne, mais quand même !
- Attends, attends, attends. Que j'essaie d'intégrer l'idée… Non faut vraiment que je le vois pour le croire ! Tu n'as pas intérêt à le manquer alors, parce que je veux vraiment te voir rouler sur une moto un jour !
Je rigolais bien sûr, enfin pas complètement mais j'avoue que oui ! J'étais très curieux de la voir un jour sur une moto. Avec le casque qui fait les joues toutes bouffies ! Ou alors, ça coupe de cheveux complétement démolis après un tour de moto ! Ça risque d'être amusant en vrai, mais je gardais bien ça pour moi.
- Ok… Donc tu as confiance en moi. Est-ce que c'est le bon moment pour te dire que c'est une très mauvaise idée ? Genre la ! Maintenant, dans une rue pareille ?
Bon malgré tout, je la laissais attraper ma manche, ou un pan de mon haut si besoin… Ce n'est pas comme si elle ne l'avait pas déjà fait après tout. Traversé la rue sonna comme une épreuve, je voulais littéralement goûter à tout ! Mais ce n'était pas l'heure ! Pas l'heure pour un repas du moins ! Pas encore … Mais bientôt ! Bientôt il serait l'heure ! et la … C'est le repas qui n'aura plus d'échappatoire ! Rire machiavélique en vue ! Mais trêve de blague, nous étions arrivés, l'endroit était vraiment convivial mais s'il ressemblait plus à un petit café en apparence qu'à une crêperie, il ne servait pas tant de café que ça, enfin ce n'était pas aussi varié que les crêpes et surtout les pancakes.
- On y est ! Ouvre les yeux… mais doucement, sinon tu risques d'être ébloui face à tant de magnificence… et je parle pas de moi cette fois !
Ouais pour la bouffe, je pouvais mettre mon égo de côté ! c'est tout naturel !
- Hum, non pas tellement. Enfin je ne suis pas asocial non plus et je pense que c'est une évidence pour n'importe qui qui me connait un peu. Donc je parle avec tout le monde sans soucis. Sans dire que je croule sous les amis pour autant ! Et non, la salle de gym ne me suffit pas ! Il me faut un terrain, des joueurs, un côté compétitif, un sport d'équipe ! Ce me motive toujours à tout donner et surpasser mes limites ! On ne gagne pas toujours mais au moins, on dort tous bien à la fin !
Un petit rire, puis elle me parla du permis moto ! Non attends, je me retournais quand même quelques secondes pour l'observer. Elle ? Sur une moto ? Je veux voir ça ! Franchement, elle touche le sol au moins ? Bon elle n'est pas toute petite non plus et même plutôt dans la moyenne, mais quand même !
- Attends, attends, attends. Que j'essaie d'intégrer l'idée… Non faut vraiment que je le vois pour le croire ! Tu n'as pas intérêt à le manquer alors, parce que je veux vraiment te voir rouler sur une moto un jour !
Je rigolais bien sûr, enfin pas complètement mais j'avoue que oui ! J'étais très curieux de la voir un jour sur une moto. Avec le casque qui fait les joues toutes bouffies ! Ou alors, ça coupe de cheveux complétement démolis après un tour de moto ! Ça risque d'être amusant en vrai, mais je gardais bien ça pour moi.
- Ok… Donc tu as confiance en moi. Est-ce que c'est le bon moment pour te dire que c'est une très mauvaise idée ? Genre la ! Maintenant, dans une rue pareille ?
Bon malgré tout, je la laissais attraper ma manche, ou un pan de mon haut si besoin… Ce n'est pas comme si elle ne l'avait pas déjà fait après tout. Traversé la rue sonna comme une épreuve, je voulais littéralement goûter à tout ! Mais ce n'était pas l'heure ! Pas l'heure pour un repas du moins ! Pas encore … Mais bientôt ! Bientôt il serait l'heure ! et la … C'est le repas qui n'aura plus d'échappatoire ! Rire machiavélique en vue ! Mais trêve de blague, nous étions arrivés, l'endroit était vraiment convivial mais s'il ressemblait plus à un petit café en apparence qu'à une crêperie, il ne servait pas tant de café que ça, enfin ce n'était pas aussi varié que les crêpes et surtout les pancakes.
- On y est ! Ouvre les yeux… mais doucement, sinon tu risques d'être ébloui face à tant de magnificence… et je parle pas de moi cette fois !
Ouais pour la bouffe, je pouvais mettre mon égo de côté ! c'est tout naturel !
- InvitéInvité
Junichi
Retrouvaille en tire-bouchon
24 Août
Attentive, je l'écoute me parler de son statut à l'établissement, il a l'air d'être celui qui a beaucoup de connaissances, mais très peu d'amis ? C'est peut-être juste une impression. Par contre, ce qu'il me dit sur le sport, l'adrénaline de la compétition, je comprends.
« C'est fou d'être autant accroché à son sp-port, je trouve ça beau. J'ai toujours voulu rejoindre un sp-port collectif, mais comme je suis une fille p-pas douée et timide, ça me p-paraît effrayant. J'ai un p-peu fait de foot dans ma jeunesse, et p-puis s'tout »
La réaction suivante me donne envie de gonfler les joues, mais je rigole à la place. Est-ce si fou de m'imaginer sur une moto ? Maya en conduit alors qu'elle est encore plus petite que moi. Y a des techniques pour les personnes d'assez petite taille.
« Aha ! Je vais débouler en faisant une roue arrière, tu verras ! »
Comment ne pourrais-je pas lui faire confiance alors qu'il a sauté après moi sans avoir ce qu'il en adviendrait ! Je le tiens par l'arrière de son maillot, et avance doucement, humant l'air qui promet mont et merveilles. Mais on finit par s'arrêter devant la crêperie :
« Nooooon ! Rendez-moi mes yeux, argh ! »
Je fais semblant d'être éblouie quelques instants avant de voir THE INFORMATION sur le présentoir du menu. Je secoue Junchi comme un prunier, et lui dit :
« Ils font des fluffy p-p-p-pancakes !! »
Je continue de le secouer un peu pour bien lui faire comprendre à quel point je suis reconnaissante.
« Ça p-peut p-paraître fou mais j'en ai jamais mangé !!! »
C'est bon, j'ai fini de le secouer, mais je l'attrape par le poignet pour le tirer à l'intérieur. Je veux mes fluffy pancackes maintenant ! On nous montre une table, où on s'assoit tous les deux. J'ouvre le menu, même si je sais déjà ce que je veux mais...
« Il font des milk shake aussi !!!! Merci seigneur, et c'est bien de toi dont je parle »
Je pourrai accepter la mort dans le bonheur.
code by emme« C'est fou d'être autant accroché à son sp-port, je trouve ça beau. J'ai toujours voulu rejoindre un sp-port collectif, mais comme je suis une fille p-pas douée et timide, ça me p-paraît effrayant. J'ai un p-peu fait de foot dans ma jeunesse, et p-puis s'tout »
La réaction suivante me donne envie de gonfler les joues, mais je rigole à la place. Est-ce si fou de m'imaginer sur une moto ? Maya en conduit alors qu'elle est encore plus petite que moi. Y a des techniques pour les personnes d'assez petite taille.
« Aha ! Je vais débouler en faisant une roue arrière, tu verras ! »
Comment ne pourrais-je pas lui faire confiance alors qu'il a sauté après moi sans avoir ce qu'il en adviendrait ! Je le tiens par l'arrière de son maillot, et avance doucement, humant l'air qui promet mont et merveilles. Mais on finit par s'arrêter devant la crêperie :
« Nooooon ! Rendez-moi mes yeux, argh ! »
Je fais semblant d'être éblouie quelques instants avant de voir THE INFORMATION sur le présentoir du menu. Je secoue Junchi comme un prunier, et lui dit :
« Ils font des fluffy p-p-p-pancakes !! »
Je continue de le secouer un peu pour bien lui faire comprendre à quel point je suis reconnaissante.
« Ça p-peut p-paraître fou mais j'en ai jamais mangé !!! »
C'est bon, j'ai fini de le secouer, mais je l'attrape par le poignet pour le tirer à l'intérieur. Je veux mes fluffy pancackes maintenant ! On nous montre une table, où on s'assoit tous les deux. J'ouvre le menu, même si je sais déjà ce que je veux mais...
« Il font des milk shake aussi !!!! Merci seigneur, et c'est bien de toi dont je parle »
Je pourrai accepter la mort dans le bonheur.
- Tenue:
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Elle trouvait ça effrayant le sport collectif ? Comment c'était possible ? Enfin, je ne pouvais même pas concevoir une telle idée parce qu'à chaque fois que j'avais fait du sport de façon collective, j'avais été plus ou moins bien accueilli. Est-ce qu'elle avait essayé au moins ? C'était peut-être là, la vraie question ? C'est un peu comme la première fois qu'on parle au téléphone ou devant des gens, c'est intimidant mais à force on s'y fait ! Enfin, sa timidité était une barrière, mais je ne pouvais pas franchement la juger sur ce point et c'était à elle de surmonter ça.
Alors je ne rajoutais rien et rigolais aussi sur sa réponse à propos du permis moto ! Non mais elle serait trop stylée en vrai… Tiens c'est marrant, on me l'avait dit il y a quelque temps, sur la plage… Ca m'était resté visiblement ce terme. Mais, j'imaginais tellement Nissa en mode warriors sur sa moto en roue arrière !
- En vrai, pourquoi pas ! Je pense que ça t'irait bien !
Bah oui, pourquoi pas, j'étais bien un myope qui voulait faire carrière dans le base-ball, alors si elle voulait rouler une moto, elle pouvait ! Maintenant nous étions dans la rue de l'enfer… ou du paradis selon la quantité d'argent sur le compte en banque aussi. Quoi qu'il en soit, je me dirigeais vers l'endroit voulu en m'assurant que Nissa me suive sans trop de peine puis arrivé sur place, je crois que j'ai vite déchanté. Sur le moment, j'avoue que ça aurait été marrant d'être à côté avec une serviette pour l'éventer le temps qu'elle "retrouve" sa vue ! Mais avant de pouvoir faire quoi que ce soit, elle me secoua littéralement en constatant le menu.
Ce à quoi, je la secouais à mon tour, à l'identique en répondant.
- Mais oui ! Ils en font ! Et tu verras ! C'est super bon !
Avant de la relâcher en rigolant pour lui dire sur un ton amusé.
- Alors c'est le moment ou jamais ! Faut en profiter, On y va ?
Après être installé à table et le menu sous les yeux, même si je le connaissais déjà un peu. J'attendis tranquillement que Nissa constate la caverne des merveilles, bien loin de la caverne de l'horreur de la dernière fois, où je l'avais emmenée. Visiblement, le menu était à son goût, ma main au feu qu'elle n'était même pas difficile en réalité. Lorsqu'un serveur passa nous voir, je lâchais sur un ton amusé.
- Alors pour mademoiselle, ce sera une salade et de l'eau. Non mais je plaisante bien sur, vas-y Nissa, a toi l'honneur ! Je suis un bon seigneur !
Évidemment, je n'étais pas sérieux, mais c'était marrant et de toute façon, le serveur savait que je rigolais aussi. Je fis un signe de tête pour laisser Nissa choisir en première avant de passer ma commande ensuite.
- Une gaufre double chocolat et un Milk Shake à la fraise !
Après quoi, j'observais Nissa et lâchai sur un ton amusé.
- Eh quoi ? Je pense à ta ligne, tu ne vas pas m'en vouloir non ? Puis ils ne font pas de salade ici, tu te doutes bien ! Enfin… Il y a peut-être un petit aromate vite fait ici et là mais c'est tout !
Alors je ne rajoutais rien et rigolais aussi sur sa réponse à propos du permis moto ! Non mais elle serait trop stylée en vrai… Tiens c'est marrant, on me l'avait dit il y a quelque temps, sur la plage… Ca m'était resté visiblement ce terme. Mais, j'imaginais tellement Nissa en mode warriors sur sa moto en roue arrière !
- En vrai, pourquoi pas ! Je pense que ça t'irait bien !
Bah oui, pourquoi pas, j'étais bien un myope qui voulait faire carrière dans le base-ball, alors si elle voulait rouler une moto, elle pouvait ! Maintenant nous étions dans la rue de l'enfer… ou du paradis selon la quantité d'argent sur le compte en banque aussi. Quoi qu'il en soit, je me dirigeais vers l'endroit voulu en m'assurant que Nissa me suive sans trop de peine puis arrivé sur place, je crois que j'ai vite déchanté. Sur le moment, j'avoue que ça aurait été marrant d'être à côté avec une serviette pour l'éventer le temps qu'elle "retrouve" sa vue ! Mais avant de pouvoir faire quoi que ce soit, elle me secoua littéralement en constatant le menu.
Ce à quoi, je la secouais à mon tour, à l'identique en répondant.
- Mais oui ! Ils en font ! Et tu verras ! C'est super bon !
Avant de la relâcher en rigolant pour lui dire sur un ton amusé.
- Alors c'est le moment ou jamais ! Faut en profiter, On y va ?
Après être installé à table et le menu sous les yeux, même si je le connaissais déjà un peu. J'attendis tranquillement que Nissa constate la caverne des merveilles, bien loin de la caverne de l'horreur de la dernière fois, où je l'avais emmenée. Visiblement, le menu était à son goût, ma main au feu qu'elle n'était même pas difficile en réalité. Lorsqu'un serveur passa nous voir, je lâchais sur un ton amusé.
- Alors pour mademoiselle, ce sera une salade et de l'eau. Non mais je plaisante bien sur, vas-y Nissa, a toi l'honneur ! Je suis un bon seigneur !
Évidemment, je n'étais pas sérieux, mais c'était marrant et de toute façon, le serveur savait que je rigolais aussi. Je fis un signe de tête pour laisser Nissa choisir en première avant de passer ma commande ensuite.
- Une gaufre double chocolat et un Milk Shake à la fraise !
Après quoi, j'observais Nissa et lâchai sur un ton amusé.
- Eh quoi ? Je pense à ta ligne, tu ne vas pas m'en vouloir non ? Puis ils ne font pas de salade ici, tu te doutes bien ! Enfin… Il y a peut-être un petit aromate vite fait ici et là mais c'est tout !
- InvitéInvité
Junichi
Retrouvaille en tire-bouchon
24 Août
Lui qui est fan de baseball, un sport collectif à souhaits, trouve-t-il bizarre que ça me fasse peur de mon côté ? Avec le karaté, on s'affronte tous les jours, avec nos corps qui se lie et se délie... ce n'est pas un sport collectif, mais on échange.
« Tu voudras monter à l'arrière p-pour p-profiter du vent dans les cheveux ? »
Quand je le secoue, il me secoue, je le secoue, il me secoue, je le secoue, il me secoue... et je ne sais pas qui finit par se lasser en premier, mais on arrête de passer pour des arriérés sur le bord du trottoir, avec les gens qui passent et tracent leur route.
« Oh ça, oui, je comp-pte bien en p-profiter ! »
On sait jamais, je feuillette plusieurs fois le menu, pour être sûre de ne pas avoir raté une autre pépite. Mais non, à part les pancakes fluffy qu'ils appellent premium, niet. Le serveur arrive, et mit Juni décide de me mettre à la diète :
« Si la salade est faite de défeuillés de fluffy p-p-p-pancakes, ça p-p-p-paaaaasse »
Okay, la blague va trop loin, et je repose les yeux sur le menu, un peu intimidé de passer en première :
« Des p-p--p-pancakes p-p-p-premium avec un Milk-shake chocolat noisettes ! »
Junichi ré-attaque son histoire de penser à ma ligne.
« Seul la ligne de p-pêche m'intéresse. P-pour le poids, tant que je suis à la limite avec mes 60kg, en corp-pulence normale, c'est top-p non ? »
Je suis déjà impatiente de manger, comme si mon cerveau criait zombiiiiiie.
« Ça t'arrive d'être si imp-patient d'une chose, que le monde p-peut s'effondrer, tant que tu l'obtiens, tu t'en fous du monde en ruine ? »
Ça commence avec les questions farfelues.
code by emme« Tu voudras monter à l'arrière p-pour p-profiter du vent dans les cheveux ? »
Quand je le secoue, il me secoue, je le secoue, il me secoue, je le secoue, il me secoue... et je ne sais pas qui finit par se lasser en premier, mais on arrête de passer pour des arriérés sur le bord du trottoir, avec les gens qui passent et tracent leur route.
« Oh ça, oui, je comp-pte bien en p-profiter ! »
On sait jamais, je feuillette plusieurs fois le menu, pour être sûre de ne pas avoir raté une autre pépite. Mais non, à part les pancakes fluffy qu'ils appellent premium, niet. Le serveur arrive, et mit Juni décide de me mettre à la diète :
« Si la salade est faite de défeuillés de fluffy p-p-p-pancakes, ça p-p-p-paaaaasse »
Okay, la blague va trop loin, et je repose les yeux sur le menu, un peu intimidé de passer en première :
« Des p-p--p-pancakes p-p-p-premium avec un Milk-shake chocolat noisettes ! »
Junichi ré-attaque son histoire de penser à ma ligne.
« Seul la ligne de p-pêche m'intéresse. P-pour le poids, tant que je suis à la limite avec mes 60kg, en corp-pulence normale, c'est top-p non ? »
Je suis déjà impatiente de manger, comme si mon cerveau criait zombiiiiiie.
« Ça t'arrive d'être si imp-patient d'une chose, que le monde p-peut s'effondrer, tant que tu l'obtiens, tu t'en fous du monde en ruine ? »
Ça commence avec les questions farfelues.
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Elle me proposa un tour de moto quand elle aurait le permis ! Une idée plutôt cool, tant je n'avais jamais pu faire de moto. Je ne savais même pas ce que cela faisait. Fallait admettre que ça n'avait jamais vraiment intéressé personne dans la famille, donc à part la voiture, le train et le vélo, je n'avais pas beaucoup d'autres expériences en matière de transport.
- Ok, en échange, je t'offre un concert privé ! Ça te convient ? Mais franchement, je veux bien ! Ce sera la première fois en plus que je pose mes fesses sur une moto.
Au moins, j'avais quelque chose à proposer en échange. Le reste se déroula plus rapidement que je ne l'aurais cru et nous étions déjà à table en train de commander. Elle me fit sourire sur sa réaction, clairement elle ne perdait pas le nord… si tant est que le nord soit en réalité un pancake géant ! Le rêve ! Mais j'avoue que plus on avançait et plus j'avais envie de la tester un peu.
Alors forcément, après qu'elle me parle de son poids et de sa "ligne" de pêche ! Je ne pensais pas qu'on pouvait autant ramener la discussion sur la nourriture, mais je pouvais faire ça toute la journée. Reste que les commandes étaient passées et sa dernière question me laissa un peu songeur. Peut-être oui, ça avait pu m'arriver. Mais là, j'avais bien envie de lui faire ressentir ça avec un petit défi.
- Oui, mais je ne saurais pas mettre un souvenir précis, ça m'est arrivé quelques fois. Par contre… que dirais-tu d'un petit jeu ?!
Je l'observais et mon sourire amusé ne laissait pas beaucoup de place au doute. Non, rien de trop osé non plus, ce n'était pas mon genre… enfin… si complètement, mais pas avec de simples amis ! Voyons, on sait se tenir ! Non, là j'avoue que c'était plutôt quelque chose de bas, vraiment très bas mais c'était aussi drôle.
- Je te propose un marché, quand ton plat arrivera sur la table. Si tu es capable de tenir 5… non… 10 minutes ! Complètes ! Sans y toucher, bah je t'offre un second plat, celui que tu veux, même le plus cher du menu. Mais si tu perds et que tu ne tiens pas dix minutes… Attends-toi à un gage !
Je n'en dis pas plus, sinon, c'est trop facile. Autant la laisser avoir un peu peur. Je tendis ma main en signe de bonne foi avant d'ajouter.
- Évidemment, tu peux refuser et manger ton plat, payé de ta poche le second ! Mais tu te prives d'un second complètement gratuit.
J'étais un gourmand, comme elle, je savais qu'elle allait tenter le coup… ou au pire, au moins y réfléchir. Et si elle refusait le défi, elle le regretterait amèrement une fois qu'elle aurait terminé son assiette en se disant "J'aurais dû accepter !". Mon sourire et mon regard amusé, je l'observais avec curiosité en sachant pertinemment que c'était ignoble de ma part. Mais je n'ai jamais dit que j'étais tout le temps adorable.
- Je te garantis que le temps va te sembler long et que tu auras vraiment l'impression que le monde autour de toi tombera en ruine. On me l'a déjà fait ce défi et c'est très dur ! Moi, c'était pendant trente minutes en plus !
Mon père était définitivement pire que moi…
- Ok, en échange, je t'offre un concert privé ! Ça te convient ? Mais franchement, je veux bien ! Ce sera la première fois en plus que je pose mes fesses sur une moto.
Au moins, j'avais quelque chose à proposer en échange. Le reste se déroula plus rapidement que je ne l'aurais cru et nous étions déjà à table en train de commander. Elle me fit sourire sur sa réaction, clairement elle ne perdait pas le nord… si tant est que le nord soit en réalité un pancake géant ! Le rêve ! Mais j'avoue que plus on avançait et plus j'avais envie de la tester un peu.
Alors forcément, après qu'elle me parle de son poids et de sa "ligne" de pêche ! Je ne pensais pas qu'on pouvait autant ramener la discussion sur la nourriture, mais je pouvais faire ça toute la journée. Reste que les commandes étaient passées et sa dernière question me laissa un peu songeur. Peut-être oui, ça avait pu m'arriver. Mais là, j'avais bien envie de lui faire ressentir ça avec un petit défi.
- Oui, mais je ne saurais pas mettre un souvenir précis, ça m'est arrivé quelques fois. Par contre… que dirais-tu d'un petit jeu ?!
Je l'observais et mon sourire amusé ne laissait pas beaucoup de place au doute. Non, rien de trop osé non plus, ce n'était pas mon genre… enfin… si complètement, mais pas avec de simples amis ! Voyons, on sait se tenir ! Non, là j'avoue que c'était plutôt quelque chose de bas, vraiment très bas mais c'était aussi drôle.
- Je te propose un marché, quand ton plat arrivera sur la table. Si tu es capable de tenir 5… non… 10 minutes ! Complètes ! Sans y toucher, bah je t'offre un second plat, celui que tu veux, même le plus cher du menu. Mais si tu perds et que tu ne tiens pas dix minutes… Attends-toi à un gage !
Je n'en dis pas plus, sinon, c'est trop facile. Autant la laisser avoir un peu peur. Je tendis ma main en signe de bonne foi avant d'ajouter.
- Évidemment, tu peux refuser et manger ton plat, payé de ta poche le second ! Mais tu te prives d'un second complètement gratuit.
J'étais un gourmand, comme elle, je savais qu'elle allait tenter le coup… ou au pire, au moins y réfléchir. Et si elle refusait le défi, elle le regretterait amèrement une fois qu'elle aurait terminé son assiette en se disant "J'aurais dû accepter !". Mon sourire et mon regard amusé, je l'observais avec curiosité en sachant pertinemment que c'était ignoble de ma part. Mais je n'ai jamais dit que j'étais tout le temps adorable.
- Je te garantis que le temps va te sembler long et que tu auras vraiment l'impression que le monde autour de toi tombera en ruine. On me l'a déjà fait ce défi et c'est très dur ! Moi, c'était pendant trente minutes en plus !
Mon père était définitivement pire que moi…
- InvitéInvité
Junichi
Retrouvaille en tire-bouchon
24 Août
Un concert privé ? C'est une proposition bizarre, mais intéressante. J'aime la musique même si j'en ai jamais pratiqué hors des cours. Alors le voir jouer est un bon :
« Deal ! Je vais devoir m'entraîner d'avoir un sac de sable p-plus lourd à l'arrière... Je vais mettre des p-poids sur May... une p-pote, je trouverai bien ! »
Au moins, je ne suis pas la seule d'avoir cette fixation par moment. Il me propose un jeu, et je détache mes yeux du menu devenu inutile. Jeu et bouffe, c'est rarement une bonne idée avec moi. Me laisser avoir ? Jamais, et j'ai un atout dans ma manche.
« Est-ce que je vais voir le minuteur ou je serai jeté dans le silence de mon supplice ? »
Le second plat m'appelle. Il deviendra mon promis, un délice à trois pas bouchées. Je m'appropriais son essence et savourerait chaque effluve du plat. Il sera à moi... à MOI ! Je ne peux pas perdre, mon honneur de gourmet mis en jeu ici-même.
« T'as tenu les trente minutes ? »
Les plats arrivent, le mien est placé bien face à moi, avec sa tour de Fluffy Pancakes. Oui, je m'imagine le F et P majuscules dans mon image mental du boss. Juni, il a des gaufres qui ont l'air bien moins alléchantes que mon plat Premium.
Je lance le minuteur. Je regarde Junichi manger joyeusement son repas. Il ne m'a pas dit si j'avais le droit de piquer dedans, ou pas. Et ça devient un peu une crise existentielle pour moi. Piquer ou ne pas piquer ? Mais ça devient plus intense.
Et je le regarde en profondeur, un morceau de gaufre coupé avec minutie dont la chair est saisi par une fourchette, qui remonte doucement vers son palet, et ses dents assassines. À force de le regarder, il commence à devenir transparent où juste la gaufre trans-paré.
Encore sept minutes ?
Je tape avec ma cuillère sur le bord de la porcelaine, au rythme de la musique du London Bridge. Le bruit se répercute dans le café, et au bout de moins de deux minutes, un serveur vient avec bienséance me demander d'arrêter parce que ça gêne les autres clients.
Alors je me venge comme je peux, je donne des petits taquets avec mes pieds dans les chaussures de Juni, eux aussi, au rythme du London Brigde. Je regarde que ses gaufres disparaître tout doucement de son assiette. Il ne doit pas trop manger vite sinon, lui aussi s’ennuierait.
Tiens d'ailleurs, il ne m'a pas interdit d'utiliser mon téléphone, mais ce serait vraiment trop simple si je pouvais l'utiliser. Les dix minutes filerait à toute vitesse, j'aurais qu'à faire une visio avec les filles pour qu'elles tiennent avec moi.
Alors je pose la tête sur la table, et pour la première fois depuis que le plat a été apporté, je pose les yeux sur mes fluffy pancakes... elles ont l'air d'être quelques peu affaissées...
Je renifle l'odeur qui s'en dégage, et sans un self control parfait, j’aurais avancé la tête, et les aurais manger à coups de de dents, la tête dans l'assiette. Ma dignité en aurait pris un sacré choc, mais en ai-je seulement un soupçon devant Juni ?
Je ferme les yeux et fredonne London Bridge, en respirant le même air que mon plat. On communie de loin, comme les bisous à distance, mais avec la bave en plus. Le doux effluve me berce un peu, et j'ai l'impression de m'enfoncer dans une grotte de nourritures.
Quand le minuteur sonne, j'avais toujours la tête sur la table, alors je sursaute un peu, et panique en essayant de l'arrêter et de ne pas ennuyer tous les clients.
Je lève les bras au ciel, puis attrape enfin la cuillère magique, et l'enfonce dans le pancake le plus haut. Et là, le verdict tombe :
« T'es froid, désolée mon cher et tendre ».
code by emme« Deal ! Je vais devoir m'entraîner d'avoir un sac de sable p-plus lourd à l'arrière... Je vais mettre des p-poids sur May... une p-pote, je trouverai bien ! »
Au moins, je ne suis pas la seule d'avoir cette fixation par moment. Il me propose un jeu, et je détache mes yeux du menu devenu inutile. Jeu et bouffe, c'est rarement une bonne idée avec moi. Me laisser avoir ? Jamais, et j'ai un atout dans ma manche.
« Est-ce que je vais voir le minuteur ou je serai jeté dans le silence de mon supplice ? »
Le second plat m'appelle. Il deviendra mon promis, un délice à trois
« T'as tenu les trente minutes ? »
Les plats arrivent, le mien est placé bien face à moi, avec sa tour de Fluffy Pancakes. Oui, je m'imagine le F et P majuscules dans mon image mental du boss. Juni, il a des gaufres qui ont l'air bien moins alléchantes que mon plat Premium.
Je lance le minuteur. Je regarde Junichi manger joyeusement son repas. Il ne m'a pas dit si j'avais le droit de piquer dedans, ou pas. Et ça devient un peu une crise existentielle pour moi. Piquer ou ne pas piquer ? Mais ça devient plus intense.
Et je le regarde en profondeur, un morceau de gaufre coupé avec minutie dont la chair est saisi par une fourchette, qui remonte doucement vers son palet, et ses dents assassines. À force de le regarder, il commence à devenir transparent où juste la gaufre trans-paré.
Encore sept minutes ?
Je tape avec ma cuillère sur le bord de la porcelaine, au rythme de la musique du London Bridge. Le bruit se répercute dans le café, et au bout de moins de deux minutes, un serveur vient avec bienséance me demander d'arrêter parce que ça gêne les autres clients.
Alors je me venge comme je peux, je donne des petits taquets avec mes pieds dans les chaussures de Juni, eux aussi, au rythme du London Brigde. Je regarde que ses gaufres disparaître tout doucement de son assiette. Il ne doit pas trop manger vite sinon, lui aussi s’ennuierait.
Tiens d'ailleurs, il ne m'a pas interdit d'utiliser mon téléphone, mais ce serait vraiment trop simple si je pouvais l'utiliser. Les dix minutes filerait à toute vitesse, j'aurais qu'à faire une visio avec les filles pour qu'elles tiennent avec moi.
Alors je pose la tête sur la table, et pour la première fois depuis que le plat a été apporté, je pose les yeux sur mes fluffy pancakes... elles ont l'air d'être quelques peu affaissées...
Je renifle l'odeur qui s'en dégage, et sans un self control parfait, j’aurais avancé la tête, et les aurais manger à coups de de dents, la tête dans l'assiette. Ma dignité en aurait pris un sacré choc, mais en ai-je seulement un soupçon devant Juni ?
Je ferme les yeux et fredonne London Bridge, en respirant le même air que mon plat. On communie de loin, comme les bisous à distance, mais avec la bave en plus. Le doux effluve me berce un peu, et j'ai l'impression de m'enfoncer dans une grotte de nourritures.
Quand le minuteur sonne, j'avais toujours la tête sur la table, alors je sursaute un peu, et panique en essayant de l'arrêter et de ne pas ennuyer tous les clients.
J'ai gagné !
Je lève les bras au ciel, puis attrape enfin la cuillère magique, et l'enfonce dans le pancake le plus haut. Et là, le verdict tombe :
« T'es froid, désolée mon cher et tendre »
- Tenue:
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Sur le moment, j'ai bien senti qu'elle s'était reprise avant de dire un prénom, pourquoi donc ? Au pire, je ne connaissais pas cette personne, au mieux, je la connaissais et alors ? Bah, peut-être qu'elle ne tenait pas à compliquer la discussion plus que nécessaire aussi, ça je pouvais comprendre ! Donc je réagis principalement en substance.
- Tu es en train d'insinuer que je suis gros ou que je suis en train de rêver ?
Avant de rire de bon cœur, elle me posa une question à laquelle je répondis d'un haussement d'épaules. Franchement, si en plus elle voulait s'infliger le minuteur, je n'allais pas l'en empêcher. Mais je me devais d'être honnête avec elle concernant le défi que mon père m'avait fait.
- ... Trente ? Non ! Même pas dix ! Je me suis dit, tant pis, je prends le gage.
Ouais, moi et la bouffe c'est sacré, je préfère un gage plutôt que de manger froid ! Quoi qu'il en soit, le défi commença à l'instant où les assiettes étaient posées sur la table et de mon côté, je n'avais pas dit que je comptais attendre. Donc j'attaquais ma gaufre tant qu'elle était chaude. Ça aurait été bête de la laisser refroidir !
La souffrance de Nissa était palpable pendant les premières minutes, cherchant désespérément un moyen de s'occuper. Pourquoi elle ne prend pas simplement son téléphone ? Je n'ai pas dit que c'était interdit non ? Ou bien, elle peut me parler aussi, la seule clause, c'est qu'elle ne doit pas toucher à son assiette. C'est tout !
Bon la voilà en train de tapoter avec un couvert contre de la porcelaine, bonne technique, mais inutile en vrai et de toute façon, on lui demanda poliment d'arrêter. Maintenant, ce sont mes jambes qu'elle vise... Non mais sérieusement, j'avais beau bouger en plus mais elle parvenait à les retrouver. Pas moyen de lui échapper, le seul endroit où mes jambes auraient pu être tranquilles c'était... Non pas là !
Bon le défi semblait bien parti pour être perdu de mon côté ! C'est qu'elle avait de la fierté en plus et après quelques coups d'œil à mon assiette, toujours un peu plus vide, elle sembla rabattre son regard sur la sienne et se mit bientôt à fredonner. Je crois que... non pas déjà la folie ? Il y a cinq phases en général, l'impatience, le stress, la nervosité et ensuite seulement la folie pour finir sur l'acceptation du jeûne... Quoi ce n'est pas ça ? Mais si ! J'en suis certain !
L'alarme sonna la fin du défi avec une Nissa fière d'elle avant de parler à son Pancake sans avoir remarqué la serveuse derrière qui venait visiblement nous apporter quelque chose. La serveuse semblait déjà plus sociable que son collègue et lâcha à l'intention de Nissa sans comprendre que ce n'était pas à moi qu'elle parlait.
- Ne vous inquiétez pas pour ça, il y a bien des façons de réchauffer un homme !
Avec le petit clin d'œil qui va avec bien sûr, moi de mon côté, j'avoue que je rigolais intérieurement en restant silencieux, la situation était amusante et j'étais même plutôt curieux de voir comment la jeune femme allait s'en tirer la ! Mais la serveuse ne lui laissa pas franchement le temps d'en placer une avant de poser une petite assiette avec des mini donuts en forme de... cochon ? Ainsi qu'une petite carte ?
- Si vous saviez, avant je travaillais dans un hôtel sur Kobe et s'il y a bien une chose que j'ai apprise là-bas, c'est qu'un homme n'est jamais froid en vérité ?
Keskeladi ? J'avoue que... Error system ! Je savais pas si je devais exploser de rire ou bien filmer la scène ! La serveuse semblait plus âgée que nous, assez simple en apparence, cheveux noir en queue de cheval et yeux sombre. Un visage... banal je trouve mais une voix sur d'elle en revanche. Je n'osais pas imaginer comment elle devait abordé les couples d'étudiant qui allé à l'hôtel pour passé une nuit en couple à la place de l'internat.
- Enfin, désolé mon collègue à oublier de vous ramener ça. On fait un partenariat avec un salon de thé... enfin dans le genre au coin de la rue. Un endroit qui s'appelle Mipig ! Mais... Vous ne vous fiez pas au nom, ce n'est pas des trucs cochons je précise ! Enfin si y a des cochons mais ce n'est pas exactement la même chose !
Cette fille est pire que moi.
- Allez-y, c'est sympa, en plus ils font des offres pour les couples. Moitié prix pour la formule de base, comprenant une boisson et un accompagnement au choix. Donc, ce serait bête de louper une occasion pareille !
Elle repartait déjà et j'allais justement tenter de clarifier la situation, mais trop tard.
- Eh, on n'est pas... Bon, ben tant pis !
Je prenais la carte sans toucher au donut après avoir rigolé un bon coup, même si discrètement, et en voyant les images : une carte de visite pour un salon de thé rempli de cochons miniatures, d'accord ! Je tendis donc la carte à Nissa en proposant :
- Ça a l'air sympa en vrai, pratique pour digérer tranquillement. Je crois que ton vrai cher et tendre t'attend !
En lui indiquant le pancake avec un rire amusé. Elle n'aurait qu'à commander ce qu'elle voulait, comme convenu, et ensuite on pourrait aller faire un tour à ce salon de thé. La pauvre, dire qu'elle venait de subir le calvaire d'être prise pour ma copine ! Je la plains, mais j'en rigole en même temps.
- Tu es en train d'insinuer que je suis gros ou que je suis en train de rêver ?
Avant de rire de bon cœur, elle me posa une question à laquelle je répondis d'un haussement d'épaules. Franchement, si en plus elle voulait s'infliger le minuteur, je n'allais pas l'en empêcher. Mais je me devais d'être honnête avec elle concernant le défi que mon père m'avait fait.
- ... Trente ? Non ! Même pas dix ! Je me suis dit, tant pis, je prends le gage.
Ouais, moi et la bouffe c'est sacré, je préfère un gage plutôt que de manger froid ! Quoi qu'il en soit, le défi commença à l'instant où les assiettes étaient posées sur la table et de mon côté, je n'avais pas dit que je comptais attendre. Donc j'attaquais ma gaufre tant qu'elle était chaude. Ça aurait été bête de la laisser refroidir !
La souffrance de Nissa était palpable pendant les premières minutes, cherchant désespérément un moyen de s'occuper. Pourquoi elle ne prend pas simplement son téléphone ? Je n'ai pas dit que c'était interdit non ? Ou bien, elle peut me parler aussi, la seule clause, c'est qu'elle ne doit pas toucher à son assiette. C'est tout !
Bon la voilà en train de tapoter avec un couvert contre de la porcelaine, bonne technique, mais inutile en vrai et de toute façon, on lui demanda poliment d'arrêter. Maintenant, ce sont mes jambes qu'elle vise... Non mais sérieusement, j'avais beau bouger en plus mais elle parvenait à les retrouver. Pas moyen de lui échapper, le seul endroit où mes jambes auraient pu être tranquilles c'était... Non pas là !
Bon le défi semblait bien parti pour être perdu de mon côté ! C'est qu'elle avait de la fierté en plus et après quelques coups d'œil à mon assiette, toujours un peu plus vide, elle sembla rabattre son regard sur la sienne et se mit bientôt à fredonner. Je crois que... non pas déjà la folie ? Il y a cinq phases en général, l'impatience, le stress, la nervosité et ensuite seulement la folie pour finir sur l'acceptation du jeûne... Quoi ce n'est pas ça ? Mais si ! J'en suis certain !
L'alarme sonna la fin du défi avec une Nissa fière d'elle avant de parler à son Pancake sans avoir remarqué la serveuse derrière qui venait visiblement nous apporter quelque chose. La serveuse semblait déjà plus sociable que son collègue et lâcha à l'intention de Nissa sans comprendre que ce n'était pas à moi qu'elle parlait.
- Ne vous inquiétez pas pour ça, il y a bien des façons de réchauffer un homme !
Avec le petit clin d'œil qui va avec bien sûr, moi de mon côté, j'avoue que je rigolais intérieurement en restant silencieux, la situation était amusante et j'étais même plutôt curieux de voir comment la jeune femme allait s'en tirer la ! Mais la serveuse ne lui laissa pas franchement le temps d'en placer une avant de poser une petite assiette avec des mini donuts en forme de... cochon ? Ainsi qu'une petite carte ?
- Si vous saviez, avant je travaillais dans un hôtel sur Kobe et s'il y a bien une chose que j'ai apprise là-bas, c'est qu'un homme n'est jamais froid en vérité ?
Keskeladi ? J'avoue que... Error system ! Je savais pas si je devais exploser de rire ou bien filmer la scène ! La serveuse semblait plus âgée que nous, assez simple en apparence, cheveux noir en queue de cheval et yeux sombre. Un visage... banal je trouve mais une voix sur d'elle en revanche. Je n'osais pas imaginer comment elle devait abordé les couples d'étudiant qui allé à l'hôtel pour passé une nuit en couple à la place de l'internat.
- Enfin, désolé mon collègue à oublier de vous ramener ça. On fait un partenariat avec un salon de thé... enfin dans le genre au coin de la rue. Un endroit qui s'appelle Mipig ! Mais... Vous ne vous fiez pas au nom, ce n'est pas des trucs cochons je précise ! Enfin si y a des cochons mais ce n'est pas exactement la même chose !
Cette fille est pire que moi.
- Allez-y, c'est sympa, en plus ils font des offres pour les couples. Moitié prix pour la formule de base, comprenant une boisson et un accompagnement au choix. Donc, ce serait bête de louper une occasion pareille !
Elle repartait déjà et j'allais justement tenter de clarifier la situation, mais trop tard.
- Eh, on n'est pas... Bon, ben tant pis !
Je prenais la carte sans toucher au donut après avoir rigolé un bon coup, même si discrètement, et en voyant les images : une carte de visite pour un salon de thé rempli de cochons miniatures, d'accord ! Je tendis donc la carte à Nissa en proposant :
- Ça a l'air sympa en vrai, pratique pour digérer tranquillement. Je crois que ton vrai cher et tendre t'attend !
En lui indiquant le pancake avec un rire amusé. Elle n'aurait qu'à commander ce qu'elle voulait, comme convenu, et ensuite on pourrait aller faire un tour à ce salon de thé. La pauvre, dire qu'elle venait de subir le calvaire d'être prise pour ma copine ! Je la plains, mais j'en rigole en même temps.
- InvitéInvité
Junichi
Retrouvaille en tire-bouchon
24 Août
On dirait une fille bafouée dans son estime. L'un est plus violente que l'autre, mais c'est aussi le plus vrai. C'est une garçon, il est grand, et en tout logique, est plus lourd que moi sauf si je continue à grossir, au point que la moto va s'affaisser.
« Pas gros, juste 20 kg en plus de moi, j'dirais. »
On voit les faibles. Ceux dont l'esprit n'est pas assez méritant pour avoir la récompenses des dieux. Il faut faut du courage, de la résilience pour vivre cet instant émotionnellement instable. Il a été faible, il a mérité le gage !!!
« C'était quoi ton gage ? »
S'ensuit les dix minutes les plus longues de ma vie. Je fais front, ne me laisse pas abattre par le challenge, et attend patiemment de mon mieux pour que les minutes passent le plus rapidement possible. Et quand le temps est passé, et que mon plat est froid... je...
Et là, une serveuse nous pop dessus, sûrement après mes dires, mais je le regarde comme hypnotisée. Réchauffer le cœur d'un homme. Un homme est jamais froid. Ce n'est pas cochon. Y a des cochons. Des offres pour les... couples. Et s'en va. Ok, j'ai rien compris.
« Tiens. Rassure-moi, j'avais pas le droit au téléphone ? »
Je lui mets mes fluffy pancakes devant lui pour qu'il les mange alors qu'il me tend la carte. Je la feuillette un peu... c'est étrange comme concept. Ce ne sont pas vraiment des animaux domestiques, même si j'ai entendu dire que sur le campus, il y avait une fille avec son cochon Bacon.
« Je vais prendre à nouveau les premiums donc tu peux manger ceux-là ! »
Pas de gâchis, et je me vois mal manger en doub... nan, j'en serais totalement capable mais là n'est pas la question ! Il m'offre un dessert, je n'ai pas envie d'être une sale gosse ingrate. On appelle le serveur pour compléter la commande. Je pique un donuts avant l'arrivée de mes pancakes !
« Toi aussi tu trouves qu'on a l'air d'un couple ? Tu veux y aller ? »
Premium! Premium ! Premium ! Premium !
code by emme« Pas gros, juste 20 kg en plus de moi, j'dirais. »
On voit les faibles. Ceux dont l'esprit n'est pas assez méritant pour avoir la récompenses des dieux. Il faut faut du courage, de la résilience pour vivre cet instant émotionnellement instable. Il a été faible, il a mérité le gage !!!
« C'était quoi ton gage ? »
S'ensuit les dix minutes les plus longues de ma vie. Je fais front, ne me laisse pas abattre par le challenge, et attend patiemment de mon mieux pour que les minutes passent le plus rapidement possible. Et quand le temps est passé, et que mon plat est froid... je...
Et là, une serveuse nous pop dessus, sûrement après mes dires, mais je le regarde comme hypnotisée. Réchauffer le cœur d'un homme. Un homme est jamais froid. Ce n'est pas cochon. Y a des cochons. Des offres pour les... couples. Et s'en va. Ok, j'ai rien compris.
« Tiens. Rassure-moi, j'avais pas le droit au téléphone ? »
Je lui mets mes fluffy pancakes devant lui pour qu'il les mange alors qu'il me tend la carte. Je la feuillette un peu... c'est étrange comme concept. Ce ne sont pas vraiment des animaux domestiques, même si j'ai entendu dire que sur le campus, il y avait une fille avec son cochon Bacon.
« Je vais prendre à nouveau les premiums donc tu peux manger ceux-là ! »
Pas de gâchis, et je me vois mal manger en doub... nan, j'en serais totalement capable mais là n'est pas la question ! Il m'offre un dessert, je n'ai pas envie d'être une sale gosse ingrate. On appelle le serveur pour compléter la commande. Je pique un donuts avant l'arrivée de mes pancakes !
« Toi aussi tu trouves qu'on a l'air d'un couple ? Tu veux y aller ? »
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- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Ouais, pas loin, ça dépendait des périodes mais je stabilisais à un bon 80 kilos, allant et venant selon la période et la faim. Donc oui, il vaudrait mieux mettre des poids sur son amie. Je ne pouvais qu’abdiquer, elle m’avait vaincu sur la question du poids ! Mais ce n’était que partie remise. Non en vrai, elle avait surtout entièrement raison ! Puis vint la question du gage.
- Eh ben on était chez des amis et y avait une piscine, donc il m’a demandé de faire le poirier au bord. Pour reprendre ses termes « Face je gagne, pile je perds » Sous-entendu que tomber dans l’eau ferait moins mal ! Je devais rester comme ça pendant une minute et j’ai tenu sans tomber. Heureusement que j’avais mangé avant pour me donner des forces !
Toujours voir le bon côté, puis bon, les gages étaient rarement dangereux en vérité. Après un défi mouvementé et une serveuse plutôt entreprenante avec ses clients. Nissa me demanda si elle avait le droit au téléphone, ce à quoi je répondis en l’observant droit dans les yeux avec un sourire moqueur prouvant que la réponse était assez évidente.
- Tu es sûre de vouloir la réponse ? Ou bien maintenant que c’est terminé, tu préfères ne pas savoir ?
Ce après quoi, la sujette du Mipig était tombée, bon je la laissai commander une nouvelle assiette après qu’elle m’a refilé la froide… Chouette de la bouffe en plus malgré un défi perdu ! Mais que demande le peuple en fait ?! La question de Nissa me laissa perplexe ensuite, je pris un donut dans la bouche en réfléchissant.
- Hum… Voyons voir, tu serais célibataire, je t’aurais volontiers proposé de jouer le jeu parce que c’est vrai que 50% c’est intéressant. Après je t’avoue que je ne m’intéresse pas franchement au sujet, tu serais célibataire, je ne t’aurais sûrement pas draguée non plus.
Houlà, zone rouge ! Rattrape le tir ! Tout de suite gros boulet !!! Je mis rapidement mes mains en signe de défense avant de reprendre sur un ton accéléré qui montrait clairement que je me rattrapais aux branches comme je pouvais. Sans lui mentir pour autant.
- Enfin, ça ne vient pas de toi, je précise ! Juste que je ne veux pas me mettre en couple ou donner l’illusion que j’en ai envie. C’est tout ! En vrai, la première fois qu’on s’est vu, tu m’as traité de dragueur. Mais franchement, à Kobe, ce n’est clairement pas ma priorité. Puis je ne touche de toute façon pas aux femmes déjà prises, c’est un principe !
J'en avais peut-être trop dit. De toute façon, si elle avait des question, j'y répondrais vu que je n'ai rien à cacher en vérité. Cela dit.
- Alors ouais, je veux y aller, parce que ça à l'air sympa, mais rien ne nous empêche de payer plein pot. Après si toi tu veux jouer le jeu, je ne vais pas non plus te faire défaut, sinon, je ne serais pas un ami.
Cruel dilemme, entre honnêteté morale et amitié, mon cœur balance réellement. Cela dit, on avait l’air de faire illusion, assez pour qu’on nous confonde à tort. Autant profiter de l’occasion pour faire quelques économies et du coup, potentiellement manger plus ! J’ajoutai sur un ton détendu.
- Après, évidemment, je ne veux en aucun cas provoquer des problèmes. Je t’apprécie sincèrement et je ne veux rien faire qui puisse te faire du mal ensuite… que ce soit directement ou indirectement. C’est comment dire… aussi un principe si on veut !
- Eh ben on était chez des amis et y avait une piscine, donc il m’a demandé de faire le poirier au bord. Pour reprendre ses termes « Face je gagne, pile je perds » Sous-entendu que tomber dans l’eau ferait moins mal ! Je devais rester comme ça pendant une minute et j’ai tenu sans tomber. Heureusement que j’avais mangé avant pour me donner des forces !
Toujours voir le bon côté, puis bon, les gages étaient rarement dangereux en vérité. Après un défi mouvementé et une serveuse plutôt entreprenante avec ses clients. Nissa me demanda si elle avait le droit au téléphone, ce à quoi je répondis en l’observant droit dans les yeux avec un sourire moqueur prouvant que la réponse était assez évidente.
- Tu es sûre de vouloir la réponse ? Ou bien maintenant que c’est terminé, tu préfères ne pas savoir ?
Ce après quoi, la sujette du Mipig était tombée, bon je la laissai commander une nouvelle assiette après qu’elle m’a refilé la froide… Chouette de la bouffe en plus malgré un défi perdu ! Mais que demande le peuple en fait ?! La question de Nissa me laissa perplexe ensuite, je pris un donut dans la bouche en réfléchissant.
- Hum… Voyons voir, tu serais célibataire, je t’aurais volontiers proposé de jouer le jeu parce que c’est vrai que 50% c’est intéressant. Après je t’avoue que je ne m’intéresse pas franchement au sujet, tu serais célibataire, je ne t’aurais sûrement pas draguée non plus.
Houlà, zone rouge ! Rattrape le tir ! Tout de suite gros boulet !!! Je mis rapidement mes mains en signe de défense avant de reprendre sur un ton accéléré qui montrait clairement que je me rattrapais aux branches comme je pouvais. Sans lui mentir pour autant.
- Enfin, ça ne vient pas de toi, je précise ! Juste que je ne veux pas me mettre en couple ou donner l’illusion que j’en ai envie. C’est tout ! En vrai, la première fois qu’on s’est vu, tu m’as traité de dragueur. Mais franchement, à Kobe, ce n’est clairement pas ma priorité. Puis je ne touche de toute façon pas aux femmes déjà prises, c’est un principe !
J'en avais peut-être trop dit. De toute façon, si elle avait des question, j'y répondrais vu que je n'ai rien à cacher en vérité. Cela dit.
- Alors ouais, je veux y aller, parce que ça à l'air sympa, mais rien ne nous empêche de payer plein pot. Après si toi tu veux jouer le jeu, je ne vais pas non plus te faire défaut, sinon, je ne serais pas un ami.
Cruel dilemme, entre honnêteté morale et amitié, mon cœur balance réellement. Cela dit, on avait l’air de faire illusion, assez pour qu’on nous confonde à tort. Autant profiter de l’occasion pour faire quelques économies et du coup, potentiellement manger plus ! J’ajoutai sur un ton détendu.
- Après, évidemment, je ne veux en aucun cas provoquer des problèmes. Je t’apprécie sincèrement et je ne veux rien faire qui puisse te faire du mal ensuite… que ce soit directement ou indirectement. C’est comment dire… aussi un principe si on veut !
- InvitéInvité
Junichi
Retrouvaille en tire-bouchon
24 Août
Aalors que j'écoute Junichi, il commence à évoquer le poirier, et je n'arrive pas à retenir plusieurs petits pouffements par le nez comme si je me moquais de lui. Alors qu'en vérité, pas du tout, c'est à cause de cette petite saleté de Risa.
« La classe ! Prends ça le papounet ! »
Ffff, je la déteste. J'ai eu du mal à enchaîner ses quelques mots. La suite de qu'il me dit me fait reprendre un minima de sérieux. Okay, je me déteste, j'aurais du appeler les filles dès le début, faire un bastion contre l'attaque de salivation intensif.
« Prochain challenge : je veux voir les petites écritures en bas de page et celle écrit en taille 42 que je ne vois pas »
Ma faute, j'aurais du lui demander d'entrée de jeu. Il me répond à la question un peu bancale du couple, celle où il dit « même si t'étais sur le marché, J'aurais pas dépensé une pièce de cuivre pour toi » Au fond, ça me rassure même si ça n'a pas l'air d'être son cas de son côté.
« Si on s'était connu avant ma mise en couple, j'aurais bégayé jusqu'à mort sans suive »
Juni est un peu ce que je cherche de base chez les gens. Un naturel rieur, un peu comme Tsu', toujours la pour mettre de l'ambiance. Pas de prise de tête, juste de l'attention et un sourire à toutes épreuves. Ça me suffit pour apprécier une personne.
« T'as pas à t'en faire, va. Je ne vais ni m'offusquer de ce que tu as dit, ni me sentir sous pression pour le Mipig. »
Mes Premiums arrivent, et j'attaque direct avec la cuillère... ah si chaud et molleux... Je prends une autre bouchée avant de rétorquer :
« Tu veux pas du tout de mettre en couple, ou t'as déjà quelqu'un dans le viseur ? Ou t'as juste la trouille et tout ce que ça implique ? »
La trouille, c'est le pire. J'ai un ami qui pendant un an a refréné ses sentiments pour une fille avant d'avoir un déclic à cause d'un événements qui les a rapprochés. Elle aussi en avait après lui, mais avait l'impression qu'il était dans sa bulle.
Enfin bref, ils ont perdu plus d'un an à tortiller du cul.
Je mâchonne mon pancake en l’écoutant. Tant qu'on n'a pas fini notre repas, on peut bien discuter un peu et en apprendre un peu plus sur l'autre. Je pianote vite fait sur mon téléphone à la recherche de la firme Mipig, ça a l'air d'être assez connu.
« C'est plutôt simple. Si ma moitié apprenait ton existence, ami ou couple, tu serais déjà mort dans sa tête alors foutu pour foutu, autant le faire à fond »
Je gonfle mes lèvres dans un sourire à l'envers, et hausse les épaules. Maintenant qu'il sait ça, il va peut-être se tenir à distance, et prendre peur ? En vrai, ça m'étonnerait et même si Maya va très mal en ce moment, j'ai des impératifs. Là, j'étais bloqué à Osaka.
Je n'en rajoute pas, savourant en silence.
code by emme« La classe ! Prends ça le papounet ! »
Ffff, je la déteste. J'ai eu du mal à enchaîner ses quelques mots. La suite de qu'il me dit me fait reprendre un minima de sérieux. Okay, je me déteste, j'aurais du appeler les filles dès le début, faire un bastion contre l'attaque de salivation intensif.
« Prochain challenge : je veux voir les petites écritures en bas de page et celle écrit en taille 42 que je ne vois pas »
Ma faute, j'aurais du lui demander d'entrée de jeu. Il me répond à la question un peu bancale du couple, celle où il dit « même si t'étais sur le marché, J'aurais pas dépensé une pièce de cuivre pour toi » Au fond, ça me rassure même si ça n'a pas l'air d'être son cas de son côté.
« Si on s'était connu avant ma mise en couple, j'aurais bégayé jusqu'à mort sans suive »
Juni est un peu ce que je cherche de base chez les gens. Un naturel rieur, un peu comme Tsu', toujours la pour mettre de l'ambiance. Pas de prise de tête, juste de l'attention et un sourire à toutes épreuves. Ça me suffit pour apprécier une personne.
« T'as pas à t'en faire, va. Je ne vais ni m'offusquer de ce que tu as dit, ni me sentir sous pression pour le Mipig. »
Mes Premiums arrivent, et j'attaque direct avec la cuillère... ah si chaud et molleux... Je prends une autre bouchée avant de rétorquer :
« Tu veux pas du tout de mettre en couple, ou t'as déjà quelqu'un dans le viseur ? Ou t'as juste la trouille et tout ce que ça implique ? »
La trouille, c'est le pire. J'ai un ami qui pendant un an a refréné ses sentiments pour une fille avant d'avoir un déclic à cause d'un événements qui les a rapprochés. Elle aussi en avait après lui, mais avait l'impression qu'il était dans sa bulle.
Enfin bref, ils ont perdu plus d'un an à tortiller du cul.
Je mâchonne mon pancake en l’écoutant. Tant qu'on n'a pas fini notre repas, on peut bien discuter un peu et en apprendre un peu plus sur l'autre. Je pianote vite fait sur mon téléphone à la recherche de la firme Mipig, ça a l'air d'être assez connu.
« C'est plutôt simple. Si ma moitié apprenait ton existence, ami ou couple, tu serais déjà mort dans sa tête alors foutu pour foutu, autant le faire à fond »
Je gonfle mes lèvres dans un sourire à l'envers, et hausse les épaules. Maintenant qu'il sait ça, il va peut-être se tenir à distance, et prendre peur ? En vrai, ça m'étonnerait et même si Maya va très mal en ce moment, j'ai des impératifs. Là, j'étais bloqué à Osaka.
Je n'en rajoute pas, savourant en silence.
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
En vérité, mon père appréciait de me pousser dans mes retranchements de temps à autre. Il connaissait mon caractère et savait pertinemment que j’adorais ça en réalité. Toujours donner le meilleur de moi-même en… quasiment toute circonstance ! Enfin, elle me fit quand même rire en me confiant vouloir être au courant de toutes les clauses avant un défi et je répondis en levant ma fourchette avec un morceau survivant de ma gaufre.
- Ce ne serait pas un vrai défi si la solution te tombait tout cuit dans le bec !
Avant d’enfourner le morceau de la divine relique déjà entamée dans ma bouche. Peut-être que le choix des mots avait été voulu, quand il s’agissait de nourriture, je pouvais être aussi poétique qu’un grand penseur français du 17ème siècle ! Dommage que mon répertoire soit plus limité ensuite. J’avoue que la suite me prit un peu par surprise mais je ne le montrai pas à ce point non plus, je me contentai de l’observer par-dessus mes lunettes… Et donc je ne voyais plus grand-chose, mais ce n’était pas grave, c’était pour l’effet.
- Donc, je t’aurais déstabilisé à ce point ? Me fait pas regretter que tu ne sois pas célibataire, parce que j’aurais bien voulu voir ça juste par curiosité. Tu ne t’es pas franchement étouffé avec tes propres mots de mémoire.
J’en rajoutai en toussant volontairement un « Snu-snu » pour appuyer mes propos avant de boire pour dire sur un ton faussement surpris et peu crédible.
- C’est bon les gaufres, mais ça assèche la gorge quand même, je risque de tousser encore un peu !
Puis je rigolai de bon cœur, évidemment, je n’étais pas sérieux. Heureusement, elle me certifia ne pas être offensée et j’avoue que ses paroles avaient quand même eu un peu le don de me rassurer. J’aurais potentiellement pu bouder un peu si jamais ça avait été le cas. Pas bouder contre elle bien sûr. Mais bon, la suite me laissa un peu songeur et j’avoue que sur le moment, je jouais un peu avec la fourchette dans mon assiette. Comme préoccupé l’espace de quelques secondes, un regard un peu plus sérieux que d’habitude probablement, difficile à dire face à un pancake qui ne me le confirmerait pas.
- Eh bien, il y a bien une personne… Je veux dire, je n’irais pas jusqu’à parler de sentiment profond ou bien que je sois in love. Juste, elle me déstabilise un peu. Mais c’est compliqué. En vrai, on a déjà tellement déménagé avec mon père que j’ai dû recommencer, encore et encore. Parce que les trucs à distance, c’est juste bon à souffrir, surtout quand ni l’un, ni l’autre n’a les moyens de se déplacer. Du coup, finir célibataire du jour au lendemain, j’ai un peu beaucoup donné déjà. C’est idiot je sais comme raison, peut-être même un peu égoïste. J’en ai juste marre de perdre tout du jour au lendemain c’est tout.
Puis vint la seconde partie, pour le coup, je retrouvai un peu le sourire. Franchement, je n’allais pas mentir et me faire passer pour ce que je ne suis pas. Alors en la fixant dans les yeux, j’avouai sur un ton détendu.
- Évidemment que j’ai peur quand il faut passer aux choses sérieuses. Je vais peut-être pas en donner l’air, mais au fond de moi, je suis quand même flippé. Pas de me prendre un râteau bien sûr, enfin un peu mais bon, ça va on y survit ! Je suppose que si on n’a pas un petit peu peur au fond, c’est qu’on ne tient pas franchement à l’autre personne. Après, c’est plus de la flippe que de la vraie peur ! Mais oui, un peu quand même. Tu n’as pas peur toi parfois ?
Elle m’avait posé la question, je pouvais bien la retourner. Les assiettes étaient presque finies et sa dernière réplique me laissa presque sans voix ! Non sans déconner ! Je veux dire, y avait une chance sur deux que ça arrive ! Donc… Non, je n’étais pas surpris, mais comment ne pas profiter d’une telle perche !
- Oh ! Je vois !
Ouais, je jouais le ton troublé et ajoutai en remarquant les assiettes vides.
- Dans ce cas, il serait peut-être plus judicieux d’y aller. Le repas était vraiment bon ! Enfin, repas…
Ouais, de là à dire que c’était équilibré. Je payai donc ma part ainsi que la part du défi comme convenu et me levai pour commencer à marcher, mais voyant qu’elle ne se levait pas, je revins à côté d’elle pour poser mon coude sur la table avec ma tête posée dessus, avec un petit sourire moqueur.
- Bah, tu viens ? Je suis déjà condamné selon tes dires ! Comme tu as dit, foutu pour foutu ! On a encore 50% à grapiller et j’ai besoin d’une complice pour ça ! Mais ce n’est vraiment pas « judicieux » pour notre ligne de rester ici en attendant !
Ouais, j’avais joué sur les mots et expliqué ce que je ne trouvais pas judicieux, en espérant ne pas lui avoir fait un ascenseur émotionnel trop intense. J’ajoutai sur un ton plus amical.
- Tu vas devoir me supporter encore, maintenant que tu as mis une pièce dans le jukebox, faut écouter la musique jusqu’au bout !
Je tendis mon poing vers elle en signe d’amitié pour qu’elle comprenne bien que je n’étais pas le genre à me défausser sous la menace d’un risque éventuel. Puis je savais que je ne ferais rien de mal et que ce n’est pas de moi qu’elle risquait d’être draguée, que ce soit par moi ou un autre. Je la protégerais si besoin pour préserver son couple.
- Ce ne serait pas un vrai défi si la solution te tombait tout cuit dans le bec !
Avant d’enfourner le morceau de la divine relique déjà entamée dans ma bouche. Peut-être que le choix des mots avait été voulu, quand il s’agissait de nourriture, je pouvais être aussi poétique qu’un grand penseur français du 17ème siècle ! Dommage que mon répertoire soit plus limité ensuite. J’avoue que la suite me prit un peu par surprise mais je ne le montrai pas à ce point non plus, je me contentai de l’observer par-dessus mes lunettes… Et donc je ne voyais plus grand-chose, mais ce n’était pas grave, c’était pour l’effet.
- Donc, je t’aurais déstabilisé à ce point ? Me fait pas regretter que tu ne sois pas célibataire, parce que j’aurais bien voulu voir ça juste par curiosité. Tu ne t’es pas franchement étouffé avec tes propres mots de mémoire.
J’en rajoutai en toussant volontairement un « Snu-snu » pour appuyer mes propos avant de boire pour dire sur un ton faussement surpris et peu crédible.
- C’est bon les gaufres, mais ça assèche la gorge quand même, je risque de tousser encore un peu !
Puis je rigolai de bon cœur, évidemment, je n’étais pas sérieux. Heureusement, elle me certifia ne pas être offensée et j’avoue que ses paroles avaient quand même eu un peu le don de me rassurer. J’aurais potentiellement pu bouder un peu si jamais ça avait été le cas. Pas bouder contre elle bien sûr. Mais bon, la suite me laissa un peu songeur et j’avoue que sur le moment, je jouais un peu avec la fourchette dans mon assiette. Comme préoccupé l’espace de quelques secondes, un regard un peu plus sérieux que d’habitude probablement, difficile à dire face à un pancake qui ne me le confirmerait pas.
- Eh bien, il y a bien une personne… Je veux dire, je n’irais pas jusqu’à parler de sentiment profond ou bien que je sois in love. Juste, elle me déstabilise un peu. Mais c’est compliqué. En vrai, on a déjà tellement déménagé avec mon père que j’ai dû recommencer, encore et encore. Parce que les trucs à distance, c’est juste bon à souffrir, surtout quand ni l’un, ni l’autre n’a les moyens de se déplacer. Du coup, finir célibataire du jour au lendemain, j’ai un peu beaucoup donné déjà. C’est idiot je sais comme raison, peut-être même un peu égoïste. J’en ai juste marre de perdre tout du jour au lendemain c’est tout.
Puis vint la seconde partie, pour le coup, je retrouvai un peu le sourire. Franchement, je n’allais pas mentir et me faire passer pour ce que je ne suis pas. Alors en la fixant dans les yeux, j’avouai sur un ton détendu.
- Évidemment que j’ai peur quand il faut passer aux choses sérieuses. Je vais peut-être pas en donner l’air, mais au fond de moi, je suis quand même flippé. Pas de me prendre un râteau bien sûr, enfin un peu mais bon, ça va on y survit ! Je suppose que si on n’a pas un petit peu peur au fond, c’est qu’on ne tient pas franchement à l’autre personne. Après, c’est plus de la flippe que de la vraie peur ! Mais oui, un peu quand même. Tu n’as pas peur toi parfois ?
Elle m’avait posé la question, je pouvais bien la retourner. Les assiettes étaient presque finies et sa dernière réplique me laissa presque sans voix ! Non sans déconner ! Je veux dire, y avait une chance sur deux que ça arrive ! Donc… Non, je n’étais pas surpris, mais comment ne pas profiter d’une telle perche !
- Oh ! Je vois !
Ouais, je jouais le ton troublé et ajoutai en remarquant les assiettes vides.
- Dans ce cas, il serait peut-être plus judicieux d’y aller. Le repas était vraiment bon ! Enfin, repas…
Ouais, de là à dire que c’était équilibré. Je payai donc ma part ainsi que la part du défi comme convenu et me levai pour commencer à marcher, mais voyant qu’elle ne se levait pas, je revins à côté d’elle pour poser mon coude sur la table avec ma tête posée dessus, avec un petit sourire moqueur.
- Bah, tu viens ? Je suis déjà condamné selon tes dires ! Comme tu as dit, foutu pour foutu ! On a encore 50% à grapiller et j’ai besoin d’une complice pour ça ! Mais ce n’est vraiment pas « judicieux » pour notre ligne de rester ici en attendant !
Ouais, j’avais joué sur les mots et expliqué ce que je ne trouvais pas judicieux, en espérant ne pas lui avoir fait un ascenseur émotionnel trop intense. J’ajoutai sur un ton plus amical.
- Tu vas devoir me supporter encore, maintenant que tu as mis une pièce dans le jukebox, faut écouter la musique jusqu’au bout !
Je tendis mon poing vers elle en signe d’amitié pour qu’elle comprenne bien que je n’étais pas le genre à me défausser sous la menace d’un risque éventuel. Puis je savais que je ne ferais rien de mal et que ce n’est pas de moi qu’elle risquait d’être draguée, que ce soit par moi ou un autre. Je la protégerais si besoin pour préserver son couple.
- InvitéInvité
Junichi
Retrouvaille en tire-bouchon
24 Août
Un défi en bonne et due forme est toujours marqué par les « on peut » et « on ne peut pas », c'est la base. Ne pas le respecter, c'est mettre un pied dans la tombe. Et s'il continue va falloir sortir la pelle pour creuser.
« T'façon, c'était p-prévu dès le début ! Tu as compris que j'allais bouder les premiums froids et n'en voudrais plus, et que j'allais recommander la même chose »
Je le pointe du doigt avec les paupières à moitié-closes. Son estomac est intelligent, peut-être que le mien n'est pas assez fort pour le combattre. Je reste indétrônable par toutes mes connaissances. Peut-être le jour est-il venu.
« Eh bien, euh... je suis très sensible aux personnes drôles, attentionné, et comme c'est en partie à cause de mon couple, que je suis moins timide... t'aurais eu le version Nissa 1.0 alors que t'as en face de la 3.0 »
Le Snu-snu toussoté m'arrache un tel sourire que j'en ferme les yeux.
« Jamais de la vie ma moi 1.0 t'en aurait parlé ! »
Mon rire accompagne le sien. Autant ne pas se prendre la tête sur ce genre de sujets. Depuis que je fréquente Maya, j'ai appris à être plus ouverte, et surtout beaucoup patiente et compréhensive.
Alors quand il commence à me parler de son possible crush, je me fais plus attentive. Les déplacements dus au travail des parents, j'en ai eu l'habitude mais lui a l'air d'être totalement rôdé au point de vouloir renoncer à une possible relation.
« Vu qu'on est en pensionnat là, tu déménagerais quand même avec ton père ou tu continuerais ici jusqu'à la fin de tes études ? »
Parce que, si c'est le cas, ça lui laisse bien 2-3 ans pour faire évoluer cette relation. Je ne l'insinue pas mais c'est clair même en prenant juste au premier degré. Ou alors, faut être peut-être vachement vachement dans ce monde pour ne pas comprendre.
Peur ? Peur de perdre Maya ?
« C'est un peu compliqué, il y a encore quelques temps... pour moi, cette personne était une warrior. Intouchable. Sûre de ses sentiments. C'est juste que... c'est devenue compliqué depuis quelques jours, alors, oui, j'ai peur »
Je termine de profiter des mes pancakes, alors que Juni semble pressé de partir après ce que je lui ai avoué. Il paye sa part et je fais de même, mais je n'ai pas eu le temps de me lever de ma chaise, qu'il est de retour tout hypé d'être un funambule en haut d'un immeuble avec une rafale de vents.
« C'est fou comme avoir une cible sur la tête, ça ravive les âmes »
Je ne comprends pas trop pour quoi il insiste sur le mot judicieux, et ai l'impression d'être totalement à l'ouest sur le sous-entendu. Je laisse couler, j'espère que ce n'est rien d'important. Par contre, la phrase sur le Jukebox me fait sourire. Faut pas oublier que je suis fan de Marvel :
« Ok ! Après tout, c'est un peu trouble ton temps à vivre, Luis »
Je le check, et le suis jusqu'au café Mipig.
code by emme« T'façon, c'était p-prévu dès le début ! Tu as compris que j'allais bouder les premiums froids et n'en voudrais plus, et que j'allais recommander la même chose »
Je le pointe du doigt avec les paupières à moitié-closes. Son estomac est intelligent, peut-être que le mien n'est pas assez fort pour le combattre. Je reste indétrônable par toutes mes connaissances. Peut-être le jour est-il venu.
« Eh bien, euh... je suis très sensible aux personnes drôles, attentionné, et comme c'est en partie à cause de mon couple, que je suis moins timide... t'aurais eu le version Nissa 1.0 alors que t'as en face de la 3.0 »
Le Snu-snu toussoté m'arrache un tel sourire que j'en ferme les yeux.
« Jamais de la vie ma moi 1.0 t'en aurait parlé ! »
Mon rire accompagne le sien. Autant ne pas se prendre la tête sur ce genre de sujets. Depuis que je fréquente Maya, j'ai appris à être plus ouverte, et surtout beaucoup patiente et compréhensive.
Alors quand il commence à me parler de son possible crush, je me fais plus attentive. Les déplacements dus au travail des parents, j'en ai eu l'habitude mais lui a l'air d'être totalement rôdé au point de vouloir renoncer à une possible relation.
« Vu qu'on est en pensionnat là, tu déménagerais quand même avec ton père ou tu continuerais ici jusqu'à la fin de tes études ? »
Parce que, si c'est le cas, ça lui laisse bien 2-3 ans pour faire évoluer cette relation. Je ne l'insinue pas mais c'est clair même en prenant juste au premier degré. Ou alors, faut être peut-être vachement vachement dans ce monde pour ne pas comprendre.
Peur ? Peur de perdre Maya ?
« C'est un peu compliqué, il y a encore quelques temps... pour moi, cette personne était une warrior. Intouchable. Sûre de ses sentiments. C'est juste que... c'est devenue compliqué depuis quelques jours, alors, oui, j'ai peur »
Je termine de profiter des mes pancakes, alors que Juni semble pressé de partir après ce que je lui ai avoué. Il paye sa part et je fais de même, mais je n'ai pas eu le temps de me lever de ma chaise, qu'il est de retour tout hypé d'être un funambule en haut d'un immeuble avec une rafale de vents.
« C'est fou comme avoir une cible sur la tête, ça ravive les âmes »
Je ne comprends pas trop pour quoi il insiste sur le mot judicieux, et ai l'impression d'être totalement à l'ouest sur le sous-entendu. Je laisse couler, j'espère que ce n'est rien d'important. Par contre, la phrase sur le Jukebox me fait sourire. Faut pas oublier que je suis fan de Marvel :
« Ok ! Après tout, c'est un peu trouble ton temps à vivre, Luis »
Je le check, et le suis jusqu'au café Mipig.
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Aïe, elle m’avait percé à jour ! Mais malheureusement, j’étais un peu comme un Jack Sparrow pour ce qui s’agissait de la bouffe ! Impossible de savoir si j’avais plusieurs coups d’avance ou si j’improvisais en m’adaptant … Ou m’adaptant aussi ! Bref ! M’adaptant au fur et à mesure que la situation l’exigeait. Je lâchais donc un.
- Peut-être bien.
Enigmatique avec un sourire amusé, laissant exprès flotter le mystère pour ne pas trop en dire. J’écoutais la suite et je ne pouvais que comprendre. On évolue souvent dans nos relations amoureuses, grandissant sans même s’en rendre compte. Je crois que j’avais appris à moins être blessant de mon côté, plus retenu dans mon comportement blagueur et j’avais aussi pas mal pris conscience que tout ce qui fait rire n’est pas forcément drôle pour les autres. Donc, je ne pouvais qu’acquiescer en l’écoutant.
- Je vois, en soi, ta moitié t’aura quand même fait aller de l’avant. C’est plutôt bien ça, je trouve. Puis la confiance en soi, c’est vraiment important, sans quoi on se retrouve vite bloqué par tout et n’importe quoi.
Situation que je n’avais pas franchement connue. Mais en observant la jeune femme, je ne pouvais que la croire. Elle avait le physique de son caractère. Au premier abord, je me souviens avoir vraiment vu une fille timide et pas franchement courageuse. Ça lui avait donné un petit côté mignon même si je la préfère quand même comme elle était là. Ouverte et sociable !
- Possible, il aurait fallu que je rencontre Nissa-ssa 1.0 pour en être sûr. Dommage que je ne t’aie pas connue quand tu étais encore en Alpha alors ! Je suis arrivé après le patch ! Mais franchement, tu es bien comme tu es, ne doute jamais de ça !
Un sourire amusé et détendu, j’étais sincère et ce n’était pas une avance. Vraiment, je ne pouvais que lui confirmer qu’elle était bien comme elle était. Lorsqu’elle me demandait si je continuerais mes études à Kobe ou non, je répondis en haussant les épaules.
- Normalement, oui ! Normalement.
Ça en disait assez long pour comprendre que j’avais déjà connu la situation de penser que je resterais dans un endroit et qu’un déménagement inattendu cassait tout. Elle me parla de son couple ensuite et ce fut sur le trajet que je demandai d’un ton calme. Après avoir rigolé sans trop comprendre pourquoi elle m’appelait « Luis ».
- Tu sais, les histoires de couples, ce n’est jamais facile ! Mais parfois, il suffit simplement de trouver quelqu’un avec qui en parler, faire sortir tout ça. Si tu n’as pas quelqu’un de ton côté. Tu peux compter sur moi, je suis plutôt bon confident et je ne coûte pas cher en vrai ! Puis je sais aussi écouter quand il le faut ! Non pour de vrai ! Tiens vas-y, la promis je me tais ! Genre… là maintenant ! Vas-y je t’écoute… Dis-moi tous tes soucis ! Grand-frère Juni est là !
Il fallut vraiment que je mette ma main devant la bouche pour me taire enfin et le Mipig n’était pas si loin, si bien qu’une fois devant la devanture. Je lâchais sur un ton déçu…
- Quoi déjà ! Mais ce n’est pas juste ! Tu n’as pas le droit de t’en sortir comme ça…
Puis après un rire amusé, je lâchais sur un ton plus amical.
- Entrons et tu me raconteras toute l’histoire une fois dedans. J’aimerais comprendre pourquoi tu as peur exactement. Mais ne te sens pas obligée, dis-toi que c’est un peu comme chez la psy du campus, une oreille attentive et silenci… une oreille attentive quoi !
Je lui posais la main sur la tête d’un geste fraternel avant d’ouvrir la porte tel un gentleman avec un ton surjoué dans la langue britannique.
- My lady, si vous voulez bien vous donner la peine d’entrer ?
J’ajoutai avec humour une petite blague idiote.
- Tiens, pourquoi les cochons n’aiment-ils pas gaspiller la nourriture ? … Parce qu’ils sont trop gourmands pour faire du Co-cochonnage.
C'était nul ! Le ridicule ne tue pas heureusement !
- Peut-être bien.
Enigmatique avec un sourire amusé, laissant exprès flotter le mystère pour ne pas trop en dire. J’écoutais la suite et je ne pouvais que comprendre. On évolue souvent dans nos relations amoureuses, grandissant sans même s’en rendre compte. Je crois que j’avais appris à moins être blessant de mon côté, plus retenu dans mon comportement blagueur et j’avais aussi pas mal pris conscience que tout ce qui fait rire n’est pas forcément drôle pour les autres. Donc, je ne pouvais qu’acquiescer en l’écoutant.
- Je vois, en soi, ta moitié t’aura quand même fait aller de l’avant. C’est plutôt bien ça, je trouve. Puis la confiance en soi, c’est vraiment important, sans quoi on se retrouve vite bloqué par tout et n’importe quoi.
Situation que je n’avais pas franchement connue. Mais en observant la jeune femme, je ne pouvais que la croire. Elle avait le physique de son caractère. Au premier abord, je me souviens avoir vraiment vu une fille timide et pas franchement courageuse. Ça lui avait donné un petit côté mignon même si je la préfère quand même comme elle était là. Ouverte et sociable !
- Possible, il aurait fallu que je rencontre Nissa-ssa 1.0 pour en être sûr. Dommage que je ne t’aie pas connue quand tu étais encore en Alpha alors ! Je suis arrivé après le patch ! Mais franchement, tu es bien comme tu es, ne doute jamais de ça !
Un sourire amusé et détendu, j’étais sincère et ce n’était pas une avance. Vraiment, je ne pouvais que lui confirmer qu’elle était bien comme elle était. Lorsqu’elle me demandait si je continuerais mes études à Kobe ou non, je répondis en haussant les épaules.
- Normalement, oui ! Normalement.
Ça en disait assez long pour comprendre que j’avais déjà connu la situation de penser que je resterais dans un endroit et qu’un déménagement inattendu cassait tout. Elle me parla de son couple ensuite et ce fut sur le trajet que je demandai d’un ton calme. Après avoir rigolé sans trop comprendre pourquoi elle m’appelait « Luis ».
- Tu sais, les histoires de couples, ce n’est jamais facile ! Mais parfois, il suffit simplement de trouver quelqu’un avec qui en parler, faire sortir tout ça. Si tu n’as pas quelqu’un de ton côté. Tu peux compter sur moi, je suis plutôt bon confident et je ne coûte pas cher en vrai ! Puis je sais aussi écouter quand il le faut ! Non pour de vrai ! Tiens vas-y, la promis je me tais ! Genre… là maintenant ! Vas-y je t’écoute… Dis-moi tous tes soucis ! Grand-frère Juni est là !
Il fallut vraiment que je mette ma main devant la bouche pour me taire enfin et le Mipig n’était pas si loin, si bien qu’une fois devant la devanture. Je lâchais sur un ton déçu…
- Quoi déjà ! Mais ce n’est pas juste ! Tu n’as pas le droit de t’en sortir comme ça…
Puis après un rire amusé, je lâchais sur un ton plus amical.
- Entrons et tu me raconteras toute l’histoire une fois dedans. J’aimerais comprendre pourquoi tu as peur exactement. Mais ne te sens pas obligée, dis-toi que c’est un peu comme chez la psy du campus, une oreille attentive et silenci… une oreille attentive quoi !
Je lui posais la main sur la tête d’un geste fraternel avant d’ouvrir la porte tel un gentleman avec un ton surjoué dans la langue britannique.
- My lady, si vous voulez bien vous donner la peine d’entrer ?
J’ajoutai avec humour une petite blague idiote.
- Tiens, pourquoi les cochons n’aiment-ils pas gaspiller la nourriture ? … Parce qu’ils sont trop gourmands pour faire du Co-cochonnage.
C'était nul ! Le ridicule ne tue pas heureusement !
- InvitéInvité
Junichi
Retrouvaille en tire-bouchon
24 Août
Mes paupières sont sur le point de se fermer alors que mes joues se lèvent pour frôler mes cils. Il est trop fourbe pour moi... j'abdique. Je ne vais même pas essayer de le devancer. Le seul truc que je peux faire, c'est foncer dans le mur. Il ne s'y attendra pas, aha !
« Ma moitié et mes meilleures amies, oui. Je suis bien d'accord avec ça, c'était chaotique comme manière de vivre »
Les jours précédents m'avaient également fait prendre en maturité. C'était juste si brutal que j'avais eu l'impression d'avoir pris dix ans... alors qu'il ne m'est rien arrivé directement. Je suis la passive dans cette histoire, mais ça suffit.
« L'early acces s'est terminé en janvier, et la version officielle est sorti. Plein de patchs, plein de skins gratuits, des nouveaux compagnons Caniformia, des montures en forme de chat et bien plus ! »
Il me sort une phrase digne de la pensée positive, mais je ne réplique pas, parce qu'au fond de moi-même, je sais que je ne suis pas assez bien. Je suppose que j'ai beaucoup de choses qui clochent, sur lesquels je dois travailler dessus.
Son normalement prenait tout le poids sur ces petites lettres. Dans la tête, il prend une voix digne d'une petite veille qui radote sur ses amours de jeunesse, et m'incite à parler des miens. Même avec les filles, j'en disais pas tant. Faut dire que ma relation est compliqué et Juni ne sait pas se taire.
Dans la bonne humeur on arrive devant la façade de Mipig, qui est plutôt clair au niveau de son contenu. Je ne peux pas m'empêcher de pouffer au mute infligué à sa personne.
« On peut en parler si tu veux, mais y a pas grand chose à dire »
Alors qu'on arrive à la porte sur un « My lady » bien ridicule. À peine entrée, une employée nous fait nous déchausser et enfiler des claquettes. Elle nous donne un questionnaire auquel on doit répondre pour la sécurité des pitits potits cochons.
Je lui donne un coup de coude dans les côtes pour sa blague offensante, et continue de remplir la fiche. Une fois fait, elle nous apprend qu'un créneau en chambre privée est disponible. Je lui précise qu'on vient en couple, même si ça ne tient pas bien la route.
L'employée sourit et nous guide vers la salle.
Et là... Quatre tous petits cochons nous attendent. Ils sont tellement mignons, j'ai envie de m'allonger par terre et les laisser me grimper dessus en faisant le groin groin. Mh, tais-toi cerveau, comporte comme une fille parfaitement saine.
L'employée nous explique qu'on avait pas les bases, et nous fait un check sur le comportement à avoir.
« Juni, regarde, on est arrivé au paradis ! »
L'employée nous laisse. On a pris pour une heure, comme c'était un entre deux, on ne pouvait pas rester plus longtemps. Je m'assois donc par terre, et met un petit plaid sur mes genoux.
Et là... c'est la ruée de petites bêtes qui m'escalade, mort mes vêtements, et font groin groin. Je lève des yeux embués de larmes vers Juni...
« T'as intérêt à trouver un plan pour s'enfuir avec ! »
C'est décidé, je ne partirais pas sans, eux.
code by emme« Ma moitié et mes meilleures amies, oui. Je suis bien d'accord avec ça, c'était chaotique comme manière de vivre »
Les jours précédents m'avaient également fait prendre en maturité. C'était juste si brutal que j'avais eu l'impression d'avoir pris dix ans... alors qu'il ne m'est rien arrivé directement. Je suis la passive dans cette histoire, mais ça suffit.
« L'early acces s'est terminé en janvier, et la version officielle est sorti. Plein de patchs, plein de skins gratuits, des nouveaux compagnons Caniformia, des montures en forme de chat et bien plus ! »
Il me sort une phrase digne de la pensée positive, mais je ne réplique pas, parce qu'au fond de moi-même, je sais que je ne suis pas assez bien. Je suppose que j'ai beaucoup de choses qui clochent, sur lesquels je dois travailler dessus.
Son normalement prenait tout le poids sur ces petites lettres. Dans la tête, il prend une voix digne d'une petite veille qui radote sur ses amours de jeunesse, et m'incite à parler des miens. Même avec les filles, j'en disais pas tant. Faut dire que ma relation est compliqué et Juni ne sait pas se taire.
Dans la bonne humeur on arrive devant la façade de Mipig, qui est plutôt clair au niveau de son contenu. Je ne peux pas m'empêcher de pouffer au mute infligué à sa personne.
« On peut en parler si tu veux, mais y a pas grand chose à dire »
Alors qu'on arrive à la porte sur un « My lady » bien ridicule. À peine entrée, une employée nous fait nous déchausser et enfiler des claquettes. Elle nous donne un questionnaire auquel on doit répondre pour la sécurité des pitits potits cochons.
Je lui donne un coup de coude dans les côtes pour sa blague offensante, et continue de remplir la fiche. Une fois fait, elle nous apprend qu'un créneau en chambre privée est disponible. Je lui précise qu'on vient en couple, même si ça ne tient pas bien la route.
L'employée sourit et nous guide vers la salle.
Et là... Quatre tous petits cochons nous attendent. Ils sont tellement mignons, j'ai envie de m'allonger par terre et les laisser me grimper dessus en faisant le groin groin. Mh, tais-toi cerveau, comporte comme une fille parfaitement saine.
L'employée nous explique qu'on avait pas les bases, et nous fait un check sur le comportement à avoir.
« Juni, regarde, on est arrivé au paradis ! »
L'employée nous laisse. On a pris pour une heure, comme c'était un entre deux, on ne pouvait pas rester plus longtemps. Je m'assois donc par terre, et met un petit plaid sur mes genoux.
Et là... c'est la ruée de petites bêtes qui m'escalade, mort mes vêtements, et font groin groin. Je lève des yeux embués de larmes vers Juni...
« T'as intérêt à trouver un plan pour s'enfuir avec ! »
C'est décidé, je ne partirais pas sans, eux.
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
C’était un peu comme pour tout en réalité, les autres nous aident souvent à aller de l’avant ! Tant qu’on n’évolue pas pour leur convenir mais bel et bien pour être plus en accord avec soi-même surtout. C’était un piège et j’avais vu pas mal de personnes changer justement par besoin d’affection plus qu’autre chose. Mais pour Nissa, ça n’avait vraiment pas l’air d’être le cas ! Cela dit, ça me faisait plaisir pour elle en vérité d’apprendre ça. Je riais d’ailleurs avec amusement sur la suite, au moins, elle ne prenait pas tout ce que je disais au sérieux et ça j’adorais, ça me donnait la sensation que je pouvais vraiment me lâcher un peu plus. Enfin… J’étais quand même assez curieux de la voir bouder un jour !
Nous arrivions au Mipig et j’observais l’endroit pendant que Nissa s’occupait des détails administratifs. Au moins, sur ce point, on paraissait crédibles comme couple ! J’avoue que si j’avais quelqu’un qui s’entichait de moi un jour, il faudrait vraiment que ce soit quelqu’un qui s’occupe de tout ce genre de détails car j’étais juste très nul ! Soit je marquais n’importe quoi, soit j’étais paumé. Bon sang, la vie d’adulte me faisait déjà si peur sur ce point !
Après quoi, nous entrions dans notre espace privé pour l’heure, une petite heure, ça passerait si vite en compagnie de tant de petites bouilles ! Nissa avait d’ailleurs craqué plus rapidement que moi et était déjà au sol avec quelques petits cochons miniatures qui venaient sur elle.
- J’imagine le paradis avec un peu plus de fontaines de chocolat quand même !
Ouais bon, c’est vrai, le paradis, ce n’est pas juste des Lardons, littéralement, sur pattes. Même si j’avoue que je craquais complètement dessus aussi et que je rejoignais la jeune femme sur un coussin à mon tour. Les petites créatures venaient alors à ma rencontre et j’étais à mon tour en mode craquage complet !
- Bon tant pis pour le chocolat, j’en veux un moi aussi !
J’ajoutais à la réplique de Nissa.
- Bah t’en caches un sous tes vêtements et tu fais genre que tu attends un enfant et qu’elle ne l’a pas vu avant, ce sera peut-être même pas la même personne ! Moi de mon côté, je me charge des distractions et une fois dehors, tu auras ton petit cochon ! Pour les autres, il faudra revenir, on ne pourra pas tous les libérer en une fois !
Puis je riais d’un rire presque faussement machiavélique avant de caresser un petit cochon devant moi. Il était trop mignon en plus et en l’observant, je lâchais sur un ton songeur en le montrant à Nissa.
- Tu ne trouves pas qu’il a une tête à s’appeler Justin Bridou* ?
Puis je riais à nouveau avant de me tourner vers la table au moment où une serveuse venait nous apporter nos menus. Deux boissons chaudes au choix et des donuts de toutes tailles avec plusieurs goûts et la forme du Mipig. Bon les cochons, je vous adore mais là, le ventre me rappelait déjà mes obligations premières ! J’observais Nissa et proposais un petit jeu.
Bon je te propose un truc, tu me parles de ce qu’on a dit dehors et ensuite, je t’autorise la question de ton choix ! Promis, je répondrai, enfin, je me permets un petit joker quand même, mais un seul !
Je souriais avant d’avoir un regard plus sérieux et détendu.
- Non sincèrement, qu’est-ce qu’il y a exactement pour que tu aies peur ? Après, je ne te force pas, mais n’hésite pas si tu as besoin de parler, sinon, on change de sujet, ne t’inquiète pas ! D'ailleurs, c'est qui cette fameuse moitié ? Peut-être que je la connais.
Je faisais signe de ma main, comme si je fermais une fermeture éclair sur ma bouche afin de signifier que je ne dirais rien… pour au moins un petit moment ! Tout en lui tendant un donut.
Nous arrivions au Mipig et j’observais l’endroit pendant que Nissa s’occupait des détails administratifs. Au moins, sur ce point, on paraissait crédibles comme couple ! J’avoue que si j’avais quelqu’un qui s’entichait de moi un jour, il faudrait vraiment que ce soit quelqu’un qui s’occupe de tout ce genre de détails car j’étais juste très nul ! Soit je marquais n’importe quoi, soit j’étais paumé. Bon sang, la vie d’adulte me faisait déjà si peur sur ce point !
Après quoi, nous entrions dans notre espace privé pour l’heure, une petite heure, ça passerait si vite en compagnie de tant de petites bouilles ! Nissa avait d’ailleurs craqué plus rapidement que moi et était déjà au sol avec quelques petits cochons miniatures qui venaient sur elle.
- J’imagine le paradis avec un peu plus de fontaines de chocolat quand même !
Ouais bon, c’est vrai, le paradis, ce n’est pas juste des Lardons, littéralement, sur pattes. Même si j’avoue que je craquais complètement dessus aussi et que je rejoignais la jeune femme sur un coussin à mon tour. Les petites créatures venaient alors à ma rencontre et j’étais à mon tour en mode craquage complet !
- Bon tant pis pour le chocolat, j’en veux un moi aussi !
J’ajoutais à la réplique de Nissa.
- Bah t’en caches un sous tes vêtements et tu fais genre que tu attends un enfant et qu’elle ne l’a pas vu avant, ce sera peut-être même pas la même personne ! Moi de mon côté, je me charge des distractions et une fois dehors, tu auras ton petit cochon ! Pour les autres, il faudra revenir, on ne pourra pas tous les libérer en une fois !
Puis je riais d’un rire presque faussement machiavélique avant de caresser un petit cochon devant moi. Il était trop mignon en plus et en l’observant, je lâchais sur un ton songeur en le montrant à Nissa.
- Tu ne trouves pas qu’il a une tête à s’appeler Justin Bridou* ?
Puis je riais à nouveau avant de me tourner vers la table au moment où une serveuse venait nous apporter nos menus. Deux boissons chaudes au choix et des donuts de toutes tailles avec plusieurs goûts et la forme du Mipig. Bon les cochons, je vous adore mais là, le ventre me rappelait déjà mes obligations premières ! J’observais Nissa et proposais un petit jeu.
Bon je te propose un truc, tu me parles de ce qu’on a dit dehors et ensuite, je t’autorise la question de ton choix ! Promis, je répondrai, enfin, je me permets un petit joker quand même, mais un seul !
Je souriais avant d’avoir un regard plus sérieux et détendu.
- Non sincèrement, qu’est-ce qu’il y a exactement pour que tu aies peur ? Après, je ne te force pas, mais n’hésite pas si tu as besoin de parler, sinon, on change de sujet, ne t’inquiète pas ! D'ailleurs, c'est qui cette fameuse moitié ? Peut-être que je la connais.
Je faisais signe de ma main, comme si je fermais une fermeture éclair sur ma bouche afin de signifier que je ne dirais rien… pour au moins un petit moment ! Tout en lui tendant un donut.
- *:
- Evidement, c'est pour la blague, considère simplement que Juni donne le nom de l'équivalent d'une marque de charcuterie/saucisson au Japon !
- InvitéInvité
Junichi
Retrouvaille en tire-bouchon
24 Août
Aaaaaaaaah. Je n'aurais jamais pensé à prendre un bain de cochon si agréable. Il mâchonne mes vêtements, mais comme je suis venue avec ma vielle salopette, je ne risque pas grand chose. Puis le groin poutch poutch qui font avec leur bouche, holalala !
« Les fontaines de chocolat, tellement surcoté »
Quand il dit en vouloir un aussi, je sers mes trois petits cochons contre moi, lui laissant celui hors de ma zone d'action. Le bruit qu'il font avec le bouche ont le même effet sur moi, que le ronronnement des chats.
La dame qui nous avait accueilli, et nous avait donner plusieurs informations comme quoi ils ne connaissent pas le sentiment de satiété, ce qui les pousse à mâchonner tout et n'importe quoi ! Aussi, qu'ils sont des bébés micro-cochons !
« Mais ! Si tu te fais passer pour enceinte, on pourra en récupérer deux ! »
L'employée nous a demandés de faire attention à ce qu'il ne creuse pas la petite porte en bois, parce qu'ils aiment beaucoup creuser, alors tout y passe de fragile. Et aussi que les micro-cochon ont une température plus haut nous, alors fais vite chaud avec eux sur nous.
« Huuuuum. Il a bien une tête à s'appeller Ju... Junichi Yasuhisa. »
Je lui pousse la langue alors que l'employée nous ramène nos donuts et nos boissons. La table est suffisamment basses pour qu'on puisse manger dessus, sans que ce soit à portée des micro-cochons. D'ailleurs, elle a cité leur nom, Hinata-chan... Momoki-chan, et j'ai une doute sur les deux derniers.
Junichi ne perd pas le Nord. Il revient à l'attaque avec sa question à un million. Lui aussi, a dit avoir peur alors pourquoi ça l'intrigue tant que ça cette question ? Et comment je peux lui dire que je sors avec Maya, on s'était dit d'en parler qu'à nos proches.
« C'était quoi au juste déjà la question ? Parce que même si j'ai peur, tu as dit que toi aussi, non ? »
Ou alors, je suis totalement perdue, pouêt.
code by emme« Les fontaines de chocolat, tellement surcoté »
Quand il dit en vouloir un aussi, je sers mes trois petits cochons contre moi, lui laissant celui hors de ma zone d'action. Le bruit qu'il font avec le bouche ont le même effet sur moi, que le ronronnement des chats.
La dame qui nous avait accueilli, et nous avait donner plusieurs informations comme quoi ils ne connaissent pas le sentiment de satiété, ce qui les pousse à mâchonner tout et n'importe quoi ! Aussi, qu'ils sont des bébés micro-cochons !
« Mais ! Si tu te fais passer pour enceinte, on pourra en récupérer deux ! »
L'employée nous a demandés de faire attention à ce qu'il ne creuse pas la petite porte en bois, parce qu'ils aiment beaucoup creuser, alors tout y passe de fragile. Et aussi que les micro-cochon ont une température plus haut nous, alors fais vite chaud avec eux sur nous.
« Huuuuum. Il a bien une tête à s'appeller Ju... Junichi Yasuhisa. »
Je lui pousse la langue alors que l'employée nous ramène nos donuts et nos boissons. La table est suffisamment basses pour qu'on puisse manger dessus, sans que ce soit à portée des micro-cochons. D'ailleurs, elle a cité leur nom, Hinata-chan... Momoki-chan, et j'ai une doute sur les deux derniers.
Junichi ne perd pas le Nord. Il revient à l'attaque avec sa question à un million. Lui aussi, a dit avoir peur alors pourquoi ça l'intrigue tant que ça cette question ? Et comment je peux lui dire que je sors avec Maya, on s'était dit d'en parler qu'à nos proches.
« C'était quoi au juste déjà la question ? Parce que même si j'ai peur, tu as dit que toi aussi, non ? »
Ou alors, je suis totalement perdue, pouêt.
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Non mais franchement, regardez-moi la bouille qu’ils ont ! Comment ne pas craquer ? En plus, ils étaient encore plus petits que je l’avais imaginé, et on les avait affublés pour certains de petits accoutrements qu’on pourrait qualifier de ridicules ! Mais là, comme c’étaient des petites bouilles trop mignonnes, bah c’était des accoutrements trop chou !
Bref, revenons à nos coch… à nos moutons ! Elle avait qualifié de sous-estimé mon besoin d’avoir une fontaine de chocolat au paradis. Mouais ! On en reparle le jour où elle en voit une en vrai. Le chocolat fondu coulant et n’attendant qu’un bol pour être mangé ! Puis, elle en rajouta une couche à mon idée et je ne pus m’empêcher de renchérir.
- Oui ! Au pire, s’ils ont un doute, on leur dira que j’ai du sang d’hippocampe. Non mais sérieux ! Ça ne marchera pas comme ça, va falloir que tu te dévoues ! Puis entre nous, je ferais une maman horrible. Sérieux, je mange tellement que mon bébé viendrait au monde avec 6 kilogrammes d’un coup.
C’était… pas impossible. Mais bon, déjà le simple fait d’imaginer une possible grossesse était saugrenu. Oh tiens, un cochon nommé Junichi, mais oui ! Je valide et je hochais la tête avec amusement, elle n’avait pas choisi le lardon le plus fumé du terroir pour lui donner mon nom, c’était déjà ça, vu qu'il était vraiment tout mimi le petit Junichi. Oh… mais je rêve ou il a une tenue de lapin celui-là qui passe là ? De façon incontrôlable, j’étais pris d’un rire vraiment hilare avant de montrer le cochon.
- Celui-là, il me fait penser à une étudiante que j’ai vue deux fois. Avec une peluche en forme de lapin, Miss Lapine que je l'appelle comme je ne connais pas son prénom. Mais pour le coup, ça sonne bien.
Je saisis le cochon pour lui montrer avant d’ajouter sur un ton moqueur mais sans vraiment le penser... quoi que. Enfin, c'était pas dit sur le ton de la méchanceté quoi !
- Puis entre nous, c’est une vraie tête de cochon en plus !
Je revenais sur le vif du sujet. C’est vrai que Miss Lapin, qui passait par là, m’avait un peu déconcentré. Bon, je comprenais que Nissa ne veuille pas parler de ses soucis de couple. Elle était probablement pas là pour ça. Puis je me souvenais que dans la grotte, enfin sur le kayak, ça semblait être un sujet sensible. Alors je lâchais, un peu peiné car je craignais peut-être de l’avoir offensée.
- Non t’inquiète, message reçu. Je ne chercherai pas à en savoir plus tant que tu ne seras pas décidée à m’en parler alors !
Ouais, j’avais un peu pris son incompréhension comme une banale tentative d’esquive du sujet. Mais bon, ça y ressemblait quand même. D’un regard détendu, je proposais en voyant la série de donuts de tous les goûts sur la table. Un petit jeu, certes pas le plus amusant, mais le plus intéressant.
- Bon, on va jouer à un jeu. Chacun de nous va poser une question, du style « Tu n’as jamais… », et choisir un truc au hasard. Si l’autre l’a fait, il doit manger un donut ! Bien évidemment, pas de triche, il faut être honnête. Ça te dit ? Genre, « Tu n’as jamais fait le mur après le couvre-feu » ? Comme je suis bon et magnanime, je te laisse choisir la sentence pour le perdant, à savoir celui qui en aura mangé le plus !
Bref, revenons à nos coch… à nos moutons ! Elle avait qualifié de sous-estimé mon besoin d’avoir une fontaine de chocolat au paradis. Mouais ! On en reparle le jour où elle en voit une en vrai. Le chocolat fondu coulant et n’attendant qu’un bol pour être mangé ! Puis, elle en rajouta une couche à mon idée et je ne pus m’empêcher de renchérir.
- Oui ! Au pire, s’ils ont un doute, on leur dira que j’ai du sang d’hippocampe. Non mais sérieux ! Ça ne marchera pas comme ça, va falloir que tu te dévoues ! Puis entre nous, je ferais une maman horrible. Sérieux, je mange tellement que mon bébé viendrait au monde avec 6 kilogrammes d’un coup.
C’était… pas impossible. Mais bon, déjà le simple fait d’imaginer une possible grossesse était saugrenu. Oh tiens, un cochon nommé Junichi, mais oui ! Je valide et je hochais la tête avec amusement, elle n’avait pas choisi le lardon le plus fumé du terroir pour lui donner mon nom, c’était déjà ça, vu qu'il était vraiment tout mimi le petit Junichi. Oh… mais je rêve ou il a une tenue de lapin celui-là qui passe là ? De façon incontrôlable, j’étais pris d’un rire vraiment hilare avant de montrer le cochon.
- Celui-là, il me fait penser à une étudiante que j’ai vue deux fois. Avec une peluche en forme de lapin, Miss Lapine que je l'appelle comme je ne connais pas son prénom. Mais pour le coup, ça sonne bien.
Je saisis le cochon pour lui montrer avant d’ajouter sur un ton moqueur mais sans vraiment le penser... quoi que. Enfin, c'était pas dit sur le ton de la méchanceté quoi !
- Puis entre nous, c’est une vraie tête de cochon en plus !
Je revenais sur le vif du sujet. C’est vrai que Miss Lapin, qui passait par là, m’avait un peu déconcentré. Bon, je comprenais que Nissa ne veuille pas parler de ses soucis de couple. Elle était probablement pas là pour ça. Puis je me souvenais que dans la grotte, enfin sur le kayak, ça semblait être un sujet sensible. Alors je lâchais, un peu peiné car je craignais peut-être de l’avoir offensée.
- Non t’inquiète, message reçu. Je ne chercherai pas à en savoir plus tant que tu ne seras pas décidée à m’en parler alors !
Ouais, j’avais un peu pris son incompréhension comme une banale tentative d’esquive du sujet. Mais bon, ça y ressemblait quand même. D’un regard détendu, je proposais en voyant la série de donuts de tous les goûts sur la table. Un petit jeu, certes pas le plus amusant, mais le plus intéressant.
- Bon, on va jouer à un jeu. Chacun de nous va poser une question, du style « Tu n’as jamais… », et choisir un truc au hasard. Si l’autre l’a fait, il doit manger un donut ! Bien évidemment, pas de triche, il faut être honnête. Ça te dit ? Genre, « Tu n’as jamais fait le mur après le couvre-feu » ? Comme je suis bon et magnanime, je te laisse choisir la sentence pour le perdant, à savoir celui qui en aura mangé le plus !
- InvitéInvité
Junichi
Retrouvaille en tire-bouchon
24 Août
Je vais bientôt m’envoler sur un cochon ailé vers le paradis des micro-cochon, leur tchuk tchuk nous guidant sur le chemin du bo... si Juni ne m'avait pas fait atterrir en catastrophe dans cette histoire de d'hippocampe impossible, je serais encore à voguer dans dans le bonheur.
« Tu fais aucun effort, sérieux. … mais ouais, c'est chaud qu'il faut faire attention... JAMAIS de la vie je supporterais ça 9 mois. Déjà une journée, ce serait compliqué... brrr ! »
Je me laisse tomber sur le dos, les micro-cochons prenant place sur moi, et semblent s'installer pour dodoter. Mais s'ils dodotent, on entendra plus leur tchuk tchuk ! Alors quand la garçon commence à me parler de Maya tranquille, pépouze, je me redresse en tenant les cochons.
« Tu connais Maya ?! Comment t'as survécu ? »
Il n'a pas l'air d'avoir de ressentiment envers elle, ou le moindre traumatisme à l'évocation de Mr Lapin. C'est presque du jamais vu ! En général, les gens sont mal à l'aise de parler d'elle, en se souvenant justement de son caractère de cochon.
Maintenant qu'il l'évoque, qu'il la connaît, et que je lui fais extrêmement confiance même si on se connaît si peu – il a tout de même sauté après moi, j'hésite à enchaîner dessus. Je sors un dès de ma poche, et le fait rouler sur la table hors de portée des cochons pendant qu'il parle d'un jeu :
Pair oui, impair non. Il roulerouleroule jusqu'à s'arrêter sur le... deux.
« C'est ma petite amie »
Je crois qu'avec cette révélation, va casser tout son délire sur le jeu, du « tu n'as jamais » J'ai les joues qui chauffent d'avoir balancé cette information de but en blanc... je repense à ce qu'il disait sur le jeu et pour ne pas créer de malaise, je proteste :
« C'est pas perdu si on en mange le plus ! »
code by emme« Tu fais aucun effort, sérieux. … mais ouais, c'est chaud qu'il faut faire attention... JAMAIS de la vie je supporterais ça 9 mois. Déjà une journée, ce serait compliqué... brrr ! »
Je me laisse tomber sur le dos, les micro-cochons prenant place sur moi, et semblent s'installer pour dodoter. Mais s'ils dodotent, on entendra plus leur tchuk tchuk ! Alors quand la garçon commence à me parler de Maya tranquille, pépouze, je me redresse en tenant les cochons.
« Tu connais Maya ?! Comment t'as survécu ? »
Il n'a pas l'air d'avoir de ressentiment envers elle, ou le moindre traumatisme à l'évocation de Mr Lapin. C'est presque du jamais vu ! En général, les gens sont mal à l'aise de parler d'elle, en se souvenant justement de son caractère de cochon.
Maintenant qu'il l'évoque, qu'il la connaît, et que je lui fais extrêmement confiance même si on se connaît si peu – il a tout de même sauté après moi, j'hésite à enchaîner dessus. Je sors un dès de ma poche, et le fait rouler sur la table hors de portée des cochons pendant qu'il parle d'un jeu :
Pair oui, impair non. Il roulerouleroule jusqu'à s'arrêter sur le... deux.
« C'est ma petite amie »
Je crois qu'avec cette révélation, va casser tout son délire sur le jeu, du « tu n'as jamais » J'ai les joues qui chauffent d'avoir balancé cette information de but en blanc... je repense à ce qu'il disait sur le jeu et pour ne pas créer de malaise, je proteste :
« C'est pas perdu si on en mange le plus ! »
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Difficile de me faire une opinion de ce que ça pouvait être. J’imaginais plus ça comme une sorte de ballonnement étalé sur 9 mois, avec différents niveaux au cours de l’avancement. On passait d’un petit fast-food mal passé sur les premiers mois à un resto à volonté abusé sur les derniers en gros. On payait l’addition sans même avoir pu passer à table avant en plus… Enfin, si, d’une certaine manière, mais ça ce n’est pas une histoire pour les enfants !
- J’imagine bien, oui, mais là, tu devras supporter ça pendant quoi … 15 minutes avant d’avoir un petit cochon rien qu'à toi.
Non, je ne l’incite pas à avoir des enfants, bien sûr ! Juste une petite bouille présente ici, ils ne remarqueront même pas son absence en plus ! Non mais c’est vrai, elle peut bien faire un petit sacrifice pour la bonne cause ! Enfin, bref, la discussion reprenait de toute façon. Dommage, mais nous avions une heure pour encore réfléchir à un plan.
Oh, elle s’appelait Maya, donc ? Mais attend, ne faut pas non plus exagérer, elle n’est pas si terrible en vrai. Presque amusante et marrante par moment. J’avais dit que c’était une tête de cochon, mais sans franchement le dire au sérieux en vrai ! Mais de là à parler de survivre, quand même. Attend quoooooiiiiii !
Je crois, pour une des rares fois dans ma vie, j’avais purement et simplement arrêté de penser ! Le choc de la révélation me laissant un petit moment sur le carreau, je l’observais avec un regard qui ne savait pas se décider entre surprise, peine et respect. Elle avait bien dit ce que j’avais cru entendre qu’elle n’avait pas dit ! … Ah purée, j’arrive même plus à formuler ma pensée correctement !
- Euh … Ahem !
Ouais, je pense que j’avais voulu dire quelque chose là, mais… échec critique. Je me levai doucement et m’approchai de la porte du salon en l’ouvrant, parlant avec la serveuse.
- Dites, est-ce possible de commander ce que vous avez de meilleur ? .... Oui, ça ira, merci !
Elle me proposa rapidement des Melon Pan, une sorte de pain brioché sucré proche du cookie sur le dessus, parfait vu l'heure qu'il était et puis c'était réellement délicieux. La réaction de la serveuse m’amusa d’ailleurs lorsqu’elle lâcha après m'avoir donné l'assiette avec quelques pain dessus.
- Eh bien, vous avez décidé de la gâter.
- Oui, actuellement, je n’ai d’yeux que pour elle !
Avec un petit sourire et un ton enjoué, seul Nissa comprendrait la blague. Je revins ensuite à son niveau après avoir fermé la porte. Plus rien n’avait d’importance là. Ni les cochons, ni la nourriture, ni le reste ! Là, il fallait que je sache, et qu’elle me raconte tout. Elle ne pouvait pas lâcher une bombe comme ça et s’arrêter à mi-chemin. Je posai les melon pan sur la petite table et poussai les deux assiettes, celle avec les donuts compris, vers Nissa d’un geste quasi religieusement exagéré avant de m’installer confortablement face à elle, la tête posée sur mes mains et le regard pétillant de curiosité avec un petit sourire pour couronné le tout.
- Explique-moi tout ça !
Une phrase de moins de 5 mots, un don de nourriture complètement désintéressé pour qu’elle se sente plus à l’aise... ou peut-être par pur soutien. Pas de doute, elle ne verra cela qu’une seule fois dans sa vie. J’attendais d’en savoir plus : comment elles se sont connues, comment c’était parti entre elles, et j’en passe ! Parce que là, j’avais beau avoir une imagination assez étendue, je crois que j’étais incapable d’imaginer ne serait-ce qu’un début de scénario possible où une Nissa et une Maya finiraient ensemble. Sans être méchant, bien sûr. C’était juste qu’entre la prétendue timidité dont avait fait preuve Nissa par le passé et le caractère de Maya… difficile de se faire une idée.
- J’imagine bien, oui, mais là, tu devras supporter ça pendant quoi … 15 minutes avant d’avoir un petit cochon rien qu'à toi.
Non, je ne l’incite pas à avoir des enfants, bien sûr ! Juste une petite bouille présente ici, ils ne remarqueront même pas son absence en plus ! Non mais c’est vrai, elle peut bien faire un petit sacrifice pour la bonne cause ! Enfin, bref, la discussion reprenait de toute façon. Dommage, mais nous avions une heure pour encore réfléchir à un plan.
Oh, elle s’appelait Maya, donc ? Mais attend, ne faut pas non plus exagérer, elle n’est pas si terrible en vrai. Presque amusante et marrante par moment. J’avais dit que c’était une tête de cochon, mais sans franchement le dire au sérieux en vrai ! Mais de là à parler de survivre, quand même. Attend quoooooiiiiii !
Je crois, pour une des rares fois dans ma vie, j’avais purement et simplement arrêté de penser ! Le choc de la révélation me laissant un petit moment sur le carreau, je l’observais avec un regard qui ne savait pas se décider entre surprise, peine et respect. Elle avait bien dit ce que j’avais cru entendre qu’elle n’avait pas dit ! … Ah purée, j’arrive même plus à formuler ma pensée correctement !
- Euh … Ahem !
Ouais, je pense que j’avais voulu dire quelque chose là, mais… échec critique. Je me levai doucement et m’approchai de la porte du salon en l’ouvrant, parlant avec la serveuse.
- Dites, est-ce possible de commander ce que vous avez de meilleur ? .... Oui, ça ira, merci !
Elle me proposa rapidement des Melon Pan, une sorte de pain brioché sucré proche du cookie sur le dessus, parfait vu l'heure qu'il était et puis c'était réellement délicieux. La réaction de la serveuse m’amusa d’ailleurs lorsqu’elle lâcha après m'avoir donné l'assiette avec quelques pain dessus.
- Eh bien, vous avez décidé de la gâter.
- Oui, actuellement, je n’ai d’yeux que pour elle !
Avec un petit sourire et un ton enjoué, seul Nissa comprendrait la blague. Je revins ensuite à son niveau après avoir fermé la porte. Plus rien n’avait d’importance là. Ni les cochons, ni la nourriture, ni le reste ! Là, il fallait que je sache, et qu’elle me raconte tout. Elle ne pouvait pas lâcher une bombe comme ça et s’arrêter à mi-chemin. Je posai les melon pan sur la petite table et poussai les deux assiettes, celle avec les donuts compris, vers Nissa d’un geste quasi religieusement exagéré avant de m’installer confortablement face à elle, la tête posée sur mes mains et le regard pétillant de curiosité avec un petit sourire pour couronné le tout.
- Explique-moi tout ça !
Une phrase de moins de 5 mots, un don de nourriture complètement désintéressé pour qu’elle se sente plus à l’aise... ou peut-être par pur soutien. Pas de doute, elle ne verra cela qu’une seule fois dans sa vie. J’attendais d’en savoir plus : comment elles se sont connues, comment c’était parti entre elles, et j’en passe ! Parce que là, j’avais beau avoir une imagination assez étendue, je crois que j’étais incapable d’imaginer ne serait-ce qu’un début de scénario possible où une Nissa et une Maya finiraient ensemble. Sans être méchant, bien sûr. C’était juste qu’entre la prétendue timidité dont avait fait preuve Nissa par le passé et le caractère de Maya… difficile de se faire une idée.
- InvitéInvité
Junichi
Retrouvaille en tire-bouchon
24 Août
Le vol de micro-cochon qui manquerait au prochain client, leur enlèvera ce plaisir auditif du tchuk tchuk, ce chatouillement sur la peau qu'il essaye de grignoter... Non, ce serait un véritable délis. On ne peut se permettre de retirer au monde un tel ange.
« Ce serait un crime Juni, un vrai crime, celui qui mérite d'être enfermé à perpétuité »
Au secours. J'ai totalement fait planter le système neuronale du garçon. De la bave sur le coin de la bouche ne m'étonnerait même pas. Et les micro-cochons, ont beau être un réconfort, j'ai l'impression d'avoir dit le secret le plus obscur de l'humanité.
Il peine à formuler une phrase et s'en va vers la porte ? C'était si choquant que ça qu'il décide de partir ? Peut-être qu'il me trouve répugnante de sortir avec une autre fille. J'ai le cœur qui se serre dans ma poitrine, ne sachant plus quoi penser.
Alors quand je l'entends parler à la serveuse, mon regard s'illumine, j'ai balisé pour rien ! Une offrande de nourriture, est-ce pour ma folie de sortir avec Maya ? Ou est-ce en échange d'informations ? Vu sa réacion, ça doit être la seconde.
Et il me pose la question. Comment expliquer TOUT ça ? Il y a eu tellement de peine, de pleurs, de disputes, de joie, de bonheur, de surprise, d’apprentissage, de résilience, de découverte, de choses avoués, ancrés, cachés, détestés, susurrés, aimés.
« T'expliquer ? Ça fait un an qu'on se connaît et huit mois qu'on sort ensemble, ça va être compliqué »
J'attrape un melon pan « Merci », avant de pousser l'assiette vers lui. On partage, c'est la moindre des choses même si là, il a plus faim de connaissances, que de satiété. Ce serait dommage de ne pas faire plaisir à ses papilles.
« Ça a commencé bizarrement... p-par du stalk non voulu de ma p-part. On faisait toutes les deux du footing, et je l'ai suivi comme si j'étais ensorcelée par ses cheveux blond arc-en-ciel »
Je mâche mon melon pan et laisse un sourire glisser sur mes lèvres.
« Et sans savoir ni comment ni p-pourquoi, je n'ai pas bégayé avec elle, dès le début »
Franchement, est-ce que tout ce que je lui dis à une véritable importance ? Beaucoup de choses sont arrivés jusqu'au moment fatidique :
« Elle m'a fait découvrir le monde des gothiques lolita au p-point de m'habiller en garçon de ce style. Va savoir p-pourquoi, elle aime bien les tenues de coup-ple, et j'ai toujours le rôle du garçon »
Je rougis après avoir réalise ce que je venais de dire. C'était tout de même un trop personnel ce que je lui raconte, mais je n'ai pas peur de la moquerie, ou de l'indifférence. Je mâche mon melon pan qui est au chocolat, et ça me donne un peu courage.
« On a fait p-plein de trucs jusqu'à aller toutes les deux seules à Kyoto. On a un p-peu bu, peut-être trop, mais elle m'a embrassé. Et moi, j'ai p-pris p-peur »
Je pose ma tête sur le bord de la table. Est-ce qu'il a vraiment envie d'entendre la suite ? Ce n'est pas très intéressant comme histoire. C'est juste une histoire d'amourettes entre une lycéenne et une étudiante. Alors je relève les yeux vers lui, une question dans le regard:
«T'es sûr de vouloir éponger ta curiosité ?»
code by emme« Ce serait un crime Juni, un vrai crime, celui qui mérite d'être enfermé à perpétuité »
Au secours. J'ai totalement fait planter le système neuronale du garçon. De la bave sur le coin de la bouche ne m'étonnerait même pas. Et les micro-cochons, ont beau être un réconfort, j'ai l'impression d'avoir dit le secret le plus obscur de l'humanité.
Il peine à formuler une phrase et s'en va vers la porte ? C'était si choquant que ça qu'il décide de partir ? Peut-être qu'il me trouve répugnante de sortir avec une autre fille. J'ai le cœur qui se serre dans ma poitrine, ne sachant plus quoi penser.
Alors quand je l'entends parler à la serveuse, mon regard s'illumine, j'ai balisé pour rien ! Une offrande de nourriture, est-ce pour ma folie de sortir avec Maya ? Ou est-ce en échange d'informations ? Vu sa réacion, ça doit être la seconde.
Et il me pose la question. Comment expliquer TOUT ça ? Il y a eu tellement de peine, de pleurs, de disputes, de joie, de bonheur, de surprise, d’apprentissage, de résilience, de découverte, de choses avoués, ancrés, cachés, détestés, susurrés, aimés.
« T'expliquer ? Ça fait un an qu'on se connaît et huit mois qu'on sort ensemble, ça va être compliqué »
J'attrape un melon pan « Merci », avant de pousser l'assiette vers lui. On partage, c'est la moindre des choses même si là, il a plus faim de connaissances, que de satiété. Ce serait dommage de ne pas faire plaisir à ses papilles.
« Ça a commencé bizarrement... p-par du stalk non voulu de ma p-part. On faisait toutes les deux du footing, et je l'ai suivi comme si j'étais ensorcelée par ses cheveux blond arc-en-ciel »
Je mâche mon melon pan et laisse un sourire glisser sur mes lèvres.
« Et sans savoir ni comment ni p-pourquoi, je n'ai pas bégayé avec elle, dès le début »
Franchement, est-ce que tout ce que je lui dis à une véritable importance ? Beaucoup de choses sont arrivés jusqu'au moment fatidique :
« Elle m'a fait découvrir le monde des gothiques lolita au p-point de m'habiller en garçon de ce style. Va savoir p-pourquoi, elle aime bien les tenues de coup-ple, et j'ai toujours le rôle du garçon »
Je rougis après avoir réalise ce que je venais de dire. C'était tout de même un trop personnel ce que je lui raconte, mais je n'ai pas peur de la moquerie, ou de l'indifférence. Je mâche mon melon pan qui est au chocolat, et ça me donne un peu courage.
« On a fait p-plein de trucs jusqu'à aller toutes les deux seules à Kyoto. On a un p-peu bu, peut-être trop, mais elle m'a embrassé. Et moi, j'ai p-pris p-peur »
Je pose ma tête sur le bord de la table. Est-ce qu'il a vraiment envie d'entendre la suite ? Ce n'est pas très intéressant comme histoire. C'est juste une histoire d'amourettes entre une lycéenne et une étudiante. Alors je relève les yeux vers lui, une question dans le regard:
«T'es sûr de vouloir éponger ta curiosité ?»
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