- Kakeru MenmaA l'université ; 4è année■ Age : 21■ Messages : 209■ Inscrit le : 13/06/2019■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 20 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-2
❖ Arrivé(e) en : Janvier 2016
Crème solaire, serviette , bouteille d’eau, clopes , portefeuille… Je crois que j’étais paré pour l’après-midi d’aujourd’hui. Je fermais mon sac et l’enfile sur mon épaule négligemment en sortant de ma chambre. Je jetai un dernier coup d’oeil dans le miroir et arrangeai légèrement mes cheveux. Un réflexe , bien que mes cheveux seraient bientôt trempés et ma chemise en lin vite abandonnée sur la serviette.
Nager allait me faire le plus grand des biens. Ça devait faire quoi, une dizaine de jours à peine que j’avais pris mes « bonnes résolutions » d’arrêter d’entretenir trente-cinq flirts plus ou moins détachés à la fois et… il fallait être honnête. Je tournais en rond comme un fauve dans sa cage, je m’ennuyais comme un rat mort … Je vais m’arrêter là avec les métaphores animalières, vous voyez le genre.
Et c’est donc pour ça que je me retrouvais à aller passer une journée à la plage avec Elizabeth ? Pour ma défense, je n’avais jamais non plus exprimé le souhait de renoncer à mes relations d’amitié pures et saines avec la gente féminine. Et c’est ce qu’il en était avec la jeune fille. Comme pas mal de mes premiers contacts ici, je l’avais connu par le biais de Neil. Par effet de voisinage, nous avions fait connaissance, puis nous étions mis à échanger même en l’absence de la chère tête blonde qui nous avait servie de primo-lien. Et sans la moindre confirmation, j’avais toujours eu la latente persuasion qu’il y avait anguille sous roche entre ses deux-là, justement. Je m’étais donc abstenu de laisser germer quelque pensée que ce soit, en tout bien tout honneur .
En somme , rien à signaler. Les beaux jours étaient revenus, j’avais envie de faire du sport , et je n’aimais pas être seul. Elizabeth étant la capitaine du club de natation et évidemment férue de natation, elle s’était logiquement imposée à moi. Quelques messages Line plus tard , invoquant une envie de la voir et un besoin de tutorat pour dérouiller ma nage papillon, un rendez-vous était convenu : le 7 avril , 14 heures. Avec la volonté de décaler au bar par la suite pour bien se réhydrater ( bien sûr).
Je pris le bus pour me rapprocher autant que faire se peut, puis marchais jusqu’à notre point de rendez-vous, situé à environ cinq minutes à pied de la plage. Je la trouvai déjà là , et sourit largement en l’approchant :
« Je ne t’ai pas trop fait attendre, j’espère ? » plaisantais-je en relevant mes lunettes de soleil sur mes cheveux pour croiser son regard, persuadé qu’elle ne devait pas être là depuis plus de deux minutes. « Ça me fait plaisir de te revoir, ça faisait un petit moment, hein ? Qu’est-ce que tu deviens ? » le parcours de conversation obligatoire quand on revoit quelqu’un , quoi.
« Prête à te faite atomiser à la bataille d’eau ? Je maîtrise les Nerf du stand de loc’ comme personne » lançais-je avec une lueur de défi dans les yeux.
Hé, le papillon c’était éprouvant, faudrait bien se détendre aussi.
Citation
Kakeru te snobbe en #887AAF.
- Elizabeth M. JonesA l'université ; 1è année■ Age : 26■ Messages : 595■ Inscrit le : 24/12/2020■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-9
❖ Arrivé(e) en : Avril 2015
Ft. Kakeru Menma
Cette après-midi, tu es dans ton élément, et plus encore. Un petit rendez-vous fixé il n'y a pas si longtemps, pour passer le reste de la journée avec Kakeru à la plage. Si tu ne t'étais vraiment pas attendue à son message, tu l'avais accueilli avec le plus grand des plaisirs, affirmant que tu serais présente après seulement quelques secondes. Kakeru et toi n'êtes pas particulièrement proches mais tu apprécies tout de même fortement le jeune homme dont la personnalité se marie assez bien avec la tienne, l'air de rien. Et puis, tu as bien besoin de te distraire un peu, alors tu ne pouvais tout simplement pas refuser son invitation. Pour l'occasion, tu as même fait attention de ne pas abuser la veille, lors de ta soirée avec Shintaro. Pour l'un comme pour l'autre, tu t'étais efforcée de rester raisonnable pour être en pleine forme.
Déjà habillée pour l'occasion, tu as prévenu Kakeku que tu devais faire un petit détour chez ta tante avant de le rejoindre, raison pour laquelle il n'est pas venu avec toi en voiture. Mais en contrepartie, tu as promis de le ramener au soir. À moins que vous ne décidiez de passer la nuit à la belle étoile, vous serez rentrer avant le couvre-feu.
Tu arrives légèrement en avance au point de rendez-vous. Et quand on dit légèrement, ça veut dire deux minutes avant l'arrivée de sa belle face. Tu lui offres un grand sourire tout en prenant tes affaires, dont un sac avec de quoi boire et manger. Parce que l'eau, ça creuse !
▬ J'ai eu le temps de prendre un coup de soleil ! dis-tu en posant ton sac sur ton épaule. ▬ Tu veux la version longue, ou la courte ?
Tu es de bonne humeur. Ce week-end va définitivement te faire le plus grand bien. D'autant plus que Kakeru attaque directement, te lançant subtilement un défi. Ce à quoi tu réponds avec de grands yeux, l'air condescendant.
▬ Tu menaces vraiment une Américaine sur ce terrain là ? Je vais te montrer ce qu'est une véritable experte.
Vous vous dirigez vers la plage, à la recherche d'un petit coin tranquille, pendant que tu lui racontes un peu les derniers gros événements de ta vie. Un petit rappel sur le décès de ton grand-père en septembre, et de la façon dont tu gères les choses depuis. Ta réorientation, passant de la philo aux langues. Et une fois l'emplacement idéal trouvé, les affaires déposés et ta serviette bien étalée sur le sable, tu peux enfin retirer ta robe de plage pour te mettre à l'aise.
▬ Tu pourras me mettre dans la crème dans le dos ? Je te revaudrai ça. demandes-tu en lui tendant ta crème solaire.
Hé, tu as un beau garçon sous la main pour t'aider, ce serait bête de ne pas en profiter ! Autant te simplifier la vie.
Déjà habillée pour l'occasion, tu as prévenu Kakeku que tu devais faire un petit détour chez ta tante avant de le rejoindre, raison pour laquelle il n'est pas venu avec toi en voiture. Mais en contrepartie, tu as promis de le ramener au soir. À moins que vous ne décidiez de passer la nuit à la belle étoile, vous serez rentrer avant le couvre-feu.
Tu arrives légèrement en avance au point de rendez-vous. Et quand on dit légèrement, ça veut dire deux minutes avant l'arrivée de sa belle face. Tu lui offres un grand sourire tout en prenant tes affaires, dont un sac avec de quoi boire et manger. Parce que l'eau, ça creuse !
▬ J'ai eu le temps de prendre un coup de soleil ! dis-tu en posant ton sac sur ton épaule. ▬ Tu veux la version longue, ou la courte ?
Tu es de bonne humeur. Ce week-end va définitivement te faire le plus grand bien. D'autant plus que Kakeru attaque directement, te lançant subtilement un défi. Ce à quoi tu réponds avec de grands yeux, l'air condescendant.
▬ Tu menaces vraiment une Américaine sur ce terrain là ? Je vais te montrer ce qu'est une véritable experte.
Vous vous dirigez vers la plage, à la recherche d'un petit coin tranquille, pendant que tu lui racontes un peu les derniers gros événements de ta vie. Un petit rappel sur le décès de ton grand-père en septembre, et de la façon dont tu gères les choses depuis. Ta réorientation, passant de la philo aux langues. Et une fois l'emplacement idéal trouvé, les affaires déposés et ta serviette bien étalée sur le sable, tu peux enfin retirer ta robe de plage pour te mettre à l'aise.
▬ Tu pourras me mettre dans la crème dans le dos ? Je te revaudrai ça. demandes-tu en lui tendant ta crème solaire.
Hé, tu as un beau garçon sous la main pour t'aider, ce serait bête de ne pas en profiter ! Autant te simplifier la vie.
Sans ambiguïté
- Maillot de Lizzy:
Japonais en F79D6C - Anglais en A75502 - Français en ff9999
- Kakeru MenmaA l'université ; 4è année■ Age : 21■ Messages : 209■ Inscrit le : 13/06/2019■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 20 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-2
❖ Arrivé(e) en : Janvier 2016
- La courte. Epargne-moi ça , par pitié. rigolais-je à se remarque .
- C'est ce qu'on verra , tu risques d'être surprise. je rétorque , rigolant à sa remarque. S'il y avait des fous de la gachette , c'était bien les amerloques.
Nous marchons ensemble, parcourant les dernières centaines de mètres qui nous séparaient encore de la plage. J'écoute avec attention et répond avec compassion aux nouvelles de sa vie , et me charge à son tour de l'informer un peu sur ce qu'il se passait dans ma vie , le nouveau chiot que nous venions d'adopter après des mois de récriminations de la part de ma petite soeur Shizuku , mes galères aux exams de fin de 3ème année et mes dernières vacances , évitant tout de même les dramas familiaux. Impossible à dire que j'essayais de ré-apprendre à tolérer ma mère sans devoir expliquer ce qui justifiait une telle haine.
Arrivés à la plage, nous nous installons et je me préparais à enlever ma chemise et mon haut pour me retrouver en maillot de bain. Elizabeth me demanda de l'aider à mettre de la crème solaire sur son dos, me tendant le tube avant que j'aie pu refuser. Comment aurais-je pu lui refuser une telle demande , de toute manière ?
Une fois Elizabeth dos à moi , je décale délicatement sa chevelure pour la placer par dessus-son épaule , pris au nez par l'odeur délicate de son shampooing et de son parfum . J'observais son dos, essayant de garder mon calme malgré l'étrange sensation qui m'envahissait. Merde ... Depuis quand un dos c'était aussi sensuel ? Evidemment , il s'agissait d'une belle jeune femme , mais la frustration fait vraiment des choses aux hommes , hein . Prenant une grande inspi silencieuse pour chasser ces pensées , j'entreprend de lui appliquer la crème solaire sur le dos , essayait de ne pas m'apesantir sur la douceur de sa peau et la sensation de ses muscles chauds roulant sous mes doigts , et de faire ça de manière rapide et efficace.
Je tentais de masquer mon trouble en gardant ma respiration stable et en faisant de mon mieux pour ne pas laisser mes pensées dériver vers des territoires inappropriés. La tension dans l'air était palpable, et je priais pour qu'elle ne remarque pas que j'étais perturbé par cette situation. Deux semaines d'abstinence et j'avais des émotions de puceau ? Par pitié ... Finalement, je parvins à terminer l'application de la crème solaire sur son dos sans laisser transparaître mes émotions intérieures , je l'espère . Je reculai légèrement, m'efforçant de garder un visage impassible. La voir dos à moi, sa peau légèrement brillante de crème, m'était également étrangement troublant.
Une fois terminé , j'annonce , sur le ton de la plaisanterie et de la taquinerie purement asexuée , pour ne pas créer de tension nécéssaire , malgré mon envie de flirter : " Et voilà , totalement badigeonnée , prête à griller de ce côté" comme je parlerais d'une vulgaire saucisse au moment du barbecue . J'étais fier de moi d'avoir résisté à mes pulsions de séduction.
"Tu vas me le rendre très vite, ce dos d'athlète aussi a besoin de protection." ajoutai-je, m'allongeant ensuite à moitié sur le ventre , le haut du corp surélevé par mes bras pliés au niveau du coude , sur ma nouvelle serviette Dior, mettant (inconsciemment bien sûr) en valeur mes muscles.
Une fois cette action effectué , je lance : " Avant toute chose ... Le premier à l'eau ?" en haussant un sourcil , toujours dans cette attitude un peu défiante , avant de me diriger vers l'étendue d'eau à vive allure et de m'y immerger dès que la profondeur me le permit . Je le regrettait tout aussi vite en sentant la morsure du froid sur tout mon corps , n'étant pas habitué à faire trempette tous les jours et n'ayant pas bénéficié de temps d'adaptation . Je remonte bien vite à la surface.
Je soufflai , dents serrés et joues gonflées , " Elle est super bonne. " affirmais-je pourtant secouant la tête à la manière d'un chien mouillé , sans intention aucune d'éclabousser.
Citation
Kakeru te snobbe en #887AAF.
- Elizabeth M. JonesA l'université ; 1è année■ Age : 26■ Messages : 595■ Inscrit le : 24/12/2020■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-9
❖ Arrivé(e) en : Avril 2015
Ft. Kakeru Menma
Si le week-end continue sur la même lancée que la veille, tu ne peux que l'apprécier et plus encore ; le chérir, en conserver les souvenirs, profiter du répit qu'il t'apporte avant que la tempête ne s'abatte sur toi. Tu aimes être ici, ne penser à rien, et simplement profiter de la présence d'un bon pote dont le délicat toucher t'apaise. Cela n'a rien de sensuel ou d'un massage , et tu sens même qu'il cherche à ce que ça n'en devienne pas un, mais tes muscles se détendent malgré tout.
Une fois ton dos bien protégé, tu remercies le jeune homme, non sans lui faire remarquer que si toi tu dois griller, lui passera à la casserole. Tu y veilleras, mais pour le moment, tu restes sage.
▬ Mais écoutez-le celui-là !
Lèves les yeux au ciel tout en commençant à lui appliquer de la crème à ton tour. Tu veilles à bien passer partout, délicate.
▬ Dis donc, tu n'aurais pas pris du muscle toi ?
C'est plus fort que toi. Il fallait que tu fasses une petite remarques, sinon ce n'est pas drôle, n'est-ce pas. Hé oui, tu es comme ça toi et tu ne vas pas changer dans l'unique but de ménager ton interlocuteur.
Tu as à peine le temps de referme le tube que Kakeru te propose déjà de faire trempette. Et à peine le temps de ranger ce même tube dans le sac qu'il court déjà vers la mer.
▬ Hé c'est de la triche ça !
Tu te redresses et commences à le suivre, plus lentement, plus raisonnable. De toute façon, tu aurais quand même perdu cette course et c'est sans regrets... À en juger par son langage corporel.
▬ Je pense plutôt que tu as froid. Le karma sans doute ? dis-tu tout en prenant le temps de mouiller ton temps.
Puis tu plonges enfin sous l'eau, te propulses jusqu'au jeune homme, remontes à la surface juste devant lui avant de lui adresser un petit sourire.
▬ Alors on commence par quoi ? Je te fais souffrir comme tu me l'as demandé ou je te noies ? Promis, je te réanime après ; tu n'as pas à te plaindre.
Tu ris doucement puis te mets sur le dos, flottes simplement à la surface tout en te laissant porter par les vagues.
Une fois ton dos bien protégé, tu remercies le jeune homme, non sans lui faire remarquer que si toi tu dois griller, lui passera à la casserole. Tu y veilleras, mais pour le moment, tu restes sage.
▬ Mais écoutez-le celui-là !
Lèves les yeux au ciel tout en commençant à lui appliquer de la crème à ton tour. Tu veilles à bien passer partout, délicate.
▬ Dis donc, tu n'aurais pas pris du muscle toi ?
C'est plus fort que toi. Il fallait que tu fasses une petite remarques, sinon ce n'est pas drôle, n'est-ce pas. Hé oui, tu es comme ça toi et tu ne vas pas changer dans l'unique but de ménager ton interlocuteur.
Tu as à peine le temps de referme le tube que Kakeru te propose déjà de faire trempette. Et à peine le temps de ranger ce même tube dans le sac qu'il court déjà vers la mer.
▬ Hé c'est de la triche ça !
Tu te redresses et commences à le suivre, plus lentement, plus raisonnable. De toute façon, tu aurais quand même perdu cette course et c'est sans regrets... À en juger par son langage corporel.
▬ Je pense plutôt que tu as froid. Le karma sans doute ? dis-tu tout en prenant le temps de mouiller ton temps.
Puis tu plonges enfin sous l'eau, te propulses jusqu'au jeune homme, remontes à la surface juste devant lui avant de lui adresser un petit sourire.
▬ Alors on commence par quoi ? Je te fais souffrir comme tu me l'as demandé ou je te noies ? Promis, je te réanime après ; tu n'as pas à te plaindre.
Tu ris doucement puis te mets sur le dos, flottes simplement à la surface tout en te laissant porter par les vagues.
Sans ambiguïté
Japonais en F79D6C - Anglais en A75502 - Français en ff9999
- Kakeru MenmaA l'université ; 4è année■ Age : 21■ Messages : 209■ Inscrit le : 13/06/2019■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 20 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-2
❖ Arrivé(e) en : Janvier 2016
- Le karma ? Je suis un véritable petit ange , je suis sûr qu'il est positif. je rétorque. Le froid , c'est dans la tête.
Bizarrement , je le sentais aussi sur ma peau et jusque dans mes os , mais on ne va rien dire , hein. Je l'observe prendre tout son temps pour s'immerger et s'habituer à la différence de température , avec envie , avant d'enfin nager pour me rejoindre , un petit sourire aux lèvres. Je rigole à sa question.
- Hm , dans les deux cas , faut être maso , hein . Exauce juste ma requête , je me passerai volontiersdu bouche à bouche. je plaisante , lui renvoyant un sourire , qui montre bien malgré moi que je n'y serais pas totalement oppos... et merde. Je pensais pas que ce serait si difficile que ça , mais c'était vraissemblablement devenu un réflexe chez moi.
Heureusement , elle fait la planche et n'a probablement pas vu ça.
- Comme si tu étais même capable de me noyer . Essaie seulement , tu verras . je lance , prêt à lutter pour ma vie.
Je nage un peu autour d'elle pour me chauffer les muscles , l'éclaboussant "malencontreusement" ( bien sûr) au passage lors de mon dernier mouvement de brasse , avant de vite fuir hors de sa portée.
- Je suis fin prêt à te faire admirer mon magnifique papillon , me lâche pas des yeux ! je lui intime , afin qu'elle puisse me juger avant de me conseiller et de m'aider.
Je me lance.L'eau m'enveloppe telle une seconde peau, et le bassin s'étend devant moi comme une toile vierge. Mes bras s'étirent en avant, mains jointes, tandis que mes jambes se préparent à battre .
Un premier battement puissant de mes jambes propulse mon corps à la surface. L'eau résiste un instant, mais je persévère. Mes bras se déploient, mes mains s'écartent et, telles des ailes, elles se plongent dans l'eau. Les éclaboussures perlent autour de moi alors que je commence à fendre l'eau en une série de mouvements énergiques. Chaque mouvement de mes bras est calculé, précis, tâchant de fendre l'eau avec grâce et puissance , sentant l'oeil inquisiteur d'Elizabeth sur moi. Mes épaules s'activent, propulsant l'eau en arrière alors que j'essaie d'élever et redescendre en synchronie.
Mes jambes ne sont pas en reste. Elles ondulent sous l'eau, exécutant un mouvement de battements que je veux puissant. Mes pieds, tels des ailerons, brassent l'eau avec vigueur, m'aidant à avancer plus vite, plus loin. Je peux sentir chaque vaguelette créée par ma nage, comme autant de mini-tempêtes dans l'étendue aquatique. Les sensations sont multiples, contradictoires parfois. D'un côté, je ressens une légèreté exquise, celle qui me pousse à croire que je pourrais voler au-dessus de l'eau. D'un autre côté, l'effort nécessaire pour dompter le papillon demande une énergie incommensurable. Mes poumons s'emplissent d'air à chaque inspiration, et je sens l'oxygène envahir mon corps, m'aidant à maintenir cette cadence effrénée. Les mouvements s'enchaînent, se répètent, dans une chorégraphie aquatique que je tente de maîtriser avec ardeur. Les muscles de mes bras, d'ailleurs , sollicités au maximum, m'envoient des signaux de fatigue. J'essaie de les ignorer, me concentrant sur la technique , mais mon mouvement de bras n'est pas assez ample, et je perds ainsi de la propulsion. Mes jambes manquent de coordination, gâchant parfois mes efforts. Mon souffle s'accélère, et je lutte pour synchroniser ma respiration avec mes mouvements. Inspirer, expirer, inspirer, expirer - je tente de garder un rythme régulier pour ne pas m'épuiser trop rapidement.
Mes bras s'abaissent, tandis que mes jambes s'ouvrent et se ferment comme des ciseaux dans l'eau. J'essaie de garder mes mouvements amples, mais la coordination n'est toujours pas parfaite. Par moments, mes bras se croisent, et mes jambes se désynchronisent légèrement, provoquant un déséquilibre dans ma nage.
Les muscles de mes épaules et de mes bras commencent à brûler sous l'effort, mais je refuse de m'arrêter. Je me concentre sur la sensation de l'eau glissant sur ma peau, sur chaque ondulation qui se propage le long de mon corps. Malgré les défauts, je me sens vivant dans cet élément liquide, en symbiose avec lui. L'eau me caresse, me défie, m'enseigne. Je nage, je lutte, je cherche à améliorer chaque mouvement. Et dans cet océan de sensations, je sais que je progresserai, que mes défauts seront corrigés, pour laisser place à la perfection du papillon. Elizabeth le sait aussi, et je sens son regard, porteur d'encouragements et de sagesse, qui m'invite à persévérer.
Après quelques minutes d'aller-retours , je retourne auprès d'Elizabeth ,( en brasse faut pas déconner) et je m'arrête , tentant de masquer mon léger essoufflement par pur égo , alors que j'ai juste envie de m'effondrer contre un mur . Je me souvenais pas que c'était si éprouvant , et j'étais loin d'être un feignant qui bouge jamais.
- Alors ? je l'interroge casuellement.
Bizarrement , je le sentais aussi sur ma peau et jusque dans mes os , mais on ne va rien dire , hein. Je l'observe prendre tout son temps pour s'immerger et s'habituer à la différence de température , avec envie , avant d'enfin nager pour me rejoindre , un petit sourire aux lèvres. Je rigole à sa question.
- Hm , dans les deux cas , faut être maso , hein . Exauce juste ma requête , je me passerai volontiersdu bouche à bouche. je plaisante , lui renvoyant un sourire , qui montre bien malgré moi que je n'y serais pas totalement oppos... et merde. Je pensais pas que ce serait si difficile que ça , mais c'était vraissemblablement devenu un réflexe chez moi.
Heureusement , elle fait la planche et n'a probablement pas vu ça.
- Comme si tu étais même capable de me noyer . Essaie seulement , tu verras . je lance , prêt à lutter pour ma vie.
Je nage un peu autour d'elle pour me chauffer les muscles , l'éclaboussant "malencontreusement" ( bien sûr) au passage lors de mon dernier mouvement de brasse , avant de vite fuir hors de sa portée.
- Je suis fin prêt à te faire admirer mon magnifique papillon , me lâche pas des yeux ! je lui intime , afin qu'elle puisse me juger avant de me conseiller et de m'aider.
Je me lance.L'eau m'enveloppe telle une seconde peau, et le bassin s'étend devant moi comme une toile vierge. Mes bras s'étirent en avant, mains jointes, tandis que mes jambes se préparent à battre .
Un premier battement puissant de mes jambes propulse mon corps à la surface. L'eau résiste un instant, mais je persévère. Mes bras se déploient, mes mains s'écartent et, telles des ailes, elles se plongent dans l'eau. Les éclaboussures perlent autour de moi alors que je commence à fendre l'eau en une série de mouvements énergiques. Chaque mouvement de mes bras est calculé, précis, tâchant de fendre l'eau avec grâce et puissance , sentant l'oeil inquisiteur d'Elizabeth sur moi. Mes épaules s'activent, propulsant l'eau en arrière alors que j'essaie d'élever et redescendre en synchronie.
Mes jambes ne sont pas en reste. Elles ondulent sous l'eau, exécutant un mouvement de battements que je veux puissant. Mes pieds, tels des ailerons, brassent l'eau avec vigueur, m'aidant à avancer plus vite, plus loin. Je peux sentir chaque vaguelette créée par ma nage, comme autant de mini-tempêtes dans l'étendue aquatique. Les sensations sont multiples, contradictoires parfois. D'un côté, je ressens une légèreté exquise, celle qui me pousse à croire que je pourrais voler au-dessus de l'eau. D'un autre côté, l'effort nécessaire pour dompter le papillon demande une énergie incommensurable. Mes poumons s'emplissent d'air à chaque inspiration, et je sens l'oxygène envahir mon corps, m'aidant à maintenir cette cadence effrénée. Les mouvements s'enchaînent, se répètent, dans une chorégraphie aquatique que je tente de maîtriser avec ardeur. Les muscles de mes bras, d'ailleurs , sollicités au maximum, m'envoient des signaux de fatigue. J'essaie de les ignorer, me concentrant sur la technique , mais mon mouvement de bras n'est pas assez ample, et je perds ainsi de la propulsion. Mes jambes manquent de coordination, gâchant parfois mes efforts. Mon souffle s'accélère, et je lutte pour synchroniser ma respiration avec mes mouvements. Inspirer, expirer, inspirer, expirer - je tente de garder un rythme régulier pour ne pas m'épuiser trop rapidement.
Mes bras s'abaissent, tandis que mes jambes s'ouvrent et se ferment comme des ciseaux dans l'eau. J'essaie de garder mes mouvements amples, mais la coordination n'est toujours pas parfaite. Par moments, mes bras se croisent, et mes jambes se désynchronisent légèrement, provoquant un déséquilibre dans ma nage.
Les muscles de mes épaules et de mes bras commencent à brûler sous l'effort, mais je refuse de m'arrêter. Je me concentre sur la sensation de l'eau glissant sur ma peau, sur chaque ondulation qui se propage le long de mon corps. Malgré les défauts, je me sens vivant dans cet élément liquide, en symbiose avec lui. L'eau me caresse, me défie, m'enseigne. Je nage, je lutte, je cherche à améliorer chaque mouvement. Et dans cet océan de sensations, je sais que je progresserai, que mes défauts seront corrigés, pour laisser place à la perfection du papillon. Elizabeth le sait aussi, et je sens son regard, porteur d'encouragements et de sagesse, qui m'invite à persévérer.
Après quelques minutes d'aller-retours , je retourne auprès d'Elizabeth ,( en brasse faut pas déconner) et je m'arrête , tentant de masquer mon léger essoufflement par pur égo , alors que j'ai juste envie de m'effondrer contre un mur . Je me souvenais pas que c'était si éprouvant , et j'étais loin d'être un feignant qui bouge jamais.
- Alors ? je l'interroge casuellement.
Citation
Kakeru te snobbe en #887AAF.
- Elizabeth M. JonesA l'université ; 1è année■ Age : 26■ Messages : 595■ Inscrit le : 24/12/2020■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-9
❖ Arrivé(e) en : Avril 2015
Ft. Kakeru Menma
▬ La bêtise aussi, c'est dans la tête. dis-tu sur un ton moqueur.
Mais tout de même, sans vouloir être rabat-joie, tu préfères le voir plaisanter que couler. Au moins, s'il est capable de dire des bêtises, c'est qu'il va bien et que le choc - entre les deux températures - n'a pas été trop violent.
Rictus au coin des lèvres, tu te laisses porter par ton élément, jetant un petit regard en coin à ton camarade. Un regard qui veut tout dire. Bien sûr que le noyer risque d'être difficile, d'autant plus qu'il doit être bien plus fort que toi et qu'il est loin d'être un mauvais nageur. Tu le vois déjà te soulever hors de l'eau pour te compliquer la tâche, ce petit tricheur.
Fermant les yeux sous l'effet de surprise lorsque l'eau arrive sur ton visage, tu te redresses et offres un regard noir au jeune homme, prête à te venger dès que l'occasion se présentera. Tu retiens. Tu retiens. Comme s'il pouvait t'échapper...
▬ Je vais faire au mieux. Mais vu la vue, ça devrait le faire.
Un petit clin d'œil. Puis le silencieuse, le vide dans ton esprit, ou presque. Tu ne penses à rien, concentres toute ton attention sur les gestes de Kakeru. Dans un premier temps, tu observes en surface, puis tu t'immerges complètement, pour mieux te concentrer sur ce qui se passe sous l'eau. Tu prends mentalement note, remontes à la surface, observes comment les choses évolues, encourages ton ami d'un fin sourire - même s'il ne peut pas le voir -.
Lorsqu'il revient vers toi, tu applaudis doucement, l'air enjouée.
▬ Alors déjà... respires. Le papillon, c'est fatiguant : inutile de jouer les durs avec moi. Tu ris doucement avant de reprendre, plus sérieuse cette fois-ci. ▬ Tu as un peu plus de mal niveau coordination. Tes gestes sont bons dans l'ensemble, mais ce détail vient te compliquer la tâche, du coup tu fais encore plus d'efforts que nécessaire. Donc tu te fatigues plus vite et là, tes gestes ne sont plus aussi bons. Par exemple, tes jambes. Au début, c'était nickel : elles étaient bien jointes et formaient des vagues. Puis sur la fin, tu as commencé à les faires battre, séparément. C'est normal, c'est instinctif. Enfant, c'est ainsi qu'on apprend à nager et c'est aussi ainsi qu'on se maintient à la surface. Une pause. ▬ Tu dois vraiment te propulser en deux temps. Mets bien tes bras en-avant et casses tes poignets : tes mains doivent être perpendiculaires à la surface de l'eau quand elles rentrent. Ensuite, une fois qu'elles sont sous l'eau mais encore proches de la surface, remets tes mains dans le prolongement de tes bras. Tout doit être tendu. Durant ce premier temps, ce sont tes jambes qui font tout. Tes bras et tes mains servent juste à fendre l'eau. Tu n'as pas besoin de forcer. Au contraire, relâches bien tes muscles afin de garder ton énergie. Puis seulement lorsque tes jambes redescendent, là tu viens mettre ta force dans tes bras pour remonter à la surface. Ça tu maîtrises : Tu fais de beaux S. Et ça me semblait correcte au niveau de ta respiration.
Tu accompagnes tes paroles d'exemples, lui montrant les bons gestes à effectuer.
▬ Pourquoi tu ne passerais pas au club à l'occasion ? On a du matériel adapté qui pourrait t'aider.
Mais tout de même, sans vouloir être rabat-joie, tu préfères le voir plaisanter que couler. Au moins, s'il est capable de dire des bêtises, c'est qu'il va bien et que le choc - entre les deux températures - n'a pas été trop violent.
Rictus au coin des lèvres, tu te laisses porter par ton élément, jetant un petit regard en coin à ton camarade. Un regard qui veut tout dire. Bien sûr que le noyer risque d'être difficile, d'autant plus qu'il doit être bien plus fort que toi et qu'il est loin d'être un mauvais nageur. Tu le vois déjà te soulever hors de l'eau pour te compliquer la tâche, ce petit tricheur.
Fermant les yeux sous l'effet de surprise lorsque l'eau arrive sur ton visage, tu te redresses et offres un regard noir au jeune homme, prête à te venger dès que l'occasion se présentera. Tu retiens. Tu retiens. Comme s'il pouvait t'échapper...
▬ Je vais faire au mieux. Mais vu la vue, ça devrait le faire.
Un petit clin d'œil. Puis le silencieuse, le vide dans ton esprit, ou presque. Tu ne penses à rien, concentres toute ton attention sur les gestes de Kakeru. Dans un premier temps, tu observes en surface, puis tu t'immerges complètement, pour mieux te concentrer sur ce qui se passe sous l'eau. Tu prends mentalement note, remontes à la surface, observes comment les choses évolues, encourages ton ami d'un fin sourire - même s'il ne peut pas le voir -.
Lorsqu'il revient vers toi, tu applaudis doucement, l'air enjouée.
▬ Alors déjà... respires. Le papillon, c'est fatiguant : inutile de jouer les durs avec moi. Tu ris doucement avant de reprendre, plus sérieuse cette fois-ci. ▬ Tu as un peu plus de mal niveau coordination. Tes gestes sont bons dans l'ensemble, mais ce détail vient te compliquer la tâche, du coup tu fais encore plus d'efforts que nécessaire. Donc tu te fatigues plus vite et là, tes gestes ne sont plus aussi bons. Par exemple, tes jambes. Au début, c'était nickel : elles étaient bien jointes et formaient des vagues. Puis sur la fin, tu as commencé à les faires battre, séparément. C'est normal, c'est instinctif. Enfant, c'est ainsi qu'on apprend à nager et c'est aussi ainsi qu'on se maintient à la surface. Une pause. ▬ Tu dois vraiment te propulser en deux temps. Mets bien tes bras en-avant et casses tes poignets : tes mains doivent être perpendiculaires à la surface de l'eau quand elles rentrent. Ensuite, une fois qu'elles sont sous l'eau mais encore proches de la surface, remets tes mains dans le prolongement de tes bras. Tout doit être tendu. Durant ce premier temps, ce sont tes jambes qui font tout. Tes bras et tes mains servent juste à fendre l'eau. Tu n'as pas besoin de forcer. Au contraire, relâches bien tes muscles afin de garder ton énergie. Puis seulement lorsque tes jambes redescendent, là tu viens mettre ta force dans tes bras pour remonter à la surface. Ça tu maîtrises : Tu fais de beaux S. Et ça me semblait correcte au niveau de ta respiration.
Tu accompagnes tes paroles d'exemples, lui montrant les bons gestes à effectuer.
▬ Pourquoi tu ne passerais pas au club à l'occasion ? On a du matériel adapté qui pourrait t'aider.
Sans ambiguïté
Japonais en F79D6C - Anglais en A75502 - Français en ff9999
- Kakeru MenmaA l'université ; 4è année■ Age : 21■ Messages : 209■ Inscrit le : 13/06/2019■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 20 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-2
❖ Arrivé(e) en : Janvier 2016
Ses applaudissements modestes suffisent à gonfler un peu mon égo , à l'inverse de mes poumons qui me semblaient actuellement comme deux ballons crevés. Chose qu'elle sembla remarquer malgré ma bonne contenance ? " Moiii ?" plaisantais-je , mais mon souffle m'abandonna en plein milieu de prononciation. Vaincu , je la rejoint dans son rire et laisse mes muscles ses débander pour reprendre mon souffle dans de meilleurs conditions. Ce faisant , j'écoute ses explications avec attention , hochant la tête de temps en temps pour montrer que je la suivais et que je notai ces conseils dans un coin de ma tête.
" M'infliger ça une seconde fois ?" je fais mine de réfléchir , bien que j'apprécie en réalite pousser mes limites . " Hm , si c"est toi qui me coaches , pourquoi pas... " je lance d'un ton presque évocateur , avant de me rappeller que je n'étais pas là pour ça , justement. Au contraire. " Tu donnes de bon conseils." ce n'était pas faux. " Je vais les appliquer avec plaisir. Juste après avoir fait une petite pause , si tu me le permets. Même moi , j'en ai besoin. "
Ce faisant je m'allonge , décidant de faire une petite pause en me laissant flotter sur la mer. Je me mis en planche, étendant mon corps à la surface de l'eau.Alors que je flottais là, dans l'eau salée, je sentais chaque muscle de mon corps se détendre lentement. La tension accumulée pendant mon entraînement au papillon et pendant ma semaine en général se dissolvait peu à peu, emportée par les vagues douces qui me berçaient. La fraîcheur de l'océan caressait ma peau, apportant un soulagement bienvenu après l'effort intense. La sensation était apaisante, comme si l'océan lui-même absorbait la chaleur de mes muscles fatigués. L'eau froide caressait ma peau, me procurant un soulagement . Je pris une profonde inspiration, reprenant lentement mon souffle après l'effort intense. Les vagues me berçaient doucement, et je fermai les yeux pour profiter du moment de tranquillité. Le ciel était d'un bleu profond, parsemé de quelques nuages blancs. Tout était calme, paisible.
Je me laissai flotter paisiblement, mes yeux fixés sur le ciel d'un bleu profond au-dessus de moi. Les rayons du soleil réchauffaient doucement mon visage, contrastant avec l'eau fraîche qui enveloppait mon corps. C'était comme si le temps s'était suspendu, me permettant de profiter de ce moment de calme et de détente. Je fermai les yeux, laissant mes pensées s'évader au gré du mouvement des vagues.
Cependant, ma nature espiègle reccomençait à prendre le dessus. Je savais que cette quiétude ne durerait pas éternellement. Mon esprit joueur commençait déjà à mijoter. Je ne pouvais pas rester tranquille trop longtemps. Lentement, je me redressai légèrement dans l'eau, mes yeux scrutant l'horizon. J'avais un peu dérivé . Je fis un petit sourire en coin, préparant mon attaque. Sans faire de bruit, je m'approchai doucement d'Elizabeth, me déplaçant aussi discrètement qu'un poisson. Quand j'étais à quelques mètres d'elle, je me redressai soudainement et l'aspergeai légèrement d'eau, en gardant une petite distance.Puis je repris ma précédente position et fit mine de n'avoir pas bougé, les yeux à moitié fermés, arborant l'expression la plus innocente que je pouvais trouver. J'étais l'image même d'un petit angelot, tout en dissimulant - avec difficulté - mon sourire malicieux.
" M'infliger ça une seconde fois ?" je fais mine de réfléchir , bien que j'apprécie en réalite pousser mes limites . " Hm , si c"est toi qui me coaches , pourquoi pas... " je lance d'un ton presque évocateur , avant de me rappeller que je n'étais pas là pour ça , justement. Au contraire. " Tu donnes de bon conseils." ce n'était pas faux. " Je vais les appliquer avec plaisir. Juste après avoir fait une petite pause , si tu me le permets. Même moi , j'en ai besoin. "
Ce faisant je m'allonge , décidant de faire une petite pause en me laissant flotter sur la mer. Je me mis en planche, étendant mon corps à la surface de l'eau.Alors que je flottais là, dans l'eau salée, je sentais chaque muscle de mon corps se détendre lentement. La tension accumulée pendant mon entraînement au papillon et pendant ma semaine en général se dissolvait peu à peu, emportée par les vagues douces qui me berçaient. La fraîcheur de l'océan caressait ma peau, apportant un soulagement bienvenu après l'effort intense. La sensation était apaisante, comme si l'océan lui-même absorbait la chaleur de mes muscles fatigués. L'eau froide caressait ma peau, me procurant un soulagement . Je pris une profonde inspiration, reprenant lentement mon souffle après l'effort intense. Les vagues me berçaient doucement, et je fermai les yeux pour profiter du moment de tranquillité. Le ciel était d'un bleu profond, parsemé de quelques nuages blancs. Tout était calme, paisible.
Je me laissai flotter paisiblement, mes yeux fixés sur le ciel d'un bleu profond au-dessus de moi. Les rayons du soleil réchauffaient doucement mon visage, contrastant avec l'eau fraîche qui enveloppait mon corps. C'était comme si le temps s'était suspendu, me permettant de profiter de ce moment de calme et de détente. Je fermai les yeux, laissant mes pensées s'évader au gré du mouvement des vagues.
Cependant, ma nature espiègle reccomençait à prendre le dessus. Je savais que cette quiétude ne durerait pas éternellement. Mon esprit joueur commençait déjà à mijoter. Je ne pouvais pas rester tranquille trop longtemps. Lentement, je me redressai légèrement dans l'eau, mes yeux scrutant l'horizon. J'avais un peu dérivé . Je fis un petit sourire en coin, préparant mon attaque. Sans faire de bruit, je m'approchai doucement d'Elizabeth, me déplaçant aussi discrètement qu'un poisson. Quand j'étais à quelques mètres d'elle, je me redressai soudainement et l'aspergeai légèrement d'eau, en gardant une petite distance.Puis je repris ma précédente position et fit mine de n'avoir pas bougé, les yeux à moitié fermés, arborant l'expression la plus innocente que je pouvais trouver. J'étais l'image même d'un petit angelot, tout en dissimulant - avec difficulté - mon sourire malicieux.
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Kakeru te snobbe en #887AAF.
- Elizabeth M. JonesA l'université ; 1è année■ Age : 26■ Messages : 595■ Inscrit le : 24/12/2020■ Mes clubs :
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❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-9
❖ Arrivé(e) en : Avril 2015
Ft. Kakeru Menma
Ne pas te moquer te demande bien des efforts. Gentiment, cela va de soi. Mais pour le coup, tu arrives plutôt bien à te contenir... Plus ou moins. Tu sais à quel point le papillon peut être fatiguant et c'est bien pour cette raison que tu ne peux pas remettre la faute sur son endurance, même si l'idée de le taquiner là-dessus t'a bel et bien traversé l'esprit. Parce que tu es comme ça... Toujours à jouer sur les mots, à chatouiller les plus sensibles. Et avec Kakeru, c'est visiblement facile, bien plus qu'il ne le laisse paraître, à en juger par ces mots qu'il prononce sur un ton qui en dit long. Ce n'est pas la première fois, si ? Non, du tout. Naturellement, tes pensées naviguent brièvement vers Neil, avant de revenir aussitôt sur Kakeru lorsqu'il reprend la parole. Donner de bons conseils ? Petit sourire. Tu essaies. Mais ce n'est pas toujours évident, même si globalement, les autres membres du club de natation les comprennent plutôt bien. Tout dépend de ton interlocuteur.
Laissant à ton camarade l'espace et le temps nécessaire pour récupérer, tu profites de ce petit moment de "solitude" pour nager. Sur le ventre. Sur le dos. Tu te sens bien là, au milieu de cette vaste étendue d'eau qui enveloppe ton corps - pas si frêle -, tel une seconde peau. C'est un peu ça, oui ; une seconde peau. Une part de toi. Un élément que nul ne saurait maîtriser mais qui, lorsqu'il joue le rôle d'allié, est plus que précieux.
Mais comme tu aurais dû t'en douter, cet instant de tranquillité est de bien courte durée. Parce que Kakeru, il ne sait pas rester sage très longtemps. Et puis, ce n'est pas comme s'il ne t'avait pas prévenue lors de votre arrivée. Alors, après avoir poussé un petit cri de surprise, tu te retourne dans sa direction, hausses un sourcils en le voyant jouer les innocents. Hm, d'accord.
Sans un mot, tu plonges discrètement, te rapproches de lui et viens le saisir au niveau des épaules, remontant brièvement la tête à la surface.
▬ On inspire ! dis-tu au creux de son oreille, avant de le tirer avec toi sous l'eau.
Sadique mais pas trop, tu lui rends rapidement sa liberté, consciente qu'il n'était pas aussi bien préparé que toi. Après quoi, tu remontes à la surface, sourire moqueur aux lèvres.
▬ Hm, j'aurais peut-être dû te saisir les hanches. T'es chatouilleux ? Que tu prépares déjà ton prochain coup.
Laissant à ton camarade l'espace et le temps nécessaire pour récupérer, tu profites de ce petit moment de "solitude" pour nager. Sur le ventre. Sur le dos. Tu te sens bien là, au milieu de cette vaste étendue d'eau qui enveloppe ton corps - pas si frêle -, tel une seconde peau. C'est un peu ça, oui ; une seconde peau. Une part de toi. Un élément que nul ne saurait maîtriser mais qui, lorsqu'il joue le rôle d'allié, est plus que précieux.
Mais comme tu aurais dû t'en douter, cet instant de tranquillité est de bien courte durée. Parce que Kakeru, il ne sait pas rester sage très longtemps. Et puis, ce n'est pas comme s'il ne t'avait pas prévenue lors de votre arrivée. Alors, après avoir poussé un petit cri de surprise, tu te retourne dans sa direction, hausses un sourcils en le voyant jouer les innocents. Hm, d'accord.
Sans un mot, tu plonges discrètement, te rapproches de lui et viens le saisir au niveau des épaules, remontant brièvement la tête à la surface.
▬ On inspire ! dis-tu au creux de son oreille, avant de le tirer avec toi sous l'eau.
Sadique mais pas trop, tu lui rends rapidement sa liberté, consciente qu'il n'était pas aussi bien préparé que toi. Après quoi, tu remontes à la surface, sourire moqueur aux lèvres.
▬ Hm, j'aurais peut-être dû te saisir les hanches. T'es chatouilleux ? Que tu prépares déjà ton prochain coup.
Sans ambiguïté
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❖ Âge : 20 ans
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Je me retiens en entendant le petit cri d'Elizabeth, mes lèvres se tordant sur un ricanement silencieux. Je me doute que la brune ne va pas tarder à additionner deux et deux et j'attends d'une oreille attentive le son indiquant son approche pour la prendre en embuscade. Mais c'est sans compter sur sa vélocité et la discrétion de sa nage en dessous de la surface. Grâce à la technique accumulée par les années, elle ne glisse non pas contre mais avec l'élément aquatique, sans le moindre mouvement superflu ou de lutte. En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, elle est là et m'a saisi par les épaules. Elle sursurre à mon oreille, et un frisson m'aurait presque parcouru si je n'avais pas tenu compte de la menace sous-jacente de l'ordre qu'elle venait de me donner.
"Qu - " je commence. Fatale erreur, car ce début d'interjection débarasse mes poumons de l'air qu'ils contenaient, et c'est la bouche ouverte que je me retrouve entraîné la tête sous l'eau, condamné à descendre une méchante tasse cul sec.
Magnanime, Elizabeth me libère assez vite. Je crache l'eau d'un côté et me secoue la tête, en reprenant mon souffle.
- "Traîtresse" lâché-je, comme si elle n'avait pas simplement riposté à une attaque que j'avais moi-même initiée. " C'est sur toi que j'aurais dû cracher, tiens." je lâche, avant de sentir mon visage chauffer légèrement, moi qui n'était pas le moins du monde gêné ou craintif. Pourvu que ce soit le genre de double-sens pervers qui n'effleure même pas le cerveau des jeunes filles innocentes (l'était-elle vraiment ?) "Moi, chatouilleux ? Pourquoi tu viendrais pas le découvrir par toi-même ? Je pense que tu projettes plutôt tes propres faiblesses sur moi." je lui rends son sourire moqueur, avant de tendre les bras devant moi. "Attends. On va faire ça dans les règles de l'art. Comme dans tes lointaines contrées." j'annonce. "On prend les pistolets à eau, c'est à la vie, à la mort, et au premier qui arrive à s'approcher, désarmer l'autre ... et après, pas de pitié pour les chatouilles. Deal ?" je lui demande en lui tendant la main solennellement.
"Qu - " je commence. Fatale erreur, car ce début d'interjection débarasse mes poumons de l'air qu'ils contenaient, et c'est la bouche ouverte que je me retrouve entraîné la tête sous l'eau, condamné à descendre une méchante tasse cul sec.
Magnanime, Elizabeth me libère assez vite. Je crache l'eau d'un côté et me secoue la tête, en reprenant mon souffle.
- "Traîtresse" lâché-je, comme si elle n'avait pas simplement riposté à une attaque que j'avais moi-même initiée. " C'est sur toi que j'aurais dû cracher, tiens." je lâche, avant de sentir mon visage chauffer légèrement, moi qui n'était pas le moins du monde gêné ou craintif. Pourvu que ce soit le genre de double-sens pervers qui n'effleure même pas le cerveau des jeunes filles innocentes (l'était-elle vraiment ?) "Moi, chatouilleux ? Pourquoi tu viendrais pas le découvrir par toi-même ? Je pense que tu projettes plutôt tes propres faiblesses sur moi." je lui rends son sourire moqueur, avant de tendre les bras devant moi. "Attends. On va faire ça dans les règles de l'art. Comme dans tes lointaines contrées." j'annonce. "On prend les pistolets à eau, c'est à la vie, à la mort, et au premier qui arrive à s'approcher, désarmer l'autre ... et après, pas de pitié pour les chatouilles. Deal ?" je lui demande en lui tendant la main solennellement.
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- Elizabeth M. JonesA l'université ; 1è année■ Age : 26■ Messages : 595■ Inscrit le : 24/12/2020■ Mes clubs :
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❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-9
❖ Arrivé(e) en : Avril 2015
Ft. Kakeru Menma
La mine faussement déçue, tu prends sur toi pour ne pas t'excuser en voyant le jeune homme expulser l'eau hors de son corps, alerte. Est-ce que tu t'en veux de l'avoir entraîné sous l'eau de cette manière ? Un peu. À peine. Mais sa remarque chasse rapidement le peu de culpabilité que tu éprouves pour laisser place à de l'amusement.
▬ Oh tu m'aimes trop pour ça ! dis-tu sur un ton malicieux avant de croiser les bras sur ta poitrine, à l'écoute.
Il te propose un petit affrontement digne des meilleurs comédies. Et le pire, c'est que ça te plaît. C'est du grand n'importe quoi mais ça a le mérite de titiller ton intérêt. C'est qu'il touche un point sensible ; ton coté joueur.
▬ Bien, ça me va !
Tu serres la main du jeune homme puis, subitement le tires vers toi et rapproches ton visage du sien.
▬ Prépare-toi à perdre. Je ne compte pas te ménager. susurres-tu au creux de son oreille.
Puis tu le laisses planté là, sourire malicieux au coin des lèvres, afin d'aller t'armer. Et comme tu es généreuse, tu lui ramènes même son arme à lui.
▬ Montre-moi de quoi tu es capable !
Toi, tu n'attends pas et tires déjà une première fois.
▬ Oh tu m'aimes trop pour ça ! dis-tu sur un ton malicieux avant de croiser les bras sur ta poitrine, à l'écoute.
Il te propose un petit affrontement digne des meilleurs comédies. Et le pire, c'est que ça te plaît. C'est du grand n'importe quoi mais ça a le mérite de titiller ton intérêt. C'est qu'il touche un point sensible ; ton coté joueur.
▬ Bien, ça me va !
Tu serres la main du jeune homme puis, subitement le tires vers toi et rapproches ton visage du sien.
▬ Prépare-toi à perdre. Je ne compte pas te ménager. susurres-tu au creux de son oreille.
Puis tu le laisses planté là, sourire malicieux au coin des lèvres, afin d'aller t'armer. Et comme tu es généreuse, tu lui ramènes même son arme à lui.
▬ Montre-moi de quoi tu es capable !
Toi, tu n'attends pas et tires déjà une première fois.
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❖ Âge : 20 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-2
❖ Arrivé(e) en : Janvier 2016
Elizabeth ne me déçoit pas et attrappe la main que je lui tend , consolidant notre accord. Un petit sourire se dessine sur mes lèvres. Qui s'agrandit considérablement passé les quelques secondes de surprise lorsqu'elle l'utilise comme levier pour m'attirer vers elle , rapprochant son visage du mien. Sa déclaration de guerre sonne plus comme une douce mélodie à mes oeilles. Avant que je ne puisse lui répondre quoi que ce soit , elle m'a laissé planté là pour s'en aller quérir l'armement. Moi qui m'était promis de laisser mes habitudes de dragueur de côté , elle me plaisait de plus en plus au fil de la journée , et ça devenait de plus en plus ardu de ne pas voir nos interactions sous le prisme du jeu de la séduction. Trop vite , elle est de nouveau là , et à même eu l'amabilité d'apporter mon propre fusil alors que j'étais resté planté là à sourire comme un idiot.
- Merci. Et tu n'es pas prê-
Magnifique ironie , c'était visiblement moi qui ne l'était pas. Fallait vraiment que je me reprenne. Son premier coup m'avait atteint en plein visage , me coupant net.
- Pas de code d'honneur , je vois ... Ces amerloques . je persifle.
Il était vrai que j'étais celui qui avait mentionné à la vie , à la mort. Peut-être que si je mentionnais ce fameux code d'honneur donc je n'avais que faire , c'était parce que je m'en voulais de ne pas avoir eu l'idée en premier de la prise par surprise , et que j'avais eu l'air d'un bel abruti ces dernières minutes. Peut-être bien. Frénétiquement , j'immerge l'arme dans l'eau afin de la laisser se remplir un tant soit peu . Au bout de quelques secondes , je le remonte à la surface , espérant que cette recharge éclair suffira pour ce que en tête pour l'instant . J'abreuve Elizabeth d'un tir de barrière pour me couvrir alors que je prends de la distance à reculons . De l'extérieur , ça ressemblait à une fuite. Mais tout était calculé , je ne faisais que fuir pour mieux revenir après . Charger le réservoir à fond , et élaborer ma stratégie sur comment j'allais la désarmer . J'imaginais déjà la victoire , elle gigotant dans mes bras alors qu'elle cherchait à échapper à mes chatouilles. La vision inverse était beaucoup moins plaisante . Il s'agit pas d'un truc que je crie sous tout les toits , mais je suis chatouilleux. Très. Et fier. Trop.
Alors que mon arme gargouillait en se remplissant lentement , me laissant en position vulnérable malgré la petite distance que j'avais réussi à mettre entre nous , je lui lance , à moitié pour la distraire :
- Ca te dit de faire grimper un peu les enjeux ? Le perdant paiera sa tournée après ?
Une proposition qu'elle ne saurait refuser , je l'espère.
- Merci. Et tu n'es pas prê-
Magnifique ironie , c'était visiblement moi qui ne l'était pas. Fallait vraiment que je me reprenne. Son premier coup m'avait atteint en plein visage , me coupant net.
- Pas de code d'honneur , je vois ... Ces amerloques . je persifle.
Il était vrai que j'étais celui qui avait mentionné à la vie , à la mort. Peut-être que si je mentionnais ce fameux code d'honneur donc je n'avais que faire , c'était parce que je m'en voulais de ne pas avoir eu l'idée en premier de la prise par surprise , et que j'avais eu l'air d'un bel abruti ces dernières minutes. Peut-être bien. Frénétiquement , j'immerge l'arme dans l'eau afin de la laisser se remplir un tant soit peu . Au bout de quelques secondes , je le remonte à la surface , espérant que cette recharge éclair suffira pour ce que en tête pour l'instant . J'abreuve Elizabeth d'un tir de barrière pour me couvrir alors que je prends de la distance à reculons . De l'extérieur , ça ressemblait à une fuite. Mais tout était calculé , je ne faisais que fuir pour mieux revenir après . Charger le réservoir à fond , et élaborer ma stratégie sur comment j'allais la désarmer . J'imaginais déjà la victoire , elle gigotant dans mes bras alors qu'elle cherchait à échapper à mes chatouilles. La vision inverse était beaucoup moins plaisante . Il s'agit pas d'un truc que je crie sous tout les toits , mais je suis chatouilleux. Très. Et fier. Trop.
Alors que mon arme gargouillait en se remplissant lentement , me laissant en position vulnérable malgré la petite distance que j'avais réussi à mettre entre nous , je lui lance , à moitié pour la distraire :
- Ca te dit de faire grimper un peu les enjeux ? Le perdant paiera sa tournée après ?
Une proposition qu'elle ne saurait refuser , je l'espère.
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- Elizabeth M. JonesA l'université ; 1è année■ Age : 26■ Messages : 595■ Inscrit le : 24/12/2020■ Mes clubs :
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❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-9
❖ Arrivé(e) en : Avril 2015
Ft. Kakeru Menma
Tu penches la tête sur le côté, fais mine de ne pas comprendre, innocente. Bien sûr que tu n'allais pas te laisser avoir si facilement. Si tu lui avais laissé un peu plus de temps, tu sais qu'il en aurait profité pour te devancer et prendre le dessus sur la partie.
▬ Honneur ? Il n'est pas question d'honneur quand il s'agit d'échapper à des chatouilles !
Tu souris, malicieuse. S'il tient vraiment à te toucher les côtes, sans la moindre pitié, il va devoir mériter la victoire. Et quand ta fierté de "folle furieuse d'américaine" est en jeu, tu ne te contentes pas de te défendre.
Tu te protèges d'un vain mouvement du bras, le regardes s'éloigner. L'occasion idéale pour charger davantage ton arme, ce qu'il semble également faire tout en te proposant de faire grimper les enjeux.
Un instant de réflexion. Voilà qui est bien tentant, mais est-ce que ça te suffit réellement ?
▬ Tu sais comment me parler toi, hein ?
Tu ne peux pas vraiment refuser une tournée, ni même un défi, du moins quand ça n'a rien de stupide. Il y a une différence entre être joueur et être c*n et ça, tu l'as bien compris au fil des années.
▬ Mais quitte à faire monter les enjeux, autant s'amuser davantage, tu ne penses pas ? Je propose un gage secret pour le perdant, que l'autre pourra lui donner quand il le souhaite. Qu'en dis-tu ? Si tu es si sûr de gagner, tu n'as pas de raison de te défiler.
▬ Honneur ? Il n'est pas question d'honneur quand il s'agit d'échapper à des chatouilles !
Tu souris, malicieuse. S'il tient vraiment à te toucher les côtes, sans la moindre pitié, il va devoir mériter la victoire. Et quand ta fierté de "folle furieuse d'américaine" est en jeu, tu ne te contentes pas de te défendre.
Tu te protèges d'un vain mouvement du bras, le regardes s'éloigner. L'occasion idéale pour charger davantage ton arme, ce qu'il semble également faire tout en te proposant de faire grimper les enjeux.
Un instant de réflexion. Voilà qui est bien tentant, mais est-ce que ça te suffit réellement ?
▬ Tu sais comment me parler toi, hein ?
Tu ne peux pas vraiment refuser une tournée, ni même un défi, du moins quand ça n'a rien de stupide. Il y a une différence entre être joueur et être c*n et ça, tu l'as bien compris au fil des années.
▬ Mais quitte à faire monter les enjeux, autant s'amuser davantage, tu ne penses pas ? Je propose un gage secret pour le perdant, que l'autre pourra lui donner quand il le souhaite. Qu'en dis-tu ? Si tu es si sûr de gagner, tu n'as pas de raison de te défiler.
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❖ Âge : 20 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-2
❖ Arrivé(e) en : Janvier 2016
Je lui offre mon plus beau sourire durant son court moment d'hésitation. Aura-il été décisif ? J'aime le croire. En tout cas , elle semble mordre à l'hameçon. Voir me ferrer elle-même. Comment pourrais-je refuser une proposition aussi alléchante ? Dix mille idées de gage "secrets" me fusent déjà dans la tête. D'autant plus que je ne recule devant rien.
- Tu sais me parler aussi à ce que je vois. J'accepte évidemment. je marque une courte pause. Même dans le cas improbable ou je perds , je doute que ton gage me déplaise trop. Une tendance masochiste ? Peut-être , mais je l'imaginais assez mal m'infliger quelque chose qui pourrait réellement me nuire.
- Alors , à partir de maintenant , c'est la guerre. annonçais-je d'un ton exagérément cérémonieux.
Surtout si on considérait que ma "super tactique millitaire avancée" consistait à la noyer sous une salve bien nourrie de coups de "feu" rapprochés pour pouvoir l'approcher en rendant difficile la riposte ou la fuite , et voir une fois arrivé là comment je la désarmerai. Force , ruse , distraction ? Sa poigne sur l'arme me semble ferme , probablement pas la première option.
Sans avertissement, je lève mon pistolet à eau, prenant une posture de tireur d'élite. Les gouttes d'eau dégoulinent le long du pistolet, prêtes à être libérées. Le bruit de l'océan en arrière-plan , une toile de fond parfaite pour notre affrontement aquatique. Un sourire espiègle se forme sur mon visage alors que mes doigts pressent la gâchette, libérant un puissant jet d'eau en direction d'Emily. Le projectile liquide fend l'air avec un sifflement léger, créant une trajectoire parabolique visant directement ma cible , l'eau fusante formant un arc gracieux avant de s'abattre sur elle. En plein visage , sans qu'elle ne puisse l'esquiver , comme prévu. Autant pour la déstabiliser afin de pouvoir évoluer plus rapidement vers elle que pour avoir le plaisir de me délecter de sa réaction de surprise.
Je profite des premières secondes de déstabilisation pour faire quelques pas rapides (enfin , aussi rapides que faire se peut sous l'eau) dans sa direction pour envisager la suite de mes attaques.
- Tu sais me parler aussi à ce que je vois. J'accepte évidemment. je marque une courte pause. Même dans le cas improbable ou je perds , je doute que ton gage me déplaise trop. Une tendance masochiste ? Peut-être , mais je l'imaginais assez mal m'infliger quelque chose qui pourrait réellement me nuire.
- Alors , à partir de maintenant , c'est la guerre. annonçais-je d'un ton exagérément cérémonieux.
Surtout si on considérait que ma "super tactique millitaire avancée" consistait à la noyer sous une salve bien nourrie de coups de "feu" rapprochés pour pouvoir l'approcher en rendant difficile la riposte ou la fuite , et voir une fois arrivé là comment je la désarmerai. Force , ruse , distraction ? Sa poigne sur l'arme me semble ferme , probablement pas la première option.
Sans avertissement, je lève mon pistolet à eau, prenant une posture de tireur d'élite. Les gouttes d'eau dégoulinent le long du pistolet, prêtes à être libérées. Le bruit de l'océan en arrière-plan , une toile de fond parfaite pour notre affrontement aquatique. Un sourire espiègle se forme sur mon visage alors que mes doigts pressent la gâchette, libérant un puissant jet d'eau en direction d'Emily. Le projectile liquide fend l'air avec un sifflement léger, créant une trajectoire parabolique visant directement ma cible , l'eau fusante formant un arc gracieux avant de s'abattre sur elle. En plein visage , sans qu'elle ne puisse l'esquiver , comme prévu. Autant pour la déstabiliser afin de pouvoir évoluer plus rapidement vers elle que pour avoir le plaisir de me délecter de sa réaction de surprise.
Je profite des premières secondes de déstabilisation pour faire quelques pas rapides (enfin , aussi rapides que faire se peut sous l'eau) dans sa direction pour envisager la suite de mes attaques.
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Kakeru te snobbe en #887AAF.
- Elizabeth M. JonesA l'université ; 1è année■ Age : 26■ Messages : 595■ Inscrit le : 24/12/2020■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-9
❖ Arrivé(e) en : Avril 2015
Ft. Kakeru Menma
Si Kakeru et toi n'avez jamais été les plus proches amis qui soient, tu le connais bien assez pour savoir qu'il ne saurait refuser un défi, encore plus s'il y a un gage à la clé. Il te rappelle quelqu'un sur ce point, et ce n'est pas pour te déplaire. Ça te fait sourire. Un sourire satisfait, un brin arrogant. Au moins, il a de l'espoir, comme si tu allais le laisser gagner aussi facilement. En réalité, tu te moques pas mal du résultat de ce petit jeu ; ce qui t'intéresse, c'est de passer un bon moment avec un bon pote. Alors tu comptes bien lui compliquer la tâche, le pousser dans ses limites. Après tout, il en aura bien besoin pour réussir son papillon, la prochaine fois.
Tu ne saurais dire combien de temps votre échange a duré mais s'il y a une chose dont tu es sûre, c'est que le temps est passé vite. Bien trop vite. C'est que tu as même arrêté de compter les points pour mieux profiter du moment présent, oublier les petits tracas du quotidien, et les évènements de la veille qui t'ont - visiblement - bien plus perturbée que tu ne l'aurais cru. Tu retombes en enfance, cette époque où tu étais pure et insouciante, où tu ne pensais à rien d'autre qu'à t'amuser. Ça fait du bien. Un bien fou.
▬ C'est bon, t'as gagné !
Tu ris doucement, détends tes muscles.
Tous ces petits coups bas t'ont fatiguée mais surtout, t'ont donné faim.
▬ Ça te dit qu'on aille manger quelque chose et qu'on se pose un peu ?
Tu n'attends pas vraiment sa réponse pour te diriger vers la plage et t'assoir sur ta serviette de place, rangeant ton arme près de ton sac. Le temps que Kakeru arrive, tu prends déjà les devants et prépares votre repas.
▬ Je t'avoue que je n'ai pas eu le temps de tout préparer moi-même. Alors j'ai piqué des trucs chez ma tante.
Et ta cousine en avait profité pour faire un scandale ; comment osais-tu aller voir un garçon sans elle, à la plage qui plus est ?
▬ En faite, tu as eu des nouvelles de Neil récemment ? C'est un peu compliqué de lui parler parfois, depuis son départ. Je sais qu'il n'y peut rien mais... Tu t'interromps, soupires.
Tu ne saurais dire combien de temps votre échange a duré mais s'il y a une chose dont tu es sûre, c'est que le temps est passé vite. Bien trop vite. C'est que tu as même arrêté de compter les points pour mieux profiter du moment présent, oublier les petits tracas du quotidien, et les évènements de la veille qui t'ont - visiblement - bien plus perturbée que tu ne l'aurais cru. Tu retombes en enfance, cette époque où tu étais pure et insouciante, où tu ne pensais à rien d'autre qu'à t'amuser. Ça fait du bien. Un bien fou.
▬ C'est bon, t'as gagné !
Tu ris doucement, détends tes muscles.
Tous ces petits coups bas t'ont fatiguée mais surtout, t'ont donné faim.
▬ Ça te dit qu'on aille manger quelque chose et qu'on se pose un peu ?
Tu n'attends pas vraiment sa réponse pour te diriger vers la plage et t'assoir sur ta serviette de place, rangeant ton arme près de ton sac. Le temps que Kakeru arrive, tu prends déjà les devants et prépares votre repas.
▬ Je t'avoue que je n'ai pas eu le temps de tout préparer moi-même. Alors j'ai piqué des trucs chez ma tante.
Et ta cousine en avait profité pour faire un scandale ; comment osais-tu aller voir un garçon sans elle, à la plage qui plus est ?
▬ En faite, tu as eu des nouvelles de Neil récemment ? C'est un peu compliqué de lui parler parfois, depuis son départ. Je sais qu'il n'y peut rien mais... Tu t'interromps, soupires.
Sans ambiguïté
Japonais en F79D6C - Anglais en A75502 - Français en ff9999
- Kakeru MenmaA l'université ; 4è année■ Age : 21■ Messages : 209■ Inscrit le : 13/06/2019■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 20 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-2
❖ Arrivé(e) en : Janvier 2016
Je m'amuse follement à la bataille d'eau avec Elizabeth, nos rires résonnant sur les vagues. Armés de nos pistolets, nous nous affrontons dans la mer, éclaboussant et criant, chaque éclat de rire ponctuant nos stratégies sournoises et nos contournements imaginaires des conventions de Genève. Le jeu est intense et palpitant, jusqu'à ce que la jolie brune, à bout de souffle, annonce son abandon.
« Je me demandais quand tu allais enfin l'admettre, t'avais plus vraiment le choix », je la taquine gentiment, bombant le torse avec une fierté exagérée. La vérité ? Je m'étais tellement pris au jeu que j'avais perdu le décompte des points, et cela m'était égal. Moi, le grand compétiteur, complètement absorbé par le plaisir du moment.
Indifférente à ma taquinerie, Elizabeth se dirige vers le rivage. Je reste quelques instants encore dans l'eau, reprenant mes esprits, alléché par la perspective d'un bon repas après tant d'efforts. Sorti de la mer, j’ébroue ma longue chevelure blonde et me sèche, prenant soin de flexer – autant pour exhiber ma serviette Hermès que mes biceps gonflés d’efforts.
Quand je la rejoins, le repas est déjà prêt. La bave aux lèvres, je m’apprête à la remercier pour cette délicate attention, mais son regard s’assombrit soudain et sa question me prend de court. Son soupir accentue mon propre air de désarroi. Bien sûr, Neil était censé être aussi son ami que le mien, mais...
Bien que je n’aie jamais clairement eu la confirmation de mes soupçons concernant leur proximité, il ne les avait jamais démentisnon plus. Son air peiné éveille en moi une petite pointe brûlante au cœur de... jalousie ? Non, c’est ridicule. Je me reprends.
« Essaie de pas trop t'en faire pour lui. J'ai rien eu pendant un moment, mais il n’avait pas le droit au portable, comme un collégien. Il l'a récupéré, mais Monsieur le business boy est bien occupé, et il a toujours ce cher papounet sur le dos », je lance, une ironie glaciale teintant mes derniers mots. Je ne haïssais pas autant son paternel que lui, évidemment, mais la part qu'il avait prise dans la destruction de ma famille et de notre amitié faisait que je ne le portais pas dans mon cœur.
« On n’a pas le temps de tchatcher toute la journée, mais j’arrive à avoir de ses nouvelles parfois. Il m’envoie des petits messages pour me rappeler qu’il est en vie... » Avec un petit sourire, je fouille dans mon sac, en sors mon téléphone et mes lunettes de soleil Prada que j’enfile au passage. Je déverrouille mon téléphone pour lui montrer le dernier message reçu de Neil : « Oublie pas que j'suis plus stylé que toi ». Envoyé un random mardi matin. Du Neil tout craché.
« ...donc je suppose qu’il va bien. Et puis, il vient nous rendre visite en août, on pourra s'entretenir avec lui de vive voix, c’est plus si long... » Je pose une main réconfortante sur son épaule et lui offre un sourire compatissant avant de m’asseoir près d’elle. « Sur ce, si on cassait la croûte pour se remonter le moral ? On peut décaler au bar, si ça suffit pas . J'invite. ». (Comme si je n'avais pas cette pensée en tête depuis le début).
« Je me demandais quand tu allais enfin l'admettre, t'avais plus vraiment le choix », je la taquine gentiment, bombant le torse avec une fierté exagérée. La vérité ? Je m'étais tellement pris au jeu que j'avais perdu le décompte des points, et cela m'était égal. Moi, le grand compétiteur, complètement absorbé par le plaisir du moment.
Indifférente à ma taquinerie, Elizabeth se dirige vers le rivage. Je reste quelques instants encore dans l'eau, reprenant mes esprits, alléché par la perspective d'un bon repas après tant d'efforts. Sorti de la mer, j’ébroue ma longue chevelure blonde et me sèche, prenant soin de flexer – autant pour exhiber ma serviette Hermès que mes biceps gonflés d’efforts.
Quand je la rejoins, le repas est déjà prêt. La bave aux lèvres, je m’apprête à la remercier pour cette délicate attention, mais son regard s’assombrit soudain et sa question me prend de court. Son soupir accentue mon propre air de désarroi. Bien sûr, Neil était censé être aussi son ami que le mien, mais...
Bien que je n’aie jamais clairement eu la confirmation de mes soupçons concernant leur proximité, il ne les avait jamais démentisnon plus. Son air peiné éveille en moi une petite pointe brûlante au cœur de... jalousie ? Non, c’est ridicule. Je me reprends.
« Essaie de pas trop t'en faire pour lui. J'ai rien eu pendant un moment, mais il n’avait pas le droit au portable, comme un collégien. Il l'a récupéré, mais Monsieur le business boy est bien occupé, et il a toujours ce cher papounet sur le dos », je lance, une ironie glaciale teintant mes derniers mots. Je ne haïssais pas autant son paternel que lui, évidemment, mais la part qu'il avait prise dans la destruction de ma famille et de notre amitié faisait que je ne le portais pas dans mon cœur.
« On n’a pas le temps de tchatcher toute la journée, mais j’arrive à avoir de ses nouvelles parfois. Il m’envoie des petits messages pour me rappeler qu’il est en vie... » Avec un petit sourire, je fouille dans mon sac, en sors mon téléphone et mes lunettes de soleil Prada que j’enfile au passage. Je déverrouille mon téléphone pour lui montrer le dernier message reçu de Neil : « Oublie pas que j'suis plus stylé que toi ». Envoyé un random mardi matin. Du Neil tout craché.
« ...donc je suppose qu’il va bien. Et puis, il vient nous rendre visite en août, on pourra s'entretenir avec lui de vive voix, c’est plus si long... » Je pose une main réconfortante sur son épaule et lui offre un sourire compatissant avant de m’asseoir près d’elle. « Sur ce, si on cassait la croûte pour se remonter le moral ? On peut décaler au bar, si ça suffit pas . J'invite. ». (Comme si je n'avais pas cette pensée en tête depuis le début).
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Kakeru te snobbe en #887AAF.
- Elizabeth M. JonesA l'université ; 1è année■ Age : 26■ Messages : 595■ Inscrit le : 24/12/2020■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-9
❖ Arrivé(e) en : Avril 2015
Ft. Kakeru Menma
Ne pas trop t'en faire. T'inquiéter ne sert à rien, tu le sais ; ce n'est pas ça qui le sortira de ses problèmes. Mais peut-on réellement parler d'inquiétude ? C'est surtout qu'il te manque. Il a beau avoir enchaîné bêtises sur bêtises (jusqu'à perdre ses privilèges), Neil fait parti de ta vie. C'est un ami précieux, un ami qui te connaît mieux que quiconque, à bien des niveaux. Forcément, tu as envie de lui parler, d'avoir davantage de nouvelles, de l'avoir à nouveau près de toi.
▬ Eh bien, je suppose que si certains riches savent se moderniser et s'éloigner des clichés, d'autres ont encore besoin de tout contrôler.
Avoir un père comme celui de Neil, tu ne sais pas ce que cela implique. Juste à travers les mots. Le tien n'est pas du genre à te gâter plus que nécessaire, mais il ne t'a jamais rien refusé non plus. Juste parce qu'il n'a pas voulu faire de toi une pourrie-gâtée. Non. Il voulait que tu deviennes une femme indépendante, juste et respectueuse. Ce qui signifie aussi : Ne pas jeter l'argent par les fenêtres quand d'autres travaillent dur pour en gagner, ou meurent de faim. Jamais il n'a eu à te priver de quoi que ce soit.
▬ Ça lui ressemble bien. dis-tu, sourire amusé au coin des lèvres lorsque Kakeru te montre le dernier message du blond.
Tu hausses ensuite les épaules, pour t'aider à reprendre contenance, faire comme si tout allait bien. La proposition de Kakeru t'aide beaucoup, il faut l'admettre. Là, ça te parle.
▬ C'est ça, fais comme si tu n'y pensais pas depuis le début. dis-tu avec ironie. ▬ Mais si c'est toi qui offres, comment refuser ? J'espère qu'il n'y a pas de limite à ta carte de banque.
(...) Le reste de l'après-midi fut assez calme. Tu as continué de l'entraîner, de voir s'il appliquait bien tes conseils. Et tu notes qu'il progresse assez rapidement, l'air de rien. Quelque petits jeux ici et là, tels des enfants, puis vous avez remballé vos affaires que vous avez été ranger dans ta voiture.
Et maintenant, direction le bar. À croire que tu ne t'en lasseras jamais. Évidemment, tu laisses Kakeru choisir ta première boisson, tout en précisant qu'il n'a pas intérêt à te décevoir.
▬ Eh bien, je suppose que si certains riches savent se moderniser et s'éloigner des clichés, d'autres ont encore besoin de tout contrôler.
Avoir un père comme celui de Neil, tu ne sais pas ce que cela implique. Juste à travers les mots. Le tien n'est pas du genre à te gâter plus que nécessaire, mais il ne t'a jamais rien refusé non plus. Juste parce qu'il n'a pas voulu faire de toi une pourrie-gâtée. Non. Il voulait que tu deviennes une femme indépendante, juste et respectueuse. Ce qui signifie aussi : Ne pas jeter l'argent par les fenêtres quand d'autres travaillent dur pour en gagner, ou meurent de faim. Jamais il n'a eu à te priver de quoi que ce soit.
▬ Ça lui ressemble bien. dis-tu, sourire amusé au coin des lèvres lorsque Kakeru te montre le dernier message du blond.
Tu hausses ensuite les épaules, pour t'aider à reprendre contenance, faire comme si tout allait bien. La proposition de Kakeru t'aide beaucoup, il faut l'admettre. Là, ça te parle.
▬ C'est ça, fais comme si tu n'y pensais pas depuis le début. dis-tu avec ironie. ▬ Mais si c'est toi qui offres, comment refuser ? J'espère qu'il n'y a pas de limite à ta carte de banque.
(...) Le reste de l'après-midi fut assez calme. Tu as continué de l'entraîner, de voir s'il appliquait bien tes conseils. Et tu notes qu'il progresse assez rapidement, l'air de rien. Quelque petits jeux ici et là, tels des enfants, puis vous avez remballé vos affaires que vous avez été ranger dans ta voiture.
Et maintenant, direction le bar. À croire que tu ne t'en lasseras jamais. Évidemment, tu laisses Kakeru choisir ta première boisson, tout en précisant qu'il n'a pas intérêt à te décevoir.
Sans ambiguïté
Japonais en F79D6C - Anglais en A75502 - Français en ff9999
- Kakeru MenmaA l'université ; 4è année■ Age : 21■ Messages : 209■ Inscrit le : 13/06/2019■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 20 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-2
❖ Arrivé(e) en : Janvier 2016
Le reste de l’après-midi s’est déroulé dans une tranquillité que j’ai appréciée. Après les rires et la bataille d’eau, j’ai continué à m'entraîner sous l'égide d'Elizabeth, On a de nouveau joué un peu, comme des gamins, avant de finalement remballer nos affaires.
Sur le chemin vers le bar, alors que nous discutions légèrement , je me suis senti soudain d’humeur à braver quelques règles. Cela avait-il un rapport avec la présence féminine à mes côtés et l'envie de me donner une aura désinvolte ? Peut-être. Ce n’est pas dans mes habitudes, mais je sors une clope, malgré l'interdiction qui règne dans les rues. Cette action confirmait au passage le fait que ma "carte bancaire n’avait pas de limite", que l'amende de 300 000 ¥ n’aurait aucun impact sur moi. Une broutille . Cette perspective ajoutait à ce sentiment d’insolence tranquille.
Le moment où j’allume la fameuse cigarette, c’est comme si le monde autour de moi ralentissait un instant. La rue est animée, mais je n’y prête qu’à moitié attention, trop absorbé par ce geste. Je tire une première bouffée, sentant la chaleur du tabac envahir ma gorge, et je laisse la fumée s'échapper lentement, formant un nuage léger qui se dissipe dans l'air.
Je sens les regards glisser sur moi, quelques passants froncent les sourcils ou me lancent des regartds réprobateurs au passage, visiblement agacés par ce geste interdit. Je tire une autre bouffée, un sourire en coin, profitant de ce petit frisson de rebéllion comme un adolescent attardé, il faut le reconnaître. Voilà ce qu'il en était de cette révolution silencieuse. Je replaçais gentiment le filtre de la cigarette consumée dans ma petite pochette prévue à cette effet pour le jeter correctement plus tard, en total contraste avec mes actes d'avant. Malgré mes vélléités bravaches , j'étais tout de même plutôt soulagé de ne pas avoir croisé de policiers. C’aurait été ennuyeux de perdre du temps avec ça.
Finalement, nous atteignons le bar que j'avais en tête, un de ces établissements chics de la ville, huppé, un peu sélect. L'endroit était impeccable , l’éclairage tamisé, la musique subtile, et les banquettes en cuir noir semblaient inviter à se détendre. Juste ce qu’il faut pour sentir qu’on est dans un lieu privilégié , où chaque détail à été pensé et parfait pour donner la meilleure expérience au client.
Elizabeth me laisse le choix de sa première boisson, précisant qu’elle comptait sur moi pour ne pas la décevoir. Bien sûr, je savais exactement ce qu’elle entendait par là. Je ne pouvais pas me permettre un choix basique ou trop évident. Après notre après-midi à la plage, un vulgaire Sex on the Beach aurait été franchement de trop, même si l’idée m’avait brièvement traversé l’esprit, avec une pointe de mon humour graveleux habituel.
Je me penche légèrement vers elle, souriant en coin, flirtant sans en faire trop. « T’inquiète pas, je vais trouver quelque chose à la hauteur », affirmais-je, sûr de moi. Il me fallait un cocktail sophistiqué, assez raffiné pour lui plaire, mais avec une touche d’originalité, histoire de montrer que j’avais pris sa demande au sérieux.
Je commence à feuilletter la carte des cocktails en quête de l’option parfaite pour Elizabeth. Le papier épais, presque granuleux sous mes doigts, sentait l'encre fraîche et la reliure en cuir patiné. Les noms des boissons y étaient calligraphiés avec soin, accompagnés de descriptions poétiques, presque alambiquées qui se révélaient sous La lumière tamisée, diffusée par des suspensions en cristal, qui se reflètait subtilement sur les couverts argentés posés avec une précision géométrique sur la table en bois verni. Tout ici est un jeu d’ombres et de textures ; chaque détail suinte le raffinement sans ostentation excessive.
Je fais glisser mon regard sur la carte, réfléchissant à ce qui conviendrait à Elizabeth. Pas un cocktail basique, ni trop commun. Elle mérite mieux. Je tombe alors sur un nom intrigant : le Lunar Whisper. Une boisson subtile, à base de liqueur de fleurs de cerisier, gin infusé au jasmin et une touche de sirop de yuzu. La description promet un équilibre délicat entre douceur florale et acidité vive, avec une brume glacée qui s’échappe du verre à chaque gorgée. Parfait pour elle.
Quant à moi, je n’hésite pas longtemps. Je commande un Old Smoky Dragon, un cocktail à base de whisky tourbé, de liqueur de café noir et de bitters. Il y a même une note de piment infusé, et, pour couronner le tout, la surface du verre est enflammée brièvement lors du service. Clairement, une boisson de "bonhomme". Un classique réinventé avec une touche de spectacle, exactement ce qu’il me faut.
Le serveur, impeccablement habillé dans son uniforme noir et blanc, se tient droit, prêt à prendre la commande avec cette politesse froide et maîtrisée propre aux endroits de standing. Je lève les yeux de la carte et lui adresse un sourire avant de passer commande d’un ton assuré, refermant la carte avec un léger claquement. Il acquiesça d’un hochement de tête, notant discrètement la commande sur son petit carnet avant de disparaître aussi rapidement et silencieusement qu’il était venu.
L’attente fut courte, mais juste assez conséquente pour faire monter une légère anticipation. Lorsque le serveur revient avec le plateau je suis immédiatement frappé par la présentation des boissons.
Le cocktail d’Elizabeth, le Lunar Whisper, est servi dans un verre fin, presque éthéré, avec une brume blanche qui s’échappe doucement du liquide d’un bleu pâle. La surface est décorée de pétales de fleurs de cerisier, flottant délicatement comme une invitation au rêve. Le verre lui-même semble froid au toucher, entouré d’un halo de fumée qui s’élève lentement, donnant l’impression que le temps s'est arrêté juste pour ce moment.
Quant au Old Smoky Dragon que j’ai commandé, il arrive dans un verre large et épais, d'un brun ambré, mais la première chose qui me frappe, c’est le petit incendie qui danse à la surface. L’alcool s’enflamme dans un doux crépitement , laissant une légère fumée boisée. L’odeur du whisky tourbé se mêle à celle du café noir et du piment, promettant une intensité brutale et corsée.
« J’espère que je n’ai pas raté mon coup. », lançais-je avec un sourire amusé, levant mon propre verre pour trinquer. "Tu m'en diras des nouvelles." annonçais-je avec un petit sourire en coin malicieux.
Elle était belle dans cette ambiance, aussi à l’aise qu’elle l’avait été sur la plage, mais avec une élégance qui collait parfaitement à l’endroit. Cela me plaisait.
Sur le chemin vers le bar, alors que nous discutions légèrement , je me suis senti soudain d’humeur à braver quelques règles. Cela avait-il un rapport avec la présence féminine à mes côtés et l'envie de me donner une aura désinvolte ? Peut-être. Ce n’est pas dans mes habitudes, mais je sors une clope, malgré l'interdiction qui règne dans les rues. Cette action confirmait au passage le fait que ma "carte bancaire n’avait pas de limite", que l'amende de 300 000 ¥ n’aurait aucun impact sur moi. Une broutille . Cette perspective ajoutait à ce sentiment d’insolence tranquille.
Le moment où j’allume la fameuse cigarette, c’est comme si le monde autour de moi ralentissait un instant. La rue est animée, mais je n’y prête qu’à moitié attention, trop absorbé par ce geste. Je tire une première bouffée, sentant la chaleur du tabac envahir ma gorge, et je laisse la fumée s'échapper lentement, formant un nuage léger qui se dissipe dans l'air.
Je sens les regards glisser sur moi, quelques passants froncent les sourcils ou me lancent des regartds réprobateurs au passage, visiblement agacés par ce geste interdit. Je tire une autre bouffée, un sourire en coin, profitant de ce petit frisson de rebéllion comme un adolescent attardé, il faut le reconnaître. Voilà ce qu'il en était de cette révolution silencieuse. Je replaçais gentiment le filtre de la cigarette consumée dans ma petite pochette prévue à cette effet pour le jeter correctement plus tard, en total contraste avec mes actes d'avant. Malgré mes vélléités bravaches , j'étais tout de même plutôt soulagé de ne pas avoir croisé de policiers. C’aurait été ennuyeux de perdre du temps avec ça.
Finalement, nous atteignons le bar que j'avais en tête, un de ces établissements chics de la ville, huppé, un peu sélect. L'endroit était impeccable , l’éclairage tamisé, la musique subtile, et les banquettes en cuir noir semblaient inviter à se détendre. Juste ce qu’il faut pour sentir qu’on est dans un lieu privilégié , où chaque détail à été pensé et parfait pour donner la meilleure expérience au client.
Elizabeth me laisse le choix de sa première boisson, précisant qu’elle comptait sur moi pour ne pas la décevoir. Bien sûr, je savais exactement ce qu’elle entendait par là. Je ne pouvais pas me permettre un choix basique ou trop évident. Après notre après-midi à la plage, un vulgaire Sex on the Beach aurait été franchement de trop, même si l’idée m’avait brièvement traversé l’esprit, avec une pointe de mon humour graveleux habituel.
Je me penche légèrement vers elle, souriant en coin, flirtant sans en faire trop. « T’inquiète pas, je vais trouver quelque chose à la hauteur », affirmais-je, sûr de moi. Il me fallait un cocktail sophistiqué, assez raffiné pour lui plaire, mais avec une touche d’originalité, histoire de montrer que j’avais pris sa demande au sérieux.
Je commence à feuilletter la carte des cocktails en quête de l’option parfaite pour Elizabeth. Le papier épais, presque granuleux sous mes doigts, sentait l'encre fraîche et la reliure en cuir patiné. Les noms des boissons y étaient calligraphiés avec soin, accompagnés de descriptions poétiques, presque alambiquées qui se révélaient sous La lumière tamisée, diffusée par des suspensions en cristal, qui se reflètait subtilement sur les couverts argentés posés avec une précision géométrique sur la table en bois verni. Tout ici est un jeu d’ombres et de textures ; chaque détail suinte le raffinement sans ostentation excessive.
Je fais glisser mon regard sur la carte, réfléchissant à ce qui conviendrait à Elizabeth. Pas un cocktail basique, ni trop commun. Elle mérite mieux. Je tombe alors sur un nom intrigant : le Lunar Whisper. Une boisson subtile, à base de liqueur de fleurs de cerisier, gin infusé au jasmin et une touche de sirop de yuzu. La description promet un équilibre délicat entre douceur florale et acidité vive, avec une brume glacée qui s’échappe du verre à chaque gorgée. Parfait pour elle.
Quant à moi, je n’hésite pas longtemps. Je commande un Old Smoky Dragon, un cocktail à base de whisky tourbé, de liqueur de café noir et de bitters. Il y a même une note de piment infusé, et, pour couronner le tout, la surface du verre est enflammée brièvement lors du service. Clairement, une boisson de "bonhomme". Un classique réinventé avec une touche de spectacle, exactement ce qu’il me faut.
Le serveur, impeccablement habillé dans son uniforme noir et blanc, se tient droit, prêt à prendre la commande avec cette politesse froide et maîtrisée propre aux endroits de standing. Je lève les yeux de la carte et lui adresse un sourire avant de passer commande d’un ton assuré, refermant la carte avec un léger claquement. Il acquiesça d’un hochement de tête, notant discrètement la commande sur son petit carnet avant de disparaître aussi rapidement et silencieusement qu’il était venu.
L’attente fut courte, mais juste assez conséquente pour faire monter une légère anticipation. Lorsque le serveur revient avec le plateau je suis immédiatement frappé par la présentation des boissons.
Le cocktail d’Elizabeth, le Lunar Whisper, est servi dans un verre fin, presque éthéré, avec une brume blanche qui s’échappe doucement du liquide d’un bleu pâle. La surface est décorée de pétales de fleurs de cerisier, flottant délicatement comme une invitation au rêve. Le verre lui-même semble froid au toucher, entouré d’un halo de fumée qui s’élève lentement, donnant l’impression que le temps s'est arrêté juste pour ce moment.
Quant au Old Smoky Dragon que j’ai commandé, il arrive dans un verre large et épais, d'un brun ambré, mais la première chose qui me frappe, c’est le petit incendie qui danse à la surface. L’alcool s’enflamme dans un doux crépitement , laissant une légère fumée boisée. L’odeur du whisky tourbé se mêle à celle du café noir et du piment, promettant une intensité brutale et corsée.
« J’espère que je n’ai pas raté mon coup. », lançais-je avec un sourire amusé, levant mon propre verre pour trinquer. "Tu m'en diras des nouvelles." annonçais-je avec un petit sourire en coin malicieux.
Elle était belle dans cette ambiance, aussi à l’aise qu’elle l’avait été sur la plage, mais avec une élégance qui collait parfaitement à l’endroit. Cela me plaisait.
Citation
Kakeru te snobbe en #887AAF.
- Elizabeth M. JonesA l'université ; 1è année■ Age : 26■ Messages : 595■ Inscrit le : 24/12/2020■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 22 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-9
❖ Arrivé(e) en : Avril 2015
Ft. Kakeru Menma
Une fois le soleil bas dans le ciel, dans ces lieux qui créent complicité et bien-être le temps d'un soir, tu juges ton interlocuteur à ce qu'il propose de t'offrir. Et ça, Kakeru l'a parfaitement compris, se prêtant au jeu, jeu dont l'issue pourrait être déterminante pour la suite. Tu ne te considères pas particulièrement comme quelqu'un de compliqué, loin de là, mais n'empêche que tu as toi aussi tes exigences. À quel point Kakeru pense t'avoir cerné lorsqu'il affirme pouvoir trouver quelque chose à la hauteur de tes attentes ? T'es curieuse. Mais plus encore, tu t'arranges pour ne lui laisser aucun indice, ne prêtant pas attention à la carte pourtant bien soignée. Non, tu regardes plutôt autour de toi, admirant la beauté des lieux. Heureusement que tu avais prévu une tenue correcte et même adaptée, juste au cas où. Tu te serais sentie bien mal à la l'aise avec une simple robe de plage. Peut-être même que vous ne seriez jamais rentrés et ce malgré les chiffres présents sur vos comptes en banque.
Il ne faut pas longtemps au serveur pour venir prendre vos commandes avant de repartir derrière le bar, te faisant doucement sourire. Ce genre d'endroit ne t'est pas étranger, et nombreux sont ceux qui ont tendance à l'oublier dans ton entourage. Sans doute parce que tu n'exposes pas ton argent comme certains n'hésitent pas à le faire dès que l'occasion se présente. Sans doute parce que tu ne te prends pas pour la reine d'Angleterre. Sans doute parce que tu ne te soucies pas des revenus de chacun, ni de leur héritage. Parce que c'est comme ça que tes parents t'ont élevée.
Au bout de quelques minutes, le serveur revient avec vos verres et tu le gratifies d'un sourire poli. Tu prends le temps de d'observer ta boisson, de sentir, de faire tourner délicatement le liquide.
▬ À première vue, je n'ai pas de raison d'être déçue. dis-tu en levant ton verre pour trinquer, le sourire charmeur, avant de prendre une première gorgée.
C'est délicat et raffiné. À la fois doux et acide. Ça te plaît, et tu le fais rapidement savoir au jeune homme assis en face de toi.
▬ Tu essaies de me cerner depuis longtemps ou tu es juste doué ?
Les yeux qui débordent de malice, tu pointes son verre du doigt.
▬ Je peux goûter ?
Bien entendu, il accepte. Tu saisis son verre, lui proposes de goûter le tien par la même occasion.
C'est... tout autre chose. Bien plus fort. Bien moins subtile. Mais tout aussi plaisant.
▬ Si je ne devais pas nous ramener sains et saufs au campus, je me serais bien laissée tenter.
Tu lui rends son verre, demeures silencieuse pendant quelques instants, jouant avec ton verre, avant de reprendre la parole.
▬ Dis, Kakeru, est-ce que tout va bien ? Je te trouve... plus calme que d'ordinaire, ces derniers temps.
Il ne faut pas longtemps au serveur pour venir prendre vos commandes avant de repartir derrière le bar, te faisant doucement sourire. Ce genre d'endroit ne t'est pas étranger, et nombreux sont ceux qui ont tendance à l'oublier dans ton entourage. Sans doute parce que tu n'exposes pas ton argent comme certains n'hésitent pas à le faire dès que l'occasion se présente. Sans doute parce que tu ne te prends pas pour la reine d'Angleterre. Sans doute parce que tu ne te soucies pas des revenus de chacun, ni de leur héritage. Parce que c'est comme ça que tes parents t'ont élevée.
Au bout de quelques minutes, le serveur revient avec vos verres et tu le gratifies d'un sourire poli. Tu prends le temps de d'observer ta boisson, de sentir, de faire tourner délicatement le liquide.
▬ À première vue, je n'ai pas de raison d'être déçue. dis-tu en levant ton verre pour trinquer, le sourire charmeur, avant de prendre une première gorgée.
C'est délicat et raffiné. À la fois doux et acide. Ça te plaît, et tu le fais rapidement savoir au jeune homme assis en face de toi.
▬ Tu essaies de me cerner depuis longtemps ou tu es juste doué ?
Les yeux qui débordent de malice, tu pointes son verre du doigt.
▬ Je peux goûter ?
Bien entendu, il accepte. Tu saisis son verre, lui proposes de goûter le tien par la même occasion.
C'est... tout autre chose. Bien plus fort. Bien moins subtile. Mais tout aussi plaisant.
▬ Si je ne devais pas nous ramener sains et saufs au campus, je me serais bien laissée tenter.
Tu lui rends son verre, demeures silencieuse pendant quelques instants, jouant avec ton verre, avant de reprendre la parole.
▬ Dis, Kakeru, est-ce que tout va bien ? Je te trouve... plus calme que d'ordinaire, ces derniers temps.
Sans ambiguïté
Japonais en F79D6C - Anglais en A75502 - Français en ff9999
- Kakeru MenmaA l'université ; 4è année■ Age : 21■ Messages : 209■ Inscrit le : 13/06/2019■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 20 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-2
❖ Arrivé(e) en : Janvier 2016
Le serveur repart à pas feutrés, et je me cale un peu plus confortablement sur ma chaise en attrapant mon verre, intrigué par l’éclat chaleureux de l’alcool ambré. Je regarde Elizabeth prendre le sien, attentive, le détaillant comme si elle lisait un livre précieux. Sa remarque me tire un sourire, que je dissimule en portant mon verre à mes lèvres. Elle lève le sien pour trinquer, et je réponds au geste, le cristal fin émettant un léger tintement.
Lorsqu’elle prend la parole, je sens la malice dans son regard, une pointe de défi peut-être.
— Doué, évidemment, je rétorque avec une lueur amusée dans les yeux. Mais je sens que j'ai encore beaucoup à découvrir ... je fais remarquer, d'un ton impliquant que j'avais bien l'intention de m'occuper de ça.
Puis elle pointe mon verre et demande si elle peut goûter. Pas besoin de réfléchir, j’incline la tête dans un geste d’invitation. Elle prend mon verre entre ses doigts, et en échange, je récupère le sien. Je lève un sourcil en prenant une gorgée. « Pas mal, vraiment », je concède, avant de faire tourner le verre entre mes mains. Le Lunar Whisper est exactement comme je l’imaginais : Ça lui ressemble.
Elle goûte au Old Smoky Dragon et je ne peux m’empêcher de sourire en voyant sa réaction. Elle le trouve fort, mais semble l'apprécier tout de même.
— J'accepte le sacrifice de jouer aux Sam la prochaine fois. Si jamais tu veux te laisser tenter , tu sais où me trouver.
Elle me rend mon verre et je lui rends le sien, nos doigts se frôlant brièvement. Le silence s’installe un instant, mais pas un silence gênant. Elle joue distraitement avec son verre, et je sens que quelque chose se prépare. Lorsqu’elle reprend la parole, sa question me prend légèrement de court.
— Calme, moi ? Je me penche un peu en avant, un sourire mi-figue mi-raisin. — Tu trouves vraiment ? Peut-être que je me bonifie avec le temps, comme un bon whisky ?
Je m’enfonce à nouveau dans ma chaise, posant mon verre devant moi, prenant le temps de réfléchir. Son regard me fixe, sincère, et je sais qu’elle attend une vraie réponse. Je soupire doucement, pas d’agacement, mais pour m’accorder une pause.
— C’est vrai que je suis un peu plus... posé, peut-être. Par moments. Disons que je réfléchis beaucoup ces derniers temps. Pas sur quelque chose de précis, hein, juste... la vie, les projets, ce genre de trucs. C’est pas vraiment mon genre de m’étaler là-dessus, mais t’inquiète pas, tout va bien.
Je termine avec un sourire un brin désinvolte, espérant détourner l’attention de cette petite ouverture que je viens de lui offrir. Pour moi, ça suffit. Je prends une longue gorgée de mon Old Smoky Dragon, laissant l’âpreté du whisky tourbé mordre un instant avant de s'adoucir sur ma langue. Je comprends bien qu'un simple sourire en coin et une pirouette ne suffiront pas. Elle attend quelque chose de vrai, et pour une fois, je sens que je ne peux pas l’esquiver.
Je joue également avec mon verre un instant, le faisant tourner doucement entre mes doigts. Je n’aime pas vraiment m’étaler sur ce genre de choses, encore moins montrer des failles. Mais en la regardant, je réalise qu’elle n’est pas là pour juger ou me classer dans une quelconque hiérarchie sociale.
— Bon, écoute, je vais être honnête, je lâche finalement, ma voix un peu plus basse qu’à l’ordinaire. J’ai quelques trucs familiaux en ce moment qui me tournent en tête. Rien d’apocalyptique, mais... disons que ça pèse un peu sur le cœur.
Je marque une pause, cherchant mes mots. Mon instinct me hurle de garder ça pour moi, de ne pas trop m'exposer, mais une autre part, plus rationnelle, me dit qu'il n'y a aucun danger à lui parler. Je ne voulais pas le mentionner pour ne pas paraître faible , avant de me rendre compte que je n'étais pas censé être là dans un rapport de séduction mais d'amitié et que je n'avais donc aucune excuse de vouloir jouer de bravaches et d'abuser d'autres stratagèmes . A contre-coeur, je me force à sortir les mots , comme pour auto-saboter la situation et me prouver que je n'essayais pas de la séduire, au fond, malgré ce que je me racontais.
— Bref, rien de nouveau sous le soleil, mais dernièrement, ça remue un peu plus que d’habitude. Des conflits à régler, des morceaux à recoller. Tu sais, le genre de trucs qui te rappellent pourquoi tu préfères garder tes distances.
Ma voix se durcit malgré moi sur la fin. Je prends une autre gorgée, plus courte, pour me calmer. Je ris doucement, un rire sans chaleur mais sans amertume non plus. Je lui adresse un sourire, mais il est un peu plus fatigué qu'amusé cette fois.
— Désolé, ça fait un peu lourd comme confession pour un verre, hein ? Je voulais pas plomber l’ambiance ... mais... merci d’avoir demandé. Ça me fait du bien d’en parler un peu, en fait. Et surtout qu'elle l'ait remarqué. Heureusement , j'avais su fermer les vannes et m'arrêter avant d'entrer dans les réels détails de la situation. Je ne m'étais pas rendu compte que j'avais tant de rancœur qui n'attendait que d'être déversée.
Je reprends mon verre et le lève légèrement pour changer de sujet.
— Allez, trinquons quand même à quelque chose. À... au fait d’être là, simplement. Ça compte, non ? Ceci fait, j'ajoute : Assez parlé de moi , comment tu te portes, toi ?
Lorsqu’elle prend la parole, je sens la malice dans son regard, une pointe de défi peut-être.
— Doué, évidemment, je rétorque avec une lueur amusée dans les yeux. Mais je sens que j'ai encore beaucoup à découvrir ... je fais remarquer, d'un ton impliquant que j'avais bien l'intention de m'occuper de ça.
Puis elle pointe mon verre et demande si elle peut goûter. Pas besoin de réfléchir, j’incline la tête dans un geste d’invitation. Elle prend mon verre entre ses doigts, et en échange, je récupère le sien. Je lève un sourcil en prenant une gorgée. « Pas mal, vraiment », je concède, avant de faire tourner le verre entre mes mains. Le Lunar Whisper est exactement comme je l’imaginais : Ça lui ressemble.
Elle goûte au Old Smoky Dragon et je ne peux m’empêcher de sourire en voyant sa réaction. Elle le trouve fort, mais semble l'apprécier tout de même.
— J'accepte le sacrifice de jouer aux Sam la prochaine fois. Si jamais tu veux te laisser tenter , tu sais où me trouver.
Elle me rend mon verre et je lui rends le sien, nos doigts se frôlant brièvement. Le silence s’installe un instant, mais pas un silence gênant. Elle joue distraitement avec son verre, et je sens que quelque chose se prépare. Lorsqu’elle reprend la parole, sa question me prend légèrement de court.
— Calme, moi ? Je me penche un peu en avant, un sourire mi-figue mi-raisin. — Tu trouves vraiment ? Peut-être que je me bonifie avec le temps, comme un bon whisky ?
Je m’enfonce à nouveau dans ma chaise, posant mon verre devant moi, prenant le temps de réfléchir. Son regard me fixe, sincère, et je sais qu’elle attend une vraie réponse. Je soupire doucement, pas d’agacement, mais pour m’accorder une pause.
— C’est vrai que je suis un peu plus... posé, peut-être. Par moments. Disons que je réfléchis beaucoup ces derniers temps. Pas sur quelque chose de précis, hein, juste... la vie, les projets, ce genre de trucs. C’est pas vraiment mon genre de m’étaler là-dessus, mais t’inquiète pas, tout va bien.
Je termine avec un sourire un brin désinvolte, espérant détourner l’attention de cette petite ouverture que je viens de lui offrir. Pour moi, ça suffit. Je prends une longue gorgée de mon Old Smoky Dragon, laissant l’âpreté du whisky tourbé mordre un instant avant de s'adoucir sur ma langue. Je comprends bien qu'un simple sourire en coin et une pirouette ne suffiront pas. Elle attend quelque chose de vrai, et pour une fois, je sens que je ne peux pas l’esquiver.
Je joue également avec mon verre un instant, le faisant tourner doucement entre mes doigts. Je n’aime pas vraiment m’étaler sur ce genre de choses, encore moins montrer des failles. Mais en la regardant, je réalise qu’elle n’est pas là pour juger ou me classer dans une quelconque hiérarchie sociale.
— Bon, écoute, je vais être honnête, je lâche finalement, ma voix un peu plus basse qu’à l’ordinaire. J’ai quelques trucs familiaux en ce moment qui me tournent en tête. Rien d’apocalyptique, mais... disons que ça pèse un peu sur le cœur.
Je marque une pause, cherchant mes mots. Mon instinct me hurle de garder ça pour moi, de ne pas trop m'exposer, mais une autre part, plus rationnelle, me dit qu'il n'y a aucun danger à lui parler. Je ne voulais pas le mentionner pour ne pas paraître faible , avant de me rendre compte que je n'étais pas censé être là dans un rapport de séduction mais d'amitié et que je n'avais donc aucune excuse de vouloir jouer de bravaches et d'abuser d'autres stratagèmes . A contre-coeur, je me force à sortir les mots , comme pour auto-saboter la situation et me prouver que je n'essayais pas de la séduire, au fond, malgré ce que je me racontais.
— Bref, rien de nouveau sous le soleil, mais dernièrement, ça remue un peu plus que d’habitude. Des conflits à régler, des morceaux à recoller. Tu sais, le genre de trucs qui te rappellent pourquoi tu préfères garder tes distances.
Ma voix se durcit malgré moi sur la fin. Je prends une autre gorgée, plus courte, pour me calmer. Je ris doucement, un rire sans chaleur mais sans amertume non plus. Je lui adresse un sourire, mais il est un peu plus fatigué qu'amusé cette fois.
— Désolé, ça fait un peu lourd comme confession pour un verre, hein ? Je voulais pas plomber l’ambiance ... mais... merci d’avoir demandé. Ça me fait du bien d’en parler un peu, en fait. Et surtout qu'elle l'ait remarqué. Heureusement , j'avais su fermer les vannes et m'arrêter avant d'entrer dans les réels détails de la situation. Je ne m'étais pas rendu compte que j'avais tant de rancœur qui n'attendait que d'être déversée.
Je reprends mon verre et le lève légèrement pour changer de sujet.
— Allez, trinquons quand même à quelque chose. À... au fait d’être là, simplement. Ça compte, non ? Ceci fait, j'ajoute : Assez parlé de moi , comment tu te portes, toi ?
Citation
Kakeru te snobbe en #887AAF.
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