- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 28■ Messages : 663■ Inscrit le : 13/02/2023
Mon personnage
❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2017
Beck à la rescousse !
03 juillet 2018 || Ft. Arizona
03 juillet 2018 || Ft. Arizona
Après une journée bien chargée, la jeune femme était rentrée à son appartement pour se ressourcer. Beck avait fait des courses la veille et avait décidé de se faire un bon repas. : Du poisson avec une fondue de poireau. Elle appréciait les bons petits plats qui étaient destinés à faire frissonner ses papilles. La jeune femme était dans son canapé en train de regarder son téléphone et consulter ses prochains rendez-vous pour la semaine suivante. Beaucoup de personnes étaient sur liste d'attente étant donné qu'elle était la seule psychologue scolaire de cet établissement. Bien que certains finissent par se lasser et vont dans des structures privés à l'extérieur du lycée.
Certains de ses patients avaient besoin de plusieurs années pour se remettre et avoir le besoin nécessitant une bonne thérapie selon leur traumatisme. Beck était dévouée à son travail, même un peu trop qu'elle passait dès fois ses soirées à écrire sur son ordinateur pour mettre à jour les dossiers des personnes qui venaient la consulter. Nous étions le soir, la nuit était presque tombée sur la zone 3 de Kobe et on pouvait voir l'océan au loin. La vue était magnifique !
Une fois quelques dossiers mis à jour, elle se leva de sa chaise pour admirer la vue de son balcon et son thé à la main. La jeune femme prenait du plaisir à sentir la brise un peu fraîche dans sa nuque venir se glisser également dans ses longs cheveux d'ébène. Elle bu quelques gorgée de sa boisson chaude aromatisée aux fruits rouges, l'une de ses saveurs préférée et puis se mit à partir dans ses pensées quelques instants. Elle repensait à tous ses instants qui l'ont poussé à devenir psychologue et à se vouer autant aux autres, jusqu'à se laisser de côté.
Beck avait toujours été quelqu'un de très serviable et a toujours privilégié le bien être des gens. Bien qu'elle ait pu vivre le pire de temps en temps lors de son enfance, la jeune femme se disait qu'elle n'avait pas vécue le pire contrairement à certains, mais elle aurait préféré éviter. Une fois ayant reprit ses esprits, la japonaise retourna au chaud dans son appartement et refermant la porte de son balcon derrière elle.
Se disait t'elle à voix haute, tout en s'installant dans son canapé. Elle n'était plus autant fermé qu'avant, elle voulait s'ouvrir au monde et pourquoi pas avoir de nouvelles relations sociales comme elle aurait pu faire avec Jin qui l'avait invité à un week-end au Mont Rokko. La jeune femme se surprenait à rêvasser.
Certains de ses patients avaient besoin de plusieurs années pour se remettre et avoir le besoin nécessitant une bonne thérapie selon leur traumatisme. Beck était dévouée à son travail, même un peu trop qu'elle passait dès fois ses soirées à écrire sur son ordinateur pour mettre à jour les dossiers des personnes qui venaient la consulter. Nous étions le soir, la nuit était presque tombée sur la zone 3 de Kobe et on pouvait voir l'océan au loin. La vue était magnifique !
Une fois quelques dossiers mis à jour, elle se leva de sa chaise pour admirer la vue de son balcon et son thé à la main. La jeune femme prenait du plaisir à sentir la brise un peu fraîche dans sa nuque venir se glisser également dans ses longs cheveux d'ébène. Elle bu quelques gorgée de sa boisson chaude aromatisée aux fruits rouges, l'une de ses saveurs préférée et puis se mit à partir dans ses pensées quelques instants. Elle repensait à tous ses instants qui l'ont poussé à devenir psychologue et à se vouer autant aux autres, jusqu'à se laisser de côté.
Beck avait toujours été quelqu'un de très serviable et a toujours privilégié le bien être des gens. Bien qu'elle ait pu vivre le pire de temps en temps lors de son enfance, la jeune femme se disait qu'elle n'avait pas vécue le pire contrairement à certains, mais elle aurait préféré éviter. Une fois ayant reprit ses esprits, la japonaise retourna au chaud dans son appartement et refermant la porte de son balcon derrière elle.
Profiter du présent est quelque chose d'important je pense, il faut arrêter de se morfondre sur son sort.
Se disait t'elle à voix haute, tout en s'installant dans son canapé. Elle n'était plus autant fermé qu'avant, elle voulait s'ouvrir au monde et pourquoi pas avoir de nouvelles relations sociales comme elle aurait pu faire avec Jin qui l'avait invité à un week-end au Mont Rokko. La jeune femme se surprenait à rêvasser.
- Arizona WilliamsPersonnel ; assistante sociale■ Age : 32■ Messages : 393■ Inscrit le : 21/09/2023
Mon personnage
❖ Âge : 24 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Début Avril 2018
Mardi 3 Juillet 20h30
Arizona était dans sa douche, le jet d’eau chaude, presque brûlante, coulait sur son corps. c’est comme ça qu’elle les aimait les douches : bien chaude, même quand il faisait chaud. La jeune femme faisait le point depuis son retour sur le campus. Elle n’avait plus trop eu de moment de down, pas depuis la semaine qui avait suivi le séisme et où elle avait dû s'arrêter. Du toute façon, elle était beaucoup trop occupée au boulot pour pouvoir déprimer, ce qui finalement n’était pas plus mal. Après la douche elle s’attaqua à sa skin care du soir, elle se tartina le corps de crème hydratante puis,elle laissa sa chevelure épaisse attachée en chignon. serviette nouée sous ses aisselles, Lorsqu'elle sortit de la salle de bain un épais nuage de buée envahit sa chambre, par chance elle avait laissé la fenêtre ouverte pour aérer.
La petite brune alla tranquillement jusqu’à son armoire pour prendre une pyjama. puis horrifiée par ce qu’elle venait de voir elle se fixa. Une énorme cigale était tranquillement posée sur son mur. Elle poussa un petit cri d’effroi mais mit sa main sur sa bouche pour l’étouffer, de peur que son cri face s’envoler l'insecte. La cigale était gigantesque, des ailes comparable à celles d’un dragon, des yeux énormes qui lui permettaient sûrement de voir à des kilomètres et des pattes aussi poilues que celle d’un ours. La syrienne était à deux doigts du malaise mais elle puisa dans ses dernières forces pour aller récupérer son téléphone et dévala les escaliers jusqu’au salon.
Instinctivement elle envoie un message à Junko, évidemment. Sans penser que c’était son ex, que leur relation n’était pas du tout au beau fixe et qu’elle devrait normalement le détester. Il faut croire que les habitudes ont une vie dure. l’étudiant répondait rapidement, c’était une bonne chose. Mais après quelque blague de sa part, Arizona lui fit explicitement comprendre qu’elle ne rigolait pas, elle. Ce à quoi il répondit qu’il était en train de réviser. Evidement les examens, ces putain d’examen! Junko avait autre chose à faire que de venir l’aider avec une stupide cigale! qui avait peur des cigales de toute façon? à part les gosses. après s’être excusée auprès de japonais elle jeta son téléphone sur le canapé? excédée. Elle tente plusieurs fois de monter à l’étage et d’affronter la bête. En vain.
Après plusieurs tentatives infructueuses Arizona eu la merveilleuse idée de courir jusqu’à chez sa voisine de palier. Elle ne la connaissait que de nom et elle savait qu’elle travaillait au même endroit mais elle ne la connaissait pas encore. Elles s'étaient simplement aperçues quelques fois dans les escaliers. de simples “bonjours” échangés. Cette beck n’était pas vraiment dérangeante, elle ne disait rien lorsque la musique était trop forte ou quand Ari avait du monde à la maison. même si la Syrienne essayait de ne pas trop abuser sur les nuisances sonores.
C’est donc nue sous sa serviette, les larmes aux yeux qu’Arizona Williams frappa trois coup rapide à la porte de sa voisine. La psychologue avait ouvert la porte rapidement. “Beeeeeck! Tu peux m’aider s’il te plaiiiiiit! y’a une énormeeee cigale sur mon pur! j’ai peuuuur!”
Pour une première impression on repassera, mais clairement Arizona était beaucoup trop terrorisée pour faire de vraie présentation. c’était son instinct de survie qui la guidait actuellement. Drama Queen vous dites? à peine!
- Appartement d'Arizona:
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- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 28■ Messages : 663■ Inscrit le : 13/02/2023
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❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2017
Beck à la rescousse !
03 juillet 2018 || Ft. Arizona
03 juillet 2018 || Ft. Arizona
Beck était tranquillement en train de rêvasser à son week-end qu'elle avait passé en compagnie de Jin. La jeune femme pensait à tous ses moments simples passer avec cet homme et pour la première fois de toute sa vie, elle ne savait pas trop comment réagir et les sentiments qui la submergeait. Elle n'était pas habituée à ressentir cela et la jeune femme était quand même quelqu'un qui ne détecterait pas le moindre signe qui viendrait d'un homme de toute façon.
Une fois ses esprits retrouvés, la jeune femme s'apprêtait à préparer son repas et sorti son poisson prit chez le poissonnier ce matin et de bon légumes pour l'accompagner. Une fois qu'elle commençait à couper ses légumes, elle entendit un bruit qui venait à l'interrompre et elle se demandait qui pouvait bien la déranger à cette heure-ci. Elle vint à se laver les mains rapidement pour se diriger vers la porte pour découvrir sa voisine de palier, qu'elle ne connaissait pas plus que cela.
C'était en fait Arizona qui semblait travailler au même endroit qu'elle et quelques bonjours échangés, rien de plus. Beck n'était pas quelqu'un qui se mélangeait vraiment à ses collègues. Alors, parfois les voir pour la première fois devant chez elle et surtout qu'elles étaient voisine était quelque chose d'assez drôle. Elle trouvera cette dernière en serviette de bain un peu paniquée, se demandant ce qu'elle voulait et elle semblait être un peu terrifiée par une cigale géante apparemment sur son mur.
Beck aurait très bien pu lui dire "bah débrouille toi en fait, j'ai pas le time". Mais la jeune femme n'était pas comme ça mais un petit sourire amusé sur son visage se dessinait sur celui-ci.
Beck vint à échapper un petit rire, parce qu'Arizona n'était pas dans la meilleure des positions pour venir négocier avec elle. La psychologue s'apprêtait alors à suivre sa voisine de palier pour aller la sauver de cette vilaine bestiole. Elle aimait les animaux, elle n'allait pas tuer l'animal mais allait chercher une solution pour la virer de son appartement.
Bon pour le tutoiement on repassera également. Il était peu fréquent dans les formes de tutoyer quelqu'un qu'on ne connaissait pas du tout et surtout qu'elles n'étaient en aucun cas amies. Mais peut être qu'elles pouvaient le devenir ? Beck était un peu associable pour le coup et était un peu comme une ermite dans son logement. Enfin, quand elle rentrait du travail c'est ici qu'elle se réfugiait et peu probable de la trouver en soirée ou dans un bar toute seule à siroter une bière. La jeune femme était amusée de la situation tout de même et une bonne technique d'approche.
Est-ce qu'Arizona cherchait un moyen de se rapprocher de la psychologue de KHS en trouvant une excuse de bête sur son mur ? La jeune femme l'ignorait totalement, mais vu le visage apeuré de sa voisine, elle semblait dire la vérité ou alors c'était une bonne comédienne.
Une fois ses esprits retrouvés, la jeune femme s'apprêtait à préparer son repas et sorti son poisson prit chez le poissonnier ce matin et de bon légumes pour l'accompagner. Une fois qu'elle commençait à couper ses légumes, elle entendit un bruit qui venait à l'interrompre et elle se demandait qui pouvait bien la déranger à cette heure-ci. Elle vint à se laver les mains rapidement pour se diriger vers la porte pour découvrir sa voisine de palier, qu'elle ne connaissait pas plus que cela.
C'était en fait Arizona qui semblait travailler au même endroit qu'elle et quelques bonjours échangés, rien de plus. Beck n'était pas quelqu'un qui se mélangeait vraiment à ses collègues. Alors, parfois les voir pour la première fois devant chez elle et surtout qu'elles étaient voisine était quelque chose d'assez drôle. Elle trouvera cette dernière en serviette de bain un peu paniquée, se demandant ce qu'elle voulait et elle semblait être un peu terrifiée par une cigale géante apparemment sur son mur.
Beck aurait très bien pu lui dire "bah débrouille toi en fait, j'ai pas le time". Mais la jeune femme n'était pas comme ça mais un petit sourire amusé sur son visage se dessinait sur celui-ci.
Je veux bien t'aider mais ce ne sera pas gratuit ! Haha.... Allez trêve de plaisanterie, montre moi où est-ce qu'elle est cette vilaine bêbête !
Beck vint à échapper un petit rire, parce qu'Arizona n'était pas dans la meilleure des positions pour venir négocier avec elle. La psychologue s'apprêtait alors à suivre sa voisine de palier pour aller la sauver de cette vilaine bestiole. Elle aimait les animaux, elle n'allait pas tuer l'animal mais allait chercher une solution pour la virer de son appartement.
Bon pour le tutoiement on repassera également. Il était peu fréquent dans les formes de tutoyer quelqu'un qu'on ne connaissait pas du tout et surtout qu'elles n'étaient en aucun cas amies. Mais peut être qu'elles pouvaient le devenir ? Beck était un peu associable pour le coup et était un peu comme une ermite dans son logement. Enfin, quand elle rentrait du travail c'est ici qu'elle se réfugiait et peu probable de la trouver en soirée ou dans un bar toute seule à siroter une bière. La jeune femme était amusée de la situation tout de même et une bonne technique d'approche.
Est-ce qu'Arizona cherchait un moyen de se rapprocher de la psychologue de KHS en trouvant une excuse de bête sur son mur ? La jeune femme l'ignorait totalement, mais vu le visage apeuré de sa voisine, elle semblait dire la vérité ou alors c'était une bonne comédienne.
- Arizona WilliamsPersonnel ; assistante sociale■ Age : 32■ Messages : 393■ Inscrit le : 21/09/2023
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❖ Âge : 24 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Début Avril 2018
Arizona est scotchée aux lèvres de Beck, elle attend juste une réponse de sa part. Puis finalement la psy fait comprendre à la petite petite qu’elle attend quelque chose en retour. D’accord mais quoi? Arizona est prête à la payer grassement pour qu’elle la débarrasse de cette créature des enfers! La syrienne était prête à lui dire que son prix serait le sien également mais contre toute attente Beck se mit à rire. Alors c’était juste une blague? Arizona écarquille les yeux, surprise par sa propre réaction, depuis quand était-elle devenue si premier degré. Quant à Beck, elle ne l’avait pas imaginé si taquine. La petite brun rit jaune avant de mener la marche jusqu’à chez elle. quelque pas seulement. Les deux jeunes femmes traversent le salon, entre-temps Arizona s’équipe d’un balais et d’une chaussure puis elle s’arrête devant les escaliers qui mènent à sa chambre.
“Elle est là haut sur mur près de mon lit!” inquiète pour la sécurité de Beck, Ari lui tend le manche à balais et la chaussure. “ Tiens ça pourrait te servir!”
c’est qu’elle a l’air un peu ridicule comme ça, et elle s’en veut de ne pas avoir assez de courage pour juste accompagner Beck à l’étage, mais elle reste tétanisée par la peur et la honte. La tête levée elle entend mais ne voit rien.“Tu t’en sors Beck?”
Après quelque minute d’une attente insoutenable, la psychologue descend, bête à la main. Arizona pousse un petit cri et se réfugie près de la porte d’entrée pendant que la japonaise libère la pauvre cigale. Cette fois elle est vraiment rassurée, alors elle court vers Beck et prend sa main dans la sienne pour l’agiter doucement.
“Merci! Merci Beck! Je sais pas comment j’aurais fait sans toi! Laisse moi deux minutes le temps de m’habiller et je t’offre un verre ok? installe toi, fais comme chez toi!”
Arizona ne laisse pas le temps de répondre à la psychologue et monte les escaliers 4 par 4. Juste le temps d’enfiler un débardeur et un petit short. Elle redescend. “Il fait bon ce soir, on s’installe sur la terrasse? qu’est ce que tu préfères boire? alcool ou soft?”
- Appartement d'Arizona:
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- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 28■ Messages : 663■ Inscrit le : 13/02/2023
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❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
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Beck à la rescousse !
03 juillet 2018 || Ft. Arizona
03 juillet 2018 || Ft. Arizona
Beck était assez surprise de voir une réaction aussi disproportionné de quelqu'un ayant peur des bestioles. La jeune femme se disait juste que c'était une simple cigale et que ce n'est pas la petite bête qui va manger la grosse. Il est vrai que la psychologue s'était montrée taquine avec Arizona. La psychologue se rendait compte qu'elle commençait un peu plus à plaisanter et être second degré avec les autres. Un petit relâchement et arrêter de se prendre au sérieux ? Peut-être.
La japonaise montait donc les marches en prenant la chaussure et le manche à balais que lui tendait sa voisine ' même si honnêtement, elle n'en aurait pas besoin. Montant les marches pour se diriger vers la salle de bain, c'était une cigale pas plus grosse que sa main. La jeune femme eut un petit sourire quand elle vint à l'attraper dans ses mains et puis redescendit quelques minutes après pour la libérer dehors. Il était hors de question pour Beck de tuer une petite bête et encore moins si elle venait des enfers. La situation l'amusait un peu.
Sa mission était terminée. Elle se dirigea vers le lavabo de la cuisine et se lavait les mains suite au guidage d'Arizona pour aller se laver les mains. La psychologue était détendue ce soir et rencontrer une employée de KHS sous ce genre de situation était plutôt marrante, mais la japonaise était contente d'avoir rendue service à son interlocutrice. Même ci ce n'était trois fois rien pour Beck.
Mais elle n'eut le temps de dire ouf que sa voisine de palier ne lui laissa pas le temps de répondre et qu'elle vient à lui proposer un verre à boire sur sa terrasse. La psychologue était surprise de cette proposition, ne pensant pas que la jeune femme aurait été premier degré par rapport à la non gratuité de son service ou alors est-ce que ce genre de procédure était dans les conventions ? La psychologue n'en avait pas trop l'habitude.
Beck disait de manière un peu gênée car elle ne voulait pas déranger. Les gens en soirée veulent être tranquille en général et pas passer des soirées à se coltiner leur voisine ou je ne sais quel individu dans leur appartement. Beck n'avait pas trop le choix d'accepter son invitation et puis pourquoi pas ? Elle n'avait rien à faire ce soir, ses dossiers étaient à jour et demain, pas trop de rendez-vous de prévu..
Il fallait juste faire attention à l'alcool car Beck avait un organisme pas très coopératif.
Mais la japonaise voulait se détendre ce soir et connaître davantage Arizona qui semblait être sympathique. Pourquoi pas devenir son amie ? Si elle le souhaitait, avec le temps.
La japonaise montait donc les marches en prenant la chaussure et le manche à balais que lui tendait sa voisine ' même si honnêtement, elle n'en aurait pas besoin. Montant les marches pour se diriger vers la salle de bain, c'était une cigale pas plus grosse que sa main. La jeune femme eut un petit sourire quand elle vint à l'attraper dans ses mains et puis redescendit quelques minutes après pour la libérer dehors. Il était hors de question pour Beck de tuer une petite bête et encore moins si elle venait des enfers. La situation l'amusait un peu.
Sa mission était terminée. Elle se dirigea vers le lavabo de la cuisine et se lavait les mains suite au guidage d'Arizona pour aller se laver les mains. La psychologue était détendue ce soir et rencontrer une employée de KHS sous ce genre de situation était plutôt marrante, mais la japonaise était contente d'avoir rendue service à son interlocutrice. Même ci ce n'était trois fois rien pour Beck.
Mais elle n'eut le temps de dire ouf que sa voisine de palier ne lui laissa pas le temps de répondre et qu'elle vient à lui proposer un verre à boire sur sa terrasse. La psychologue était surprise de cette proposition, ne pensant pas que la jeune femme aurait été premier degré par rapport à la non gratuité de son service ou alors est-ce que ce genre de procédure était dans les conventions ? La psychologue n'en avait pas trop l'habitude.
Je veux bien... Mais ne te sens pas obligée... Un truc un peu corsé pour fêter la libération de cette bête satanique !
Beck disait de manière un peu gênée car elle ne voulait pas déranger. Les gens en soirée veulent être tranquille en général et pas passer des soirées à se coltiner leur voisine ou je ne sais quel individu dans leur appartement. Beck n'avait pas trop le choix d'accepter son invitation et puis pourquoi pas ? Elle n'avait rien à faire ce soir, ses dossiers étaient à jour et demain, pas trop de rendez-vous de prévu..
Il fallait juste faire attention à l'alcool car Beck avait un organisme pas très coopératif.
Mais la japonaise voulait se détendre ce soir et connaître davantage Arizona qui semblait être sympathique. Pourquoi pas devenir son amie ? Si elle le souhaitait, avec le temps.
- Arizona WilliamsPersonnel ; assistante sociale■ Age : 32■ Messages : 393■ Inscrit le : 21/09/2023
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❖ Âge : 24 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Début Avril 2018
Lorsque Beck accepte, Arizona est ravie et lui répond avec un grand sourire. La petite brune fait signe à sa voisine d’aller s’installer sur une des chaises de la terrasse pendant qu’elle lui cherche quelque chose à boire. après coup elle se sent un peu honteuse d’être venu frapper à la porte de Beck alors que depuis son arrivée elles ne sont pratiquement pas adressé la parole: ni au campus, ni en l’invitant chez elle. Il faut dire qu’Arizona s’est très vite retrouvée noyée dans une montagne de problèmes. Et elle est loin d’être sortie d'affaires depuis le retour de son ex.
La petite brune fouille ses placard et son frigo mais en termes d’alcool, elle n’est pas bien fournis, elle ne boit jamais chez elle, en tout cas pas sans occasion à fêter. généralement l'alcool, elle le boit à l’extérieur. et la seule chose qu’elle peut proposer à beck c’est une bière aromatisée au citron. vestige d’une soirée passée avec Elizabeth. Par contre, s'enfiler un paquet de chips et une tablette de chocolat devant un film, ça elle sait faire, alors elle prend avec elle tout un tas de snack, histoire de compenser avec le peu d’alcool qu’elle a chez elle.
“Désolée, il ne me reste pas grand chose en alcool! mais par contre j’ai de quoi grignoter!” dit-elle un peu gênée.
La Syrienne s’installe près de sa collègue et pose tout ce qu’elle a ramené sur une petite table face à elle. L’air est doux c’est agréable. l’été s’installe tranquillement sur Kobe et c’est la saison préférée d’Arizona : les grosses chaleur, son bronzage, les soirées interminables au bord de la plage, l’odeur du monoï… Il lui tarde déjà d’enfiler son plus beau maillot de bain. La petite brune allume sa cigarette avant d’en proposer une à la psychologue, elle ouvre ensuite sa bière et celle de sa collègue avant de la lui tendre.
“Trinquons…Aux voisines qui nous sauvent d'insectes démoniaque!” dit-elle avant de rire gaiement.
Arizona observe attentivement la japonaise, Beck est vraiment une très belle femme: grande, avec de beau cheveux noirs, épais et soyeux, de jolies formes, un visage adorable. Elle doit en faire tourner des têtes sur le campus c’est sûr! Est-ce qu’elle a déjà fricoté avec des étudiants elle aussi? non, sûrement pas, il n’y qu’Arizona qui peut être aussi bête pour faire ce genre de chose. Mais ce n’était pas vraiment le moment de penser à ça.
“C’est dommage qu’on ne se soit pas parlé avant tu trouves pas?” dit-elle avant de tirer sur sa cigarette. “Finalement cette petite cigale nous à permis de nous présenter officiellement!”
Arizona ouvre ensuite un paquet de petites bouchées au chocolat. Elle aimerait en savoir plus sur Beck, car finalement elle ne côtoie pas trop ses collègues. “Tout va bien pour toi sur le campus? Je veux dire, avec les profs et les élèves?” en réalité elle aimerait savoir si elle était là seule à galérer sur ce foutu campus ou si c’était la même chose pour tout le monde.
- Appartement d'Arizona:
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- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 28■ Messages : 663■ Inscrit le : 13/02/2023
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❖ Âge : 29 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2017
Beck à la rescousse !
03 juillet 2018 || Ft. Arizona
03 juillet 2018 || Ft. Arizona
Beck était heureuse de pouvoir rencontrer de nouvelles personnes. Elle était toujours ouverte à ce genre de choses et rencontrer sa voisine de palier était quelque chose de sympathique. Surtout sachant que cette dernière était l'assistante sociale de l'établissement KHS. Juste se dire bonjour en passant dans les couloirs, sans chercher à se parler vraiment ou même dans la salle des employés quand ils sont en pause. La jeune femme n'osait pas aller vers les autres et préférant s'isoler dans son bureau tranquillement à boire son thé et manger des gâteaux.
Elle ira donc s'installer à la table sur la terrasse de l'appartement d'Arizona. En regardant la porte de l'extérieur, on ne pouvait pas se douter qu'il y avait un appartement aussi mignon et si bien agencé. La psychologue profitait de la température clémente qu'il y avait dehors et profiter de l'instant présent auprès de sa voisine.
Être soi-même avec les gens qui entouraient la japonaise était important pour se faire accepter. Elle a pu voir que depuis qu'elle était arrivée à Kobe, elle commençait à rencontrer du beau monde et ce n'était pas pareil que la relation entre Fuyu ou Oliver ses amis d'enfance. La jeune femme voulait tourner la page et tenter d'aller de l'avant, faire de nouvelles rencontres. Et si elle croisait le chemin de certaines personnes, c'est qu'il le fallait. Après si elles ne restent pas tant pis !
Beck vit donc sa voisine revenir avec quelques victuailles et des boissons citronnées. La psychologue n'était pas gênée de boire quelque chose de léger, pas besoin de se mettre la tête à l'envers pour apprécier le moment. Quelques instants après, elle lèvera son verre devant celui d'Arizona avec ce grand sourire. C'était vraiment une personne gentille et très jolie.
Qui peut avoir cette prétention de croire que le hasard fait bien les choses ? Que notre vie était toute tracée déjà et qu'il suffit de faire des choix afin que cela nous mène à un scénario bien écrit depuis le début. Beck aurait tendance à croire à ce genre de choses et que tout est écrit. Les rencontres, les déboires ou épreuves que chaque individu doit vivre pour se construire. Au final c'est peut-être ça ?
Elle ira donc s'installer à la table sur la terrasse de l'appartement d'Arizona. En regardant la porte de l'extérieur, on ne pouvait pas se douter qu'il y avait un appartement aussi mignon et si bien agencé. La psychologue profitait de la température clémente qu'il y avait dehors et profiter de l'instant présent auprès de sa voisine.
Être soi-même avec les gens qui entouraient la japonaise était important pour se faire accepter. Elle a pu voir que depuis qu'elle était arrivée à Kobe, elle commençait à rencontrer du beau monde et ce n'était pas pareil que la relation entre Fuyu ou Oliver ses amis d'enfance. La jeune femme voulait tourner la page et tenter d'aller de l'avant, faire de nouvelles rencontres. Et si elle croisait le chemin de certaines personnes, c'est qu'il le fallait. Après si elles ne restent pas tant pis !
Beck vit donc sa voisine revenir avec quelques victuailles et des boissons citronnées. La psychologue n'était pas gênée de boire quelque chose de léger, pas besoin de se mettre la tête à l'envers pour apprécier le moment. Quelques instants après, elle lèvera son verre devant celui d'Arizona avec ce grand sourire. C'était vraiment une personne gentille et très jolie.
Très bien, trinquons à cette rencontre grâce à cette vilaine bébête. Comme quoi, les choses n'arrivent pas par hasard. Crois tu au hasard ?
Qui peut avoir cette prétention de croire que le hasard fait bien les choses ? Que notre vie était toute tracée déjà et qu'il suffit de faire des choix afin que cela nous mène à un scénario bien écrit depuis le début. Beck aurait tendance à croire à ce genre de choses et que tout est écrit. Les rencontres, les déboires ou épreuves que chaque individu doit vivre pour se construire. Au final c'est peut-être ça ?
- Arizona WilliamsPersonnel ; assistante sociale■ Age : 32■ Messages : 393■ Inscrit le : 21/09/2023
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❖ Âge : 24 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Début Avril 2018
l’assistante sociale tire sur sa cigarette, elle est contente de partager ce petit moment avec Beck, elle se dit aussi que c’est un peu bête de ne pas avoir fait connaissance plutôt. tous ces mois passés sans se côtoyer alors qu’elles étaient voisines et qu’en plus elles travaillaient au même endroit. Les deux jeunes femmes auraient pu s’entraider, se serrer les coudes lors de leur moment difficile et Dieu sait qu’il y en a eu pour Arizona. Mais tout arrive pour une bonne raison finalement.D'ailleurs, la question de la psychologue laisse Arizona pensive. Le destin… Pour elle rien n’arrive au hasard et quelque part tout était une question de destin, les rencontres qu’elle faisait, les différentes expériences qu’elle avait vécu, tout avait un sens ou un but. Cet état d’esprit lui permettait de relativiser un peu.
“Hmmmm, je ne crois pas vraiment au hasard non. Je ne dis pas non plus que tout est écrit en avance, ça serait trop triste sinon. Mais je pense qu’on a la possibilité d’avoir de multiple vie et ce sont nos décisions qui nous font prendre tel ou tel chemin. Par contre pour les rencontres c’est différent. Pour moi chaque rencontre est peut-être écrite finalement, parce que j’ai fait des rencontres beaucoup trop incroyables tout au long de ma vie pour penser qu'elles ne sont que le fruit du hasard. qu’elles soient bonnes ou mauvaises, elles apportent toujours quelque chose.” elle regarde Beck avec un sourire chaleureux. “Un peu comme pour nous deux ce soir, si mon imbécile d’ex était venu m’aider avec la cigale, je n’aurais sûrement pas été frapper à ta porte et on ne serait pas là en train de partager un verre.” Arizona tire une dernière fois sur sa cigarette avant de l’écraser. “Finalement je ne regrette pas du tout son absence, ça aurait même empirer la situation s’il était venu. et puis actuellement tu es une meilleure compagnie. Et toi t’es plutôt du style à croire au hasard ou au destin?”
Arizona bu une gorgée avant de regarder l’horizon. puis tourna son regard vers Beck. c’est bizarre elle ne savait rien de cette femme, elle ne l’avait pas trop apperçu sur le campus non plus. La psychologue était un vrai mystère pour elle.
“C’est marrant mais en vérité on a pas trop eu l’occasion de se croiser sur le campus. Pourtant j’imagine qu’on a à peu près les mêmes horaires et dans un sens on côtoie le même type d’élèves….t’es du genre à pas trop vouloir te mélanger? j’aimerai bien me suffire à moi même moi aussi. Mais j’ai l’impression de briller que grâce à la lumière des autres.”
Elizabeth…Junko…Eux c’était de vrai soleil, ils éclairent les autres de leur lumière. ça ne dérangeait de briller grâce à eux dans le fond mais elle aimerait être plus indépendante, elle aimerait ne plus avoir besoin de béquille pour avancer.
- Appartement d'Arizona:
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- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 28■ Messages : 663■ Inscrit le : 13/02/2023
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❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
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03 juillet 2018 || Ft. Arizona
03 juillet 2018 || Ft. Arizona
Beck écoutait attentivement sa comparse avec beaucoup d'attention et bu quelques gorgées de son verre en affichant ce fin sourire sur ses lèvres. La jeune femme regardait l'horizon avec un léger regret de ne pas aller vers les gens plus que cela, mais c'était sa nature et le faire, c'était comme se mentir à elle-même. La psychologue éprouvait un sentiment de tranquillité aux côtés d'Arizona qui semblait être une femme sympathique.
Le hasard n'existait pas effectivement, mais nos choix sont le moteur de notre vie et cela fait que le cours de notre vie se passe ainsi. La jeune femme soupirait quelques instants en se rendant compte que finalement, sa voisine était quelqu'un de plutôt approchable et qu'il ne fallait pas faire la sauvage comme elle le faisait d'habitude avec les gens qui l'entouraient.
Beck trouvait cela bizarre d'entretenir des relations avec celle du passé alors qu'une histoire s'est passé avec une tiers personne. La jeune femme buvait de nouvelles gorgée après avoir lancée cette bombe comme à sa malheureuse habitude. Mais elle ne voulait en aucun cas nuire à l'ex d'Arizona ou lui faire de la peine, c'est dans sa nature de vouloir comprendre les choses. Déformation professionnelle comme on pourrait dire, à vouloir poser des questions et comprendre le choix des gens. Même si en soit cela ne la regardait pas ?
Sur le point qu'elle soulignait, Arizona n'avait pas tord à vouloir dire que Beck n'aimait pas se mélanger et qu'elle se suffisait à elle-même. Mais cette vieille habitude, encore était quelque chose qui la poursuivait et elle ne voulait pas divulguer son passé auprès des gens en général. La jeune femme voulait absolument aller de l'avant et essayer de combattre cette peur des autres en faisant des expériences comme celle-ci ce soir. Cela aurait été l'ancienne Beck, elle n'aurait pas accouru auprès de sa voisine pour la sauver d'une vilaine cigale.
Elle marqua une légère pause en attendant la réponse de son interlocutrice et puis reprendra doucement.
Arizona semblait avoir beaucoup de prestance, en tout cas aux yeux de la psychologue qui semblait l'admirer quelque peu. La jeune femme était quand même admirative de ce genre d'attitude et de ne pas regarder derrière, enfin de ce qu'elle semblait donner comme impression. Ou alors Arizona cachait bien son jeu, après être assistante sociale lui faisait rencontrer tout un tas de gens et de personnalités différentes, alors cela lui permettait d'être un poil plus ouverte ? Enfin, elle n'avait pas trop le choix à vrai dire. En tant que thérapeute, Beck en voyait du beau monde avec des bagages différents mais des personnes comme son interlocutrice semblait cacher pas mal de secrets. Ou alors, elle se faisait des idées.
Le hasard n'existait pas effectivement, mais nos choix sont le moteur de notre vie et cela fait que le cours de notre vie se passe ainsi. La jeune femme soupirait quelques instants en se rendant compte que finalement, sa voisine était quelqu'un de plutôt approchable et qu'il ne fallait pas faire la sauvage comme elle le faisait d'habitude avec les gens qui l'entouraient.
Je trouve cela étrange, mais pourquoi gardez vous contact avec votre ex qui n'accoure même pas à votre secours ?
Beck trouvait cela bizarre d'entretenir des relations avec celle du passé alors qu'une histoire s'est passé avec une tiers personne. La jeune femme buvait de nouvelles gorgée après avoir lancée cette bombe comme à sa malheureuse habitude. Mais elle ne voulait en aucun cas nuire à l'ex d'Arizona ou lui faire de la peine, c'est dans sa nature de vouloir comprendre les choses. Déformation professionnelle comme on pourrait dire, à vouloir poser des questions et comprendre le choix des gens. Même si en soit cela ne la regardait pas ?
Sur le point qu'elle soulignait, Arizona n'avait pas tord à vouloir dire que Beck n'aimait pas se mélanger et qu'elle se suffisait à elle-même. Mais cette vieille habitude, encore était quelque chose qui la poursuivait et elle ne voulait pas divulguer son passé auprès des gens en général. La jeune femme voulait absolument aller de l'avant et essayer de combattre cette peur des autres en faisant des expériences comme celle-ci ce soir. Cela aurait été l'ancienne Beck, elle n'aurait pas accouru auprès de sa voisine pour la sauver d'une vilaine cigale.
Oui, je suis comme ça. J'aime être seule en salle de déjeuner ou dans mon bureau. Je n'aime pas spécialement me mélanger, pas que j'aime pas les gens mais je préfère éviter d'être avec tous les employés de cet établissement ou trop sympathiser. Bien que les employés de KHS et les professeurs sont bien différents, mais en soit nous restons des humains ?
Elle marqua une légère pause en attendant la réponse de son interlocutrice et puis reprendra doucement.
Vous êtes trop dure avec vous-même. Comment pouvez vous penser que vous brillez que grâce aux autres ? J'en suis persuadée que vous n'avez pas besoin de cela pour être lumineuse.
Arizona semblait avoir beaucoup de prestance, en tout cas aux yeux de la psychologue qui semblait l'admirer quelque peu. La jeune femme était quand même admirative de ce genre d'attitude et de ne pas regarder derrière, enfin de ce qu'elle semblait donner comme impression. Ou alors Arizona cachait bien son jeu, après être assistante sociale lui faisait rencontrer tout un tas de gens et de personnalités différentes, alors cela lui permettait d'être un poil plus ouverte ? Enfin, elle n'avait pas trop le choix à vrai dire. En tant que thérapeute, Beck en voyait du beau monde avec des bagages différents mais des personnes comme son interlocutrice semblait cacher pas mal de secrets. Ou alors, elle se faisait des idées.
- Arizona WilliamsPersonnel ; assistante sociale■ Age : 32■ Messages : 393■ Inscrit le : 21/09/2023
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❖ Âge : 24 ans
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❖ Arrivé(e) en : Début Avril 2018
La question de Beck touche Arizona en plein cœur. Oui c’est vrai, comment pouvait-elle justifier son comportement vis-à -vis de Junko. Elle disparaît, il revient la chercher, elle le rejette, puis elle veut garder contact avec lui, elle lui envoie même des nudes…Toxique. C’est le premier mot qui lui vient en tête pour essayer d’expliquer son comportement. Néanmoins, refusant de se l’admettre, elle se dit simplement qu’elle est perdue, qu’elle a du mal à gérer ses émotions, la seule chose dont elle est certaine c’est qu’elle l’aime encore et le revoir à créer chez elle un véritable électrochoc. Toutefois elle n’a pas encore le recul nécessaire pour se dire qu’elle s’y prend extrêmement mal. La petite brune grogne un peu dans son verre, ne sachant quoi répondre.
“Hmmm…J’ai envoyé le message par réflexe. J’aurais peut-être pas dû c'est vrai.”
Ari espère changer de sujet de conversation vite, parler de son ex la met mal à l’aise. C’était son truc à elle, d’autant plus que Junko est étudiant, ils risquent gros tous les deux. L’assistante sociale laisse alors sa collègue expliquer pourquoi elle est souvent toute seule et la Syrienne la regarde un peu perplexe en sirotant son verre. Sur ça elles étaient totalement opposées et Ari ne supportait pas la solitude. “Mais pourtant c’est en côtoyant les autres que tu peux analyser les différents types de comportement et les situation auxquels font face tes patients.”Mais son intervention était peut-être sans doute un peu trop directe, Beck souffrait peut-être d’une timidité maladive. “ Il y a une raison particulière pour laquelle tu ne souhaite pas te mélanger? Parfois j’aime bien être dans mon coin aussi, mais la plupart du temps je ne supporte pas d'être toute seule.”
C’est vrai qu’elle déteste ça, se retrouver avec soi-même c’est devoir combler le vide, le silence, et la plupart du temps ça amène à se poser tout un tas de questions angoissantes sur le futur.
“Oh tu sais, ce n’est pas quelque chose que je subis, ça me va très bien de briller grâce au autre.” Elle balaye de sa main l’inquiétude affichée sur le visage de la psychologue. “ J’imagine que pour le moment je n’ai pas pris conscience de ma propre lumière, mais chacun son rythme après tout, tu ne penses pas?”
En réalité, Ari avait surtout perdu de sa lumière depuis son arrivée ici. Sa séparation, son aménagement à Kobe, ses amis restés à Tokyo, son intégration difficile ici, tout ça fait qu’elle se soit un peu éteinte.
“T’as grandi ici à Kobe toi?”
- Appartement d'Arizona:
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- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 28■ Messages : 663■ Inscrit le : 13/02/2023
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❖ Arrivé(e) en : Rentrée Septembre 2017
Beck à la rescousse !
03 juillet 2018 || Ft. Arizona
03 juillet 2018 || Ft. Arizona
Elle ne comprenait pas trop comment des individus pouvaient encore être aux pieds des personnes qui auraient pu les faire souffrir ? Beck ne comprenait pas vraiment, surtout quand on continue pertinemment par se faire souffrir nous même. Ou alors Ari est tout simplement masochiste ou qu'elle aime ça ? Et que peut être c'est un de ses plus grands secrets ? Qui sait.
La jeune femme était pourtant très gentille, adorable et en discutant avec cette dernière, la thérapeute se rendait compte que sa voisine était peut être une bonne analyste et qu'elle comprenait très bien ce que ressentait sa collègue. Analyser pour pouvoir trouver des solutions au pied de chacun qui venait la consulter, car toutes les méthodes ne sont pas forcément les plus adaptées.
La question d'Ari était pertinente. Pourquoi vouloir s'exclure des autres alors qu'il y a une forte probabilité de rencontrer des personnes comme elle ? La jeune femme n'en savait trop rien, le passé avait peut être eu raison d'elle, même si comme elle dirait à ses patients qu'il fallait aller de l'avant et rebondir ! Et il fallait qu'elle applique les conseils qu'elle donne à ceux qui viennent la voir sur elle-même. Il ne fallait surtout pas avoir peur, au pire qu'est-ce qu'elle risquerait ? Peut être des collègues qui viendrait à l'éviter ou à déblatérer des conneries sur sa personne. Tant pis ?
La psychologue venait à se pincer l'avant bras en prononçant ses mots. Qu'est-ce qui lui prenait de dire tout cela à une personne qu'elle ne connaissait pas ? Si elle venait d'avoir la langue bien pendue, qu'est-ce que Beck risquerait mis à part que de dire que la psychologue est une véritable associable. Enfin, Arizona n'avait pas l'air d'être ce genre de personne à épandre de mauvaises rumeurs dans tout les établissements pour se rendre intéressante.
Beck n'avait plus vraiment d'amis. Ses amis d'enfance s'étaient mariés il y a quelques années et depuis cela, Beck n'avait pas de nouvelles d'eux, comme ci chacun avait suivi sa route. La jeune femme était quand même triste, elle s'était faite quelques amis professeurs ici et étudiants au sein de KHS, c'est vrai. Il fallait le reconnaitre. Mais la jeune femme aimerait avoir un peu plus de vie sociale en dehors de son appartement et de sa télévision qui lui diffuse des émissions culinaires. Enfin, elle avait son chat à qui elle faisait la conversation de temps en temps même si elle n'obtenait aucune réponse. Mais bon, c'est la vie après tout ? C'est Beck qui avait choisit de vivre ainsi.
La jeune femme était pourtant très gentille, adorable et en discutant avec cette dernière, la thérapeute se rendait compte que sa voisine était peut être une bonne analyste et qu'elle comprenait très bien ce que ressentait sa collègue. Analyser pour pouvoir trouver des solutions au pied de chacun qui venait la consulter, car toutes les méthodes ne sont pas forcément les plus adaptées.
Oui j'ai tendance à passer mon temps à devoir analyser sans arrêt afin de trouver la meilleure solution pour chacun et ce n'est pas évident. Certains pensent que le boulot de thérapeute est de simplement écouter, juste lambiner à gribouiller des bêtises sur un morceau de papier, mais cela ne s'arrête pas à cela.
La question d'Ari était pertinente. Pourquoi vouloir s'exclure des autres alors qu'il y a une forte probabilité de rencontrer des personnes comme elle ? La jeune femme n'en savait trop rien, le passé avait peut être eu raison d'elle, même si comme elle dirait à ses patients qu'il fallait aller de l'avant et rebondir ! Et il fallait qu'elle applique les conseils qu'elle donne à ceux qui viennent la voir sur elle-même. Il ne fallait surtout pas avoir peur, au pire qu'est-ce qu'elle risquerait ? Peut être des collègues qui viendrait à l'éviter ou à déblatérer des conneries sur sa personne. Tant pis ?
Oui, je n'aime pas me mélanger. Vous savez, je fais toujours partie de ces personnes qui ont peur de déranger et d'être de trop. Quand il y a un trop grand groupe, je suis plutôt mal à l'aise et puis vous savez les relations, cela n'a jamais été mon truc...
La psychologue venait à se pincer l'avant bras en prononçant ses mots. Qu'est-ce qui lui prenait de dire tout cela à une personne qu'elle ne connaissait pas ? Si elle venait d'avoir la langue bien pendue, qu'est-ce que Beck risquerait mis à part que de dire que la psychologue est une véritable associable. Enfin, Arizona n'avait pas l'air d'être ce genre de personne à épandre de mauvaises rumeurs dans tout les établissements pour se rendre intéressante.
Je ne suis qu'à Kobe depuis Février 2018. J'habitais à Nagoya avec mes parents et après j'ai fais mes études de psycho à Tokyo. C'est sûr que ce sont des villes totalement différentes mais bon... Il est vrai que Kobe je commence à m'y faire. Et vous, êtes vous originaire d'ici ?
Beck n'avait plus vraiment d'amis. Ses amis d'enfance s'étaient mariés il y a quelques années et depuis cela, Beck n'avait pas de nouvelles d'eux, comme ci chacun avait suivi sa route. La jeune femme était quand même triste, elle s'était faite quelques amis professeurs ici et étudiants au sein de KHS, c'est vrai. Il fallait le reconnaitre. Mais la jeune femme aimerait avoir un peu plus de vie sociale en dehors de son appartement et de sa télévision qui lui diffuse des émissions culinaires. Enfin, elle avait son chat à qui elle faisait la conversation de temps en temps même si elle n'obtenait aucune réponse. Mais bon, c'est la vie après tout ? C'est Beck qui avait choisit de vivre ainsi.
J'imagine que vous avez des amis dans l'établissement non ? Vous m'avez l'air tellement sociable contrairement à moi, ou alors ce ne sont que les apparences, mais peut-être que je me trompe !
- Arizona WilliamsPersonnel ; assistante sociale■ Age : 32■ Messages : 393■ Inscrit le : 21/09/2023
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Ari écoute Beck tout en hochant la tête, conformant sans l’interrompre les explications de sa collègue. De toute façon elle n’a rien à dire, la japonaise connaît son travail et Arizona ne se permettrait pas d'émettre la point objection. Le métier de psy c’est pouvoir donner des réponses à des questions qui parfois sans explication, trouver des solutions et donner des conseils en ayant assez de recul pour être objectif. Ari a encore un peu de mal avec ça et même dans son boulot elle a tendance à agir de manière trop émotive, d’impliquer trop d’affecte dedans. ça lui desservira sûrement un jour mais pour l’instant elle s’en sort plutôt assez bien.
Entre deux gorgées Ari continue d’écouter Beck, elle a toujours été admirative de ceux qui se suffisent à eux même. Arizona aime passer des moment seule mais jamais trop longtemps, être seule voulait aussi dire se retrouver avec sa moi-même et faire des introspection, elle déteste ça! Néanmoins, la psychologue semble plus subir la situation que l’apprécier et c’est bien dommage. “Mais ça veut dire que tu t'empêches de faire des choses, si tu restes tout le temps dans ton coin.” Elle réfléchit un instant. “ Tu sais parfois, même si on dérange, c’est important de s’imposer! mais j’imagine que si t’es timide ça doit pas être facile.” Arizona trouve ça triste de se retenir de faire des choses par manque de confiance en soi, elle espère que Beck pourra se sentir mieux avec les autres! “Tu sais si t’as un peu de mal à t’intégrer je peux t’aider! enfin si ça te dis, si par contre la situation est ok pour toi, t’as aucune raison de changer pour plaire aux autres!”
C’est important de toujours essayer d’être une meilleure personne mais si notre nature profonde ne fait pas souffrir les autres ni nous même alors inutiles de changer pour coller complètement avec ce que la société attend de nous l’important c’est d’être en phase avec nous même et ce qui nous entoure. Ari et Beck ne viennent pas de la même ville mais Beck a fait ses études à Tokyo et ça ça enchante pas mal l’assistante sociale. Elle bondit presque de sa chaise en apprenant la nouvelle. “Nagoya je ne connais pas mais j’ai vécu à Tokyo! j’adore cette ville, il y a tellement de choses à faire et à voir, et des personnes qui viennent de tout horizon. t’as aimé la vie à la capitale?” Arizona allume une nouvelle cigarette avant de reprendre. “ Je suis née en Syrie et puis à cause de la guerre on est aller vivre au Etats-Unis et ensuite à cause du travail de mon père on a atterrit au Japon et je ne l’ai plus jamais quitté! J’ai un peu de mal avec le protocole mais j’aime vivre de ce pays. Mais Beck, c’est pas trop Japonais comme prénom ça aussi, j’me trompe?”
Elle n’avait pas fait le lien tout de suite, la psychologue a à première vue le physique d’une japonaise ordinaire, elle est très belle et ses long cheveux noir et ses jolies yeux en amande. Toutefois elle était bien grande pour une japonaise et aussi plutôt pulpeuse. Et puis les Japonais ne sont pas du genre à donner des prénoms étranger à leur enfant, alors cette demoiselle était forcément métissée.
“Ahaha, quelques un oui, je ne suis là que depuis le mois d’Avril. Mais je dois dire que j’ai bizarrement un peu de mal à m’intégrer. ça ne m'est jamais arrivé par le passé, j’ai toujours été entouré de plein d’amis à Tokyo, mais c’est vrai qu' ici…Enfin j’ai des personnes chères sur qui je peux compter, comme ma meilleure ami par exemple…et puis…” et puis quelque quelque personne avec qui c’est un peu plus compliqué mais elle ne pouvait pas se confier à Beck, elle se connaissait à peine. Impossible de lui dire qu’elle avait couché avec Evan qui était étudiant, embrassé Naoki son ami proche aussi étudiant, et que son ex qu’elle aime encore à débarquer ici pour poursuivre ses études. “ à vrai dire je crois que je m’entends mieux avec les étudiants qu’avec l’équipe pédagogique, mais après tout j’ai presque le même âge qu’eux.”Ari tente de noyer le poisson comme elle peut. D’ailleurs, elle devrait peut-être détourner la conversation vers sa collègue. “ Et toi? Tu as quelques amis ici, malgré ta timidité je veux dire. tu as l’air d’être une personne adorable.” Elle la regarde du coin de l'œil. “ Un petit ami peut-être? t’es jolie comme un coeur je suis sûr qu’ils sont nombreux à te courir après!”
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- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 28■ Messages : 663■ Inscrit le : 13/02/2023
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Beck à la rescousse !
03 juillet 2018 || Ft. Arizona
03 juillet 2018 || Ft. Arizona
Beck n'avait jamais imaginé que ce sauvetage allait débuter sur quelque chose de simpliste et de convivial. La psychologue était heureuse de pouvoir discuter avec Arizona. Elle était heureuse d'entendre que l'employée de Kobe semblait s'inquiéter pour son cas, elle était vraiment gentille à l'égard de cette dernière.
Tout au long de sa vie, Beck n'avait jamais eu la chance de se faire des amis alors elle avait gardé cette malheureuse habitude de rester seule dans son coin. De la pitié des gens, elle n'en avait guère besoin et elle était contente aussi de constater qu'il y avait encore des personnes doté de bienveillance.
Est-ce de la pitié que Arizona éprouvait ? Est-ce qu'elle était simplement gentille et qu'elle voulait simplement venir en aide à la thérapeute. À presque trente ans, il est vrai que c'est que chose qui commençait à la faire douter concernant sa manière d'aller vers les autres ou de se faire des amis. Malgré son âge, elle arrive mieux à s'entendre avec les étudiants.
La vie a Tokyo avait toujours été quelque chose de sympa et tranquille. La proximité des commerces et de rencontrer d'autres étudiants était sympathique. Mais la jeune femme ne se rendait jamais aux fêtes organisées et ne cherchait pas à sympathiser davantage avec les autres. Ce n'était pas quelque chose qui était prioritaire dans sa vie, elle voulait juste faire ses études tranquillement et s'y concentrer afin de réussir ses examens. Elle ne sortait jamais de son appartement, passait ses jours et ses nuits à être dans ses bouquins ou lire des romans qu'elle empruntait à la bibliothèque. Une véritable associable !
Beck était presque gênée de devoir l'avouer à Arizona qu'elle préférait être seule. Mais au vue de son traumatisme concernant sa taille et son prénom pas du tout japonais. Elle était l'une des plus grande de sa classe et elle avait surmonté ça aujourd'hui, elle restait moins frileuse à vouloir rencontrer d'autres personnes mais l'être humain pour elle était toujours doté d'un très grand mystère à lui tout seul. La psychologue avait trouvé sa vocation à vouloir aider les personnes qui était dans le besoin, ne voulant pas qu'ils se retrouvent sans aide psychologique. Malheureusement, Beck n'était pas très proche de ses parents et n'ayant pas vraiment fait part de ses problèmes.
Les amis ça va, ça vient comme on dit. Elle repense à ses amiis d'enfance qui ne donnaient plus aucune nouvelles depuis qu'ils s'étaient mariés. Il y avait bien Moon, Ryuji, Naoya, Jin.... Elle ne savait pas trop si ces derniers l'estimaient comme une amie, mais Beck oui. Elle eut de légères rougeurs quand Arizona parlait de petit ami, elle n'en avait jamais eu et sa beauté, elle n'en était pas du tout confiante. Elle vient à détourner le visage tout en cachant celui-ci dans son verre, en tout cas une partie.
Ce sujet la mettait bien mal à l'aise et devenait rouge pivoine. La psychologue avait refusée bien des avances de la part des hommes ou en déceler tout simplement la signification.
Tout au long de sa vie, Beck n'avait jamais eu la chance de se faire des amis alors elle avait gardé cette malheureuse habitude de rester seule dans son coin. De la pitié des gens, elle n'en avait guère besoin et elle était contente aussi de constater qu'il y avait encore des personnes doté de bienveillance.
C'est bien gentil de t'en faire pour moi et de vouloir m'aider. Si tu veux, on peut très bien prendre le temps de se connaître toutes les deux et peut-être que tu peux me faire rencontrer des personnes que tu connais... Sympa.
Est-ce de la pitié que Arizona éprouvait ? Est-ce qu'elle était simplement gentille et qu'elle voulait simplement venir en aide à la thérapeute. À presque trente ans, il est vrai que c'est que chose qui commençait à la faire douter concernant sa manière d'aller vers les autres ou de se faire des amis. Malgré son âge, elle arrive mieux à s'entendre avec les étudiants.
La vie a Tokyo avait toujours été quelque chose de sympa et tranquille. La proximité des commerces et de rencontrer d'autres étudiants était sympathique. Mais la jeune femme ne se rendait jamais aux fêtes organisées et ne cherchait pas à sympathiser davantage avec les autres. Ce n'était pas quelque chose qui était prioritaire dans sa vie, elle voulait juste faire ses études tranquillement et s'y concentrer afin de réussir ses examens. Elle ne sortait jamais de son appartement, passait ses jours et ses nuits à être dans ses bouquins ou lire des romans qu'elle empruntait à la bibliothèque. Une véritable associable !
La capitale, j'ai aimé y vivre quelques temps mais sans plus. Je préfère les coins moins fréquentés avec moins de monde. Je n'étais pas du genre à aller aux soirées avec les gens de mon âge, les livres étaient mes meilleurs amis.
Beck était presque gênée de devoir l'avouer à Arizona qu'elle préférait être seule. Mais au vue de son traumatisme concernant sa taille et son prénom pas du tout japonais. Elle était l'une des plus grande de sa classe et elle avait surmonté ça aujourd'hui, elle restait moins frileuse à vouloir rencontrer d'autres personnes mais l'être humain pour elle était toujours doté d'un très grand mystère à lui tout seul. La psychologue avait trouvé sa vocation à vouloir aider les personnes qui était dans le besoin, ne voulant pas qu'ils se retrouvent sans aide psychologique. Malheureusement, Beck n'était pas très proche de ses parents et n'ayant pas vraiment fait part de ses problèmes.
Non ce n'est pas japonais effectivement. L'un de mes parents à craqué sur un prénom trouvé grâce à un reportage à la télévision avant ma naissance... Étrange comme inspiration n'est-ce pas?
Les amis ça va, ça vient comme on dit. Elle repense à ses amiis d'enfance qui ne donnaient plus aucune nouvelles depuis qu'ils s'étaient mariés. Il y avait bien Moon, Ryuji, Naoya, Jin.... Elle ne savait pas trop si ces derniers l'estimaient comme une amie, mais Beck oui. Elle eut de légères rougeurs quand Arizona parlait de petit ami, elle n'en avait jamais eu et sa beauté, elle n'en était pas du tout confiante. Elle vient à détourner le visage tout en cachant celui-ci dans son verre, en tout cas une partie.
J'ai bien quelques amis.... Enfin je crois.... Et pour les relations amoureuses..... J'ai jamais eu ...eu de petit ami....
Ce sujet la mettait bien mal à l'aise et devenait rouge pivoine. La psychologue avait refusée bien des avances de la part des hommes ou en déceler tout simplement la signification.
- Arizona WilliamsPersonnel ; assistante sociale■ Age : 32■ Messages : 393■ Inscrit le : 21/09/2023
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Arizona comprends aisément ceux qui préfèrent la tranquillité de la province au raffut infernal de Tokyo et en vérité même dans la mégalopole la jeune femme se sentait un peu oppressé. Néanmoins la Syrienne est une habituée des grandes villes, après tout Lattaquié sa ville natale et une cité millénaire connue pour son tourisme, du moins avant la guerre et la réputation de San Francisco n’est plus à faire alors c’est finalement normal qu’elle se sente comme un poisson dans l’eau à Tokyo. Néanmoins on peut vite se sentir à l’étroit dans ces villes si densément peuplées où tout va toujours très vite.
Plus elle écoute Beck, plus elle se rend compte à quel point elles sont différentes. Mais ça ne la dérange absolument pas, au contraire, Arizona aime s’entourer de personne qui voit la vie d’une autre façon, qui ont une manière de penser et un caractère qui ne sont pas comme les siens. Elle apprend beaucoup des autres c’est aussi grâce à qu’elle peut avoir de l’empathie pour ceux qui vivent des situations compliquées.
La brune ne peut pas s’empêcher de sourire devant l’origine du prénom du psychologue. Les parents ont parfois de drôle d'idées. Néanmoins elle préfère les prénoms qui sortent de l’ordinaire. Ça marque les esprits. Aux États-Unis le prénom Beck est assez commun mais ici au Japon, sa voisine ne devait pas passer inaperçue. « J’aime beaucoup ton prénom, il est mixte non? J’aime les prénoms mixtes, ça donne beaucoup de charme à une personne. Et puis je peux pas trop juger tes parents, les miens m’ont donné le nom d’un état américain désertique! »
Visiblement Beck a envie de rencontrer du monde. Que ça soit de manière romantique ou amicale, sa solitude semble lui peser. Arizona va se faire un plaisir de l’aider! « Hmmm tu sais sur le campus je me suis surtout lié d’amitié avec des étudiants, ça m’a d’ailleurs causé quelque ennuie. »dit-elle un peu gênée. « Mais ce que j’aime le plus c’est rencontrer des gens quand je sors le soir, parfois ce ne sont que des rencontres éphémères mais c’est toujours incroyable! Y’a le truc de se dire que tu peux être totalement naturelle puisque tu ne recroiseras sans doute jamais ces personnes. Alors si tu veux, la prochaine fois que je sors le soir je t’embarque avec moi! On connaît un pub sympas avec ma meilleure amie qui est aussi étudiante à KHS. »
Ari a bien senti le malaise quand elle a évoqué les relations amoureuses. Beck a peut-être de n’en avoir jamais eu, pourtant elle ne devrait pas. Il y a mille et une raisons qui font qu’on soit vierge de toute relation à son âge. « Excuse moi, c’est un peu indiscret comme question. Et si ça te mets mal à l’aise t’es pas obligée de m’en dire plus. Mais il n’y a aucune honte à avoir. Aucune de n’avoir jamais vécu de relation amoureuse ou au contraire d’en avoir connue des dizaines. Chacun vis sa vie comme il l’entend et on ne juge sûrement pas une personne aux nombreux de relation qu’elle a eu. »
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- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 28■ Messages : 663■ Inscrit le : 13/02/2023
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Beck à la rescousse !
03 juillet 2018 || Ft. Arizona
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Beck se sentait vraiment à l'aise aux côtés de sa partenaire. La jeune femme prenait énormément de plaisir et n'avait aucune gêne de parler de tous ses tracas avec une personne qu'elle ne connaissait à peine. Ari ne semblait pas avoir la langue bien pendue, alors peut être que Beck pouvait t-elle lui faire confiance ? Seul l'avenir le lui dira, mais elle semblait confiante suite à la petite conversation qu'elle menait avec sa voisine de pallier.
Regardant l'horizon avec son verre à la main, la jeune femme observait les alentours. Il fallait se rendre compte qu'elles habitaient dans un endroit qui était sympathique et la zone 3 était vraiment tranquille contrairement à la zone 1 qui semblait être en pleine ville.
Elle voulait faire part de ses sentiments à Arizona, se confier car peut être que celle-ci pourrait lui venir en aide. En tout cas, la jeune femme se mettait à rêver d'une belle relation avec cette dernière, mais il ne fallait pas qu'elle s'emballe de trop concernant cette première rencontre avec la conseillère d'orientation de l'école de KHS qui semblait être attentive à ce qui l'entourait.
Ah, les rencontres éphémères. C'est ce qui rendait le plus nerveuse la japonaise. Elle avait malheureusement l'habitude de rencontrer des personnes qu'elle appréciait sur le moment et par la suite, les gens partaient pour x ou y raison, soit en voyage ou qu'ils habitent ailleurs. La demoiselle souriait en écoutant sa comparse avec une grande attention et semblait aussi s'y connaître dans les relations amoureuses et amicales.
Beck aussi avait cette tendance à se sociabiliser plus facilement avec les étudiants que les adultes. Mais elle espérait que cela ne lui attire pas des ennuis, et elle se demandait vraiment si on lui reprocherait ce genre de chose. Enfin, la jeune femme ne faisait rien de mal à sympathiser avec des plus jeunes, elle savait dissocier le professionnel et le personnel. Elle n'invitait pas n'importe qui dans son appartement, peut être Milan où elle a donné un petit cours de cuisine, mais c'est tout.
Beck détournait le regard, en se grattant le bras lentement. Elle se sentait gênée de l'avouer et ne voulait pas importuner la jeune femme avec ses soucis à elle. Et surtout ce genre de problème de coeur qui semblait un peu bancale. Est-ce qu'elle était en train de tomber amoureuse parce que c'était le premier garçon qui semblait réellement s'intéresser à elle ? La japonaise rabaissait lentement les yeux, regardant le sol et buvant une petite gorgée de son verre.
La psychologue soupirait à la fin de sa phrase. Elle ne voulait surtout pas embêter Arizona.
Regardant l'horizon avec son verre à la main, la jeune femme observait les alentours. Il fallait se rendre compte qu'elles habitaient dans un endroit qui était sympathique et la zone 3 était vraiment tranquille contrairement à la zone 1 qui semblait être en pleine ville.
Arizona est un super prénom, j'aime beaucoup. Le mien est mixte je crois, mais en tout cas je suis contente de pouvoir discuter avec toi, crois moi.
Elle voulait faire part de ses sentiments à Arizona, se confier car peut être que celle-ci pourrait lui venir en aide. En tout cas, la jeune femme se mettait à rêver d'une belle relation avec cette dernière, mais il ne fallait pas qu'elle s'emballe de trop concernant cette première rencontre avec la conseillère d'orientation de l'école de KHS qui semblait être attentive à ce qui l'entourait.
Ah, les rencontres éphémères. C'est ce qui rendait le plus nerveuse la japonaise. Elle avait malheureusement l'habitude de rencontrer des personnes qu'elle appréciait sur le moment et par la suite, les gens partaient pour x ou y raison, soit en voyage ou qu'ils habitent ailleurs. La demoiselle souriait en écoutant sa comparse avec une grande attention et semblait aussi s'y connaître dans les relations amoureuses et amicales.
Beck aussi avait cette tendance à se sociabiliser plus facilement avec les étudiants que les adultes. Mais elle espérait que cela ne lui attire pas des ennuis, et elle se demandait vraiment si on lui reprocherait ce genre de chose. Enfin, la jeune femme ne faisait rien de mal à sympathiser avec des plus jeunes, elle savait dissocier le professionnel et le personnel. Elle n'invitait pas n'importe qui dans son appartement, peut être Milan où elle a donné un petit cours de cuisine, mais c'est tout.
Tu m'as l'air de t'y connaître dans les relations... Je ... Je pense éprouver des sentiments pour Jin, le prof de sport... Je ne sais pas si tu vois. Mais malheureusement, je ne pense pas qu'il partage ce genre de pensées vois-tu. Je n'oserais pas lui dire de peur de subir une déception et surtout que c'est.. c'est la première fois pour moi.
Beck détournait le regard, en se grattant le bras lentement. Elle se sentait gênée de l'avouer et ne voulait pas importuner la jeune femme avec ses soucis à elle. Et surtout ce genre de problème de coeur qui semblait un peu bancale. Est-ce qu'elle était en train de tomber amoureuse parce que c'était le premier garçon qui semblait réellement s'intéresser à elle ? La japonaise rabaissait lentement les yeux, regardant le sol et buvant une petite gorgée de son verre.
La psychologue soupirait à la fin de sa phrase. Elle ne voulait surtout pas embêter Arizona.
Excuse moi, j'ai vraiment pas l'habitude de me confier comme ça sur mes doutes... Tu es bien la première personne ou peut être la deuxième à laquelle j'en parle. Je ne suis pas certaine de ce que je ressens, pourtant cela m'a l'air bien installé. Surtout depuis que je l'ai rencontrée lors du tremblement de la dernière fois à Kobe...Mais aujourd'hui, j'ai l'impression d'être sûre.
- Arizona WilliamsPersonnel ; assistante sociale■ Age : 32■ Messages : 393■ Inscrit le : 21/09/2023
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❖ Âge : 24 ans
❖ Chambre/Zone n° : Zone 3
❖ Arrivé(e) en : Début Avril 2018
Lorsque Beck lui avoue qu’elle en pince pour le prof de sport, Arizona est surprise. Elle ne ne connait pas vraiment Jin, mais il a l’air assez discret et les rares fois qu'elle a tenté d’entrer en contact avec lui c’était assez glaciale. cela dit c’est vrai, il est assez mignon et elle peut comprendre que son côté un peu mystérieux puisse intrigué mais il semble assez difficile à approcher. pour ce qui est de s’y connaitre en relation amoureuse elle ne sait pas trop quoi répondre: elle a une certaine expérience c’est sûr mais pour prendre les bonnes décisions c’est une autre histoire, néanmoins elle est assez douée pour conseiller, ou du moins se mettre à la place des autres.
“Le nouveau prof? oui je vois très bien…” Elle sourit un peu, observant Beck du coin de l'œil un peu malicieusement. “Alors c’est ça ton style ?” Arizona réfléchit quelque instant. “En tout cas si tu as réussit à créer un lien avec lui c’est qu’il doit t'apprécier, car il n’est pas facile à approcher celui là!” dit-elle en riant doucement avant de reprendre. “ Ne sois pas si défaitiste Beck! Tu te poses trop de questions, appréciez simplement les bons moments passés avec lui et tu verras par la suite. T’es pas obligée de te déclarer tout de suite hein!”
Arizona est surprise lorsque sa collègue lui avoue que c’est la première fois qu’elle ressent ce genre de sentiment pour un homme. En ça elles sont les parfaites opposées. d’un côté Beck qui découvrent un peu tardivement le sentiment amoureux et qui est bouleversée par ce qu’elle ressent et à côté Arizona qui est déjà rodée depuis l’adolescence à tomber amoureuse tous les quatre matin. Quelque part elle envie un peu la japonaise, c’est tout nouveau pour elle, et elle doit sûrement être pleine d’espoir et de fougue. Arizona est déjà désabusée et sait pertinemment que chaque nouvelle histoire rime avec drama et tristesse à la finalité. Néanmoins elle ne voulait surtout pas décourager sa nouvelle amie.
“Qu’est ce que tu ressens lorsque tu le vois?De mon point de vue je vois un type qui tire la tronche 24h sur 24h ihihi." elle ricane un peu dans son verre. “mais j’imagine que pour toi c’est différent! et quand tu parles avec lui, qui il pose les yeux sur toi? si quoi qu’il fasse t’as le cœur qui fait des grands BOOM et ton corps qui s’agite c’est que t’es piquée ma jolie! “
C'est toujours très excitant les débuts d’une histoire et on a souvent qu’une envie, passer un maximum de temps avec la personne qui fait battre notre cœur, quitte à se brûler parfois, mais c’est un sentiment tellement grisant que c’est terriblement difficile d’y résister. “Tu n’as pas a t’excuser t’inquiète! qu’on ai de l’expérience ou non c’est toujours un peu stressant quand on ne sait pas ce que ressent l’autre en face.disons que pour le moment il t’intrigue. Alors comme je te l’ai dit, apprends à le connaître davantage, il n’y a que ça pour savoir si on est vraiment attiré par une personne.” Puis elle s’arrête un instant avant de reprendre, elle regarde Beck un peu plus sérieusement cette fois. “ Le plus important c’est de préserver son coeur, alors fais attention à toi. Ne t’investis pas à 100% tant que tu n’es pas sûr de la personne en face.” un conseil qu’elle ferait bien d’appliquer à sa propre personne d’ailleurs!
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- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 28■ Messages : 663■ Inscrit le : 13/02/2023
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Beck à la rescousse !
03 juillet 2018 || Ft. Arizona
03 juillet 2018 || Ft. Arizona
Avoir trente ans et se sentir comme une enfant lorsqu'elle évoque ses sentiments pour Jin. Il est vrai que c'est une personne quand même glacial, mais la psychologue avait réussi à trouver quelqu'un qui semblait lui correspondre. Mais est-ce que le prof de sport était vraiment la personne qu'il lui fallait ? Est-ce que la jeune femme ne se faisait pas d'illusion à l'égard de ce dernier.
La demoiselle boira quelques gorgées de sa boisson tout en regardant l'horizon et l'ambiance auprès d'Arizona lui prêtait l'envie à la confidence. Pourtant, cela n'avait débuté que sur une rencontre de secours d'un insecte qui venait à squatter son appartement.
Beck était vraiment une débutante dans le domaine. La jeune femme le savait pertinemment que ce ne serait pas chose simple, surtout qu'il a perdu sa fiancée et qu'il aimait éperdument. Difficile de passer à autre chose. La psychologue avait plus de facilités à s'ouvrir à lui, plus de facilités à voir au delà et à s'imaginer peut être un avenir concernant les gens pensent qu'il faut absolument se mettre avec quelqu'un. Mais la psychologue savait qu'il fallait se battre pour ses principes et ses convictions.
Peut-être qu'Arizona voulait être tranquille et ne pas être assaillie de toutes ses questions concernant ses relations amoureuses car certainement douloureuse. Mais peut-être que celles-ci se sont terminées sur une fin heureuse ? La jeune femme se posait tellement de questions, surtout que son interlocutrice était tellement belle et avec énormément de charisme. Elle dégageait quelque chose d'important et d'impressionnant, la thérapeute ne pouvait mettre des mots justes sur son ressenti à l'égard de l'employée de KHS.
La brune venait à tortiller ses cheveux noirs, certainement dû au stress. La jeune femme avait tendance à s'engoisser. Elle détestait ce genre de part de sa personnalité, même si on pouvait l'apprécier pour ce qu'elle était ? Mais la psychologue était loin d'être une personne sûre d'elle.
La demoiselle boira quelques gorgées de sa boisson tout en regardant l'horizon et l'ambiance auprès d'Arizona lui prêtait l'envie à la confidence. Pourtant, cela n'avait débuté que sur une rencontre de secours d'un insecte qui venait à squatter son appartement.
À mon âge, il faudrait que je me pose des questions concernant ma vie et surtout qu'est-ce qui est bien pour moi...' est-ce que je me fait des idées concernant Jin ? Est-ce que tu pourrais me conseiller...?
Beck était vraiment une débutante dans le domaine. La jeune femme le savait pertinemment que ce ne serait pas chose simple, surtout qu'il a perdu sa fiancée et qu'il aimait éperdument. Difficile de passer à autre chose. La psychologue avait plus de facilités à s'ouvrir à lui, plus de facilités à voir au delà et à s'imaginer peut être un avenir concernant les gens pensent qu'il faut absolument se mettre avec quelqu'un. Mais la psychologue savait qu'il fallait se battre pour ses principes et ses convictions.
Tu as déjà eu des relations amoureuses ? Comment ça se passait avant ?... Désolée ça à complètement dérivé sur moi et je ne veux pas être le centre de la conversation...
Peut-être qu'Arizona voulait être tranquille et ne pas être assaillie de toutes ses questions concernant ses relations amoureuses car certainement douloureuse. Mais peut-être que celles-ci se sont terminées sur une fin heureuse ? La jeune femme se posait tellement de questions, surtout que son interlocutrice était tellement belle et avec énormément de charisme. Elle dégageait quelque chose d'important et d'impressionnant, la thérapeute ne pouvait mettre des mots justes sur son ressenti à l'égard de l'employée de KHS.
La brune venait à tortiller ses cheveux noirs, certainement dû au stress. La jeune femme avait tendance à s'engoisser. Elle détestait ce genre de part de sa personnalité, même si on pouvait l'apprécier pour ce qu'elle était ? Mais la psychologue était loin d'être une personne sûre d'elle.
Mes sentiments pour Jin sont vraiment forts . .. j'ai l'impression d'être amoureuse, j'ai comme des papillons dans le ventre et des boom dès que je le vois.... Ma respiration qui s'accélère. Ça aurait pu être n'importe qui, mais c'est tombé sur le prof de sport.... Le pauvre. Merci... Merci de tes conseils concernant de ne pas trop m'accrocher surtout que je suis pas sûre de son ressenti... Ça se trouve qu'il t'apprécie beaucoup et que tu l'ignore !! Ou d'autres femmes qui pourraient le faire de la concurrence. Haha
- Arizona WilliamsPersonnel ; assistante sociale■ Age : 32■ Messages : 393■ Inscrit le : 21/09/2023
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être célibataire à son âge semble causer beaucoup de soucis à la psy, est-ce que c’est à cause du jugement de la société ou un véritable snetiment de solitude. Toujours est-il que la société japonaise a toujours pointé du doigt les femmes qui ne sont pas mariées avant 30, quelle belle connerie! à quoi bon se marier si c’est pour se taper une charge mentale insurmontable. Et puis les relations amoureuses sont si compliquées aujourd’hui. Tout est prétexte à se séparer, se disputer, se tromper. Ari la première est le genre de personne qui recherche le grand frisson dans une relation et ça lui cause bien des torts. Elle aimerait dire à sa collègue qu’elle ne devrait pas autant se mettre la pression mais visiblement ça ne sert à rien, la japonaise semble persuadée que c’est ce dont elle a besoin.
Alors qu’elle lui demande de parler de sa propre expérience, Arizona est un peu gênée, ooh oui elle en a connu des hommes, de nombreux même. mais aucune histoire n’a mené quelque part. Ari avait plus fait dans la quantité que dans la qualité. Mais c’était de sa faute, elle répète sans cesse le même schéma amoureux : des hommes instables, émotionnellement indisponible mais qu’elle pense pouvoir sauver. “Non il est pas méchant c’est parce qu’il souffre qu’il est comme ça” encore aujourd’hui elle a un peu de mal à se dire qu’elle fait les mauvais choix et rejette plutôt la faute ce qu’elle est. Elle gratte nerveusement le haut de son crâne.
“Eh bien…au risque de te décevoir, je n’suis pas vraiment un bon exemple. c’est vrai j’ai fréquenté pas mal d’hommes, beaucoup trop selon certain. Pourtant j’ai jamais été celle avec qui on se projette, ni celle qu’on a envie de marier…j’ai lancé des je t’aime qu’on ne m’a jamais renvoyé, de relation à sens unique… il n’y a que ma dernière relation qui…”
Plus elle pense à sa relation avec Junko, plus elle se rend compte que finalement il ne l’a peut-être pas aimé lui aussi. Après tout, lui aussi n’a jamais répondu à ses je t’aime, et lui aussi il a fini par se tourner vers une autre, une mieux, une moins “comme elle”. Le visage de la Syrienne s’assombrit, toutefois elle ne veut pas inquiéter sa nouvelle amie, ni même la décourager, de toute façon ce n’est pas d’elle dont il est question dans cette discussion mais plus de Beck! Le visage de la japonaise s’illumine lorsqu’elle parle du prof taciturne, et la voir de cette façon redonne le sourire à Arizona. Ils n’avaient partagé que très peu de temps ensemble et pourtant elle est déjà si sûre de ses sentiments, quelque part, Arizona trouve ça beau. Et finalement elle se pose beaucoup moins de questions qu’Arizona toujours perdu sur ce qu’elle ressent.
Elle ne peut s’empêcher d’éclater de rire lorsque Beck admet qu’Arizona pourrait peut-être plaire à Jin. vu les regards blasés et désespérés qu’il lui a lancé les peu de fois où ils se sont parler c’est strictement impossible. Ces deux-là sont tout bonnement incompatibles. “Alors là je t’arrête tout de suite ma chérie mais ton Jin c’est pas du tout mon style. Il est mignon hein mais il est trop petit pour moi et trop…enfin pas assez…” Arizona n’a pas envie de lui dire qu’il dégage une espèce d’aura froide et triste. “Enfin je préfère les personnes plus expressives! et je ne pense pas être sa came plus que ça soit physiquement ou au niveau de mon caractère. Je crois que je parle trop pour ce genre d’homme.”
Arizona tente de sauver le truc comme elle peut, de toute façon il en faut pour tous les goûts. Si Jin n’est effectivement pas son style, il est loin d’être repoussant et elle ne le connait pas assez pour en dire plus sur lui, simplement que ce qu’il dégage ne provoque rien chez la Syrienne et réciproquement il semblerait. L’assistante sociale prend la main de Beck dans la sienne. C’est si facile de tomber dans le piège de la comparaison et c’est tellement douleur lorsque ça devient obsessionnel. “Ne te compare pas aux autres femmes. Nous avons chacune notre beauté et il y a forcément un tas de personnes qui sont sensibles à ton charme. Je ne te connais pas encore très bien mais j’ai déjà pu observer beaucoup de qualité chez toi. Alors j’imagine que Jin qui te connais plus que moi doit les voir aussi, et même en voir beaucoup plus! alors prend confiance en toi et ne regarde pas ce qu’il peut y avoir autour…”
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- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 28■ Messages : 663■ Inscrit le : 13/02/2023
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Beck à la rescousse !
03 juillet 2018 || Ft. Arizona
03 juillet 2018 || Ft. Arizona
La société c'est une belle ânerie. Malheureusement, les gens ont cette tendance à se conformer au regard des autres et surtout se calquer pour pouvoir convenir à la communauté actuelle. Marié, des enfants, heureux et avec un travail chacun. Être épanoui dans son couple et filer le mariage parfait, la vie parfaite ! La psychologue pouvait se surprendre à rêver de ce genre de situation qui pouvait la faire fantasmer. C'est vrai que Jin semblait être quelqu'un de bien, pourquoi continuait t'elle à faire une fixette sur cet homme ? La jeune femme n'en savait rien. Peut être avait t'elle trouvé une dose de réconfort ?
Elle repensait à son passé. Ce passé douloureux, seule et à garder ses craintes pour elle. Ne rien dire à ses parents pour ne pas passer pour une faible. La confiance en Beck à toujours été défaillante et sa faille première qui pouvait la briser en milliers de morceaux. Arizona semblait avoir confiance en elle. Cela semblait être quelque chose de naturel chez elle. Pourquoi Beck ne lui avait pas adressée la parole plus tôt ? Est-ce la timidité qui l'a poussé à ce comportement ? Bien que la japonaise n'ait jamais rien eu contre son interlocutrice. Elle qui semblait être quelqu'un de raisonnable et de responsable. Mature.
Beck regardait l'horizon. Le regard vide et pensant à toutes les relations que sa voisine aurait pu avoir par le passé. Peut être qu'elle se cherchait, qu'elle ne sait pas trop où elle va et n'a peut-être jamais été heureuse. La psychologue se doutait bien que si la jeune femme était encore seule, c'est que les personnes avec qui elle a partagé sa vie n'avait pas été honnête et sincère avec elle. Au final, est-ce que Beck est chanceuse de ne pas avoir eu de malheur en amour et de se préserver en attendant le bon moment ? Peut-être.
Bien que sa voisine soit magnifique et doté d'un charme naturel, elle ne tarderait pas à trouver quelqu'un qui l'aimera un jour pour ce qu'elle est. La psychologue avait beaucoup de sympathie à discuter avec Arizona, qui disait ce qu'elle ressentait sur le moment alors qu'elles ne se connaissaient pas vraiment. Mais la confidence était de la partie ce soir et Beck prenait beaucoup de plaisir à discuter avec son interlocutrice.
Un petit rire venait à échapper de Beck en prononçant cette phrase. C'est vrai, elle voulait détendre l'atmosphère et c'était l'occasion. Il est vrai que sa voisine aurait été quelqu'un qui aurait pu lui faire de l'ombre, après Beck n'était pas un brin jalouse. Elle savait se contenir et surtout si la confiance dans un couple était mutuelle. Mais la psychologue n'était pas avec Jin, alors de quoi avait t'elle peur ?
En plus, si Jin avait un coup de coeur pour quelqu'un d'autre c'était tout à fait logique. La timidité envahissante de la jeune femme pouvait lui faire défaut et le prof de sport qui semblait avoir un peu plus de hargne pouvait avoir d'autres occasions qui se présentent à lui. Enfin, Beck ne lui en voudrait pas. Il est libre de faire son choix, malgré que cette idée pouvait la faire légèrement perdre patience. La japonaise n'avait jamais été douée dans les relations en générale, alors amoureuse ? La catastrophe.
Elle repensait à son passé. Ce passé douloureux, seule et à garder ses craintes pour elle. Ne rien dire à ses parents pour ne pas passer pour une faible. La confiance en Beck à toujours été défaillante et sa faille première qui pouvait la briser en milliers de morceaux. Arizona semblait avoir confiance en elle. Cela semblait être quelque chose de naturel chez elle. Pourquoi Beck ne lui avait pas adressée la parole plus tôt ? Est-ce la timidité qui l'a poussé à ce comportement ? Bien que la japonaise n'ait jamais rien eu contre son interlocutrice. Elle qui semblait être quelqu'un de raisonnable et de responsable. Mature.
J'en suis désolée de ce qui s'est passé. Les relations à sens unique ce n'est jamais bon, mais je suis persuadée que tu vas trouver chaussure à votre pied, tu le mérite vraiment.
Beck regardait l'horizon. Le regard vide et pensant à toutes les relations que sa voisine aurait pu avoir par le passé. Peut être qu'elle se cherchait, qu'elle ne sait pas trop où elle va et n'a peut-être jamais été heureuse. La psychologue se doutait bien que si la jeune femme était encore seule, c'est que les personnes avec qui elle a partagé sa vie n'avait pas été honnête et sincère avec elle. Au final, est-ce que Beck est chanceuse de ne pas avoir eu de malheur en amour et de se préserver en attendant le bon moment ? Peut-être.
Bien que sa voisine soit magnifique et doté d'un charme naturel, elle ne tarderait pas à trouver quelqu'un qui l'aimera un jour pour ce qu'elle est. La psychologue avait beaucoup de sympathie à discuter avec Arizona, qui disait ce qu'elle ressentait sur le moment alors qu'elles ne se connaissaient pas vraiment. Mais la confidence était de la partie ce soir et Beck prenait beaucoup de plaisir à discuter avec son interlocutrice.
Bon alors du côté de Jin, je pense avoir des chances. Surtout si une rivale de ta beauté est hors du chemin haha.
Un petit rire venait à échapper de Beck en prononçant cette phrase. C'est vrai, elle voulait détendre l'atmosphère et c'était l'occasion. Il est vrai que sa voisine aurait été quelqu'un qui aurait pu lui faire de l'ombre, après Beck n'était pas un brin jalouse. Elle savait se contenir et surtout si la confiance dans un couple était mutuelle. Mais la psychologue n'était pas avec Jin, alors de quoi avait t'elle peur ?
En plus, si Jin avait un coup de coeur pour quelqu'un d'autre c'était tout à fait logique. La timidité envahissante de la jeune femme pouvait lui faire défaut et le prof de sport qui semblait avoir un peu plus de hargne pouvait avoir d'autres occasions qui se présentent à lui. Enfin, Beck ne lui en voudrait pas. Il est libre de faire son choix, malgré que cette idée pouvait la faire légèrement perdre patience. La japonaise n'avait jamais été douée dans les relations en générale, alors amoureuse ? La catastrophe.
Merci d'avoir prit le temps de répondre à mes questions. En tout cas, je suis heureuse d'avoir eu l'occasion de te connaître. Surtout pour te sauver de cette méchante cigale.
- Arizona WilliamsPersonnel ; assistante sociale■ Age : 32■ Messages : 393■ Inscrit le : 21/09/2023
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Les encouragements de Beck lui font chaud au cœur et même si la psychologue ne connaît pas toute l’histoire, sa positivité lui redonne un peu confiance. Trouver chaussure à son pied…elle a l’impression de l’avoir trouver cette foutue chaussure, elle la laisse juste traîner trop longtemps dans son placard mais c’est bien dans cette paire qu’elle se sent le mieux. Arizona n’a aucune idée de ce que sera sa vie dans 5 ou 10, la seule personne qu’elle voit en imaginant le futur c’est Junko en réalité. elle a essayé pourtant de penser à un avenir sans lui, mais c’est impossible cet imbécile sera toujours dans sa tête. Alors lorsque Beck parle de relation à sens unique, Arizona fait un peu la moue, c’est vrai qu’elle a essuyer des échecs et le dernier en date lui laisse un coup d’inachevé. L’assistante sociale se redresse doucement.
“ la personne est déjà toute trouvée! il faut juste que ce grand dadet se rende compte de la personne incroyable que je suis! Mais tu sais, les hommes sont un peu longs à la détente.” dit-elle en haussant les épaules avant de rire doucement.
Arizona finit son verre et prend les mains de beck dans les siennes, elle aimerait vraiment que la Japonaise prenne confiance en elle, qu’elle ose enfin devenir la personne qu’elle veut. “Cesse de te comparer à Beck et surtout, ne soit la rivale de personne, fonce sans regarder ce qu’il y autour! t’y vas et c’est tout! ton intuition concernant Jin est bonne j’en suis sûr!”
dans le fond ça l’embêtait un peu que des femmes quelles qu'elles soient, aient si peu confiance en elle! il n’y avait aucune raison de l’être. Évidemment la vie est traversée par des moments de doute et de peur, et parfois on a l’impression nul, de n’avoir aucune valeur, ça Ari le sait bien! Néanmoins c'est important d’être tolérant avec soi même pour ne pas se laisser absorber par nos propres pensées négatives. Conseils qu’Arizona devrait s’appliquer à soi-même, mais comme d’habitude: “Fais ce que je dis, pas ce que je fais!”
“Merci à toi de m’avoir aider avec ce monstre dans ma chambre…tu sais quoi prends mon numéro et si tu as besoin d’aide avec ton prof de sport t’hésite surtout pas ok.” elle note son numéro de téléphone sur un bout de papier et le tend à celle qui elle espère deviendra une bonne amie. Discuter avec elle ce soir a fait beaucoup de bien à la Syrienne, il faut dire que les visites sont rares ici, pour le plus grand désespoir d’Arizona qui a toujours eu l’habitude d’être entourée. Mais ici, il n’y a que Lizzy qui passe la voir. les deux femmes se lèvent. il se fait tard et ça serait dommage que la psychologue et l’assistante sociale du campus loupent leur réveil.
“Repasse quand tu veux avec plaisir, on se tiendra compagnie les soirs de solitude!” dit-elle en riant.
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Merci Gaga et Chandidi
- Beck OribePersonnel ; psychologue■ Age : 28■ Messages : 663■ Inscrit le : 13/02/2023
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Beck à la rescousse !
03 juillet 2018 || Ft. Arizona
03 juillet 2018 || Ft. Arizona
Les sentiments qu'elle pouvait éprouver à l'égard de Jin était quelque chose de nouveau et pouvoir en parler à Arizona lui avait fait le plus grand bien. Sentir des frissons dès qu'elle le voyait ou sentir ses joues chauffer car elles devenaient rosées devenait de plus en plus incontrôlable. Son boulot l'aidait à oublier quelques heures ses sentiments et ses tracas concernant ce qu'elle pouvait dire au prof de sport sans commettre une bourde.
L'assistante sociale lui avait donné de nouveau confiance en elle. Chose qu'elle avait perdue depuis bon nombre d'années et arrêter de bagayer quand elle croisait Ashina. Mais c'est plus dur à dire qu'à faire comme on peut dire n'est-ce pas ? Après Beck a toujours investie dans ses relations et elle espérait qu'elle continuerait à garder contact avec sa voisine de palier.
La jeune femme ne voulait pas que son interlocutrice perçoivent ça comme un "j'ai besoin d'ami" mais surtout que la psychologue voulait s'ouvrir au monde et se faire de nouveaux amis. Elle était ravie d'être venue secourir Arizona d'une vilaine bébête car sans cela, elle n'aurait jamais prit l'initiative de venir lui adresser la parole.
La soirée était passée à une vitesse. Elle n'avait pas vu le temps passer et Beck se sentait bien ce soir grâce à les belles paroles que sa nouvelle amie lui a adressé aujourd'hui. Comment espérer mieux ? La thérapeute était confiante et savait qu'elle allait devoir se confier davantage à cette dernière, demander peut-être des conseils pour avoir le courage de faire le premier pas envers le prof de sport.
C'était une première pour elle et une première expérience. Elle n'avait jamais eu le coeur brisé par un râteau foudroyant envoyé par une personne que la personne pouvait aimer. C'était le premier. Et elle espérait le seul, l'unique. Mais est-ce qu'elle était trop ambitieuse ? Pour elle, c'est Harumi son seul et unique amour, donc comment pouvait t'il éprouver quelque chose à son égard ? Niet.
Les paroles de Beck sonnait encore comme quelque chose d'incertain. Comme un sentiment d'avoir l'impression de gêner Arizona avec ses paroles d'enfant. La jeune femme se levait de sa chaise pour ensuite se diriger dans le salon lentement en quête de saisir la poignée de la porte d'entrée en attendant sa réponse et de laisser tranquille sa voisine. Une belle soirée !
L'assistante sociale lui avait donné de nouveau confiance en elle. Chose qu'elle avait perdue depuis bon nombre d'années et arrêter de bagayer quand elle croisait Ashina. Mais c'est plus dur à dire qu'à faire comme on peut dire n'est-ce pas ? Après Beck a toujours investie dans ses relations et elle espérait qu'elle continuerait à garder contact avec sa voisine de palier.
Penses tu que l'on pourra échanger des messages de temps en temps ? Cela me plairait beaucoup t'avoir comme amie.
La jeune femme ne voulait pas que son interlocutrice perçoivent ça comme un "j'ai besoin d'ami" mais surtout que la psychologue voulait s'ouvrir au monde et se faire de nouveaux amis. Elle était ravie d'être venue secourir Arizona d'une vilaine bébête car sans cela, elle n'aurait jamais prit l'initiative de venir lui adresser la parole.
La soirée était passée à une vitesse. Elle n'avait pas vu le temps passer et Beck se sentait bien ce soir grâce à les belles paroles que sa nouvelle amie lui a adressé aujourd'hui. Comment espérer mieux ? La thérapeute était confiante et savait qu'elle allait devoir se confier davantage à cette dernière, demander peut-être des conseils pour avoir le courage de faire le premier pas envers le prof de sport.
C'était une première pour elle et une première expérience. Elle n'avait jamais eu le coeur brisé par un râteau foudroyant envoyé par une personne que la personne pouvait aimer. C'était le premier. Et elle espérait le seul, l'unique. Mais est-ce qu'elle était trop ambitieuse ? Pour elle, c'est Harumi son seul et unique amour, donc comment pouvait t'il éprouver quelque chose à son égard ? Niet.
Merci de m'avoir reçue. Je suis heureuse de t'avoir rencontrée ! On aura bien d'autres occasions de se revoir. N'est-ce pas ?
Les paroles de Beck sonnait encore comme quelque chose d'incertain. Comme un sentiment d'avoir l'impression de gêner Arizona avec ses paroles d'enfant. La jeune femme se levait de sa chaise pour ensuite se diriger dans le salon lentement en quête de saisir la poignée de la porte d'entrée en attendant sa réponse et de laisser tranquille sa voisine. Une belle soirée !
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