- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 29■ Messages : 730■ Inscrit le : 13/02/2023
Mon personnage
❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2017
Un train de retard !
07 juillet 2018 || Ft. Junichi
07 juillet 2018 || Ft. Junichi
Le soleil se levait sur la zone 3 de Kobe. La jeune femme s'était endormie assez tôt car elle avait décidé d'aller visiter Osaka, une ville où elle n'était jamais encore allée. Elle avait vue une revue sur le château d'Osaka et Beck voulait aller le visiter, elle était intriguée par ce genre de bâtisse. La veille, elle avait prit ses billets en ligne pour prendre le train et y partir pour la journée.
Elle se lèvera de son lit pour prendre sa douche, laissant perler l'eau chaude sur sa peau couverte de cicatrice dans son dos et s'habillera de manière décontractée. Elle enfila une robe rouge et des bottes qui lui allait au genou. Un style que la jeune femme aimait et aujourd'hui c'était le samedi. Elle voulait profiter de son repos pour visiter de nouveaux endroits et aujourd'hui c'était Osaka. La psychologue vint à se faire cuire des œufs brouillés et se servir un verre de lait, avec du jambon grillé qu'elle fera à la poêle. Un petit déjeuner bien riche tout de même !
Beck prendra un sandwich au jambon beurre qu'elle s'était fait pour pouvoir manger à midi lors de sa visite si cela était autorisé. Une fois arrivée sur le quai de la gare, elle prit le train pendant quelques heures pour se rendre à sa destination. Beaucoup de monde et c'était assez perturbant, étant donné que nous étions en saison estivale et touristique. Beaucoup d'étrangers y venaient pour ses mérites fait après la ville de Tokyo. Pas mal de lieux à visiter et la jeune femme avait sa carte de guide pour se diriger vers le château, se payer un guide et pouvoir s'instruire. Elle aimait agrandir ses connaissances dans le domaine de la métropole japonaise et de sa culture personnelle. Elle était dans un petit groupe, sa journée se passait pour le mieux et la japonaise en était ravie.
La psychologue ne pensait même pas à regarder ses rendez-vous de la semaine prochaine qui s'était rajoutés tellement happé par l'ambiance de la ville qu'elle aimait bien malgré le monde qui s'y promenaient mais c'était logique surtout au vue du classement touristique qu'indiquait les guides.
Tellement dans à regarder et fouiner dans les boutiques qui étaient présentes, la jeune femme n'avait pas vue l'heure passer et avait pas remarqué que l'heure de son train approchait. Elle avait oublié de mettre une alarme sur son téléphone pour l'avertir qu'il était temps de partir. Alors, elle se mit à courir comme elle pu pour essayer de se rendre à la gare mais il était trop tard et devait attendre le prochain train qui ne passerait que dans deux heures. Tant pis, il allait falloir patienter...
La psychologue se dirigera vers un banc qui était libre, ayant prit une boisson fruitée pour patienter. Il était aux environs de quinze heures et le train était passé il y a même pas dix minutes. A cela près, la jeune femme n'aurait pas manqué son train. Mais elle avait été trop distraite par cet endroit et toutes ses boutiques.
Se disait t'elle à elle-même et regardant les passants.
Elle se lèvera de son lit pour prendre sa douche, laissant perler l'eau chaude sur sa peau couverte de cicatrice dans son dos et s'habillera de manière décontractée. Elle enfila une robe rouge et des bottes qui lui allait au genou. Un style que la jeune femme aimait et aujourd'hui c'était le samedi. Elle voulait profiter de son repos pour visiter de nouveaux endroits et aujourd'hui c'était Osaka. La psychologue vint à se faire cuire des œufs brouillés et se servir un verre de lait, avec du jambon grillé qu'elle fera à la poêle. Un petit déjeuner bien riche tout de même !
Beck prendra un sandwich au jambon beurre qu'elle s'était fait pour pouvoir manger à midi lors de sa visite si cela était autorisé. Une fois arrivée sur le quai de la gare, elle prit le train pendant quelques heures pour se rendre à sa destination. Beaucoup de monde et c'était assez perturbant, étant donné que nous étions en saison estivale et touristique. Beaucoup d'étrangers y venaient pour ses mérites fait après la ville de Tokyo. Pas mal de lieux à visiter et la jeune femme avait sa carte de guide pour se diriger vers le château, se payer un guide et pouvoir s'instruire. Elle aimait agrandir ses connaissances dans le domaine de la métropole japonaise et de sa culture personnelle. Elle était dans un petit groupe, sa journée se passait pour le mieux et la japonaise en était ravie.
La psychologue ne pensait même pas à regarder ses rendez-vous de la semaine prochaine qui s'était rajoutés tellement happé par l'ambiance de la ville qu'elle aimait bien malgré le monde qui s'y promenaient mais c'était logique surtout au vue du classement touristique qu'indiquait les guides.
Tellement dans à regarder et fouiner dans les boutiques qui étaient présentes, la jeune femme n'avait pas vue l'heure passer et avait pas remarqué que l'heure de son train approchait. Elle avait oublié de mettre une alarme sur son téléphone pour l'avertir qu'il était temps de partir. Alors, elle se mit à courir comme elle pu pour essayer de se rendre à la gare mais il était trop tard et devait attendre le prochain train qui ne passerait que dans deux heures. Tant pis, il allait falloir patienter...
La psychologue se dirigera vers un banc qui était libre, ayant prit une boisson fruitée pour patienter. Il était aux environs de quinze heures et le train était passé il y a même pas dix minutes. A cela près, la jeune femme n'aurait pas manqué son train. Mais elle avait été trop distraite par cet endroit et toutes ses boutiques.
Bon, il va falloir attendre... Quel boulet... Heureusement qu'il y a d'autres train, j'aurais été maligne s'il y en avait pas eu...
Se disait t'elle à elle-même et regardant les passants.
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Le réveil, sûrement le bruit le plus désagréable qu'on puisse entendre, surtout que c'est souvent le premier de la journée, signifiant qu'il est grand temps de sortir des doux bras de Morphée. Le glas d'un rêve, en somme. J'ouvrais les yeux un poil éclatés tant je m'étais couché tard. Merci papa qui m'a proposé un ciné suivi d'une soirée jeux ; forcément, l'addition devait se payer.
Après m'être douché et habillé d'un jean/haut simple et de baskets, je me dirigeais vers la cuisine pour manger un morceau quand je remarquais un mot sur le frigo. Oh tiens, il ne travaillait qu'une partie de la journée et serait dispo pour la fin d'après-midi ! Ça, c'était cool ! Mon samedi n'allait pas être trop ennuyeux au moins, même si j'étais loin de m'attendre aux surprises que j'allais avoir dans cette journée.
Bien ! J'avais maintenant le sourire en me disant que peut-être nous pourrions aller frapper la balle ensemble. Sauf que pendant que je mangeais, j'avais retourné la feuille et remarqué une petite liste des choses à faire… Bon ! Si ça pouvait lui permettre d'être un peu plus tranquille, je pouvais me dévouer, et le « Merci !!! » en bas du mot en disait long. La plupart des choses n'étaient que de simples bricoles, je devais aussi acheter mon billet de train pour demain.
La journée ne se passa pas trop mal, et j'avais rapidement fini toutes les tâches qu'on m'avait données ! Maintenant le billet de train ainsi que la dernière tâche. Je devais ramener une guitare dans un magasin de musique. Un ami de mon père qui lui demandait souvent de tester les instruments qu'on lui revendait histoire d'être sûr de la qualité et de l'authenticité.
Quoi qu'il en soit, je me rendais tranquillement vers la gare et rapidement j'avais le billet de mon retour en poche. Une bonne chose de faite, et c'est là que ma journée prit une tournure un peu plus intéressante que prévu. Une tête connue, pas trop connue non plus mais juste assez pour éveiller mon intérêt. Je m'approchais d'elle en affichant un sourire détendu. Il ne s'était pas passé tant de temps depuis mon « rendez-vous » et donc je pouvais bien lui faire un petit coucou ou lui tenir compagnie le temps qu'elle attende son train.
- Bonjour, madame la psy ! Ça fait bizarre de vous croiser ici. Vous habitez à Osaka ?
Oui, ça me semblait le plus logique, ou alors était-elle venue voir quelqu'un ? Peut-être bien, toute la possibilité était de mise dans ce genre de situation. J'observais les alentours, peut-être que son copain n'allait pas tarder aussi. Je lâchais alors sur un ton amusé tout en remontant la guitare maintenu dans mon dos avec une lanière.
- Oh, ou alors, c'est un rendez-vous galant !? Je ne vais peut-être pas vous embêter si c'est le cas !
Après tout, tout le monde a le droit au bonheur.
Après m'être douché et habillé d'un jean/haut simple et de baskets, je me dirigeais vers la cuisine pour manger un morceau quand je remarquais un mot sur le frigo. Oh tiens, il ne travaillait qu'une partie de la journée et serait dispo pour la fin d'après-midi ! Ça, c'était cool ! Mon samedi n'allait pas être trop ennuyeux au moins, même si j'étais loin de m'attendre aux surprises que j'allais avoir dans cette journée.
Bien ! J'avais maintenant le sourire en me disant que peut-être nous pourrions aller frapper la balle ensemble. Sauf que pendant que je mangeais, j'avais retourné la feuille et remarqué une petite liste des choses à faire… Bon ! Si ça pouvait lui permettre d'être un peu plus tranquille, je pouvais me dévouer, et le « Merci !!! » en bas du mot en disait long. La plupart des choses n'étaient que de simples bricoles, je devais aussi acheter mon billet de train pour demain.
La journée ne se passa pas trop mal, et j'avais rapidement fini toutes les tâches qu'on m'avait données ! Maintenant le billet de train ainsi que la dernière tâche. Je devais ramener une guitare dans un magasin de musique. Un ami de mon père qui lui demandait souvent de tester les instruments qu'on lui revendait histoire d'être sûr de la qualité et de l'authenticité.
Quoi qu'il en soit, je me rendais tranquillement vers la gare et rapidement j'avais le billet de mon retour en poche. Une bonne chose de faite, et c'est là que ma journée prit une tournure un peu plus intéressante que prévu. Une tête connue, pas trop connue non plus mais juste assez pour éveiller mon intérêt. Je m'approchais d'elle en affichant un sourire détendu. Il ne s'était pas passé tant de temps depuis mon « rendez-vous » et donc je pouvais bien lui faire un petit coucou ou lui tenir compagnie le temps qu'elle attende son train.
- Bonjour, madame la psy ! Ça fait bizarre de vous croiser ici. Vous habitez à Osaka ?
Oui, ça me semblait le plus logique, ou alors était-elle venue voir quelqu'un ? Peut-être bien, toute la possibilité était de mise dans ce genre de situation. J'observais les alentours, peut-être que son copain n'allait pas tarder aussi. Je lâchais alors sur un ton amusé tout en remontant la guitare maintenu dans mon dos avec une lanière.
- Oh, ou alors, c'est un rendez-vous galant !? Je ne vais peut-être pas vous embêter si c'est le cas !
Après tout, tout le monde a le droit au bonheur.
- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 29■ Messages : 730■ Inscrit le : 13/02/2023
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❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
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Un train de retard !
07 juillet 2018 || Ft. Junichi
07 juillet 2018 || Ft. Junichi
Le soleil était toujours aux beaux fixe. La jeune femme ne pensait pas passer son temps à poireauter sur le quai de la gare en attendant un autre train pour rentrer sur Kobe. Demain, on était dimanche donc pas beaucoup de circulation et surtout qu'elle n'allait pas coucher là où prendre un hôtel. Elle soupirait longuement, observant les passants, des vieux, des jeunes et des familles avec leurs enfants, qui revenaient de leur sorties touristique.
Elle était contente de voir qu'il y avait autant de vie dans la ville d'Osaka. Elle en profitait pour regarder les réseaux sociaux, ses messages et ses rendez-vous de lundi. Il y avait quelques rendez-vous habituels et d'autres nouveaux patients à traiter car des trous c'étaient libéré pour laisser place à des nouvelles consultations. Même en repos, Beck pensait au travail, c'était plus fort qu'elle ! C'est bien pour ça que de temps en temps, la psychologue pouvait se trouver à son office à mettre à jour ses dossiers. Limite, KHS était sa seconde maison et le doyen n'y voyait aucun inconvénient.
Quelques minutes plus tard, après avoir flemmarder sur son téléphone, la jeune femme se dirigeait vers un distributeur de snack pour pouvoir s'alimenter un peu. Après avoir ramassé sa viennoiserie, la psychologue vint à se tourner et reconnaître une voix qui lui est familière. C'était Junichi qui était dans le coin. Lui aussi apparemment était en visite ou il habitait dans le coin peut être ?
La jeune femme aurait aimé que ce soit un rendez-vous galant avec un homme, mais c'était trop beau pour être vrai. Cela aurait pu avec Jin, le professeur de sport qu'elle appréciait beaucoup mais la psychologue essayait de ne pas trop s'attacher à qui que ce soit. Même amicalement, de peur d'être abandonnée. Beck souriait à son interlocuteur et vint se passer une main dans les cheveux, un peu gênée.
On aurait dit une vraie touriste occidentale. Comme ci elle n'avait jamais eu l'occasion d'aller à Osaka alors qu'elle n'est pas si loin que cela... Beck tenait un sac venant d'une boutique souvenir de la ville entre ses mains et rougissant légèrement de gêne de passer pour un visiteur étranger.
Elle était contente de voir qu'il y avait autant de vie dans la ville d'Osaka. Elle en profitait pour regarder les réseaux sociaux, ses messages et ses rendez-vous de lundi. Il y avait quelques rendez-vous habituels et d'autres nouveaux patients à traiter car des trous c'étaient libéré pour laisser place à des nouvelles consultations. Même en repos, Beck pensait au travail, c'était plus fort qu'elle ! C'est bien pour ça que de temps en temps, la psychologue pouvait se trouver à son office à mettre à jour ses dossiers. Limite, KHS était sa seconde maison et le doyen n'y voyait aucun inconvénient.
Quelques minutes plus tard, après avoir flemmarder sur son téléphone, la jeune femme se dirigeait vers un distributeur de snack pour pouvoir s'alimenter un peu. Après avoir ramassé sa viennoiserie, la psychologue vint à se tourner et reconnaître une voix qui lui est familière. C'était Junichi qui était dans le coin. Lui aussi apparemment était en visite ou il habitait dans le coin peut être ?
Bonjour, non je n'habite pas Osaka. Cela me ferait de la route pour aller travailler, j'habite à Kobe dans la zone 3. Et vous ?
La jeune femme aurait aimé que ce soit un rendez-vous galant avec un homme, mais c'était trop beau pour être vrai. Cela aurait pu avec Jin, le professeur de sport qu'elle appréciait beaucoup mais la psychologue essayait de ne pas trop s'attacher à qui que ce soit. Même amicalement, de peur d'être abandonnée. Beck souriait à son interlocuteur et vint se passer une main dans les cheveux, un peu gênée.
Vous êtes bien curieux Junichi ! Et, deuxièmeme, non. Je n'attends personne, je viens de visiter aujourd'hui le château d'Osaka, une très jolie bâtisse. Je n'avais jamais visité cette ville et il fallait que je la visite en partie, ainsi que ces quelques boutiques souvenirs....
On aurait dit une vraie touriste occidentale. Comme ci elle n'avait jamais eu l'occasion d'aller à Osaka alors qu'elle n'est pas si loin que cela... Beck tenait un sac venant d'une boutique souvenir de la ville entre ses mains et rougissant légèrement de gêne de passer pour un visiteur étranger.
Junichi, connaissez vous le château de Osaka ?..
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Elle ne vivait donc pas ici, était-ce juste un simple rendez-vous qui avait mal tourné, vu l'heure à laquelle elle était en train d'attendre. Ou alors qui allait bien tourner, car de mémoire, il n'y aurait pas d'autre train pour Kobe après le prochain. Bien que mon imagination débordante se fit pas mal de films, elle me confirma que non, ce n'était qu'une simple visite touristique. Je répondis à sa question première tout en réagissant au passage.
- Moi, je vis ici avec mon père quand je ne suis pas sur Kobe. Au moins le temps de finir mes études, et ensuite je quitterai sûrement le nid. Au moins, vous avez pu être tranquille, c'est toujours ça de pris !
Oui, pas de rendez-vous, pas de boulet potentiel. Puis, pour une visite touristique, mieux valait que ça tombe avec quelqu'un de familier qu'un inconnu. Enfin, je lui souhaitais quand même le meilleur malgré tout, elle avait l'air gentille, et si je devais prendre les termes que ma mère emploierait… Non, autant ne pas lui infliger cela ! Ma mère avait quand même une vision très fermée de la vie maritale. Cependant, je marquais un air confus et surpris… Bon, c'était de la comédie surtout en avouant.
- Il y a un château à Osaka ?!
Bonne trêve de plaisanterie ! Le château largement visible pour que je puisse le manquer. Je rigolais presque aussitôt avant d'avouer d'une voix plus détendue.
- Bien sûr que je suis au courant, on y est déjà allé deux fois. Mais ce n'est pas l'endroit que je vous aurais conseillé pour une première visite. Trop évident !
Un petit sourire avant de réfléchir un petit moment sur la situation. Elle revenait quand même tôt à la gare et je marquais une pause en observant le panneau. 1h50 avant le prochain train pour Kobe. Bizarre… Je me risquais à lui demander d'une voix calme et détendue.
- Ben dis-donc, vous aviez encore le temps de profiter un peu de la ville. C'est quand même encore tôt pour le train ! Vous avez peur de le manquer ?
Les pieds dans le plat avec toute ma grâce naturelle de camion écrasant des marguerites, j'observais les alentours en rehaussant à nouveau la guitare dans mon dos. Elle semblait seule, et c'était assez triste d'attendre pendant une plombe son train. Du moins, si c'était le cas, mais je savais que certaines personnes avaient tendance à prévoir large par peur de manquer le coche et de se retrouver à attendre le prochain, quand il avait la chance d'en avoir un.
Loin de me douter que je n'étais pas si loin de la vérité, j'en venais à me poser une question, que je gardais pour moi en attendant la réponse. Fixant l'heure sur mon téléphone, je savais que je devais retrouver mon père dans environ un quart d'heure, juste le temps de finir ma dernière tâche pour le reste de la journée. Mais je ne pouvais pas la laisser là toute seule non plus. Un rapide message fut envoyé, et je retournais mon regard vers la psy.
- Moi, je vis ici avec mon père quand je ne suis pas sur Kobe. Au moins le temps de finir mes études, et ensuite je quitterai sûrement le nid. Au moins, vous avez pu être tranquille, c'est toujours ça de pris !
Oui, pas de rendez-vous, pas de boulet potentiel. Puis, pour une visite touristique, mieux valait que ça tombe avec quelqu'un de familier qu'un inconnu. Enfin, je lui souhaitais quand même le meilleur malgré tout, elle avait l'air gentille, et si je devais prendre les termes que ma mère emploierait… Non, autant ne pas lui infliger cela ! Ma mère avait quand même une vision très fermée de la vie maritale. Cependant, je marquais un air confus et surpris… Bon, c'était de la comédie surtout en avouant.
- Il y a un château à Osaka ?!
Bonne trêve de plaisanterie ! Le château largement visible pour que je puisse le manquer. Je rigolais presque aussitôt avant d'avouer d'une voix plus détendue.
- Bien sûr que je suis au courant, on y est déjà allé deux fois. Mais ce n'est pas l'endroit que je vous aurais conseillé pour une première visite. Trop évident !
Un petit sourire avant de réfléchir un petit moment sur la situation. Elle revenait quand même tôt à la gare et je marquais une pause en observant le panneau. 1h50 avant le prochain train pour Kobe. Bizarre… Je me risquais à lui demander d'une voix calme et détendue.
- Ben dis-donc, vous aviez encore le temps de profiter un peu de la ville. C'est quand même encore tôt pour le train ! Vous avez peur de le manquer ?
Les pieds dans le plat avec toute ma grâce naturelle de camion écrasant des marguerites, j'observais les alentours en rehaussant à nouveau la guitare dans mon dos. Elle semblait seule, et c'était assez triste d'attendre pendant une plombe son train. Du moins, si c'était le cas, mais je savais que certaines personnes avaient tendance à prévoir large par peur de manquer le coche et de se retrouver à attendre le prochain, quand il avait la chance d'en avoir un.
Loin de me douter que je n'étais pas si loin de la vérité, j'en venais à me poser une question, que je gardais pour moi en attendant la réponse. Fixant l'heure sur mon téléphone, je savais que je devais retrouver mon père dans environ un quart d'heure, juste le temps de finir ma dernière tâche pour le reste de la journée. Mais je ne pouvais pas la laisser là toute seule non plus. Un rapide message fut envoyé, et je retournais mon regard vers la psy.
- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 29■ Messages : 730■ Inscrit le : 13/02/2023
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❖ Âge : 29 ans
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07 juillet 2018 || Ft. Junichi
07 juillet 2018 || Ft. Junichi
La jeune femme avait visité le château d'Osaka, c'était un lieu dont les guides sur les sites internet parlaient beaucoup et vantaient les décors magnifiques. Mais Beck était contente d'avoir pu voir des merveilles dans cette bâtisse, elle ne regrettait rien.
Elle était quand même surprise de rencontrer de nouveau l'étudiant dans cet endroit peu commun. Un patient qu'elle avait vu à KHS il y a moins d'une semaine et que la coïncidence était énorme. Est-ce qu'il avait suivis la psychologue ou s'était renseigné sur sa destination de ce weekend ? La jeune femme ne savait pas trop où se placer de ce côté là, même si elle était ravie de le voir quand même.
Son interlocuteur vint à dire qu'il avait envie de sortir du nid après ses études. Quoi de mieux de pouvoir profiter de sa liberté, de son indépendance et de pouvoir faire ce que l'on veut sans avoir personne pour surveiller à quelle heure on rentre. Cela faisait très longtemps que la japonaise n'avait pas eut ce genre de contrôle quand elle sortait le soir, goûter à de nouvelles recettes du restaurant d'à côté.
Elle haussait doucement les épaules en regardant l'étudiant, c'est vrai que les deux destinations n'avaient rien à voir. En tout cas, pas besoin d'épiloguer sur le pourquoi elle avait manqué son train, mais elle se devait d'être honnête avec Junichi. La jeune femme venait à regarder ailleurs, quitter du regard son interlocuteur car très gênée de l'avouer.
Beck regardait l'écran qui annonçait l'arrivée du train sur le quai. Il fallait attendre un moment et la paranoïa de ne pas le manquer une deuxième fois était ancré dans l'esprit de la psychologue.
Elle était quand même surprise de rencontrer de nouveau l'étudiant dans cet endroit peu commun. Un patient qu'elle avait vu à KHS il y a moins d'une semaine et que la coïncidence était énorme. Est-ce qu'il avait suivis la psychologue ou s'était renseigné sur sa destination de ce weekend ? La jeune femme ne savait pas trop où se placer de ce côté là, même si elle était ravie de le voir quand même.
C'est quand même une énorme coïncidence de vous croiser à la gare, même si vous habitez Osaka ! Vous y faisiez quoi sans indiscrétion ?
Son interlocuteur vint à dire qu'il avait envie de sortir du nid après ses études. Quoi de mieux de pouvoir profiter de sa liberté, de son indépendance et de pouvoir faire ce que l'on veut sans avoir personne pour surveiller à quelle heure on rentre. Cela faisait très longtemps que la japonaise n'avait pas eut ce genre de contrôle quand elle sortait le soir, goûter à de nouvelles recettes du restaurant d'à côté.
Et quel endroit m'auriez vous proposé ? J'imagine que le château d'Osaka est un lieu plutôt visité fréquemment par les touristes n'habitant pas la ville. Je suis originaire de Nagoya donc forcément..
Elle haussait doucement les épaules en regardant l'étudiant, c'est vrai que les deux destinations n'avaient rien à voir. En tout cas, pas besoin d'épiloguer sur le pourquoi elle avait manqué son train, mais elle se devait d'être honnête avec Junichi. La jeune femme venait à regarder ailleurs, quitter du regard son interlocuteur car très gênée de l'avouer.
Je suis un peu gênée d'en parler, mais j'ai loupé mon train de retour alors j'attends le dernier qui arrive dans une heure trente je crois .
Beck regardait l'écran qui annonçait l'arrivée du train sur le quai. Il fallait attendre un moment et la paranoïa de ne pas le manquer une deuxième fois était ancré dans l'esprit de la psychologue.
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❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Ah, le retour des questions ! Remarque, j’étais bien mal placé pour lui reprocher cela, vu comme je l’avais noyée de questions moi aussi un peu plus tôt. Puis de toute façon, elle avait bien le droit de savoir parce que ce n’était non plus un secret de première ordre… voir même pas un secret tout court.
- Il faut bien que je revienne à Kobe, donc quitte à être dans le coin, autant déjà y acheter mon billet pour demain, comme ça s’est fait !
Et de là, je l’avais croisé ! C’était simple comme bonjour, pas besoin de faire compliqué de toute façon. La vie, c’était souvent ce genre de petite surprise. Elle, qui était psychologue, devait le savoir mieux que personne, non ? Enfin, c’est vrai que je n’y voyais pas un grand rapport entre les deux maintenant que j’y songe ! La dame me demanda ensuite quel genre d’endroit je pourrais bien lui conseiller. Ce fut avec un grand sourire que je lui répondis.
- Tout simplement, le petit restaurant du coin ! Il y en a pas mal qui servent toute sorte de mets plutôt agréables. Certaines rues sont assez cool à parcourir aussi pour peu qu’on se donne la peine de sortir des sentiers battus… Je ne parle même pas des randonnées qui offrent des panoramas vraiment admirables et j’en passe.
Puis vint la réponse fatidique. Le pourquoi du comment de sa présence ici ! Je me retins de pouffer de rire en l’entendant… même si c’était assez tentant, ce n’était pas drôle non plus pour elle. De toute façon, mon message était déjà parti et quand mon téléphone vibra pour me donner une réponse, je l’observais rapidement avant d’avoir un petit sourire amusé.
- Ça peut arriver à tout le monde. Du coup, si vous ne voulez pas être seule, vous pouvez m’accompagner, surtout que mon père ne va plus tarder. Je dois le retrouver un peu plus loin dans la rue !
Oui, il fallait bien tuer le temps, et c’était un peu justice pour elle, vu que la dernière fois, c’était moi qui m’étais servi d’elle pour passer le temps. La réponse de mon père était simple : « Plus on est de fous ! » quand je lui avais demandé si ça ne le dérangeait pas qu’une membre du personnel un peu paumée passe un peu de temps avec nous. De toute façon, nous n’allions pas la laisser toute seule dans une ville qu’elle ne connaissait pas, même si elle ne risquait pas grand-chose en vérité.
J’attendis sa réponse, libre à elle d’accepter ou de refuser, mais peut-être que cela lui donnerait l’occasion de parler avec mon père et de clarifier certaines choses par rapport à la dernière fois. Mais si on ne comptait pas transformer l’instant en psychothérapie.
- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 29■ Messages : 730■ Inscrit le : 13/02/2023
Mon personnage
❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2017
Un train de retard !
07 juillet 2018 || Ft. Junichi
07 juillet 2018 || Ft. Junichi
La question était un peu bête étant donné que l'étudiant allait à Kobe toutes les semaines pour y venir étudier et il lui faut prendre le train, car le métro n'est pas suffisant pour se rendre à l'établissement sans cela, il serait en retard. La jeune femme souriait à sa réponse, elle voyait qu'il était autonome et faisait sa petite vie. Enfin, cela serait inquiétant surtout à son âge tout de même. Beck se rappelait des moments où elle devait prendre le tram pour se rendre à la faculté de psychologie à Tokyo alors qu'elle habitait à Nagoya, donc ce n'était pas à côté mais la psychologue ne détestait en aucun cas les transports en communs.
La jeune femme mangea un morceau de sa viennoiserie tout en écoutant Junichi qui était de bonne humeur et agréable à écouter, même s'il n'était pas quelqu'un de réservé. Voir des étudiants en dehors de KHS n'était pas anodin, bien au contraire !
En écoutant Junichi, on aurait cru que c'était un guide touristique. Il décrivait bien sa ville et en même temps, s'il y vivait c'était logique qu'il connaisse les endroits qu'il faut visiter absolument. En tout cas, la jeune femme prenait note pour la prochaine fois qu'elle se rendrait à Osaka. Pas mal de restaurants intéressants pour l'inspirer pour ses prochaines expériences culinaires chez elle. La japonaise aimait tester toutes sorte de plats au restaurant, que ce soit traditionnel ou occidental. La jeune femme aimait toucher à tout !
Toujours avec ce ton avec entrain, Beck aimait pouvoir partager des moments avec les gens malgré son réseau social peu étendu. La jeune femme appréciait quand elle devait rencontrer de nouvelles têtes et Junichi était quelqu'un d'adorable au premier abord. Après tout, ils sont en dehors de l'établissement, qu'est-ce qui l'empêcherait de rencontrer les parents de ce dernier ? Rien du tout. Enfin, sa mère c'est une autre histoire mais son paternel avait l'air assez proche de son fils au vu de comment l'avait dépeint l'étudiant. Beck s'apprêtait donc à suivre son interlocuteur quelques instants pour passer le temps.
La jeune femme mangea un morceau de sa viennoiserie tout en écoutant Junichi qui était de bonne humeur et agréable à écouter, même s'il n'était pas quelqu'un de réservé. Voir des étudiants en dehors de KHS n'était pas anodin, bien au contraire !
Oh je vois, vous n'avez pas un abonnement ? Surtout au vue de la fréquence que vous prenez le train, je suis étonnée que vous devez aller acheter votre billet directement au guichet, maintenant avec toutes les technologies présentes en 2018.
En écoutant Junichi, on aurait cru que c'était un guide touristique. Il décrivait bien sa ville et en même temps, s'il y vivait c'était logique qu'il connaisse les endroits qu'il faut visiter absolument. En tout cas, la jeune femme prenait note pour la prochaine fois qu'elle se rendrait à Osaka. Pas mal de restaurants intéressants pour l'inspirer pour ses prochaines expériences culinaires chez elle. La japonaise aimait tester toutes sorte de plats au restaurant, que ce soit traditionnel ou occidental. La jeune femme aimait toucher à tout !
Votre père ? Oh, ce serait sympathique de le rencontrer. Tant que cela ne me met pas en retard pour mon prochain train, je ne refuse pas l'invitation.
Toujours avec ce ton avec entrain, Beck aimait pouvoir partager des moments avec les gens malgré son réseau social peu étendu. La jeune femme appréciait quand elle devait rencontrer de nouvelles têtes et Junichi était quelqu'un d'adorable au premier abord. Après tout, ils sont en dehors de l'établissement, qu'est-ce qui l'empêcherait de rencontrer les parents de ce dernier ? Rien du tout. Enfin, sa mère c'est une autre histoire mais son paternel avait l'air assez proche de son fils au vu de comment l'avait dépeint l'étudiant. Beck s'apprêtait donc à suivre son interlocuteur quelques instants pour passer le temps.
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Elle me posa rapidement une question plutôt intéressante, mais à laquelle j’avais une réponse. L’abonnement, on y avait songé pendant un temps, mais finalement, comme mon père venait régulièrement me chercher ou m’emmener sur Kobe, ce n’était pas si intéressant au niveau financier. Un billet de temps à autre revenait beaucoup moins cher au mois. Cependant, je n’allais pas l’embêter avec des détails sans intérêt, alors je lui répondis.
- Les abonnements, c’est intéressant pour ceux qui font des trajets quotidiens. Moi, je dois le prendre une à deux fois par mois. Et je préfère l’avoir en main, au moins je suis tranquille.
Oui, on ne sait jamais avec les téléphones, même si je m’y connaissais assez bien en technologie, je ne me risquais pas encore à tout dématérialiser pour le moment. Quoi qu’il en soit, je lui avais proposé qu’elle se joigne à nous et mon père ne m’en voudrait pas. Nous n’allions pas la laisser toute seule après tout. Le magasin de musique n'était pas bien loin, et une fois que j’aurais fini, j’irais au point de rendez-vous prévu avec la psy.
- Très bien, j’ai juste une course à faire encore avant ! C’est par là !
Dis-je avec un sourire détendu en remontant doucement mes lunettes sur mon nez. Elle avait quand même prévenu qu’elle ne voulait pas être en retard pour son train, et par réflexe, je mettais un réveil sur mon téléphone pour qu’il sonne juste à temps en lui montrant avec amusement. Des petits réflexes comme cela, j’en avais plein acquis avec l’habitude et les erreurs que j’avais commises. Le moins que l’on puisse dire, c’est que je savais me servir de mon quotidien pour évoluer, à défaut d’avoir une grosse tête ! Pendant que nous marchions, je me dis que je pouvais lui expliquer pourquoi je trimballais cette guitare.
- Mon père aide le proprio du magasin de musique, comme nous sommes des clients réguliers et qu’en plus il est prof de musique dans un lycée plus loin ! C’est un peu une forme de partenariat, mais en échange de réduction, il teste des instruments d’occasion en échange pour certifier qu’ils sont en bon état.
De là, elle n’aurait aucun mal à comprendre, et de toute façon, le magasin n’était plus très loin. À l’intérieur, je rendais l’objet au vendeur en lui expliquant que mon père avait laissé une fiche avec ses impressions. Cela prit un petit moment avant que cela soit fini, et je revins vers la psy avec un grand sourire, libéré de toute obligation, enfin !
- Bon voilà, j’ai fini, on peut y aller ! Mon père est déjà sur place et nous attend. C’est dans la rue d’à côté, au niveau d’un café. Il propose qu’on s’installe là jusqu’à ce que votre train arrive, et ensuite, on a prévu d’aller taper la balle.
Façon à moi de dire, jouer au baseball.
- Les abonnements, c’est intéressant pour ceux qui font des trajets quotidiens. Moi, je dois le prendre une à deux fois par mois. Et je préfère l’avoir en main, au moins je suis tranquille.
Oui, on ne sait jamais avec les téléphones, même si je m’y connaissais assez bien en technologie, je ne me risquais pas encore à tout dématérialiser pour le moment. Quoi qu’il en soit, je lui avais proposé qu’elle se joigne à nous et mon père ne m’en voudrait pas. Nous n’allions pas la laisser toute seule après tout. Le magasin de musique n'était pas bien loin, et une fois que j’aurais fini, j’irais au point de rendez-vous prévu avec la psy.
- Très bien, j’ai juste une course à faire encore avant ! C’est par là !
Dis-je avec un sourire détendu en remontant doucement mes lunettes sur mon nez. Elle avait quand même prévenu qu’elle ne voulait pas être en retard pour son train, et par réflexe, je mettais un réveil sur mon téléphone pour qu’il sonne juste à temps en lui montrant avec amusement. Des petits réflexes comme cela, j’en avais plein acquis avec l’habitude et les erreurs que j’avais commises. Le moins que l’on puisse dire, c’est que je savais me servir de mon quotidien pour évoluer, à défaut d’avoir une grosse tête ! Pendant que nous marchions, je me dis que je pouvais lui expliquer pourquoi je trimballais cette guitare.
- Mon père aide le proprio du magasin de musique, comme nous sommes des clients réguliers et qu’en plus il est prof de musique dans un lycée plus loin ! C’est un peu une forme de partenariat, mais en échange de réduction, il teste des instruments d’occasion en échange pour certifier qu’ils sont en bon état.
De là, elle n’aurait aucun mal à comprendre, et de toute façon, le magasin n’était plus très loin. À l’intérieur, je rendais l’objet au vendeur en lui expliquant que mon père avait laissé une fiche avec ses impressions. Cela prit un petit moment avant que cela soit fini, et je revins vers la psy avec un grand sourire, libéré de toute obligation, enfin !
- Bon voilà, j’ai fini, on peut y aller ! Mon père est déjà sur place et nous attend. C’est dans la rue d’à côté, au niveau d’un café. Il propose qu’on s’installe là jusqu’à ce que votre train arrive, et ensuite, on a prévu d’aller taper la balle.
Façon à moi de dire, jouer au baseball.
- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 29■ Messages : 730■ Inscrit le : 13/02/2023
Mon personnage
❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2017
Un train de retard !
07 juillet 2018 || Ft. Junichi
07 juillet 2018 || Ft. Junichi
Il est vrai que si l'homme pouvait prendre le train moins souvent, économiquement en tant qu'étudiant c'était plus intéressant. Les gens n'ont pas tendance à rouler sur l'or et accéder à l'éducation à KHS a un certain prix. La psychologue en avait conscience et elle aurait aimé côtoyer ce genre d'établissement lors de sa jeunesse. Peut être que cela lui aurait évité quelques déboires sociales.
KHS est un établissement surveillé, des caméras de surveillance et des surveillants aux aguets. Mais la psychologue était persuadée que les élèves étaient beaucoup mieux lotis avec toutes ses technologies. Mais cela n'empêchait en rien le harcèlement.
Beck était contente que Junichi veuille bien la présenter à son père. Il avait l'air sympathique et semblait avoir donné une excellente éducation à l'étudiant. Enfin, cela semblait d'apparence mais est-ce que ce dernier jouait la comédie ? La jeune femme n'en savait trop rien. Mais il était sincère avec elle et cela lui convenait. Beck espérait juste que son père ne le prendrait pas mal à ce que la jeune femme s'incruste dans leur petit tête à tête. La japonaise ne voulait en aucun cas s'immiscer dans la vie de Junichi.
L'homme mettait un réveil pour ne pas que Beck manque son train. La situation était assez drôle, c'est qu'il était attentionné et bienveillant. S'il s'en fichait, il n'aurait même pas prêté attention à cette information. Elle marchait calmement derrière lui. Une ville encore bien animée à cette heure-ci. Elle regardait les passants et marchait en direction du fameux café dans la ruelle que Junichi indiquait. Toujours en terminant sa viennoiserie, elle regardait les alentours et toujours attentive à son environnement.
La psychologue se demandait ce que voulait dire taper la balle. Elle suivait toujours silencieuse Junichi en route vers le fameux café en attendant l'horaire de son train. Au final, la destination n'était pas trop éloignée de la gare alors cela avait le don de rassurer cette dernière. Le café commençait à se percevoir, elle espérait que son père allait bien le prendre et n'allait pas la prendre pour sa copine ou je ne sais quoi étant donné que Beck fait jeune.
KHS est un établissement surveillé, des caméras de surveillance et des surveillants aux aguets. Mais la psychologue était persuadée que les élèves étaient beaucoup mieux lotis avec toutes ses technologies. Mais cela n'empêchait en rien le harcèlement.
Vous avez raison. Il faut réfléchir intelligemment et surtout que l'établissement à KHS a un certain coût.... Vous avez un job étudiant pour palier à tout ça ?
Beck était contente que Junichi veuille bien la présenter à son père. Il avait l'air sympathique et semblait avoir donné une excellente éducation à l'étudiant. Enfin, cela semblait d'apparence mais est-ce que ce dernier jouait la comédie ? La jeune femme n'en savait trop rien. Mais il était sincère avec elle et cela lui convenait. Beck espérait juste que son père ne le prendrait pas mal à ce que la jeune femme s'incruste dans leur petit tête à tête. La japonaise ne voulait en aucun cas s'immiscer dans la vie de Junichi.
L'homme mettait un réveil pour ne pas que Beck manque son train. La situation était assez drôle, c'est qu'il était attentionné et bienveillant. S'il s'en fichait, il n'aurait même pas prêté attention à cette information. Elle marchait calmement derrière lui. Une ville encore bien animée à cette heure-ci. Elle regardait les passants et marchait en direction du fameux café dans la ruelle que Junichi indiquait. Toujours en terminant sa viennoiserie, elle regardait les alentours et toujours attentive à son environnement.
Un échange de bon procédés je dirais. Cela doit être sympa d'avoir un père prof de musique, surtout avoir autant de liens avec ce milieu. J'adore la musique.
La psychologue se demandait ce que voulait dire taper la balle. Elle suivait toujours silencieuse Junichi en route vers le fameux café en attendant l'horaire de son train. Au final, la destination n'était pas trop éloignée de la gare alors cela avait le don de rassurer cette dernière. Le café commençait à se percevoir, elle espérait que son père allait bien le prendre et n'allait pas la prendre pour sa copine ou je ne sais quoi étant donné que Beck fait jeune.
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
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❖ Âge : 19 ans
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❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Si je devais décrire mon paternel, je dirais qu’il est comme moi, ou plutôt que je suis comme lui ! Dans le bon ordre des choses, la pomme n’est pas tombée si loin de l’arbre. Chose que je ne pouvais pas dire dans le cas de ma mère. Il avait dépassé la quarantaine depuis peu et savait bien s’habiller, contrairement à moi-même. En court, il était plutôt décontracté. Pull ou chemise et jeans pour la plupart du temps, le costume n’étant sorti que pour les grandes occasions. Il avait des cheveux courts et ordonnés, et un visage qui ne semblait pas avoir été marqué par le temps, bien qu’on y devinât malgré tout son âge. Comment ça, ce n’est pas logique ? Il fait son âge, quoi !
Nous approchions doucement quand je me souvins qu’elle m’avait posé une question beaucoup plus tôt. Avec tout ça, j’avais un peu oublié de lui répondre. En vérité, j’en avais plus ou moins un ! Mais là encore, on pouvait presque parler de pistonnage d’une certaine manière, même si je préférais appeler cela un échange de bons procédés.
- Vous m’avez demandé si j’avais un job tout à l’heure ? Oui et non ! Je ne suis encore majeur, donc je n’ai pas le droit de travailler. Mais d’une certaine manière, j’en ai quand même un. J’aide mon père dans différents projets, car il ne se cantonne pas qu’à l’éducation. Donc je fais souvent du remixage ou je l’aide dans certaines partitions sur lesquelles il n’a pas le temps de travailler. Ou encore d’autres petites choses en lien avec la musique. Comme c’est lui qui m’a tout appris, je suis parfaitement apte à l’assister et ça lui évite d’avoir à engager un assistant par ce biais. Ça me permet aussi d’avoir une occupation sur mon temps libre à Kobe, car je peux l’aider à distance.
Voilà, en gros, je ne pouvais pas faire plus concis que cela ! Mon père me fit signe, attendant devant le café et s’avança jusqu’à nous. Un grand sourire aux lèvres. De toute façon, la psy allait vite se rendre compte que nous étions pareils sur pas mal de points. Ce qui expliquait en grande partie notre affinité naturelle. Il se présenta alors d'une voix détendue.
- Ben dis donc, tu ne peux plus te passer de ton école au point de traîner du personnel avec toi, Juni ? Bonjour ! Je me nomme Takehiro Yasuhisa. Je vous présente mes excuses pour le rendez-vous de la dernière fois. J’ai manqué de vigilance sur ce point et l’opportunisme a profité de la faille. Même si mon fils est un cas, je doute fortement que cela soit psychologique !
Aïe, je ris doucement à la fin de sa phrase en rétorquant avec amusement.
- D’autant que si c’était le cas, on se ferait vite prescrire des séances en famille !
Nous approchions doucement quand je me souvins qu’elle m’avait posé une question beaucoup plus tôt. Avec tout ça, j’avais un peu oublié de lui répondre. En vérité, j’en avais plus ou moins un ! Mais là encore, on pouvait presque parler de pistonnage d’une certaine manière, même si je préférais appeler cela un échange de bons procédés.
- Vous m’avez demandé si j’avais un job tout à l’heure ? Oui et non ! Je ne suis encore majeur, donc je n’ai pas le droit de travailler. Mais d’une certaine manière, j’en ai quand même un. J’aide mon père dans différents projets, car il ne se cantonne pas qu’à l’éducation. Donc je fais souvent du remixage ou je l’aide dans certaines partitions sur lesquelles il n’a pas le temps de travailler. Ou encore d’autres petites choses en lien avec la musique. Comme c’est lui qui m’a tout appris, je suis parfaitement apte à l’assister et ça lui évite d’avoir à engager un assistant par ce biais. Ça me permet aussi d’avoir une occupation sur mon temps libre à Kobe, car je peux l’aider à distance.
Voilà, en gros, je ne pouvais pas faire plus concis que cela ! Mon père me fit signe, attendant devant le café et s’avança jusqu’à nous. Un grand sourire aux lèvres. De toute façon, la psy allait vite se rendre compte que nous étions pareils sur pas mal de points. Ce qui expliquait en grande partie notre affinité naturelle. Il se présenta alors d'une voix détendue.
- Ben dis donc, tu ne peux plus te passer de ton école au point de traîner du personnel avec toi, Juni ? Bonjour ! Je me nomme Takehiro Yasuhisa. Je vous présente mes excuses pour le rendez-vous de la dernière fois. J’ai manqué de vigilance sur ce point et l’opportunisme a profité de la faille. Même si mon fils est un cas, je doute fortement que cela soit psychologique !
Aïe, je ris doucement à la fin de sa phrase en rétorquant avec amusement.
- D’autant que si c’était le cas, on se ferait vite prescrire des séances en famille !
- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 29■ Messages : 730■ Inscrit le : 13/02/2023
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Un train de retard !
07 juillet 2018 || Ft. Junichi
07 juillet 2018 || Ft. Junichi
Pendant toute la marche, la jeune femme pensait à l'horaire de son train. Elle ne voulait pas se trouver un hôtel ou aller dormir je ne sais où dans un endroit miteux. Elle n'est pas quelqu'un de précieux, mais madame a ses habitudes ! De temps en temps, lors de leur ascension jusqu'au café, la psychologue regardait sur son portable l'heure qui affichait son écran. Beck n'avait certainement pas les mêmes habitudes et complicité entretenue avec sa mère ou son père.
C'était des parents qui privilégient leur vie de travail au familial. C'était pour cela qu'elle n'avait pas pu parler de sa période de harcèlement que bien plus tard quand elle est arrivée au collège pour y suivre une thérapie.
La psychologue écoutait attentivement l'homme parler de son métier, même s'il n'est pas majeur étant donné qu'au Japon ce n'est pas la même qu'en France.
Beck avait l'impression d'être dans une session d'observation, pour voir comment les gens d'une même famille se comportait. C'était plutôt intriguant de s'immiscer un peu davantage dans le comportement des uns avec les autres. Junichi était le premier à lui présenter son paternel. Car en thérapie à KHS, plusieurs fois elle a suggéré à des patients de venir avec leurs parents afin de pouvoir clarifier les choses sur certaines problématiques qui rongent leurs relations et qui ne fait qu'empirer la situation à ne pas communiquer.
La communication est super importante, il le faut pour toujours établir un certains lien avec des pairs et surtout résoudre des problèmes quand ils n'ont pas lieu d'être !
C'est vrai que de se traîner sa psychologue scolaire est assez particulier. Mais bon, Beck connaissait le contexte donc ce n'était pas grave au final. Elle releva la dernière phrase du père et vint à sourire en gardant son sérieux.
C'était des parents qui privilégient leur vie de travail au familial. C'était pour cela qu'elle n'avait pas pu parler de sa période de harcèlement que bien plus tard quand elle est arrivée au collège pour y suivre une thérapie.
La psychologue écoutait attentivement l'homme parler de son métier, même s'il n'est pas majeur étant donné qu'au Japon ce n'est pas la même qu'en France.
Je vois, au final pour appréciez vraiment aider votre père, ce qui fait que vous développez une certaine complicité avec lui. C'est vraiment important au final, car les parents ne sont pas éternels.
Beck avait l'impression d'être dans une session d'observation, pour voir comment les gens d'une même famille se comportait. C'était plutôt intriguant de s'immiscer un peu davantage dans le comportement des uns avec les autres. Junichi était le premier à lui présenter son paternel. Car en thérapie à KHS, plusieurs fois elle a suggéré à des patients de venir avec leurs parents afin de pouvoir clarifier les choses sur certaines problématiques qui rongent leurs relations et qui ne fait qu'empirer la situation à ne pas communiquer.
La communication est super importante, il le faut pour toujours établir un certains lien avec des pairs et surtout résoudre des problèmes quand ils n'ont pas lieu d'être !
Bonjour, je suis ravie de vous rencontrer ! Junichi m'a beaucoup parlé de vous lors de notre première séance... À vrai dire, c'est un mal pour un bien sinon je ne l'aurais jamais rencontrée et avoir pu faire sa connaissance ! Les prises de rendez-vous ne sont pas forcement vérifié mais j'y veillerai pour éviter ce genre de gêne'.
C'est vrai que de se traîner sa psychologue scolaire est assez particulier. Mais bon, Beck connaissait le contexte donc ce n'était pas grave au final. Elle releva la dernière phrase du père et vint à sourire en gardant son sérieux.
Vous inquiétez pas, j'avais déjà prévue des séances pour vous deux. Je vous ferais même un tarif de groupe !
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
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Les présentations faites, je devais admettre que j’étais assez content d’avoir pu permettre cette rencontre, surtout peu de temps après l’histoire qu’il y avait eu ! Bon, nous avions quand même bien rigolé au téléphone le soir même quand je lui avais raconté, et il m’avait confirmé que ce n’était pas utile de faire suite à ce qu’il s’était passé dans la mesure où c’était inutile d’entrer en conflit avec madame « Ito ».
Mais cette fois, il aurait l’occasion de clarifier certains points que j’avais pu omettre durant la séance. Enfin, ce n’était pas non plus le but de cette rencontre, car après tout, il fallait surtout offrir une bonne animation à la psy pour que le temps lui semble moins long. De toute façon, les échanges se faisaient déjà, et elle confirmait au moins que plus de rigueur serait effectué pour éviter qu’un rendez-vous hasardeux ne soit pris. Ce qui fit hocher la tête de mon père d’un air entendu avant qu’il ne rétorque.
- Il n’y a aucun souci en vérité ! Nous avons bien pris la nouvelle, et puis ce n’était pas un mal pour mon fils dans l’ensemble. J’avoue que même pour moi, la crainte que notre situation familiale ait des répercussions sur Juni existait. Mais nous en avons déjà parlé assez tôt, et je me suis toujours arrangé pour qu’il ne manque de rien.
De rien ! De rien ! N’empêche que j’aurais pas dit non à un petit peu plus d’argent de poche, mais bon, je savais qu’on ne roulait pas sur l’or non plus de notre côté. Le peu que mon père me donnait était déjà même de trop pour moi. Peut-être une raison qui m’encourageait à l’aider d’autant plus. Cependant, nous eûmes un rire partagé à la remarque de la psy sur la séance de groupe, et j’avouais.
- Franchement, je paierais deux séances en une juste pour y voir ma mère aussi.
Mon père avoua rapidement qu’il ferait pareil, et un nouveau rire partagé se fit entendre avant que je propose que l’on entre pour s’asseoir. Non parce que bon ! On n’allait pas passer ma journée devant le café non plus ! Puis j’avouais au passage.
- Mais laissons les histoires scolaires où elles sont, s’il vous plaît ! J’en aurai bien assez pour la semaine qui va venir !
Un hochement de tête de Takehiro me confirma qu’il était d’accord. Invitant la psy toujours pas présentée à entrer sans faire plus de débat. Une fois à table, ce dernier passa la commande pour nous deux et invita la dame à commander aussi en insistant sur le fait qu’il prenait la note pour lui. Après tout, elle était une invitée pour eux, et la bienséance voulait qu’on prenne soin des invités dans la famille Yasuhisa ! Il avoua ensuite.
- De toute façon, nous avons quelque chose à fêter aujourd’hui et je ne compte pas vraiment attendre le week-end prochain. Donc, si ça n’embête pas notre chère psychologue scolaire. Joyeux anniversaire Juni !!! En avance quand même.
Sans surprise car je m’y attendais, je fis malgré tout semblant de lâcher un « Mais il ne fallait pas ! » bien classique ! Puis je me rendis compte que j’avais complètement zappé ce détail en invitant la dame, voir même depuis que je suis levé tout court. Mais vendredi qui allait venir marquer le jour de ma majorité. Comme quoi ! On en parlait juste avant…
Mais cette fois, il aurait l’occasion de clarifier certains points que j’avais pu omettre durant la séance. Enfin, ce n’était pas non plus le but de cette rencontre, car après tout, il fallait surtout offrir une bonne animation à la psy pour que le temps lui semble moins long. De toute façon, les échanges se faisaient déjà, et elle confirmait au moins que plus de rigueur serait effectué pour éviter qu’un rendez-vous hasardeux ne soit pris. Ce qui fit hocher la tête de mon père d’un air entendu avant qu’il ne rétorque.
- Il n’y a aucun souci en vérité ! Nous avons bien pris la nouvelle, et puis ce n’était pas un mal pour mon fils dans l’ensemble. J’avoue que même pour moi, la crainte que notre situation familiale ait des répercussions sur Juni existait. Mais nous en avons déjà parlé assez tôt, et je me suis toujours arrangé pour qu’il ne manque de rien.
De rien ! De rien ! N’empêche que j’aurais pas dit non à un petit peu plus d’argent de poche, mais bon, je savais qu’on ne roulait pas sur l’or non plus de notre côté. Le peu que mon père me donnait était déjà même de trop pour moi. Peut-être une raison qui m’encourageait à l’aider d’autant plus. Cependant, nous eûmes un rire partagé à la remarque de la psy sur la séance de groupe, et j’avouais.
- Franchement, je paierais deux séances en une juste pour y voir ma mère aussi.
Mon père avoua rapidement qu’il ferait pareil, et un nouveau rire partagé se fit entendre avant que je propose que l’on entre pour s’asseoir. Non parce que bon ! On n’allait pas passer ma journée devant le café non plus ! Puis j’avouais au passage.
- Mais laissons les histoires scolaires où elles sont, s’il vous plaît ! J’en aurai bien assez pour la semaine qui va venir !
Un hochement de tête de Takehiro me confirma qu’il était d’accord. Invitant la psy toujours pas présentée à entrer sans faire plus de débat. Une fois à table, ce dernier passa la commande pour nous deux et invita la dame à commander aussi en insistant sur le fait qu’il prenait la note pour lui. Après tout, elle était une invitée pour eux, et la bienséance voulait qu’on prenne soin des invités dans la famille Yasuhisa ! Il avoua ensuite.
- De toute façon, nous avons quelque chose à fêter aujourd’hui et je ne compte pas vraiment attendre le week-end prochain. Donc, si ça n’embête pas notre chère psychologue scolaire. Joyeux anniversaire Juni !!! En avance quand même.
Sans surprise car je m’y attendais, je fis malgré tout semblant de lâcher un « Mais il ne fallait pas ! » bien classique ! Puis je me rendis compte que j’avais complètement zappé ce détail en invitant la dame, voir même depuis que je suis levé tout court. Mais vendredi qui allait venir marquer le jour de ma majorité. Comme quoi ! On en parlait juste avant…
- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 29■ Messages : 730■ Inscrit le : 13/02/2023
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❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
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Un train de retard !
07 juillet 2018 || Ft. Junichi
07 juillet 2018 || Ft. Junichi
Savoir que la communication entre le père et le fils existait était déjà peu inquiétant. Bien qu'ils avaient l'air un peu ligués contre la mère, cela n'avait pas l'air d'interpeller Beck. Peut être qu'ils avaient leurs raisons ? Et que la psychologue n'avait aucunement son mot à dire dans l'histoire. Avoir une maman qui pensent bien faire, pour au final faire le contraire de ce qu'elle devrait au lieu de devoir répondre tout simplement à son rôle de mère était complètement insensé.
Beck s'asseyait sur une chaise sur la terrasse qui était disponible, profitant de cette ambiance peu légère et conviviale comme ci elle venait de revoir de vieux amis. Elle aurait bien aimé revoir ses amis d'enfance dans de tels conditions, mais ce ne fut pas le cas. La jeune femme gardait toujours le sourire en présence des deux autres protagonistes.
La psychologue eut un petit rire en regardant le père qui avait l'air aux petits oignons avec Junichi et ensuite l'étudiant à son tour. La jeune femme se sentait à l'aise en présence des deux individus, tout en faisant attention à l'horaire de son train. Mais il n'était pas tout de suite. Quand un serveur venait vers eux, la jeune femme vint à dire avec un grand sourire.
Ah, les anniversaires c'est toujours incroyable. Fêter le jour de sa naissance était une coutume et la psychologue savait que dans sa famille il était important de le fêter autour d'un bon gâteau. La jeune femme pendant son adolescence avait l'habitude de confectionner de belles pâtisseries pour l'occasion. Mais depuis plusieurs années, surtout depuis qu'elle est à Kobe, elle a de temps en temps des nouvelles de ses parents mais pas plus que cela et des appels de temps à autre. Beck n'y attachait pas plus d'importance, même si avant la famille était sacrée.
Beck s'asseyait sur une chaise sur la terrasse qui était disponible, profitant de cette ambiance peu légère et conviviale comme ci elle venait de revoir de vieux amis. Elle aurait bien aimé revoir ses amis d'enfance dans de tels conditions, mais ce ne fut pas le cas. La jeune femme gardait toujours le sourire en présence des deux autres protagonistes.
Je pense pour le bien être de votre fils, il est préférable qu'il ne manque de rien ! A la seule condition que cela ne devienne pas un enfant roi ou pourri gâté ! Enfin, vous en avez de la chance, vous avez un enfant sur qui veiller. On va dire, que je veille sur tous mes patients sur KHS.
La psychologue eut un petit rire en regardant le père qui avait l'air aux petits oignons avec Junichi et ensuite l'étudiant à son tour. La jeune femme se sentait à l'aise en présence des deux individus, tout en faisant attention à l'horaire de son train. Mais il n'était pas tout de suite. Quand un serveur venait vers eux, la jeune femme vint à dire avec un grand sourire.
Une menthe à l'eau s'il vous plait.
Ah, les anniversaires c'est toujours incroyable. Fêter le jour de sa naissance était une coutume et la psychologue savait que dans sa famille il était important de le fêter autour d'un bon gâteau. La jeune femme pendant son adolescence avait l'habitude de confectionner de belles pâtisseries pour l'occasion. Mais depuis plusieurs années, surtout depuis qu'elle est à Kobe, elle a de temps en temps des nouvelles de ses parents mais pas plus que cela et des appels de temps à autre. Beck n'y attachait pas plus d'importance, même si avant la famille était sacrée.
C'est en avance effectivement, mais ce n'est pas grave ! La majorité arrive bientôt Junichi. Que souhaitez vous faire pour marquer le coup ? En général, ceux qui passe ce cap organise quelque chose de particulier avec leurs amis par exemple ou leur famille... Louer une salle des fêtes entouré de ses proches ou alors aller dans un endroit spécial !
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Mon bien-être était sûrement entre les meilleures mains qui soient. En réalité, je ne m’en faisais pas vraiment pour ça, et l’avenir m’aura donné raison. Même si l’avenir le plus proche était celui de ma majorité, je pense que je n’aurais échangé mon père contre rien au monde. Pas plus que ma mère qui, même si elle n’avait pas été parfaite, m’aura permis malgré elle de devenir encore meilleur.
En somme, j’avais l’exemple à suivre et celui à ne surtout pas copier en même temps. Mais de toute façon, ce n’était pas du tout le sujet et nous avions finalement un événement à fêter. Ce qui expliquait un peu plus pourquoi mon père s'était libéré beaucoup plus tôt que d’habitude. La question que me posa la psy me laissa songeur quelque instant avant que je ne réponde avec toute la simplicité du monde.
- Pas de fête en grande pompe, ni de salle, ni de fiesta et j’en passe. Franchement, je n’ai aucune envie qu’on dépense autant d’argent pour ça. Moi tout ce que je veux, c’est qu’on ne se prenne pas la tête et qu’on reste simple. Tu paies la pizza ce soir, tiens, ça c’est très bien !
La fin était à l’attention de mon père qui rit doucement avant de dire à la psychologue sur un ton tout aussi détendu.
- Nous ne sommes pas du genre à faire les choses en grand comité dans notre famille, même mes parents avant moi étaient plus du genre à privilégier les petits moments du quotidien et les moments importants, ont les fêtes à notre façon. J’avais prévu la réponse de Juni de toute façon ! Mais 20 ans, ça se respecte quand même et il y a une chose qui va changer.
Il me montra une clé et je la reconnus presque aussitôt, la clé de sa voiture. C’est vrai qu’il parlait d’en acheter une nouvelle, mais je m’étais toujours demandé pourquoi il ne vendait pas l’ancienne. La réponse venait de m’être donnée à l’instant et je devais admettre que je ne m’y attendais du tout. Pour la première fois, la psy devait me voir perdre ma contenance et marquer un air choqué sur mon visage. Je n’en avais même plus les mots, chose assez exceptionnelle pour être soulignée ! Au moment où je voulus me saisir des clés, il les retira d’un mouvement vif avec un petit rire.
- Oh oh ! Un cadeau d'une telle envergure, ça ne se prend pas comme ça, tu sais ! Mon père m’avait offert ma voiture avec une contrepartie, alors je fais de même pour toi. Il y a une condition, tu dois te débrouiller pour avoir ton permis avant par tes propres moyens ! Être un adulte n’est pas un dû ! Ça se mérite.
Je marquais un petit sourire en relevant son air de défi puis je revenais sur ma chaise avec un air plus détendu et amusé. La psy devait bien rigoler, mais en soi, ça lui prouvait aussi que j’étais clairement entre de bonnes mains. Je lâchais alors avec un faux air grognon.
- Sérieusement, c’est tout toi ça ! Me mettre un cadeau de rêve sous les yeux pour ensuite me le retirer en me demandant de bosser plus ! Très bien, je vais l’avoir ton permis à la noix. Mais ensuite, tu devras m’appeler « Monsieur Juni » comme tout le monde.
Un rire partagé, et nous revenions aux banalités d’usage, il n’y avait pas de cadeau à déballer ! Pas besoin car mon père venait de me faire un très beau cadeau en soi, une leçon qui me servira sûrement toute ma vie. Être adulte, ça se mérite et ce sont des paroles qui m’auront plus marqué que je ne l’aurais cru.
- Bien, madame la psy ! Ne vous sentez pas obligée de m’offrir une séance. Juste une question, le permis n’est pas trop dur à avoir ? Rassurez-moi !
En somme, j’avais l’exemple à suivre et celui à ne surtout pas copier en même temps. Mais de toute façon, ce n’était pas du tout le sujet et nous avions finalement un événement à fêter. Ce qui expliquait un peu plus pourquoi mon père s'était libéré beaucoup plus tôt que d’habitude. La question que me posa la psy me laissa songeur quelque instant avant que je ne réponde avec toute la simplicité du monde.
- Pas de fête en grande pompe, ni de salle, ni de fiesta et j’en passe. Franchement, je n’ai aucune envie qu’on dépense autant d’argent pour ça. Moi tout ce que je veux, c’est qu’on ne se prenne pas la tête et qu’on reste simple. Tu paies la pizza ce soir, tiens, ça c’est très bien !
La fin était à l’attention de mon père qui rit doucement avant de dire à la psychologue sur un ton tout aussi détendu.
- Nous ne sommes pas du genre à faire les choses en grand comité dans notre famille, même mes parents avant moi étaient plus du genre à privilégier les petits moments du quotidien et les moments importants, ont les fêtes à notre façon. J’avais prévu la réponse de Juni de toute façon ! Mais 20 ans, ça se respecte quand même et il y a une chose qui va changer.
Il me montra une clé et je la reconnus presque aussitôt, la clé de sa voiture. C’est vrai qu’il parlait d’en acheter une nouvelle, mais je m’étais toujours demandé pourquoi il ne vendait pas l’ancienne. La réponse venait de m’être donnée à l’instant et je devais admettre que je ne m’y attendais du tout. Pour la première fois, la psy devait me voir perdre ma contenance et marquer un air choqué sur mon visage. Je n’en avais même plus les mots, chose assez exceptionnelle pour être soulignée ! Au moment où je voulus me saisir des clés, il les retira d’un mouvement vif avec un petit rire.
- Oh oh ! Un cadeau d'une telle envergure, ça ne se prend pas comme ça, tu sais ! Mon père m’avait offert ma voiture avec une contrepartie, alors je fais de même pour toi. Il y a une condition, tu dois te débrouiller pour avoir ton permis avant par tes propres moyens ! Être un adulte n’est pas un dû ! Ça se mérite.
Je marquais un petit sourire en relevant son air de défi puis je revenais sur ma chaise avec un air plus détendu et amusé. La psy devait bien rigoler, mais en soi, ça lui prouvait aussi que j’étais clairement entre de bonnes mains. Je lâchais alors avec un faux air grognon.
- Sérieusement, c’est tout toi ça ! Me mettre un cadeau de rêve sous les yeux pour ensuite me le retirer en me demandant de bosser plus ! Très bien, je vais l’avoir ton permis à la noix. Mais ensuite, tu devras m’appeler « Monsieur Juni » comme tout le monde.
Un rire partagé, et nous revenions aux banalités d’usage, il n’y avait pas de cadeau à déballer ! Pas besoin car mon père venait de me faire un très beau cadeau en soi, une leçon qui me servira sûrement toute ma vie. Être adulte, ça se mérite et ce sont des paroles qui m’auront plus marqué que je ne l’aurais cru.
- Bien, madame la psy ! Ne vous sentez pas obligée de m’offrir une séance. Juste une question, le permis n’est pas trop dur à avoir ? Rassurez-moi !
- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 29■ Messages : 730■ Inscrit le : 13/02/2023
Mon personnage
❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2017
Un train de retard !
07 juillet 2018 || Ft. Junichi
07 juillet 2018 || Ft. Junichi
La psychologue restait en observation, regardant les deux protagonistes se parler comme ci leur complicité à toujours été telle quelle. Cela faisait plaisir de voir le père vouloir donner des responsabilités à son fils et qu'effectivement tout n'est pas un dû. Tous les enfants devraient apprendre cela et que l'on a rien sans avoir travaillé dur. C'est important d'inculquer cela à nos bambins sinon ils n'auraient aucunement la valeur des chaises.
La société avait fait de nous des consommateurs. C'était navrant car dès que quelque chose est cassé, l'humain va vouloir tout de suite le remplacer au lieu de le réparer. Après, tout dépend des choses qui coûterait les yeux de la tête et qu'il vaut mieux en acheter un neuf. Beck de projetait dans quelques années, est-ce qu'elle serait capable de se comporter de la sorte avec sa progéniture ? Ou est-ce qu'elle deviendrait une mère distante ? Bourreau du travail ? Seul l'avenir le dirait pour la psychologue. Mais ce n' est pas en étant célibataire que cela pourrait être cohérent.
Certains parents font appel aux mères porteuses aux Etats Unis afin de pouvoir avoir un enfant à eux sans passer par l'adoption ou d'autres procédures plus "logique". Les orphelinats étaient remplis de personnes en attente d'une famille. Peut-être que Beck pouvait penser à cette option ? À peine bientôt trente ans, cette question lui traversait de temps en temps l'esprit. Surtout quand elle voyait Junichi et son paternel se parler, comme ci tout allait bien et que cet instinct de protection de la part de son géniteur était quelque chose de naturel et qu'il n'avait pas besoin de réfléchir.
Quelques minutes plus tard, le serveur lui apportant la boisson mentholée qu'elle avait demandé. En ce mois de juillet, la chaleur était présente et après avoir mangé sa viennoiserie, la soif était au rendez vous. Une fois son verre déposé devant elle, la jeune femme vint à boire quelques gorgées tout en écoutant la question sur Junichi venait de lui poser concernant le permis automobile.
Avoir le permis afin de pouvoir se déplacer là où elle le souhaitait était quelque chose qui pouvait être confortable dans un futur proche. Surtout que de nombreuses concessions proposaient des voitures d'occasions intéressantes et avec peu de kilomètres. Beck avait fait des économies durant des années, toujours sur son compte épargne depuis qu'elle est thérapeute. Il était vrai qu'elle ne s'était jamais penchée sur la question.
La conversation entre elle et les deux protagonistes lui permettait de parler autre chose que psychologie. Juste une discussion sans prise de tête et bon enfant.
La société avait fait de nous des consommateurs. C'était navrant car dès que quelque chose est cassé, l'humain va vouloir tout de suite le remplacer au lieu de le réparer. Après, tout dépend des choses qui coûterait les yeux de la tête et qu'il vaut mieux en acheter un neuf. Beck de projetait dans quelques années, est-ce qu'elle serait capable de se comporter de la sorte avec sa progéniture ? Ou est-ce qu'elle deviendrait une mère distante ? Bourreau du travail ? Seul l'avenir le dirait pour la psychologue. Mais ce n' est pas en étant célibataire que cela pourrait être cohérent.
Certains parents font appel aux mères porteuses aux Etats Unis afin de pouvoir avoir un enfant à eux sans passer par l'adoption ou d'autres procédures plus "logique". Les orphelinats étaient remplis de personnes en attente d'une famille. Peut-être que Beck pouvait penser à cette option ? À peine bientôt trente ans, cette question lui traversait de temps en temps l'esprit. Surtout quand elle voyait Junichi et son paternel se parler, comme ci tout allait bien et que cet instinct de protection de la part de son géniteur était quelque chose de naturel et qu'il n'avait pas besoin de réfléchir.
Quelques minutes plus tard, le serveur lui apportant la boisson mentholée qu'elle avait demandé. En ce mois de juillet, la chaleur était présente et après avoir mangé sa viennoiserie, la soif était au rendez vous. Une fois son verre déposé devant elle, la jeune femme vint à boire quelques gorgées tout en écoutant la question sur Junichi venait de lui poser concernant le permis automobile.
C'est pas compliqué, il suffit de rester concentré et être attentif. J'ai le permis depuis nombreuses années mais je prend le métro pour me rendre au travail et n'ai pas de moyen de locomotion pour me déplacer. Mais il va falloir que j'investisse !
Avoir le permis afin de pouvoir se déplacer là où elle le souhaitait était quelque chose qui pouvait être confortable dans un futur proche. Surtout que de nombreuses concessions proposaient des voitures d'occasions intéressantes et avec peu de kilomètres. Beck avait fait des économies durant des années, toujours sur son compte épargne depuis qu'elle est thérapeute. Il était vrai qu'elle ne s'était jamais penchée sur la question.
La conversation entre elle et les deux protagonistes lui permettait de parler autre chose que psychologie. Juste une discussion sans prise de tête et bon enfant.
Junichi étant donné que votre père est dans la musique, pourquoi n'avez vous pas pensé à travailler avec lui après vos études afin de vous payer le permis plus tard ? Et après réaliser votre projet une fois d'être mobile. À mes yeux c'est beaucoup plus pratique que de se déplacer en tramway ou le train. Tout dépend où vous serez pris !
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Le permis, ce n’était pas rien, et visiblement, j’allais devoir me le payer tout seul. Remarque, j’avais de l’argent de côté et je pouvais gagner de l’argent en aidant mon père, mais j’imagine que c’était aussi pour me pousser à trouver un petit boulot par mes propres moyens ? Sûrement, je comprenais un peu la logique de mon père. À sa manière, il me faisait comprendre que je ne pourrais pas toujours dépendre de lui.
Un défi de plus à relever, il savait très bien que j’en étais capable dans la mesure où il avait pu constater les efforts que j’avais déployés pour entrer à l’université. Je n’étais pas né avec un potentiel intellectuel élevé, mais à force de travail, de révision, et de patience, j’étais parvenu à relever mon niveau scolaire, un travail constant que je maintenais encore aujourd’hui en révisant régulièrement. Sur ce point, le travail et l’assiduité étaient la clé du succès.
J’écoutais donc attentivement la réponse de la psychologue, dont je ne connaissais toujours pas le nom à vrai dire. S’était-elle présentée au moins une fois ? Bah peu importe ! Elle me confia que ce n’était pas bien compliqué et assidu en somme. Ça encore, je savais bien faire, mais elle marquait un point en revanche concernant les moyens de déplacement. Le train, le bus, et j’en passe rendaient quand même le quotidien beaucoup plus pratique, et si je désirais m’établir dans une grande ville.
- Oui, c’est vrai qu’avec tous les moyens de locomotion qu’on a à disposition, le permis n’est pas vital en soi. Mais il reste un acquis non négligeable malgré tout, et je pense que c’est quand même mieux d’avoir un moyen de se déplacer, surtout selon le travail que l’on fait.
Mon père marqua un point aussi, et j’observais tranquillement la situation d’un œil attentif. Je me souvenais alors du nombre de fois où mon père avait dû dépendre de sa voiture pour donner des cours particuliers ici et là. Certains boulots nécessitent que l’on soit autonome en réalité. Jusqu’à ce que l’on me pose une question concernant mon avenir proche, ou plutôt pourquoi je ne travaillais pas avec mon père. Un petit sourire sur mon visage indiquait déjà que je prenais ce sujet plutôt à cœur.
- Car moi, je veux faire du base-ball et devenir un joueur professionnel. J’aime bien la musique, c’est vrai, et j’aiderais toujours mon père ! Mais je me vois mal faire ma vie là-dedans, peut-être de temps à autre quand la situation me l’imposera parce que je connais la précarité du milieu que je vise. Mais voilà, je me suis fixé mon objectif et je compte bien aller jusqu’au bout, sinon je n’aurais pas choisi la filière sportive.
Une réponse simple, on me le demandait toujours, mais je ne voulais pas être comme ces enfants qui suivaient les traces de leurs parents. C’était une voie trop facile, je voulais me faire ma propre voie, mes propres choix, et surtout mes propres erreurs. Je lui demandais alors d’une voix détendue.
- Vous avez suivi les traces de vos parents, vous ?
Car si ce n’était pas le cas, elle ne pourrait que me comprendre alors.
Un défi de plus à relever, il savait très bien que j’en étais capable dans la mesure où il avait pu constater les efforts que j’avais déployés pour entrer à l’université. Je n’étais pas né avec un potentiel intellectuel élevé, mais à force de travail, de révision, et de patience, j’étais parvenu à relever mon niveau scolaire, un travail constant que je maintenais encore aujourd’hui en révisant régulièrement. Sur ce point, le travail et l’assiduité étaient la clé du succès.
J’écoutais donc attentivement la réponse de la psychologue, dont je ne connaissais toujours pas le nom à vrai dire. S’était-elle présentée au moins une fois ? Bah peu importe ! Elle me confia que ce n’était pas bien compliqué et assidu en somme. Ça encore, je savais bien faire, mais elle marquait un point en revanche concernant les moyens de déplacement. Le train, le bus, et j’en passe rendaient quand même le quotidien beaucoup plus pratique, et si je désirais m’établir dans une grande ville.
- Oui, c’est vrai qu’avec tous les moyens de locomotion qu’on a à disposition, le permis n’est pas vital en soi. Mais il reste un acquis non négligeable malgré tout, et je pense que c’est quand même mieux d’avoir un moyen de se déplacer, surtout selon le travail que l’on fait.
Mon père marqua un point aussi, et j’observais tranquillement la situation d’un œil attentif. Je me souvenais alors du nombre de fois où mon père avait dû dépendre de sa voiture pour donner des cours particuliers ici et là. Certains boulots nécessitent que l’on soit autonome en réalité. Jusqu’à ce que l’on me pose une question concernant mon avenir proche, ou plutôt pourquoi je ne travaillais pas avec mon père. Un petit sourire sur mon visage indiquait déjà que je prenais ce sujet plutôt à cœur.
- Car moi, je veux faire du base-ball et devenir un joueur professionnel. J’aime bien la musique, c’est vrai, et j’aiderais toujours mon père ! Mais je me vois mal faire ma vie là-dedans, peut-être de temps à autre quand la situation me l’imposera parce que je connais la précarité du milieu que je vise. Mais voilà, je me suis fixé mon objectif et je compte bien aller jusqu’au bout, sinon je n’aurais pas choisi la filière sportive.
Une réponse simple, on me le demandait toujours, mais je ne voulais pas être comme ces enfants qui suivaient les traces de leurs parents. C’était une voie trop facile, je voulais me faire ma propre voie, mes propres choix, et surtout mes propres erreurs. Je lui demandais alors d’une voix détendue.
- Vous avez suivi les traces de vos parents, vous ?
Car si ce n’était pas le cas, elle ne pourrait que me comprendre alors.
- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 29■ Messages : 730■ Inscrit le : 13/02/2023
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Un train de retard !
07 juillet 2018 || Ft. Junichi
07 juillet 2018 || Ft. Junichi
Ne pas avoir son permis n'est pas rédhibitoire, bien au contraire mais pour avancer dans la vie c'est bien plus simple. Surtout avec tous les moyens de transport qu'il existe c'est beaucoup plus utile en tout cas. Beck pensait ça, mais c'était un peu bête dans le sens où elle n'avait jamais investie dans une voiture. La jeune femme regardait toujours les deux protagonistes tout en sirotant sa boisson fraîche et observant la scène.
Toute sa Vie, en tant que japonaise même pour se rendre à l'école, elle prenait le tramway. Très tôt sensibilisé aux codes de la route et surtout quand on est très jeune, que les parents n'ont pas un emploi du temps standard, il est compliqué de pouvoir avoir des parents disponible pour nous emmener en voiture comme le faisait le père de Junichi.
Et oui, ce n'est pas pour rien qu'ils existe ce permis, parce qu'il y a tellement d'accidents pour des refus de priorités ou alors des personnes alcoolisés au volant. Dès accidents qui auraient pu être évité si les gens connaissaient parfaitement les panneaux de signalisation ! Enfin, même en connaissance du code de la route, certains continuent à ne pas le respecter de temps en temps. Par exemple, quand ils sont en retard au travail et bien, ils vont rouler plus vite. Ça sert à rien justement, si t'es en retard, t'es en retard !
Toute sa Vie, en tant que japonaise même pour se rendre à l'école, elle prenait le tramway. Très tôt sensibilisé aux codes de la route et surtout quand on est très jeune, que les parents n'ont pas un emploi du temps standard, il est compliqué de pouvoir avoir des parents disponible pour nous emmener en voiture comme le faisait le père de Junichi.
Effectivement, si vous voulez vous établir dans une grande ville, il est plus correct de passer le permis de conduire. Après, cela prendra le temps qu'il faudra !
Et oui, ce n'est pas pour rien qu'ils existe ce permis, parce qu'il y a tellement d'accidents pour des refus de priorités ou alors des personnes alcoolisés au volant. Dès accidents qui auraient pu être évité si les gens connaissaient parfaitement les panneaux de signalisation ! Enfin, même en connaissance du code de la route, certains continuent à ne pas le respecter de temps en temps. Par exemple, quand ils sont en retard au travail et bien, ils vont rouler plus vite. Ça sert à rien justement, si t'es en retard, t'es en retard !
Non encore heureux, sinon nous ne serions pas assis à cette table en train de discuter en attendant mon train. Mais il n'est pas anodin que ce soit le cas.... Vous ne m'avez pas dit pourquoi vouloir partir vers des études sportives et ce, depuis combien de temps ?
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
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❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
C’était assez amusant de constater que le sujet du permis était souvent mis sur la table lorsque le temps était venu. Soit par les parents, soit par les enfants ! Il s’agissait sûrement à la fois d’un moyen pour les parents de se libérer d’une tâche en octroyant ce privilège du déplacement à leurs enfants et d’un moyen de s’émanciper pour les enfants en affichant clairement une volonté de moins dépendre d’eux.
Dans mon cas, je ne voyais pas non plus le permis comme un objectif de vie, cela dit, plus qu’évident pour mon confort de vie en revanche. Donc, j’écoutais tour à tour les avis et discussions autour du sujet, même si chaque fois qu'il était tombé sur le tapis, cela me paraissait lointain. Tout comme mes années qui étaient passées si vite au final, me voilà majeur … Enfin presque…
Cela allait prendre du temps, et je me demandais combien en réalité. Car après réflexion, j’allais devoir cumuler mes études et mon permis. Donc double dose pour moi pendant quelque temps, cependant j’avais pas mal de temps libre à Kobe, donc ça devrait pouvoir se faire. Mais très vite la discussion s’orienta vers mes choix d’avenir. On pouvait rapidement penser que c’était un coup de tête, mais il n’en était rien car j’avais eu tout mon temps pour y songer.
En revanche, je n’aurais pas su dire si elle avait répondu à ma question, probablement. Donc elle n’avait pas suivi la voie que ses parents lui destinaient ? Ou bien n’avait-elle en un sens pas eu le choix ? Oh Junichi, tu réfléchis trop ! Ce n’est pas bon pour toi et tu le sais bien ! Elle me reposa donc sa question, et il était vrai que la réponse était si claire dans ma tête que je ne me rendais pas compte qu’elle en était que plus confuse dans mes mots, mon interlocutrice n’ayant pas toutes les informations que je possédais alors.
- Je ne saurais pas trop dire quand, mais je peux dire comment. Depuis tout petit, j’aime faire du sport, c’est presque devenu un mode de vie pour moi. Mais lorsque j’ai tenu pour la première fois une batte dans mes mains à l’école, ça a été une sorte de révélation, ma première balle frappée, ma première course avec le cœur qui s’est mis à battre à 100 à l’heure. Bref, je pense que vous pouvez facilement comprendre où je veux en venir.
C’était quelque chose que j’avais senti, j’étais fait pour ça et tout mon corps me l’avait fait comprendre. C’était presque comme si c’était dans ma nature. Alors certes, je ne me voyais pas devenir un grand joueur ou une star japonaise ! Mais juste le fait de pouvoir en vivre serait déjà énorme. Puis même si au final mon avenir n’était pas tracé dedans, je rejoindrais quand même des petits clubs quitte à travailler en parallèle.
- En tout cas, depuis que je fais du sport à l’école, c’est comme ça que je vois ma vie.
Mon père avoua d’une voix plus posée.
- Je confirme, il avait beau avoir plusieurs matières, son seul sujet de discussion concernant l’école, c’était ce qu’il avait fait en sport. Pas forcément du base-ball mais tout ce qui tournait autour. Je crois que je ne l’ai jamais vu plus épanoui que sur un terrain à se dépenser comme jamais. C’est pour ça que je pense qu’il a raison, sur ce point en tout cas, car tu as beaucoup à apprendre encore sur d'autres. Mais c’est en bonne voie.
J’espérais avoir bien répondu, mais c’est vrai que la personne la mieux placée pour me comprendre était bien celle à m’avoir vu grandir. Dommage que ma mère n’ait pas su en faire autant.
Dans mon cas, je ne voyais pas non plus le permis comme un objectif de vie, cela dit, plus qu’évident pour mon confort de vie en revanche. Donc, j’écoutais tour à tour les avis et discussions autour du sujet, même si chaque fois qu'il était tombé sur le tapis, cela me paraissait lointain. Tout comme mes années qui étaient passées si vite au final, me voilà majeur … Enfin presque…
Cela allait prendre du temps, et je me demandais combien en réalité. Car après réflexion, j’allais devoir cumuler mes études et mon permis. Donc double dose pour moi pendant quelque temps, cependant j’avais pas mal de temps libre à Kobe, donc ça devrait pouvoir se faire. Mais très vite la discussion s’orienta vers mes choix d’avenir. On pouvait rapidement penser que c’était un coup de tête, mais il n’en était rien car j’avais eu tout mon temps pour y songer.
En revanche, je n’aurais pas su dire si elle avait répondu à ma question, probablement. Donc elle n’avait pas suivi la voie que ses parents lui destinaient ? Ou bien n’avait-elle en un sens pas eu le choix ? Oh Junichi, tu réfléchis trop ! Ce n’est pas bon pour toi et tu le sais bien ! Elle me reposa donc sa question, et il était vrai que la réponse était si claire dans ma tête que je ne me rendais pas compte qu’elle en était que plus confuse dans mes mots, mon interlocutrice n’ayant pas toutes les informations que je possédais alors.
- Je ne saurais pas trop dire quand, mais je peux dire comment. Depuis tout petit, j’aime faire du sport, c’est presque devenu un mode de vie pour moi. Mais lorsque j’ai tenu pour la première fois une batte dans mes mains à l’école, ça a été une sorte de révélation, ma première balle frappée, ma première course avec le cœur qui s’est mis à battre à 100 à l’heure. Bref, je pense que vous pouvez facilement comprendre où je veux en venir.
C’était quelque chose que j’avais senti, j’étais fait pour ça et tout mon corps me l’avait fait comprendre. C’était presque comme si c’était dans ma nature. Alors certes, je ne me voyais pas devenir un grand joueur ou une star japonaise ! Mais juste le fait de pouvoir en vivre serait déjà énorme. Puis même si au final mon avenir n’était pas tracé dedans, je rejoindrais quand même des petits clubs quitte à travailler en parallèle.
- En tout cas, depuis que je fais du sport à l’école, c’est comme ça que je vois ma vie.
Mon père avoua d’une voix plus posée.
- Je confirme, il avait beau avoir plusieurs matières, son seul sujet de discussion concernant l’école, c’était ce qu’il avait fait en sport. Pas forcément du base-ball mais tout ce qui tournait autour. Je crois que je ne l’ai jamais vu plus épanoui que sur un terrain à se dépenser comme jamais. C’est pour ça que je pense qu’il a raison, sur ce point en tout cas, car tu as beaucoup à apprendre encore sur d'autres. Mais c’est en bonne voie.
J’espérais avoir bien répondu, mais c’est vrai que la personne la mieux placée pour me comprendre était bien celle à m’avoir vu grandir. Dommage que ma mère n’ait pas su en faire autant.
- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 29■ Messages : 730■ Inscrit le : 13/02/2023
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❖ Âge : 29 ans
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07 juillet 2018 || Ft. Junichi
07 juillet 2018 || Ft. Junichi
Avoir une passion dévorante qui faisait que notre. Leur battait à la chamade. Comme-ci c'était notre amour, la seule chose qui peut nous donner cette adrénaline et ce truc qui fait qu'on a des ailes qui nous poussent. Beck comprenait très bien ce que voulait dire l'étudiant concernant le sport qu'il pratiquait : le baseball.
La jeune femme était heureuse de le voir si épanoui et si vivant quand il parle de ce sport. La psychologue connaissait ce sentiment de liberté quand elle faisait de la cuisine et que plus rien n'existe autour d'elle. Pouvoir tester plusieurs mélanges, faire frétiller ses papilles étaient un sentiment vraiment indescriptible au sujet de ce que ressentait Beck lorsqu'elle cuisinait. Cette extase, des yeux pleins d'étoiles en passant dans le rayon des aromates et des nouveautés locales qui pouvaient parvenir sur le marché le dimanche.
Depuis qu'elle avait entrepris des études de psychologie, Beck était fascinée par le fonctionnement de l'être humain. Ses émotions, son histoire, sa construction et sa psychique. Toutes ses choses qui restaient un mystère et des éléments déclencheurs qui peuvent paraître anodin, provoquent un traumatisme chez le patient. Et ce n'est pas des cas scientifique, juste neuronale et que chaque humain appréhende les situations différemment. Heureusement d'ailleurs !
La jeune femme jetait un coup d'oeil vite fait à son portable pour regarder l'heure. Elle avait encore le temps de boire sa menthe fraîche tout en écoutant les phrases sincères qui sortaient de la bouche des deux protagonistes. Beck voyait cela comme un moment de détente et de lâcher prise, comme la fameuse excursion avec Jin le premier weekend de dernier, cela n'égale en rien le sentiment qu'elle a ressenti lors de son périple.
Profiter de l'instant présent était le leitmotiv à la japonaise et Junichi était vraiment quelqu'un d'attachant.
La jeune femme était heureuse de le voir si épanoui et si vivant quand il parle de ce sport. La psychologue connaissait ce sentiment de liberté quand elle faisait de la cuisine et que plus rien n'existe autour d'elle. Pouvoir tester plusieurs mélanges, faire frétiller ses papilles étaient un sentiment vraiment indescriptible au sujet de ce que ressentait Beck lorsqu'elle cuisinait. Cette extase, des yeux pleins d'étoiles en passant dans le rayon des aromates et des nouveautés locales qui pouvaient parvenir sur le marché le dimanche.
Depuis qu'elle avait entrepris des études de psychologie, Beck était fascinée par le fonctionnement de l'être humain. Ses émotions, son histoire, sa construction et sa psychique. Toutes ses choses qui restaient un mystère et des éléments déclencheurs qui peuvent paraître anodin, provoquent un traumatisme chez le patient. Et ce n'est pas des cas scientifique, juste neuronale et que chaque humain appréhende les situations différemment. Heureusement d'ailleurs !
En tout cas, vous m'avez l'air épanoui quand vous parlez de votre passion. Ce qui vous anime est parfois incompréhensible, on essaye de comprendre pourquoi un détail déclenche autant de bonheur chez nous ! Je suis heureuse de vous voir vous exprimer ainsi.
La jeune femme jetait un coup d'oeil vite fait à son portable pour regarder l'heure. Elle avait encore le temps de boire sa menthe fraîche tout en écoutant les phrases sincères qui sortaient de la bouche des deux protagonistes. Beck voyait cela comme un moment de détente et de lâcher prise, comme la fameuse excursion avec Jin le premier weekend de dernier, cela n'égale en rien le sentiment qu'elle a ressenti lors de son périple.
Profiter de l'instant présent était le leitmotiv à la japonaise et Junichi était vraiment quelqu'un d'attachant.
Et vous monsieur, pratiquez vous également la batte avec votre fils ? Est-ce que c'est vous qui lui avez donné ce virus ?
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Il était vrai que cela pouvait paraître bizarre, cette tendance que j'avais eue à vouloir suivre un chemin complètement différent de celui de mes parents. Même si au fond, je me moquais un peu de ce qu'on pouvait réellement en penser. Après tout, j'étais assez libre de ne pas vouloir suivre le chemin qu'ils avaient emprunté. Malgré tout, les gens avaient cette propension à penser qu'un de mes parents avait pu influencer ce choix.
- Cela m'arrive quand j'ai du temps libre, oui, mais il est bien meilleur que moi dans ce domaine. Et non ! C'est vraiment quelque chose qu'il a développé tout seul. Oh mais j'y pense, on va être en retard !
Ah oui, je venais de me souvenir que nous avions prévu un petit rituel. Les collations furent rapidement finies et j'observai la rue pendant que mon père proposait d'une voix chaleureuse :
- Ça fait du bien de boire quelque chose. Si vous voulez, il reste encore du temps avant de prendre votre train et ce serait bête de rater quelques animations du Festival des étoiles ! On pourrait faire un petit saut au temple pas loin, ils vont justement y faire un petit spectacle de danse. On pourra même y participer !
De la danse traditionnelle, je n'étais pas doué, mais c'était amusant d'en faire et la dernière fois, les danseuses étaient assez gentilles pour bien aider les gens. C'était une occasion à ne pas manquer, quitte à passer à Osaka autant ne pas manquer cela. Je proposai d'un ton amusé à la psychologue :
- Ça vous changera du bureau et vous pourrez aussi déposer un vœu au passage ! C'est le meilleur moment pour cela. Qui sait, peut-être même qu'il se réalisera. De toute façon, ce n'est pas payant pour autant. Mais par contre, la danse ne sera pas obligatoire, seulement si vous voulez vous amuser !
De toute façon, ce n'était pas non plus quelque chose qui prendrait des plombes et il ne s'était même pas écoulé une demi-heure en réalité. Le temple devait être à presque égale distance de la gare donc autant en profiter, et une menthe à l'eau ça se boit aussi vite que le soda que je m'étais commandé. Le Tanabata n'était pas une occasion à manquer et maintenant que mon père m'y faisait penser, je me surprenais de ne pas l'avoir proposé plus tôt. Je comprenais également pourquoi il avait eu son après-midi. J'observai la dame et mon père proposa :
- Alors, vous venez ? Promis, ça ne vous fera pas manquer un nouveau train !
- Cela m'arrive quand j'ai du temps libre, oui, mais il est bien meilleur que moi dans ce domaine. Et non ! C'est vraiment quelque chose qu'il a développé tout seul. Oh mais j'y pense, on va être en retard !
Ah oui, je venais de me souvenir que nous avions prévu un petit rituel. Les collations furent rapidement finies et j'observai la rue pendant que mon père proposait d'une voix chaleureuse :
- Ça fait du bien de boire quelque chose. Si vous voulez, il reste encore du temps avant de prendre votre train et ce serait bête de rater quelques animations du Festival des étoiles ! On pourrait faire un petit saut au temple pas loin, ils vont justement y faire un petit spectacle de danse. On pourra même y participer !
De la danse traditionnelle, je n'étais pas doué, mais c'était amusant d'en faire et la dernière fois, les danseuses étaient assez gentilles pour bien aider les gens. C'était une occasion à ne pas manquer, quitte à passer à Osaka autant ne pas manquer cela. Je proposai d'un ton amusé à la psychologue :
- Ça vous changera du bureau et vous pourrez aussi déposer un vœu au passage ! C'est le meilleur moment pour cela. Qui sait, peut-être même qu'il se réalisera. De toute façon, ce n'est pas payant pour autant. Mais par contre, la danse ne sera pas obligatoire, seulement si vous voulez vous amuser !
De toute façon, ce n'était pas non plus quelque chose qui prendrait des plombes et il ne s'était même pas écoulé une demi-heure en réalité. Le temple devait être à presque égale distance de la gare donc autant en profiter, et une menthe à l'eau ça se boit aussi vite que le soda que je m'étais commandé. Le Tanabata n'était pas une occasion à manquer et maintenant que mon père m'y faisait penser, je me surprenais de ne pas l'avoir proposé plus tôt. Je comprenais également pourquoi il avait eu son après-midi. J'observai la dame et mon père proposa :
- Alors, vous venez ? Promis, ça ne vous fera pas manquer un nouveau train !
- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 29■ Messages : 730■ Inscrit le : 13/02/2023
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Un train de retard !
07 juillet 2018 || Ft. Junichi
07 juillet 2018 || Ft. Junichi
Il y a quand même des passions qui se transmettent de parent à enfant. L'influence joue beaucoup mais parfois on est pas forcément fait pour ce qu'on croit être fait pour nous. Au final, il n y a rien de génétique et surtout la passion ! C'est comme certains seront plus costauds et plus physique pour tirer des poids, d'autres plus artistes pour dessiner malgré l'acharnement à dessiner quotidiennement. On est pas tous égaux et encore heureux. Ça serait vraiment ennuyeux !
La jeune femme terminait sa menthe à l'eau et regardant son interlocuteur parler de la fête des étoiles. Elle regrettait de ne pas dormir sur place pour pouvoir profiter davantage de ce festival. La psychologue était une piètre danseuse, elle ne voulait pas se mettre la honte mais ils étaient tous là pour profiter du moment, n'est-ce pas ?
Elle pensait qu'elle avait prit une assurance annulation au cas où si elle voulait pas prendre le train et être remboursée ou repousser son départ. Même si on était dimanche demain, il fallait être raisonnable quand même. La jeune femme se redressa de sa chaise pour s'apprêter à aller à ce festival qui avait l'air vraiment intriguant.
La jeune femme terminait sa menthe à l'eau et regardant son interlocuteur parler de la fête des étoiles. Elle regrettait de ne pas dormir sur place pour pouvoir profiter davantage de ce festival. La psychologue était une piètre danseuse, elle ne voulait pas se mettre la honte mais ils étaient tous là pour profiter du moment, n'est-ce pas ?
En vous écoutant, je regrette de ne pas être du coin pour pouvoir profiter un maximum du festival. Cela à l'air vraiment chouette ! Par contre, je suis très mauvaise danseuse...
Elle pensait qu'elle avait prit une assurance annulation au cas où si elle voulait pas prendre le train et être remboursée ou repousser son départ. Même si on était dimanche demain, il fallait être raisonnable quand même. La jeune femme se redressa de sa chaise pour s'apprêter à aller à ce festival qui avait l'air vraiment intriguant.
J'ai hâte de voir ce qui m'attend là bas, cela ne doit pas être là première fois que vous y allez !
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
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❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Rapidement, elle nous avoua regretter de ne pas être dans le coin pour rater une partie de ce festival. Il devait bien y avoir des choses sur Kobe de temps à autre. Des événements, des périodes de fêtes. À vrai dire, je ne m'y étais moi-même jamais vraiment intéressé. Peut-être que les prochains mois, je ferais un peu plus gaffe à ce qu'il se passe autour de là où je vis la plupart du temps.
C'est vrai qu'en y réfléchissant un peu, je me rendais compte que j'avais de la chance d'avoir un minimum d'entourage pour m'aider à me changer les idées régulièrement, sinon ma vie ne ferait que tourner autour du sport et des révisions. Enfin, c'était la sensation que j'en avais car la réalité m'avait rapidement démontré que je savais aussi bien me changer les idées tout seul parfois. Mais je n'étais pas particulièrement attiré par les grandes fêtes ou festivals ; c'était plus souvent quelqu'un qui m'y emmenait.
La psy nous confirma qu'elle n'était pas douée pour danser, mais cela, elle était à bonne école, car bon musicien ne fait pas forcément bon danseur ! C'était même l'excuse parfaite parfois ; un musicien qui danse, soit il est très doué, soit c'est dans un film ou en playback, car maintenir un rythme de danse en restant concentré sur son instrument n'est pas facile.
- Ne vous en faites pas, vous passerez inaperçu avec nous. Limite, on vous prendra presque pour une bonne danseuse !
Lui dis-je avec amusement avant de me lever et de prendre mes affaires. Comment ce festival avait-il pu me sortir de la tête ? Faut dire que cette journée était pleine de rebondissements. Pendant le chemin, elle nous demanda si nous y étions déjà allés, et ce fut mon père qui se chargea de la réponse, après une rapide observation de la psy pour s'assurer qu'elle ne se sentait pas trop forcée par la situation.
- Non, c'est la deuxième fois. Après, les meilleures animations sont plus vers le centre-ville et d'autres endroits. Et surtout vers la nuit, car après tout, ça ne s'appelle pas le festival des lumières pour rien. Lanternes, bougies et feux d'artifice au rendez-vous en général. Mais nous ne vivons pas ici depuis si longtemps, ça va faire... deux ans environ, il me semble. Je ne sais plus, le temps passe si vite.
Vrai, je ne m'en souvenais plus non plus. Le temple n'était plus très loin, et déjà mon père me charriait en chemin concernant les jolies jeunes femmes en tenue traditionnelle, qu'il ne dira rien si je regarde un peu et j'en passe. Je riais, mais au fond, je n'avais même pas franchement la tête à cela. Juste m'amuser un peu avant le début des examens serait un bon début. D'ailleurs, une question me vint en tête.
- Vous ne risquez pas d'avoir plus de travail avec les examens ? Je n'ose pas imaginer le nombre d'élèves qui doivent finir en burn-out avec la pression.
C'était vrai en un sens, la question se posait un peu. Les examens n'étaient jamais une période simple, et tout le monde n'était pas si peu prise de tête que moi dans les faits. Moi que j'y arrive ou non, il y avait toujours les rattrapages au pire. Mais bon, elle aimait son boulot alors peut-être que cela lui faisait plaisir, au fond, qu'on vienne la voir en cas de besoin comme ça. Même si bon, je serais plus enclin à dire "Tape dans la balle ! Ça te fera du bien !" ... Tout le monde n'est pas comme moi, et cela rend le monde vraiment compliqué.
- Enfin, quoi qu'il en soit, j'ai hâte que les vacances arrivent ! Enfin un peu de temps pour souffler, se vider un peu la tête et ne plus penser à l'université.
Je restais un étudiant après tout, rien de plus exaltant que la pensée d'avoir un mois entier sans cours. C'était bien un mois, non ? Ça n'a pas changé, rassurez-moi...
C'est vrai qu'en y réfléchissant un peu, je me rendais compte que j'avais de la chance d'avoir un minimum d'entourage pour m'aider à me changer les idées régulièrement, sinon ma vie ne ferait que tourner autour du sport et des révisions. Enfin, c'était la sensation que j'en avais car la réalité m'avait rapidement démontré que je savais aussi bien me changer les idées tout seul parfois. Mais je n'étais pas particulièrement attiré par les grandes fêtes ou festivals ; c'était plus souvent quelqu'un qui m'y emmenait.
La psy nous confirma qu'elle n'était pas douée pour danser, mais cela, elle était à bonne école, car bon musicien ne fait pas forcément bon danseur ! C'était même l'excuse parfaite parfois ; un musicien qui danse, soit il est très doué, soit c'est dans un film ou en playback, car maintenir un rythme de danse en restant concentré sur son instrument n'est pas facile.
- Ne vous en faites pas, vous passerez inaperçu avec nous. Limite, on vous prendra presque pour une bonne danseuse !
Lui dis-je avec amusement avant de me lever et de prendre mes affaires. Comment ce festival avait-il pu me sortir de la tête ? Faut dire que cette journée était pleine de rebondissements. Pendant le chemin, elle nous demanda si nous y étions déjà allés, et ce fut mon père qui se chargea de la réponse, après une rapide observation de la psy pour s'assurer qu'elle ne se sentait pas trop forcée par la situation.
- Non, c'est la deuxième fois. Après, les meilleures animations sont plus vers le centre-ville et d'autres endroits. Et surtout vers la nuit, car après tout, ça ne s'appelle pas le festival des lumières pour rien. Lanternes, bougies et feux d'artifice au rendez-vous en général. Mais nous ne vivons pas ici depuis si longtemps, ça va faire... deux ans environ, il me semble. Je ne sais plus, le temps passe si vite.
Vrai, je ne m'en souvenais plus non plus. Le temple n'était plus très loin, et déjà mon père me charriait en chemin concernant les jolies jeunes femmes en tenue traditionnelle, qu'il ne dira rien si je regarde un peu et j'en passe. Je riais, mais au fond, je n'avais même pas franchement la tête à cela. Juste m'amuser un peu avant le début des examens serait un bon début. D'ailleurs, une question me vint en tête.
- Vous ne risquez pas d'avoir plus de travail avec les examens ? Je n'ose pas imaginer le nombre d'élèves qui doivent finir en burn-out avec la pression.
C'était vrai en un sens, la question se posait un peu. Les examens n'étaient jamais une période simple, et tout le monde n'était pas si peu prise de tête que moi dans les faits. Moi que j'y arrive ou non, il y avait toujours les rattrapages au pire. Mais bon, elle aimait son boulot alors peut-être que cela lui faisait plaisir, au fond, qu'on vienne la voir en cas de besoin comme ça. Même si bon, je serais plus enclin à dire "Tape dans la balle ! Ça te fera du bien !" ... Tout le monde n'est pas comme moi, et cela rend le monde vraiment compliqué.
- Enfin, quoi qu'il en soit, j'ai hâte que les vacances arrivent ! Enfin un peu de temps pour souffler, se vider un peu la tête et ne plus penser à l'université.
Je restais un étudiant après tout, rien de plus exaltant que la pensée d'avoir un mois entier sans cours. C'était bien un mois, non ? Ça n'a pas changé, rassurez-moi...
- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 29■ Messages : 730■ Inscrit le : 13/02/2023
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Un train de retard !
07 juillet 2018 || Ft. Junichi
07 juillet 2018 || Ft. Junichi
Le contexte était complètement différent de ce qu'elle pouvait avoir rencontrée jusqu'à aujourd'hui. Quelqu'un qui l'invite au festival des étoiles et tout cela en rapport avec une fête traditionnelle. Il y avait des évènements sur Kobe, mais ce n'était pas pareil, elle ne vivait pas depuis très longtemps sur la ville. Peut être depuis bientôt deux ans, mais en tant qu'ermite, la jeune femme ne se rendait pas beaucoup sur ce genre de festivités. Toute façon, cette sortie et ce retard de train n'était peut être pas au hasard ! La psychologue allait finir par croire que le destin voulait qu'elle croise la route de Junichi qui lui mettait un peu de soleil dans sa vie.
Etrange, surtout quand on va à une fête des lumière n'est-ce pas ? La jeune femme acceptait sans soucis, elle terminait sa boisson et payait sa consommation pour suivre les deux hommes avec beaucoup d'entrain. Elle se sentait comme une enfant qui allait découvrir un nouvel environnement et le changement d'oxygène.
L'illusion serait parfaite pendant la danse, pouvoir danser au milieu de personnes aussi raide que des bouts de bois, la jeune femme avait ses chances d'avoir un cavalier pour la soirée. Peut être qu'il y avait des slows ? Ou alors c'était de la musique bien rythmée des années 80, bien connue de tous les japonais pour danser sur des rythmes endiablées, histoire de mettre de l'ambiance dans l'endroit où on lieu les festivités. Il ne fallait pas qu'il y ait de l'alcool ou qu'elle y touche de trop car sinon Junichi et son père allait avoir un autre spectacle que de la danse ! La jeune femme ne tenait pas vraiment à ce genre de boisson, surtout quand elle ne buvait pas avec modération et pouvait se montrer un peu violente, mais gentiment avec ses interlocuteurs.
La psychologue marchait derrière les deux protagonistes, toujours le sourire aux lèvres et ayant cette brise qui lui soufflait légèrement dans la nuque et le soleil toujours présent. Enfin, au vue de l'heure la japonaise pouvait profiter du paysage en trottinant derrière eux. Elle avait son sac à main sur son épaule et regardait l'heure sur son portable, même si elle était très tentée de prendre un hôtel et de repousser son départ au lendemain pour pouvoir profiter de la fête des lumières.
Beck affichait une expression enfantine en regardant Junichi, c'était vrai qu'elle passait un bon moment avec ces derniers et regardant les horaires de train dans son portable tout en marchant et quittant du regard l'étudiant quelques instants. Elle se sentait ridicule, mais tant pis mais un grand bol d'air frais ne lui ferait pas grand mal. Après, si elle croisait d'autres personnes de KHS à bas les rumeurs et les gens pouvaient croire ce qu'ils voulaient. Leur rencontres n'était pas du tout programmée.
Etrange, surtout quand on va à une fête des lumière n'est-ce pas ? La jeune femme acceptait sans soucis, elle terminait sa boisson et payait sa consommation pour suivre les deux hommes avec beaucoup d'entrain. Elle se sentait comme une enfant qui allait découvrir un nouvel environnement et le changement d'oxygène.
Ah bah alors tant mieux si je passe pour une bonne danseuse ! Je suis contente que vous alliez me servir pour dégoter un bon cavalier haha !
L'illusion serait parfaite pendant la danse, pouvoir danser au milieu de personnes aussi raide que des bouts de bois, la jeune femme avait ses chances d'avoir un cavalier pour la soirée. Peut être qu'il y avait des slows ? Ou alors c'était de la musique bien rythmée des années 80, bien connue de tous les japonais pour danser sur des rythmes endiablées, histoire de mettre de l'ambiance dans l'endroit où on lieu les festivités. Il ne fallait pas qu'il y ait de l'alcool ou qu'elle y touche de trop car sinon Junichi et son père allait avoir un autre spectacle que de la danse ! La jeune femme ne tenait pas vraiment à ce genre de boisson, surtout quand elle ne buvait pas avec modération et pouvait se montrer un peu violente, mais gentiment avec ses interlocuteurs.
La psychologue marchait derrière les deux protagonistes, toujours le sourire aux lèvres et ayant cette brise qui lui soufflait légèrement dans la nuque et le soleil toujours présent. Enfin, au vue de l'heure la japonaise pouvait profiter du paysage en trottinant derrière eux. Elle avait son sac à main sur son épaule et regardait l'heure sur son portable, même si elle était très tentée de prendre un hôtel et de repousser son départ au lendemain pour pouvoir profiter de la fête des lumières.
Je réfléchis fortement à prendre une chambre dans le coin pour pouvoir reprendre la route demain ! J'ai une assurance annulation et repousser mon départ pour le lendemain pour pouvoir profiter de la fête au maximum car ce n'est pas tous les jours que j'irais à Osaka !
Beck affichait une expression enfantine en regardant Junichi, c'était vrai qu'elle passait un bon moment avec ces derniers et regardant les horaires de train dans son portable tout en marchant et quittant du regard l'étudiant quelques instants. Elle se sentait ridicule, mais tant pis mais un grand bol d'air frais ne lui ferait pas grand mal. Après, si elle croisait d'autres personnes de KHS à bas les rumeurs et les gens pouvaient croire ce qu'ils voulaient. Leur rencontres n'était pas du tout programmée.
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
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❖ Âge : 19 ans
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❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Parfois, le hasard fait bien les choses, les étoiles s'alignent de la meilleure façon possible, tout comme elles peuvent l'être de la pire manière et nous faire passer les pires journées possibles parfois. Mais bon, ainsi va la vie, et heureusement que les bons moments aident à faire oublier les mauvais aussi. Bref, je digresse ! La réponse de la psy m'avait bien fait rigoler à tel point que je n'ai pas pu m'empêcher de répliquer sur un ton amusé.
- Oh, pour ça, vous savez, il y a plein de profs plutôt sympas à Kobe aussi. Si ça peut aider, je peux voir avec un ou deux amis pour qu'on en rende un complètement chèvre au point qu'il prenne rendez-vous avec vous !
Évidemment, je n'étais pas sérieux le moins du monde et ce n'était pas mon genre de faire cela. Mais bon, si ça pouvait réunir deux cœurs, peut-être que le jeu en valait la chandelle. Cependant, le risque était quelque peu trop gros pour moi quand même. Bon, il fallait peut-être que j'arrête de penser à ce genre de choses, sans quoi on risquait peut-être de me prescrire définitivement des séances de psy !
Bon, trêve de blague ! De toute façon, sur le moment, je n'y avais pas tant songé que ça, et nous étions en chemin pour le temple. Mes oreilles m'indiquaient clairement que les festivités avaient commencé, et j'imagine qu'il avait dû attendre un peu le milieu de l'après-midi pour permettre au plus de monde d'être présent, j'imagine. Quoi qu'il en soit, nous approchions doucement, et de plus en plus de monde semblait converger dans la même direction. Lorsque la psy m'avoua être tentée de prendre un hôtel pour mieux pouvoir profiter du festival, un regard amusé, je levais les deux mains avant de dire sur un ton détendu :
- Il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis !
Mon père rit doucement mais me reprit à l'ordre en me priant de rester respectueux vis-à-vis de mes aînés, chose à laquelle je répondis par un banal "Oui ! Oui !" avant qu'il ne lance sur un ton amical en surenchérissant :
- Mais nous serons fixés sur cela lorsque vous aurez pris votre train !
Chose à laquelle je riais de plus belle, la provoquant presque sur le fait qu'elle serait capable de ne pas se tenir à ce qu'elle disait. Qui a dit que mon père devait respecter l'étiquette aussi ? Bien que cela n'était pas du tout dans l'optique de la blesser évidement. Cependant, il y avait tout de même un détail : y aurait-il des chambres de libres ? Parce qu'elle ne devait pas être la première à y penser. Il y avait même sûrement pas mal de monde qui avait réservé le week-end exprès. Peut-être valait-il mieux ne pas l'inquiéter. De toute façon, si elle se retrouvait dans une situation où elle ne pouvait pas trouver une chambre, mon père se proposerait sans hésiter pour l'héberger le temps d'une nuit, si ça pouvait la dépanner.
- Oh ! On y est presque. Ça fait un bail que je voulais y aller !
Comme un enfant, je redécouvrais un peu la ville où je vivais... encore une fois. Et probablement que cela m'arriverait encore ailleurs. Malgré le fait que mon père m'avait certifié ne plus vouloir bouger, je ne me laissais pas convaincre si facilement, et je ne voulais pas m'adapter à un endroit pour devoir encore en changer après tout.
- Oh, pour ça, vous savez, il y a plein de profs plutôt sympas à Kobe aussi. Si ça peut aider, je peux voir avec un ou deux amis pour qu'on en rende un complètement chèvre au point qu'il prenne rendez-vous avec vous !
Évidemment, je n'étais pas sérieux le moins du monde et ce n'était pas mon genre de faire cela. Mais bon, si ça pouvait réunir deux cœurs, peut-être que le jeu en valait la chandelle. Cependant, le risque était quelque peu trop gros pour moi quand même. Bon, il fallait peut-être que j'arrête de penser à ce genre de choses, sans quoi on risquait peut-être de me prescrire définitivement des séances de psy !
Bon, trêve de blague ! De toute façon, sur le moment, je n'y avais pas tant songé que ça, et nous étions en chemin pour le temple. Mes oreilles m'indiquaient clairement que les festivités avaient commencé, et j'imagine qu'il avait dû attendre un peu le milieu de l'après-midi pour permettre au plus de monde d'être présent, j'imagine. Quoi qu'il en soit, nous approchions doucement, et de plus en plus de monde semblait converger dans la même direction. Lorsque la psy m'avoua être tentée de prendre un hôtel pour mieux pouvoir profiter du festival, un regard amusé, je levais les deux mains avant de dire sur un ton détendu :
- Il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis !
Mon père rit doucement mais me reprit à l'ordre en me priant de rester respectueux vis-à-vis de mes aînés, chose à laquelle je répondis par un banal "Oui ! Oui !" avant qu'il ne lance sur un ton amical en surenchérissant :
- Mais nous serons fixés sur cela lorsque vous aurez pris votre train !
Chose à laquelle je riais de plus belle, la provoquant presque sur le fait qu'elle serait capable de ne pas se tenir à ce qu'elle disait. Qui a dit que mon père devait respecter l'étiquette aussi ? Bien que cela n'était pas du tout dans l'optique de la blesser évidement. Cependant, il y avait tout de même un détail : y aurait-il des chambres de libres ? Parce qu'elle ne devait pas être la première à y penser. Il y avait même sûrement pas mal de monde qui avait réservé le week-end exprès. Peut-être valait-il mieux ne pas l'inquiéter. De toute façon, si elle se retrouvait dans une situation où elle ne pouvait pas trouver une chambre, mon père se proposerait sans hésiter pour l'héberger le temps d'une nuit, si ça pouvait la dépanner.
- Oh ! On y est presque. Ça fait un bail que je voulais y aller !
Comme un enfant, je redécouvrais un peu la ville où je vivais... encore une fois. Et probablement que cela m'arriverait encore ailleurs. Malgré le fait que mon père m'avait certifié ne plus vouloir bouger, je ne me laissais pas convaincre si facilement, et je ne voulais pas m'adapter à un endroit pour devoir encore en changer après tout.
- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 29■ Messages : 730■ Inscrit le : 13/02/2023
Mon personnage
❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
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Un train de retard !
07 juillet 2018 || Ft. Junichi
07 juillet 2018 || Ft. Junichi
C'était décidé, la jeune femme avait prise une décision : elle allait annuler son billet de train afin de pouvoir profiter de la soirée en compagnie du père de Junichi et lui-même. La psychologue pianotait sur son portable pour chercher à repousser son départ et prendre une nuit à l'hôtel non loin des festivités. Les prix s'étaient enflammés au vu de l'affluence touristique à Osaka et surtout depuis que la fête des étoiles a été annoncé il y a un peu plus d'un an étant donné qu'il y a plusieurs éditions présentées depuis bon nombre d'années.
Une chambre d'hôtel se trouvait pas trop chère, c'était la dernière. Un peu chère car c'était une des suites de luxe avec un lit king size et service de chambre à la carte. Pourquoi pas s'offrir un petit plaisir et un petit week-end à Osaka. C'était un bon plan, surtout qu'elle était venue y passer la journée ! Mais, Beck avait quelques économies pour pouvoir subvenir à ses dépenses de ce soir et de demain. En tant que personne célibataire, c'était normal qu'elle ait quelques économies pour pouvoir se faire plaisir de temps en temps !
La japonaise s'inclinait. Elle était reconnaissante vis à vis de ce que Junichi faisait pour elle : de mettre un peu de rythme dans sa vie de femme solitaire. Passer ses soirées à être sur ses dossiers ou des séries culinaires pour s'instruire pour de nouvelles recettes ou à jouer à des jeux vidéos en ligne n'était pas quelque chose qui pouvait l'aider socialement.
Elle marchait paisiblement derrière les deux protagonistes pour être à la cadence. Beck était comme une enfant, comme ci elle s'en allait découvrir de nouveaux endroits et faire une nouvelle activité. Même si en danse elle n'était pas très habile, mais la jeune femme voulait donner du bon sens à sa vie et prendre de nouvelles résolutions ! Se faire de nouveaux amis et pouvoir s'ouvrir davantage aux autres, être un peu moins invisible aux yeux de la société. Depuis qu'elle était arrivée à KHS, la jeune femme était heureuse d'avoir fait de nouvelles rencontres et d'avoir pu voir un peu de monde.
Beck avait toujours ce petit sourire ses lèvres et avançait avec beaucoup d'entrain en route vers la fête. La jeune femme était apprêtée vestimentairement pour assumer la soirée et elle avait un style à elle qui mettait toujours son corps en valeur. Elle regardait la foule qui se dirigeait dans la même direction qu'eux, cela n'était pas une coïncidence, bien au contraire et surtout au vu de l'heure les gens on tendance à rentrer chez eux ou aller errer dans les cafés ou manger une petite glace.
Jamais un jour, la psychologue s'était dit qu'elle verrait un peu de soleil dans sa vie et qu'elle serait autant positive dans ses projets. La jeune femme était ambitieuse et retrouvait goût à la vie, grâce à des gens comme Junichi qui lui donnait l'impression d'exister. Beck était quelqu'un de très peu confiante, mais elle essayait de la gagner au fil du temps mais ce n'est pas facile. Elle était comme un animal sauvage qu'il faut apprivoiser doucement et elle ne s'était jamais imaginée qu'elle allait sympathiser autant avec le père et le fils. Alors que de base, elle était juste de passage dans la ville d'Osaka.
Une chambre d'hôtel se trouvait pas trop chère, c'était la dernière. Un peu chère car c'était une des suites de luxe avec un lit king size et service de chambre à la carte. Pourquoi pas s'offrir un petit plaisir et un petit week-end à Osaka. C'était un bon plan, surtout qu'elle était venue y passer la journée ! Mais, Beck avait quelques économies pour pouvoir subvenir à ses dépenses de ce soir et de demain. En tant que personne célibataire, c'était normal qu'elle ait quelques économies pour pouvoir se faire plaisir de temps en temps !
Bon, je me suis laissée tentée et je pense passer ma deuxième journée du week-end dans cette fabuleuse ville après avoir passé une bonne soirée avec vous, merci de vouloir bien de moi et de ma compagnie !
La japonaise s'inclinait. Elle était reconnaissante vis à vis de ce que Junichi faisait pour elle : de mettre un peu de rythme dans sa vie de femme solitaire. Passer ses soirées à être sur ses dossiers ou des séries culinaires pour s'instruire pour de nouvelles recettes ou à jouer à des jeux vidéos en ligne n'était pas quelque chose qui pouvait l'aider socialement.
Elle marchait paisiblement derrière les deux protagonistes pour être à la cadence. Beck était comme une enfant, comme ci elle s'en allait découvrir de nouveaux endroits et faire une nouvelle activité. Même si en danse elle n'était pas très habile, mais la jeune femme voulait donner du bon sens à sa vie et prendre de nouvelles résolutions ! Se faire de nouveaux amis et pouvoir s'ouvrir davantage aux autres, être un peu moins invisible aux yeux de la société. Depuis qu'elle était arrivée à KHS, la jeune femme était heureuse d'avoir fait de nouvelles rencontres et d'avoir pu voir un peu de monde.
Alors c'est l'occasion, j'en suis sûre que nous allons nous amuser ! Désolée si je parais si enthousiaste !
Beck avait toujours ce petit sourire ses lèvres et avançait avec beaucoup d'entrain en route vers la fête. La jeune femme était apprêtée vestimentairement pour assumer la soirée et elle avait un style à elle qui mettait toujours son corps en valeur. Elle regardait la foule qui se dirigeait dans la même direction qu'eux, cela n'était pas une coïncidence, bien au contraire et surtout au vu de l'heure les gens on tendance à rentrer chez eux ou aller errer dans les cafés ou manger une petite glace.
Jamais un jour, la psychologue s'était dit qu'elle verrait un peu de soleil dans sa vie et qu'elle serait autant positive dans ses projets. La jeune femme était ambitieuse et retrouvait goût à la vie, grâce à des gens comme Junichi qui lui donnait l'impression d'exister. Beck était quelqu'un de très peu confiante, mais elle essayait de la gagner au fil du temps mais ce n'est pas facile. Elle était comme un animal sauvage qu'il faut apprivoiser doucement et elle ne s'était jamais imaginée qu'elle allait sympathiser autant avec le père et le fils. Alors que de base, elle était juste de passage dans la ville d'Osaka.
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Je ne saurais dire si cette journée avait été chamboulée ou non. Pour moi, un petit peu, mais peut-être pas pour mon père, qui avait prévu le truc dès le début. Quoi qu'il en soit, j'observais doucement l'heure passer et me demandais au passage si je devais garder le réveil que j'avais mis en place ou non. Cruel dilemme qui se posait à moi, probablement le pire de cette journée, c’est pour dire à quel point ma vie était tranquille !
À la suite de nos arguments… convaincants ? Ou pas ? Peut-être plus la seconde option, la jeune femme semblait se décider pour la solution la plus appréciable, profiter du festival. Cependant, je ne sais pas trop si nous avions prévu d'en profiter autant que ça, le temps pour le moment et la suite, j'imagine qu’on comptait voir au cas par cas. Ce fut surtout la suite de sa phrase qui me fit sourire et je lâchai d’une voix amusée :
- Croyez-moi, une après-midi avec nous va vite vous donner la sensation que vous êtes d’excellente compagnie ! Faut admettre qu’on n’est pas trop Japonais classique, disons que pour faire simple, on n’a qu’une vie ! Il faut en profiter tant que l’occasion se présente !
C'était un peu notre politique familiale : légèreté, insouciance et joie de vivre avant tout. Le respect en second, même si nous n’y attachions pas une aussi forte importance que d’autres familles japonaises standard, et enfin, en fin de liste… C’était quoi déjà ? Bah ce n’est pas si important au fond, sûrement un truc du côté de ma mère.
Le temple semblait décoré, bien que pas au point d'être méconnaissable, et pas mal de monde avait opté pour une tenue traditionnelle, prévue pour les températures actuelles, évidemment. J’avoue que certaines filles étaient plutôt mignonnes et il était vrai que ce genre de tenue pouvait rajouter du charme, si bien que mon père ne loupa pas une occasion.
- Oh tiens, ce ne serait pas une de nos voisines là ? Vas-y, je suis sûr que tu peux facilement lui plaire.
Je souris et répondis sur un ton détendu :
- Arrête, elle mérite bien mieux que moi ! Puis je ne suis pas là pour ça non plus. On va s’amuser et je ne veux surtout pas penser aux histoires de cœurs.
J’avançais alors pour regarder les différentes animations proposées ici et là, des petits jeux étaient de la partie et diverses activités ce qui était assez agréable. Sans me rendre compte que mon père était revenu au côté de la psychologue pour dire d’une voix détendue en m’observant.
- Nous avons pas mal déménagé depuis quelques années. J’ai encore du mal à lui faire comprendre que c’est la dernière fois car cette fois, j’ai un travail stable. Il a eu quelques copines et des amis ici et là mais ça n’a pas tenu à cause de notre propension à bouger sans arrêt… Depuis, il évite de trop s’attacher ou même d’engager quelque chose de trop sérieux avec des gens de son âge. C’est un peu pour ça que je le pousse même si bon, là j’ai compris, on recommencera une prochaine fois !
Un sourire amusé de sa part. J’étais au courant de cela, mais à ce moment-là, je n’arrivais pas à m’enlever cette idée que nous pouvions partir dans une autre région à tout moment. Ça faisait plus d'un an et je crois que je n’avais même pas réussi à me faire un ami proche. Il avait expliqué cela pour éviter que la psy ne se pose des questions. En soi, c’était la bonne méthode, mais je ne m’en rendais pas compte sur le moment et l’avenir finira sûrement par donner raison à mon père.
- Alors, par quoi on commence ? La danse ou quelques jeux ?
- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 29■ Messages : 730■ Inscrit le : 13/02/2023
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❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2017
Un train de retard !
07 juillet 2018 || Ft. Junichi
07 juillet 2018 || Ft. Junichi
Dans cet endroit, il y avait du monde comme-ci c'était un endroit connu et bien organisé. La jeune femme regardait une belle affiche qui trônait à l'entrée de la fête avec un joli soleil avec un ciel étoilé derrière et la ville d'Osaka. Une peinture à la mode de Picasso avait été choisie pour cette année. Elle avançait doucement derrière les deux protagonistes et observant les festivités en souriant.
La psychologue avouait qu'elle n'avait pas été à une fête de ville depuis très longtemps. Elle qui était en ermite chez elle et à regarder la télévision ou jouet aux jeux vidéos sur sa console. La jeune femme se rendait compte qu'elle était restée trop longtemps célibataire ou sans amis, surtout depuis qu'Oliver et Fuyu s'étaient mariés. C'était ses amis d'enfance, mais cela faisait des années qu'elle n'avait pas eu de nouvelles.
Avoir autant de complicité avec son père était quand même quelque chose de précieux. Se faire charrier par son paternel concernant une demoiselle qui peut être notre voisine sans aucune honte et gêne comme ci tout le village pouvait entendre sans se soucier de ce que pensent les gens des alentours. Beck appréciait cette ambiance bonne enfant et Junichi n'avait pas l'air d'en vouloir à ce manque de finesse. L'étudiant semblait être honnête concernant ses relations avec les autres et surtout n'avait pas l'air de s'inquiéter de son avenir sentimental.
Il avait quoi, dix neuf ans ? Pourquoi s'embêter avec quelqu'un alors qu'il veut consacrer sa passion et ses envies à son futur professionnel ! C'était une bonne ambition de vouloir devenir un sportif de haut niveau en baseball et surtout avoir un très bon mentor comme son père qui lui avait certainement transmis sa passion.
Toutes ses questions s'enchaînaient et la jeune femme ne se contrôlait pas. Elle laissait libre court à toutes les questions qui pouvaient passer dans son esprit et s'exprimer à voix haute. La psychologue regardait autour d'elle, des jeux mais un endroit pour pouvoir s'abreuver. Des cocktails de toutes les couleurs et qui peuvent faire penser aux dégradés des aurores boréales.
Elle avait une certaine appétence pour l'alcool et peut-être selon son point de vue, cela lui donnerais du courage pour pouvoir aller sur le dancefloor et montrer ses talents de danseuse inavoué. Elle souriait doucement, attendant la réponse de Junichi ou de son père. Peu importe celui qui répondrait. La soirée s'avérait devenir intéressante et pleine de rebondissements. Beck semblait apprécier le duo qui n'en loupait pas une et qui animait sa journée en beauté.
La psychologue avouait qu'elle n'avait pas été à une fête de ville depuis très longtemps. Elle qui était en ermite chez elle et à regarder la télévision ou jouet aux jeux vidéos sur sa console. La jeune femme se rendait compte qu'elle était restée trop longtemps célibataire ou sans amis, surtout depuis qu'Oliver et Fuyu s'étaient mariés. C'était ses amis d'enfance, mais cela faisait des années qu'elle n'avait pas eu de nouvelles.
Ne vous en faites pas ! En tant que Japonaise traditionnelle c'est vrai que nous avons toujours à nous soucier des conventions et des choses qui ne sont pas vraiment importante. Les apparences que l'on peut donner aux autres n'a pas l'air d'être votre soucis.... Et tant mieux !
Avoir autant de complicité avec son père était quand même quelque chose de précieux. Se faire charrier par son paternel concernant une demoiselle qui peut être notre voisine sans aucune honte et gêne comme ci tout le village pouvait entendre sans se soucier de ce que pensent les gens des alentours. Beck appréciait cette ambiance bonne enfant et Junichi n'avait pas l'air d'en vouloir à ce manque de finesse. L'étudiant semblait être honnête concernant ses relations avec les autres et surtout n'avait pas l'air de s'inquiéter de son avenir sentimental.
Il avait quoi, dix neuf ans ? Pourquoi s'embêter avec quelqu'un alors qu'il veut consacrer sa passion et ses envies à son futur professionnel ! C'était une bonne ambition de vouloir devenir un sportif de haut niveau en baseball et surtout avoir un très bon mentor comme son père qui lui avait certainement transmis sa passion.
Vous avez tendance à déménager pour quelles raisons sans indiscrétion ? Le travail ? Est-ce que c'est une vie facile pour Junichi ? N'as t'il pas trop été perturbé ? Et comptez vous rester dans le coin désormais ?
Toutes ses questions s'enchaînaient et la jeune femme ne se contrôlait pas. Elle laissait libre court à toutes les questions qui pouvaient passer dans son esprit et s'exprimer à voix haute. La psychologue regardait autour d'elle, des jeux mais un endroit pour pouvoir s'abreuver. Des cocktails de toutes les couleurs et qui peuvent faire penser aux dégradés des aurores boréales.
Elle avait une certaine appétence pour l'alcool et peut-être selon son point de vue, cela lui donnerais du courage pour pouvoir aller sur le dancefloor et montrer ses talents de danseuse inavoué. Elle souriait doucement, attendant la réponse de Junichi ou de son père. Peu importe celui qui répondrait. La soirée s'avérait devenir intéressante et pleine de rebondissements. Beck semblait apprécier le duo qui n'en loupait pas une et qui animait sa journée en beauté.
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Naturellement, mon père comptait bien faire tout ce qu’il pouvait pour que je sois heureux. Autant dire que le jour où je lui présenterais une amie, il risque de s’emballer assez vite. Mais ce ne sera pas pire qu’avec ma mère qui ira directement poser un jugement inquisiteur sur la pauvre femme avant même qu’elle n’ait le temps de réagir. Enfin, quoi qu’il en soit, j’observais les différents jeux, bien que la plupart soient pour les enfants, je trouvais cela plutôt amusant.
Les organisateurs avaient fait un travail assez cool, surtout quand on sait que dans quelques semaines aurait lieu un grand festival encore plus imposant. Celui-ci, j’étais déjà au courant car mon père devait y participer, aidant à l’ambiance musicale pendant le feu d’artifice et quelques animations. Il allait faire la régie en gros.
Du côté de mon père, les questions fusaient et il souriait pour donner le change. Peut-être que les habitudes d’un psychologue ont la vie dure et surement avait-elle laissé une petite déformation professionnelle filtre, ou alors était-elle simplement curieuse. Quoi qu’il en soit, sa réponse ne manqua pas et il répondit même sans aucun souci à toutes les questions malgré la rapidité avec laquelle elles avaient fusé.
- Pour mon travail, j’ai mis pas mal de temps avant de retrouver quelque chose de fixe. Je voulais devenir professeur, mais le souci c’est que les places n’ont pas été simples à trouver au cours des dernières années. Du coup, je suis passé d’un boulot à un autre ce qui m’a imposé de déménager régulièrement, presque une fois tous les 6 mois environ. Junichi ne s’en est pas plaint sur le moment et comprenait parfaitement la situation, on ne vit pas sans argent malheureusement et des choix doivent être faits par moment ! Perturbé ? Vous voulez dire … plus que d’habitude ? Ah non, tout va bien de ce côté ! Je suis même surpris qu’il soit aussi équilibré. Oui pour la dernière, même si je ne me souviens plus trop de la question.
Bon, il se rappelait en substance mais faut dire que c’était compliqué de suivre et de songer aux réponses alors que les questions continuaient. Moi, de mon côté, je m’étais éloigné un peu puis je revenais vers eux avec un jeu sympathique à tester. Je proposais alors à Beck d’une voix amusée :
- Il y a un jeu de capture au poisson, vous savez le truc avec l’anneau en papier. Ça peut être marrant, vous voulez tester !? Je suis sûr que vous aurez la patience nécessaire pour y arriver !
Ou pas, peut-être qu’elle s’énerverait dessus ou que sais-je, mais c’était amusant alors pourquoi ne pas en profiter un peu et de toute façon, tout le monde allait y passer… mais les invités d’abord !
Les organisateurs avaient fait un travail assez cool, surtout quand on sait que dans quelques semaines aurait lieu un grand festival encore plus imposant. Celui-ci, j’étais déjà au courant car mon père devait y participer, aidant à l’ambiance musicale pendant le feu d’artifice et quelques animations. Il allait faire la régie en gros.
Du côté de mon père, les questions fusaient et il souriait pour donner le change. Peut-être que les habitudes d’un psychologue ont la vie dure et surement avait-elle laissé une petite déformation professionnelle filtre, ou alors était-elle simplement curieuse. Quoi qu’il en soit, sa réponse ne manqua pas et il répondit même sans aucun souci à toutes les questions malgré la rapidité avec laquelle elles avaient fusé.
- Pour mon travail, j’ai mis pas mal de temps avant de retrouver quelque chose de fixe. Je voulais devenir professeur, mais le souci c’est que les places n’ont pas été simples à trouver au cours des dernières années. Du coup, je suis passé d’un boulot à un autre ce qui m’a imposé de déménager régulièrement, presque une fois tous les 6 mois environ. Junichi ne s’en est pas plaint sur le moment et comprenait parfaitement la situation, on ne vit pas sans argent malheureusement et des choix doivent être faits par moment ! Perturbé ? Vous voulez dire … plus que d’habitude ? Ah non, tout va bien de ce côté ! Je suis même surpris qu’il soit aussi équilibré. Oui pour la dernière, même si je ne me souviens plus trop de la question.
Bon, il se rappelait en substance mais faut dire que c’était compliqué de suivre et de songer aux réponses alors que les questions continuaient. Moi, de mon côté, je m’étais éloigné un peu puis je revenais vers eux avec un jeu sympathique à tester. Je proposais alors à Beck d’une voix amusée :
- Il y a un jeu de capture au poisson, vous savez le truc avec l’anneau en papier. Ça peut être marrant, vous voulez tester !? Je suis sûr que vous aurez la patience nécessaire pour y arriver !
Ou pas, peut-être qu’elle s’énerverait dessus ou que sais-je, mais c’était amusant alors pourquoi ne pas en profiter un peu et de toute façon, tout le monde allait y passer… mais les invités d’abord !
- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 29■ Messages : 730■ Inscrit le : 13/02/2023
Mon personnage
❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2017
Un train de retard !
07 juillet 2018 || Ft. Junichi
07 juillet 2018 || Ft. Junichi
Beck se servait un cocktail qu'elle ne connaissait pas car la jeune femme aimait tester de nouvelles choses. Elle avait son verre à la main tout en écoutant les dires du père de Junichi. Elle pensait à ses déménagements durant son enfance : elle en avait pas fait beaucoup durant sa jeunesse. Peut être deux ou trois durant celle-ci, à habiter dans des maisons plutôt sympathique malgré le travail de ses parents qui arrivaient à se maintenir financièrement.
Elle se souvient des animaux de compagnie qu'elle a pu avoir au cours de sa vie. Un petit chien type cocker du nom de Aiko. Il était très fusionnel avec Beck et c'était comme un confident à qui elle pouvait raconter ses tracas et sa période de harcèlement qu'elle avait très mal vécue. Comme on peut dire, le chien est le meilleur ami de l'homme ! Mais Beck avait une certaine attirance pour les chats. C'est d'ailleurs pour ça qu'elle en avait un qui passait ses journées à dormir sur le canapé.
Il paraît que la ronrontherapie est très bienfaitrice et qui permet de détendre les personnes en stress. La psychologue devrait peut-être essayer de demander au doyen de pouvoir amener son chat pendant quelques séances, une fois par mois avec les patients qui n'en ont pas peur et qui pourrait les mettre plus à l'aise dans la confidence.
L'ambiance était au rendez vous. La jeune femme souriait et restait aux côtés de Junichi, prête à le suivre vers la fameuse animation dont il parlait. Beck était bonne joueuse et voulait apprendre de nouveaux trucs. Comme ça, elle se coucherait moins bête ce soir en rentrant à l'hôtel. Le weekend promet d'être sympa !
Au stand, il semblerait y avoir peu de monde contrairement à la fabrication de lanternes qui plaisait aux enfants de la fête. Et beaucoup de personnes s'empressait à venir chanter au karaoké qui était mis à disposition. Les musiques qui passaient mettait une bonne partie de rigolade avec toutes ses fausses notes présentes mais produites avec tellement de conviction de la part des gens qui s'y essayaient. C'était plutôt courageux !
Elle montrait de la tête discrètement la foule qui chantait tranquillement au stand de musique. C'est vrai que Junichi et son père étaient plutôt adepte de la musique, du coup la jeune femme posait la question aux bonnes personnes. C'est vrai que les gens étaient là pour s'amuser, il n y avait rien à gagner et c'était juste bonne enfant. Source de rigolade et de partage. Quoi de mieux pour profiter de cette fête des étoiles ! Apparemment, il était annoncé que le ciel était dégagé ce soir.
Le soleil se couchait lentement et les lanternes accrochées en hauteur s'allumaient au fur et à mesure du temps. Ce qui rendait le moment encore plus agréable.
Elle se souvient des animaux de compagnie qu'elle a pu avoir au cours de sa vie. Un petit chien type cocker du nom de Aiko. Il était très fusionnel avec Beck et c'était comme un confident à qui elle pouvait raconter ses tracas et sa période de harcèlement qu'elle avait très mal vécue. Comme on peut dire, le chien est le meilleur ami de l'homme ! Mais Beck avait une certaine attirance pour les chats. C'est d'ailleurs pour ça qu'elle en avait un qui passait ses journées à dormir sur le canapé.
Il paraît que la ronrontherapie est très bienfaitrice et qui permet de détendre les personnes en stress. La psychologue devrait peut-être essayer de demander au doyen de pouvoir amener son chat pendant quelques séances, une fois par mois avec les patients qui n'en ont pas peur et qui pourrait les mettre plus à l'aise dans la confidence.
C'est un jeu traditionnel japonais il me semble ? Junichi, si vous voulez bien.... Montrez moi comment faire car je n'ai jamais eu l'occasion d'y jouer. Cela m'a l'air amusant !
L'ambiance était au rendez vous. La jeune femme souriait et restait aux côtés de Junichi, prête à le suivre vers la fameuse animation dont il parlait. Beck était bonne joueuse et voulait apprendre de nouveaux trucs. Comme ça, elle se coucherait moins bête ce soir en rentrant à l'hôtel. Le weekend promet d'être sympa !
Au stand, il semblerait y avoir peu de monde contrairement à la fabrication de lanternes qui plaisait aux enfants de la fête. Et beaucoup de personnes s'empressait à venir chanter au karaoké qui était mis à disposition. Les musiques qui passaient mettait une bonne partie de rigolade avec toutes ses fausses notes présentes mais produites avec tellement de conviction de la part des gens qui s'y essayaient. C'était plutôt courageux !
Vous qui avez l'oreille musicale, trouves vous qu'il y a quand même quelques talents qui se trouvent patmis eux ?
Elle montrait de la tête discrètement la foule qui chantait tranquillement au stand de musique. C'est vrai que Junichi et son père étaient plutôt adepte de la musique, du coup la jeune femme posait la question aux bonnes personnes. C'est vrai que les gens étaient là pour s'amuser, il n y avait rien à gagner et c'était juste bonne enfant. Source de rigolade et de partage. Quoi de mieux pour profiter de cette fête des étoiles ! Apparemment, il était annoncé que le ciel était dégagé ce soir.
Le soleil se couchait lentement et les lanternes accrochées en hauteur s'allumaient au fur et à mesure du temps. Ce qui rendait le moment encore plus agréable.
- Junichi YasuhisaA l'université ; 2è année■ Age : 26■ Messages : 279■ Inscrit le : 18/11/2023■ Mes clubs :
Mon personnage
❖ Âge : 19 ans
❖ Chambre/Zone n° : U-105
❖ Arrivé(e) en : Avril 2017
Il y avait une chose qu’il fallait savoir sur moi, j’adorais les jeux d’adresse. Ceux où il fallait faire preuve de prudence mais paradoxalement de précipitation aussi. Pas mal de sports m’avaient attiré en ce sens et j’avais de fait pratiqué. Également des petits jeux dans ce style, cependant, j’avais moins l’occasion d’en faire et celui-là, je devais reconnaître que c’était une première ! J’avais déjà vu mais jamais pratiqué.
J’écoutais alors Beck alors qu’elle me parlait, me proposant de me lancer. Bon ben elle ne voulait pas passer avant visiblement ?! Tant pis, moi on n’allait pas me le dire deux fois ! Avec un grand sourire, je sortais une petite pièce et l’homme me tendit alors trois. Ah oui ! Ça y est, ça me revient, on appelle ce jeu, le Kingyo Sukui. J’observais les petites épuisettes jetables puis les poissons. Bon de base c’était un jeu pour les enfants, mais en réalité, pas mal de monde y passait car cela représentait quand même un petit défi pour tous les âges.
Rapidement, je plongeais mon attrape-poisson sous l’eau et je disais d’une voix détendue.
- Je parie que c’est surtout un jeu de patience, il ne faut pas essayer d’aller chercher le poisson, sinon c’est le meilleur moyen de percer la feuille, non ?
J’observais Beck avec un petit sourire, pas sûr de ce que j’avance. De toute façon, nous serions rapidement fixés, de toute façon, je n’avais clairement pas le talent pour prévoir les mouvements de la maudite poiscaille et je n’étais clairement pas assez doué pour les amener en plus là où je voulais, alors autant attendre. Sur le moment, je ne m'en rendais pas compte, mais je montrais un élément de mon caractère. J'étais quelqu'un de patient malgré les apparences et je savais prendre sur moi pour atteindre un objectif.
- Bon, on attend maintenant.
De toute façon, j’avais de l’occupation et j’écoutais les gens chanter plus loin pendant que la jeune femme nous demandait si l’on était capable de reconnaître d’éventuels talents dans le tas. Moi non, clairement pas, et j’hochais la tête négativement, de toute façon trop concentré pour quitter des yeux mon piège improvisé. Mais mon père parvint à donner une réponse plus précise.
- Non ! Pas du tout ! À vrai dire, j’ai surtout été formé dans la musique par instrument et j’ai passé ma vie dedans. Le chant, c’est clairement un autre domaine dans lequel je n’excelle pas. Reconnaître des talents justes au chant, quand en plus ils sont plusieurs à chanter, demande un certain niveau. Je suis capable, en revanche, de reconnaître quelqu’un de talentueux dans un corps d’orchestre ou un groupe de musique. Je ne sais pas si c’est bien clair.
Oui, tout à fait clair, mais sur le moment, je me demandais s’il ne pouvait pas parler un peu moins fort car je ne souhaitais pas y passer la journée sur ce truc, moi ! Ah, ça y est ! Je levais l’épuisette mais sans y aller trop vite de peur de voir tous mes efforts réduits à néant. Le poisson hors de l’eau, je le faisais rapidement basculer dans le petit bac prévu pour lui et pile à temps car un trou se forma dans le papier de riz. Mais j’étais fier de moi, quoi que trop modeste pour le crier. Je tendis les deux autres épuisettes à Beck et lâchais d’une voix amusée :
- Bon j’ai réussi en 6 minutes, à vous. Vous avez la technique ! J’ai déjà prémâché le travail en vous le montrant.
L'endroit commencé réellement de plus en plus à ressembler à une fête des lumières et je m'en rendais compte. Il faisait un peu plus sombre d'ailleurs non ? En tout cas, le temps n'avait déjà plus le même visage et une piste allait doucement se libéré pour laisser place au danse traditionnel. On pouvait déjà voir des personnes en tenues rouges et blanches se préparer mais nous avions le temps encore.
J’écoutais alors Beck alors qu’elle me parlait, me proposant de me lancer. Bon ben elle ne voulait pas passer avant visiblement ?! Tant pis, moi on n’allait pas me le dire deux fois ! Avec un grand sourire, je sortais une petite pièce et l’homme me tendit alors trois. Ah oui ! Ça y est, ça me revient, on appelle ce jeu, le Kingyo Sukui. J’observais les petites épuisettes jetables puis les poissons. Bon de base c’était un jeu pour les enfants, mais en réalité, pas mal de monde y passait car cela représentait quand même un petit défi pour tous les âges.
Rapidement, je plongeais mon attrape-poisson sous l’eau et je disais d’une voix détendue.
- Je parie que c’est surtout un jeu de patience, il ne faut pas essayer d’aller chercher le poisson, sinon c’est le meilleur moyen de percer la feuille, non ?
J’observais Beck avec un petit sourire, pas sûr de ce que j’avance. De toute façon, nous serions rapidement fixés, de toute façon, je n’avais clairement pas le talent pour prévoir les mouvements de la maudite poiscaille et je n’étais clairement pas assez doué pour les amener en plus là où je voulais, alors autant attendre. Sur le moment, je ne m'en rendais pas compte, mais je montrais un élément de mon caractère. J'étais quelqu'un de patient malgré les apparences et je savais prendre sur moi pour atteindre un objectif.
- Bon, on attend maintenant.
De toute façon, j’avais de l’occupation et j’écoutais les gens chanter plus loin pendant que la jeune femme nous demandait si l’on était capable de reconnaître d’éventuels talents dans le tas. Moi non, clairement pas, et j’hochais la tête négativement, de toute façon trop concentré pour quitter des yeux mon piège improvisé. Mais mon père parvint à donner une réponse plus précise.
- Non ! Pas du tout ! À vrai dire, j’ai surtout été formé dans la musique par instrument et j’ai passé ma vie dedans. Le chant, c’est clairement un autre domaine dans lequel je n’excelle pas. Reconnaître des talents justes au chant, quand en plus ils sont plusieurs à chanter, demande un certain niveau. Je suis capable, en revanche, de reconnaître quelqu’un de talentueux dans un corps d’orchestre ou un groupe de musique. Je ne sais pas si c’est bien clair.
Oui, tout à fait clair, mais sur le moment, je me demandais s’il ne pouvait pas parler un peu moins fort car je ne souhaitais pas y passer la journée sur ce truc, moi ! Ah, ça y est ! Je levais l’épuisette mais sans y aller trop vite de peur de voir tous mes efforts réduits à néant. Le poisson hors de l’eau, je le faisais rapidement basculer dans le petit bac prévu pour lui et pile à temps car un trou se forma dans le papier de riz. Mais j’étais fier de moi, quoi que trop modeste pour le crier. Je tendis les deux autres épuisettes à Beck et lâchais d’une voix amusée :
- Bon j’ai réussi en 6 minutes, à vous. Vous avez la technique ! J’ai déjà prémâché le travail en vous le montrant.
L'endroit commencé réellement de plus en plus à ressembler à une fête des lumières et je m'en rendais compte. Il faisait un peu plus sombre d'ailleurs non ? En tout cas, le temps n'avait déjà plus le même visage et une piste allait doucement se libéré pour laisser place au danse traditionnel. On pouvait déjà voir des personnes en tenues rouges et blanches se préparer mais nous avions le temps encore.
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